
Roadbook #Vevey #PlaceDuMarché #Hipstamatic #Jane #Inas1982 #TripleCrown
Alors que la première édition de Ludovia#BE débute mardi soir, je décolle ce samedi pour Bruxelles à l’invitation de François Jourde, merci à lui !
L’embarquement à Genève-Aéroport se déroule dans les règles et d’une rapidité tout à l’honneur d’EasyJet. A 9h20, tout le monde est installé pour un vol prévu à 9h30.
Le temps est magnifique en ce début de journée. La journée promet d’être sympa dans la capitale belge et européenne.
Finalement, le brouillard s’est installé et a retardé le décollage. Normalement, nous aurons environ 30 minutes de retard.
C’est l’occasion de lire le magazine proposé par EasyJet et de découvrir comment ne pas être un touriste (même si effectivement nous en sommes un).
Parmi les recommandations, je me retrouve particulièrement dans la troisième proposition : apprendre à se perdre et sortir des sentiers battus :
Et surtout, je ne prends pas de selfie :
Légèrement décalé en plus dans le magazine de la compagnie d’aviation qui a totalement bouleversé le tourisme de masse en Europe. Ainsi, si tout le monde suivait leurs recommandations (ou du moins tous les passagers volant avec EasyJet), prendre des selfies deviendrait « untouristic », n’est-il pas? Heureusement, il reste une sacrée marge !
A l’atterrissage, le temps est également ensoleillé et nuageux à la fois. Je retrouve rapidement mes marques et prend la direction de la gare ferroviaire. Objectif, la gare centrale de Bruxelles (une des trois gares de Bruxelles desservie depuis l’aéroport). A la gare centrale, je prends une consigne pour m’alléger.
Il est alors temps de débuter ma visite « untouristic » de Bruxelles tout en retrouvant le centre historique et touristique de Bruxelles. Sacré gageure. En avant !
A proximité de la gare centrale, me dirigeant du côté de la Grande Place, je découvre cette ancienne mercerie. So Cut :
Je traverse ensuite les galeries royales datant de 1847, puis je rejoins la cathédrale Saints-Michel-et-Gudule, monument imposant et fort visité. Différents monuments ou plaques agrémentent cette cathédrale. Ces éléments offrent une histoire de l’élite belge tel un monument consacré à 1914-1918 et composé uniquement de membres de la noblesse ou de la bonne bourgeoisie. Une autre frise, cachée par des chaises empilées, commémore Jean Ier de Brabant.
Mais c’est la plaque de repentance concernant les fausses accusations datant de 1370 contre la communauté juive que je vous propose dans le cadre de cette visite « untouristic ». Il aura quand même fallu attendre trois cents ans pour des excuses !
Je flâne ensuite et parvient devant l’entrée/sortie des artistes du Théâtre de la Monnaie. Et hop une photo dans l’action où je profite de la sortie inopinée d’un visiteur.
Après avoir fait ma pause déjeuner, je découvre la place des Martyrs de la Révolution belge de 1830. Profitant des rayons du soleil, un homme étendu et dormant un peu comme le dormeur du Val fait office de martyr du 21e siècle.
Au Marché aux herbes, j’écoute deux musiciens de rue et saisi à la fois une partie de la foule qui écoute et la file des clients pour la friterie Tabora.
Rue Beurre, je ne peux m’empêcher de prendre en photo la rose accompagnant le trio de la fontaine.
Il m’est difficile ensuite, à la Grand Place/Hôtel de Ville de trouver un angle particulier pour photographier la place noire de touristes.
Puis j’oblique en direction de la Rue de l’Etuve (Manneken Pis) où je préfère photographier la foules de ces admirateurs plutôt que la statue elle-même. Il est à noter que désormais le Manneken Pis est concurrencé au niveau des photos par le café attenant qui a accroché des vélos multicolores à sa façade.
En rejoignant le boulevard Anspach, je profite pour prendre un peu de végétation.
Puis un rare exemple de Street Art au centre ville.
Le boulevard Anspach lui-même me séduit par sa revitalisation en espace de vie et de nature recomposée.
Je termine mon parcours du jour par la Halle Saint-Géry, remise au goût du jour et dans un quartier désormais fort animé.
En remontant vers la gare centrale pour récupérer mes affaire, je découvre ce magasin de vinyles d’occasion. Trop bien.
Ce sera ma dernière photo du jour pour ce parcours untouristic. A suivre…
En ce vendredi 11 octobre, l’heure est au départ pour un week-end à Berlin.
Cette journée est consacrée à rejoindre la ville par le train en passant par Bâle.
A 7h00, l’heure est venue de rejoindre à pied la gare de Vevey. En arrivant à Saint-Martin, un petit arrêt s’impose pour profiter du paysage offert par le lac Léman et les montagnes.Sur la route de Berlin.
#roadtrip #ricohgr2 #ricohgrii #train #berlin #vevey
https://www.instagram.com/p/B3eFtvWhGKO/
Ce dimanche a été l’occasion de profiter du soleil d’automne en parcourant l’édition 2019 de le Biennale de Montreux 2019 (9 août au 20 octobre 2019). C’est aussi l’occasion de contempler les œuvres primées des précédentes éditons.
Pour un aperçu des œuvres : http://www.biennale.ch
Photo : Sony RX100 III
Ce dimanche 22 septembre 2019 représentait la dernière occasion à la fois de visiter l’immeuble Simplon 26 à Lausanne et de visiter l’exposition réalisée avant sa démolition. Voici quelques photos de l’immeuble et de l’exposition.
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Depuis le quai de la voie 9 à Lausanne, les pendulaires ont probablement aperçu ses habitants arroser leurs plantes ou fumer sur le balcon. Tout Lausannois a déjà emprunté le raccourci qu’il abrite, que ce soit pour partager quelques mousses aux Cafés du Simplon et de l’Europe, ou pour prendre un train. Avec à ses pieds des conteneurs tagués, l’îlot d’immeubles du passage des Saugettes sera bientôt détruit, en vue du réaménagement de la gare de Lausanne.
Après plusieurs années de flou, d’oppositions et de prolongations, l’heure a sonné: les locataires des numéros 22, 24 et 26 de la rue du Simplon ont été sommés de quitter les lieux. Plus de 80 ans d’existence qui seront réduits en cendres et transformés en place publique. Mais avant cela, comme un ultime hommage à cet immeuble des années 1930, un collectif d’une trentaine d’artistes a fait vivre une dernière fois les lieux, avec une exposition poétique, symbolisant la vie. Une démarche originale, entre nostalgie et célébration.
Lire les articles :
Le collectif : https://tracesdepassages.ch
Les photos : prises avec Pentax KP, objectif Pentax SMC A 35mm 2.8 et Ricoh GRII. 📷 Traces de passage | Simplon 26 on Priime – http://priime.com/lyonelk/traces-de-passage-simplon-26
Pas de grande virée en ce samedi 14 septembre de week-end du Jeûne Fédéral, mais après un passage à Vuadens chez Moto Vionnet, un retour en zigzag, histoire de profiter de cette magnifique journée ensoleillée. Et un arrêt à Granges (Veveyse) pour profiter de la terrasse de la brasserie-pizzéria de La Croix-Fédérale.
C’est de cette terrasse que j’ai aperçu la chapelle Saint-Nicolas.
Avant de remonter sur ma moto pour regagner mes pénates, je m’en suis approché. Espérant notamment disposer d’un joli point de vue sur les alentours. Espoir partiellement réalisé avec cette vue sur le Mont-Pèlerin.
Concernant la chapelle elle-même, Wikipedia nous fournit les informations suivantes :
Cette chapelle a été édifiée en 1933 et consacrée en 1934. Elle est de style Heimatstil suisse bien dans la veine de l’Art déco des années 1930. Le décor intérieur est lumineux et comprend diverses œuvres d’art : vitraux de Jean de Castella (la verrière du chœur est signée et datée de 1933), et une peinture murale (Crucifixion) réalisée par le peintre suisse Charles Cottet en 1959. L’orgue est de la manufacture fribourgeoise Ayer[5] et date de 1994.
Le site notrehistoire.ch nous narre également une anecdote relativement sa cloche :
Une curieuse inscription a été découverte sur l’une des cloches, il est écrit « Bourg-St-Pierre 1910 ». En 2011, le curé d’Orsières est venu constater la chose. Visiblement la commune valaisanne avait demandé le remplacement des trois cloches de son église en 1932. Le directeur de la fonderie de l’époque, voyant que l’une des cloches était encore en bon état, décida de ne pas la détruire mais de la revendre à son client fribourgeois.