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Lyonel Kaufmann blogue…

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Sur la route à moto avec un café

suisse

Olten et la Guerre des paysans de 1653

6 février 2025 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Jeudi 5 février 2025. Je visite la vieille ville d’Olten et je prends en photo une façade que je trouve particulièrement intéressante.

Olten (06.02.2025)

En m’approchant ensuite, je lis l’inscription suivante sur la façade « Aussug der Oltener in den Bauernkrieg 1653 » (« Exode ou sortie des habitants d’Olten lors de la guerre des paysans en 1653 »).

De retour à la maison, je fais quelques recherches sur la situation d’Olten durant cette guerre. Je trouve de l’information sur le site de la commune d’Olten (https://www.olten.ch/geschichte/349). En voici la traduction :

Le fait qu’Urs von Arx, originaire d’Olten, ait apposé le sceau officiel de la ville d’Olten sur la « lettre d’Huttwil » des paysans révoltés lors de la grande Landsgemeinde de Huttwil du 14 mai 1653, a coûté cher à Olten, qui avait ouvertement sympathisé avec les paysans révoltés. En effet, après l’écrasement de la révolte, le gouvernement profita de cette mesure pour punir la ville de son pacte avec les paysans révoltés en la privant de tous les privilèges politiques qui lui restaient jusqu’alors et en la transformant en une vulgaire petite ville soumise. Le sceau fut confisqué et la charte de la ville, que le gouvernement avait encore confirmée en 1592, fut rendue caduque en coupant le sceau des autorités. Il fut ensuite exposé à l’hôtel de ville de Soleure avec la pétoire du sceau d’Olten, en souvenir du sort réservé à l’avenir aux rebelles. Ce n’est que lorsque l’ancien régime s’effondra que la Cour suprême de la République helvétique une et indivisible, lors de sa séance du 12 novembre 1818, accéda à la demande de la ville d’Olten. Le 12 novembre 1800, la Cour suprême de la ville d’Olten a répondu à la demande du citoyen d’Olten, le médecin Joseph Cartier (1763-1839), et a restitué à la ville son ancien droit de cité et son sceau, qui avait été conservé à Soleure depuis 1653.

Dans l’article consacré à la Guerre des paysans de 1653, le DHS ne parle pas de la situation d’Olten (https://hls-dhs-dss.ch/fr/articles/008909/2010-05-07/). Par contre, il est fait mention de la perte de ses franchises en 1653 en raison de Guerre des paysans dans l’article consacré à la commune (https://hls-dhs-dss.ch/fr/articles/001168/2010-09-16/). L’article précise :

Ces amputations dans les anciens droits fondèrent une tradition de résistance contre le chef-lieu. En 1798, O. accueillit les Français en libérateurs.

L’article laisse à penser que l’attitude à l’égard des Français et de la Révolution française est directement en lien avec cette tradition de résistance.

Tags : #AuCafe #Histoire #Roadbook #photographie

Sur la route | Auf der Strasse – épisode 1/2024

18 mai 2024 by Lyonel Kaufmann 2 commentaires

Direction Gurnigel, retour par JaunPass – vendredi 17 mai 2024, un peu plus de 200 km. Départ après 15h00, retour à la maison à 21h30.

En cette veille du week-end de l’Ascension, le temps est annoncé ensoleillé avec nuages. Le weed-end prolongé qui s’annonce est plus mitigé relativement aux prévisions du temps.

Après un dernier zoom terminé après 14h30, il est temps de débrancher et d’envisager une sortie. Encore faut-il envisager une destination contournant les départs en week-end.

L’idée est de rejoindre le col du Gurnigel, situé dans le canton de Berne entre le Lac Noir (Schwarzee) et Thoune (pour faire simple), puis de revenir par le col du Jaun, situé lui entre Zweisimmen et Charmey/Broc.

Pour cette escapade, je monte léger et je file au guidon de CapitaineTempête, ma BMW F900R couleur BlackStorm d’où son surnom.

CapitaineTempête.

CapitaineTempête – le destrier du jour – au sommet du Gurnigel

Si le temps reste sec et partiellement ensoleillé, le vent souffle et l’air sera frais au somment du Gurnigel.

L’arrivée au Gurnigel

L’arrivée au Gurnigel par le Lac Noir (Schwarzee)

A l’arrivée au Gurnigel, je rejoins le premier parking public en contrebas pour admirer la vue sur la route que je viens d’emprunter.

Lac de Thoune et les Alpes

Vue sur le lac de Thoune et les Alpes

Le sommet du col du Gurnigel s’étire sur une crête, un peu comme le col du Grimsel. Il est possible d’admirer le lac de Thoune et les Alpes qui l’entourent. En ce vendredi, c’est bien dégagé. Un banc permet d’admirer le spectacle.

Admire le panorama

Le banc permet une vue élargie sur le massif montagneux du Gurnigel également.

Pour le retour, il n’y a pas de raison de faire court. Je redescends donc du côté de Thoune pour prendre la direction de Zweisimmen. A Boltigen, flèche à droite, j’emprunte le col du Jaun par son versant bernois pour rejoindre Charmey, Bulle et la maison.

Col du Jaun, côté bernois

Vue près du sommet du Jaunpass, côté bernois. Il fait encore jour. La lumière change.

A 19h15, il fait encore jour lorsque j’arrive au sommet du Jaunpass avant de basculer ensuite sur Charmey où je ferai halte pour manger avant de rentrer à la maison, toujours accompagné par la lumière du jour finissant.

Tags : #roadtrip #roadbook #suisse🇨🇭 #berne #fribourg #gurnigel #jaunpass #bmw #f900r #bmwf900r #captainstorm #capitainetempête

Catégories : #Roadbook #motocyclette

Quai de la Veveyse (02.02.2024

3 février 2024 by Lyonel Kaufmann 2 commentaires

L’impression d’être plus au printemps qu’en hiver.

La rivière canalisée de la Veveyse arrivant à l’embouchure du lac Léman et s’avançant dans le lac. Le ciel est nuageux et moutonneux. Le soleil se couche sur un fond orangé. En ombre chinoise au bord de la rive, cinq silhouettes, à droite, regardent le lac.

#suisse🇨🇭#vaud #vevey #sonyalphazve20 #sony #alpha #zve10

Dans les vignes (10.10.2023)

11 octobre 2023 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Les annonces d’une dégradation de la météo pour ce samedi étaient une invitation cet après-midi de profiter des dernières douceurs pour me rendre dans les vignes à proximité de la maison. Quelques premières couleurs d’automne étaient perceptibles.

La récolte a été faite et il reste encore quelques grappes de raisin sur les plants de vigne.

Photos prises avec

  • Sony A7ii, objectif Sony FE 35mm F1.8, ISO 100 pour les 4 premières
  • FUJIFILM FinePix X100, ISO 400, f4.5, 1/280 s. pour la dernière

La Suisse est-elle raciste? James Baldwin et les artistes répondent – Le Temps

8 octobre 2023 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Comment parler du racisme en Suisse? Comment en parler par le biais de l’art? Comment le pister là où il se loge, sans pointer du doigt violemment mais en donnant à voir? Comment échapper aux stéréotypes? Et surtout, comment les déconstruire? Comment éviter la polarisation et retrouver la complexité indispensable et propre à toutes et tous?

Vue de l’installation de James Bantone, «Child’s Play»(2022), dans l’exposition «Stranger in the Village Le racisme dans le miroir de James Baldwin» à l’Aargauer Kunsthaus. (Néoprène, fil, combinaison, épingles à nourrice) — © Courtoisie de l’artiste et Karma International, Zürich Foto: David Aebi, Bern

Voici quelques-unes des questions aussi brûlantes que passionnantes que pose Stranger in the village, une exposition d’art contemporain regroupant une quarantaine d’artistes qui s’est ouverte à l’Aargauer Kunsthaus, à Aarau. Sous-titrée Le racisme au miroir de James Baldwin, cette exposition s’appuie sur un petit texte mémorable et éclairant de l’écrivain, Un Etranger au village. L’auteur de Go Tell It on the Mountain (1953, un roman qu’il écrivit en partie en Suisse), y revient sur le séjour qu’il fit dans les années 1950 à Loèche-les-Bains, à l’invitation d’un de ses amis, Lucien Happersberger, qui y possède un chalet.

«Stranger in the Village. Le racisme au miroir de James Baldwin» , Aargauer Kunsthaus, Aarau, jusqu’au 7 janvier 2024.

Lire la suite : https://www.letemps.ch/culture/arts/la-suisse-est-elle-raciste-james-baldwin-et-les-artistes-repondent

Lucerne (11.03.2023)

11 mars 2023 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Lucerne. Un samedi de mars. Saupoudré de neige.


A noter que nous fêterons, cette année en avril, les trente ans de l’incendie qui détruisit entièrement ce pont.

#roadtrip #roadbook #suisse🇨🇭 #lucerne

Sur la route du Rhin : Laufenburg (jour 3)

19 juillet 2021 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Pour cet été 2021, le programme retenu consiste à suivre à moto le cours du Rhin de sa source antérieur de l’Oberalpass à Rotterdam, puis de s’arrêter à Amsterdam avant de rentrer par la Belgique et la France. Pour cette troisième étape, nous zigzaguons entre la Suisse et l’Allemagne jusqu’à Bâle avant de quitter définitivement le Suisse et poursuivre en direction de Strasbourg

Le Rhin proche de déborder à Laufenburg

La découverte du jour côté suisse et allemand nous attend à Laufenburg. A l’image de Saint-Gingolph, cette cité est coupée en deux avec une partie suisse sur la rive gauche du Rhin et la partie allemande sur la rive droite. Un pont les relie.

Laufenburg, côté allemand

Comme beaucoup de cités fondées au Moyen Âge et dans le canton d’Argovie, Laufenburg est une création des Habsbourg qui en 1173 deviennent les avoués du monastère. Rodolphe II de Habsbourg est considéré comme le fondateur de la ville. Rodolphe II donc l’empereur du Saint-Empire qui a sa mort en 1232 amènera trois communautés alpestres à rédiger un pacte…

La séparation politique en deux du village n’intervient elle qu’en 1802. La faute à Napoléon et au traité de Luneville qui établit désormais que la rive gauche de Zurzach à Bâle revient à la Suisse et la rive droite a l’Allemagne.

Article II
La cession des ci-devant provinces belgiques à la République française, stipulée par l’article III du traité de Campo-Formio, est renouvelée ici de la manière la plus formelle, en sorte que Sadite Majesté Impériale et Royale, pour elle et ses successeurs, tant en son nom qu’au nom de l’Empire germanique, renonce à tous les droits et titres aux susdites provinces, lesquelles seront possédées à perpétuité, en toute souveraineté et propriété, par la République française, avec tous les biens territoriaux qui en dépendent.

Sont pareillement cédés à la République française, par Sadite Majesté Impériale et Royale et du consentement formel de l’Empire :

1 – Le Comté de Falkenstein, avec ses dépendances ;

2 – Le Fricktal et tout ce qui appartient à la Maison d’Autriche sur la rive gauche du Rhin, entre Zurzach et Bâle ; la République française se réservant de céder ce dernier pays à la République helvétique.
Source : https://fr.m.wikisource.org/wiki/Traité_de_Lunéville

Au niveau religieux, Le deux Laufenburg ont toujours été séparés puisque la frontière entre les diocèses de Bâle et de Constance passait par le Rhin. Donc Réformés sur la rive gauche et catholiques sur la rive droite.

Le pont actuel en béton

Le pont de bois, connu dès le haut Moyen Age, fut détruit à d’innombrables reprises par le feu, l’eau ou la guerre. En 1910, lors de la construction de la centrale électrique, il fut remplacé par un ouvrage en béton de Robert Maillart. Un autre pont, situé à environ mille mètres en amont, fut inauguré en 2004.

Économiquement, la ville se développa grâce à des ressources diversifiées: commerce de transit, marché, traitement du fer extrait des mines du Fricktal entre le XIIIe et le XVIIIe s. (fonderies et forges). Mais la principale source de revenus provenait du transport de marchandises sur le Rhin. Laufenburg était aussi considérée comme le plus important lieu de pêche au saumon sur le Rhin.

L’amélioration des routes et l’arrivée du chemin de fer modifie la donne et conduit au déclin économique de la cité. La construction de la centrale électrique en 1910, la plus grande de Suisse alors, a pour conséquence la fin de la remontée des saumons.

Au fond le barrage de la centrale électrique.

Voilà donc pour notre principal arrêt du jour. Finalement la pluie n’est survenue qu’en fin de notre périple et relativement à notre arrivée à Strasbourg à 17h30, ville étape de notre descente du Rhin.

Source : article Laufenburg du DHS.

Destinations : Cols du Pillon et du Jaun (27.04.2021)

29 avril 2021 by Lyonel Kaufmann

Après une journée continue et alors que le soleil était encore présent avant de céder sa place à la pluie, l’occasion était trop belle de prendre ma brêle pour profiter du temps et des cols de la région.

Cela a été aussi L’occasion aussi d’apprécier une nouvelle fois la qualité des anciennes optiques Pentax associées à mon Pentax KP.

Cependant, une petite surprise m’attendait en arrivant vers les Diablerets. Le soleil laissait place à des nuages. Rien de grave, même si trois gouttes de pluie pointeront le bout de leur nez vers Gstaad.

Au sommet du Pillon, la neige reste cependant bien présente dans le décor, mais pas sur la route. Tant mieux, dans le fond, car en l’absence de soleil, la neige apporte ainsi un petit plus à mes photos.

Alors, je vous propose deux premières photos pour donner l’impression d’un paysage entièrement enneigé au sommet du col. Elles sont prises avec l’objectif SMC -Pentax-A 24mm 2.8 (équivalent ici 36mm à en APS-C).

Le panneau du col. Tout semble enneigé sous cet angle.

Plan plus large avec le sommet de Glacier 3000 en perspective.

Le rendu des images est très intéressant avec l’objectif SMC Pentax-A 24mm, construit entre 1984 et 1989) et le Pentax KP qui présente l’avantage d’un travail personnalisé à l’aide de ses molettes (iso, ouverture, vitesse).

L’utilisation ensuite du SMC Pentax-M Macro 100mm 4.0 permet à l’œil de s’approcher et de mieux distinguer les détails d’une partie des installations de Glacier 3000.

La qualité de l’image et plus particulièrement des détails est impressionnante de la part d’un objectif produit entre 1977 et 1984. Le fait que le réglage de la netteté doivent être réalisé manuellement ainsi que le choix de l’ouverture ne posent pas de problème particulier.

Dans mon utilisation de ces objectifs vintage, je travaille toujours en mode manuel. A l’aide du bouton vert au dos du KP, je peux régler la vitesse de déclenchement. Me concernant, j’ajoute généralement deux crans supplémentaires de vitesse par rapport au calcul du boîtier. Pour l’ouverture, le Pentax 24mm comprend un mode automatique qui peut directement être gérée par le boîtier ou je peux la choisir manuellement. Pour le Pentax 100mm, c’est à moi de choisir l’ouverture sur l’objectif. A noter que le ciel gris et la présence de la neige rendent difficile le calcul adéquat de la vitesse. J’ajouterai quatre crans de vitesse plus élevées au lieu des deux habituelles pour parvenir au rendu attendu.

Une dernière photo, recardée au format carré, avant de partir réalisée avec l’objectif SMC Pentax-A 24mm dans la direction que je vais suivre.

Les installations de départ, un traditionnel car postal et la route direction Gstaad.

Il est ensuite temps de reprendre la route direction Gstaad, puis le col du Jaun. Comparativement à dimanche, où les motos fourmillaient de partout en bande comme en solo et occupaient le moindre interstice d’espace laissé disponible au bord des routes, c’est en ce mardi le jour et la nuit.

Seuls deux motos m’accueillent brièvement au sommet du Jaun avant de bien vite repartir me laissant profiter seul des lieux fermés et déserts. Je croiserai ensuite un cycliste et c’est tout. Le col a tout d’une ville fantôme. Ici cependant la neige est déjà plus rare qu’au sommet du Pillon.

Comme dans les villes fantômes laissée à l’abandon, le visiteur peut tomber sur des vestiges d’un passé alors glorieux (photo iPhone 12 mini)

CaptainAdventure comme seul au monde (photo iPhone 12 mini)

En redescendant, je profite pour m’arrêter au village du Jaun pour boire un café et prendre des photos de la cascade. Je jongle avec les deux optiques prises ce jour avec moi.

La cascade prise au 24mm (SMC Pentax-A 24mm)

La cascade prise au 100mm (SMC Pentax- M 100mm)

J’en profite aussi pour tester le mode macro :

Je remonte ensuite en selle pour rentrer tranquillement à la maison. Globalement, ce fut une agréable balade et une bonne occasion pour utiliser mes optiques vintages. Et d’apprécier une nouvelle fois l’ergonomie et la qualité du travail réalisé avec mon Pentax KP.

Une Suisse, deux époques: «Qui a peur de l’homme noir?»

4 janvier 2021 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

«Aucun Noir n’avait, avant moi, posé les pieds dans ce village suisse.» En 1951, l’écrivain afro-américain James Baldwin séjourne à Loèche-les-Bains. Il y vit l’expérience de l’étrangeté, celle d’un «Neger», comme l’appelle les enfants. 70 ans plus tard, qu’est-ce qui a vraiment changé?

Cette série documentaire est co-produite avec @Les archives de la RTS.

La chaîne YouTube du Temps : https://www.youtube.com/c/letemps?sub…

Baldwin passera deux hivers à Loèche; les villageois s’habituent à lui, certains plaisantent même qu’ils vont lui apprendre à skier. Mais les cris de «Neger» continuent à résonner dans son esprit et il n’arrive pas à se défaire de sa propre histoire, qui est celle de l’esclavagisme. «Ici, je suis un étranger. Mais en Amérique, je suis chez moi et le même terme y renvoie à la lutte qui a éclaté, à cause de ma présence, dans l’âme américaine.»

Source : ArcInfo.ch

A lire : James Baldwin, «Un étranger dans le village», Chroniques d’un enfant du pays, Paris, Gallimard, 2019

A lire et voir également : James Baldwin, le pendulaire transatlantique | Grand Format de la TSR

Photo d’en-tête : James Baldwin, photographié par Carl Van Vechten, en 1955. Cette œuvre est issue de la Carl Van Vechten Photographs collection de la Bibliothèque du Congrès. Selon la bibliothèque, il n’existe aucune restriction connue en matière de droits d’auteur pour l’utilisation de cette œuvre.

novembre 20, 2020 09:18

20 novembre 2020 by Lyonel Kaufmann

Good morning internet. It’s 9:15 o’clock. Toute belle journée à vous. Et bon week-end. Keep safe. #Hipstamatic #Jane #Inas1982 #TripleCrown #suisse🇨🇭 #latourdepeilz

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