Élaborée en partenariat avec le Scérén-CNDP, cette frise se compose de onze dates clés de la Première Guerre mondiale associées chacune à un ou plusieurs documents. Chaque évènement renvoie à une proposition d’exploitation pédagogique adaptée aux élèves de cycle 3.
RevuePresse
Revue de presse : Une méga-sécheresse aurait entrainé la chute de la Grèce Antique
Une forte baisse de la pluviométrie aurait conduit à l’effondrement de plusieurs civilisations de la Méditerranée, dont la Grèce Antique, il y a environ 3200 ans.
La famine et les conflits qui en ont résulté, permettraient ainsi d’expliquer pourquoi l’ensemble de la culture Hittite, les conducteurs de chars qui ont régné sur la plupart de la région d’Anatolie, a disparu de la planète, selon une étude publiée en Août dans la revue PLoS ONE.
Une méga-sécheresse aurait entrainé la chute de la Grèce Antique
Revue de presse : Parce que l’outil compte tout de même un peu | Au coin de la rue de Lannoy
Ghislain Dominé nous propose de comparer la tablette Kindle Fire avec l’iPad. Sa conclusion est sans appel :
«Mais on tient là un écosystème qui n’est pas idéal pour un travail en classe. À moins d’envisager les tablettes juste comme un outil de consultation. Ceci peut se tenir. Et cela peut avoir au moins le mérite d’alléger le poids des cartables. Mais je suis convaincu que les tablettes sont aussi de puissants outils de création. Bien plus même que les ordinateurs présents sur nos bureaux. Ce potentiel créatif ne doit pas être mis de côté. Or, des choix de matériels issus des politiques peuvent justement aller à contre-courant de ce potentiel. Windows 8 est certainement séduisant. Android et ses (nombreuses) déclinaisons certainement attractif. Mais il me semble évident que ni l’un ni l’autre n’offrent ce terreau propice à l’imaginaire et à la créativité. C’est en cela que l’outil compte tout de même un peu.»
Parce que l’outil compte tout de même un peu | Au coin de la rue de Lannoy
Revue de presse : Parce que l’outil compte tout de même un peu | Au coin de la rue de Lannoy
Ghislain Dominé nous propose de comparer la tablette Kindle Fire avec l’iPad. Sa conclusion est sans appel :
«Mais on tient là un écosystème qui n’est pas idéal pour un travail en classe. À moins d’envisager les tablettes juste comme un outil de consultation. Ceci peut se tenir. Et cela peut avoir au moins le mérite d’alléger le poids des cartables. Mais je suis convaincu que les tablettes sont aussi de puissants outils de création. Bien plus même que les ordinateurs présents sur nos bureaux. Ce potentiel créatif ne doit pas être mis de côté. Or, des choix de matériels issus des politiques peuvent justement aller à contre-courant de ce potentiel. Windows 8 est certainement séduisant. Android et ses (nombreuses) déclinaisons certainement attractif. Mais il me semble évident que ni l’un ni l’autre n’offrent ce terreau propice à l’imaginaire et à la créativité. C’est en cela que l’outil compte tout de même un peu.»
Parce que l’outil compte tout de même un peu | Au coin de la rue de Lannoy
Revue de presse : Faut-il permettre l’usage de Facebook pendant les cours? – UdeMNouvelles
Ou quand les usages concrets dépasse le travail d’enquête : Au terme d’un sondage mené auprès de 31 000 collégiens du Québec – dont 92 % avaient un profil Facebook actif –, Bruno Poellhuber et ses collègues ont réalisé que des élèves avaient formé des groupes Facebook pour leurs cours et y engageaient des discussions sur des sujets abordés en classe, le plus souvent à l’insu de l’enseignant.
Faut-il permettre l’usage de Facebook pendant les cours? – UdeMNouvelles
Revue de presse : Faut-il permettre l’usage de Facebook pendant les cours? – UdeMNouvelles
Ou quand les usages concrets dépasse le travail d’enquête : Au terme d’un sondage mené auprès de 31 000 collégiens du Québec – dont 92 % avaient un profil Facebook actif –, Bruno Poellhuber et ses collègues ont réalisé que des élèves avaient formé des groupes Facebook pour leurs cours et y engageaient des discussions sur des sujets abordés en classe, le plus souvent à l’insu de l’enseignant.
Faut-il permettre l’usage de Facebook pendant les cours? – UdeMNouvelles
Le blogging académique, entre art et science | L’Atelier des icônes
La micro-publication est un nouvel outil de la recherche. Et comme tous les nouveaux outils, elle bouscule le paysage existant. On peut adopter trois attitudes face à cette nouvelle donne. Soit l’ignorer, et continuer comme avant. Soit tenter de minimiser ces aspects dérangeants, pour les intégrer en produisant le moins de heurts. On peut aussi essayer de mieux comprendre en quoi les nouveaux usages interrogent les pratiques existantes, et pourquoi ils soulignent leurs limites.
Intervenant dans le cadre du “Minor forms of academic communication: revamping the relationship between science and society?“ du Forum mondial des sciences sociales (Montréal, 14 octobre 2013), André Gunthert examine deux caractéristiques majeures des outils de micro-publication (il y inclut dans cette catégorie aussi bien les blogs, les wikis que l’usage des reseaux sociaux). La première est la dynamique de la conversation. A la différence des outils de publication classiques, qui visent la diffusion des résultats, la micro-publication se destine à la conversation. Comme un séminaire de recherche ou un colloque, elle propose à la discussion des observations ou des hypothèses qui attendent le complément d’une mise à l’épreuve publique. A propos de cette dynamique, André Gunthert note qu’on pourrait faire beaucoup mieux, car il constate qu’il obtient plus facilement, à la suite d’une publication sur son blog, des réactions de participants plus éloignés de l’univers académique.
En second lieu, André Gunthert traite des bénéfices de l’exposition. Pour lui, «l’exposition publique de travaux ou d’intuitions, même à un stade préliminaire, impose un effort de formalisation qui donne au billet de blog un caractère plus élaboré que n’importe quelle autre forme de notation. Tous ceux qui le pratiquent savent à quel point le premier bénéficiaire de cet effort est le rédacteur lui-même». Cependant, la blogging reste, selon lui, essentiellement «une pratique en amateur d’usagers auto-formés, qui n’a pas d’incidence sur la carrière». On en reste à un stade largement expérimental et à «une petite élite de chercheurs, parmi les plus productifs».
Ces observations me paraissent tout à fait pertinente et je peux sans autre les faire mienne en les rapportant à mes pratiques de blogging. Le blogging reste une activité tout autant de «happy few» et d’outsider dans le monde académique francophone. Comme je l’indiquais pour Thot Cursus, mon blog a été / est une opportunité de contacts de projets et de reconnaissance professionnelle directement à un niveau francophone (Québec, Belgique et France).
L’article : Le blogging académique, entre art et science | L’Atelier des icônes
Le blogging académique, entre art et science | L’Atelier des icônes
La micro-publication est un nouvel outil de la recherche. Et comme tous les nouveaux outils, elle bouscule le paysage existant. On peut adopter trois attitudes face à cette nouvelle donne. Soit l’ignorer, et continuer comme avant. Soit tenter de minimiser ces aspects dérangeants, pour les intégrer en produisant le moins de heurts. On peut aussi essayer de mieux comprendre en quoi les nouveaux usages interrogent les pratiques existantes, et pourquoi ils soulignent leurs limites.
Intervenant dans le cadre du “Minor forms of academic communication: revamping the relationship between science and society?“ du Forum mondial des sciences sociales (Montréal, 14 octobre 2013), André Gunthert examine deux caractéristiques majeures des outils de micro-publication (il y inclut dans cette catégorie aussi bien les blogs, les wikis que l’usage des reseaux sociaux). La première est la dynamique de la conversation. A la différence des outils de publication classiques, qui visent la diffusion des résultats, la micro-publication se destine à la conversation. Comme un séminaire de recherche ou un colloque, elle propose à la discussion des observations ou des hypothèses qui attendent le complément d’une mise à l’épreuve publique. A propos de cette dynamique, André Gunthert note qu’on pourrait faire beaucoup mieux, car il constate qu’il obtient plus facilement, à la suite d’une publication sur son blog, des réactions de participants plus éloignés de l’univers académique.
En second lieu, André Gunthert traite des bénéfices de l’exposition. Pour lui, «l’exposition publique de travaux ou d’intuitions, même à un stade préliminaire, impose un effort de formalisation qui donne au billet de blog un caractère plus élaboré que n’importe quelle autre forme de notation. Tous ceux qui le pratiquent savent à quel point le premier bénéficiaire de cet effort est le rédacteur lui-même». Cependant, la blogging reste, selon lui, essentiellement «une pratique en amateur d’usagers auto-formés, qui n’a pas d’incidence sur la carrière». On en reste à un stade largement expérimental et à «une petite élite de chercheurs, parmi les plus productifs».
Ces observations me paraissent tout à fait pertinente et je peux sans autre les faire mienne en les rapportant à mes pratiques de blogging. Le blogging reste une activité tout autant de «happy few» et d’outsider dans le monde académique francophone. Comme je l’indiquais pour Thot Cursus, mon blog a été / est une opportunité de contacts de projets et de reconnaissance professionnelle directement à un niveau francophone (Québec, Belgique et France).
L’article : Le blogging académique, entre art et science | L’Atelier des icônes
Revue de presse : MOOC : la première guerre mondiale expliquée à travers ses archives | France Université Numérique
Associez deux élèments de l’actualité avec d’un côté les commémorations à venir de 14-18 et, de l’autre, les MOOC et vous avez un duo qui devrait faire parler de lui. C’est ainsi que France Université Numérique (FUN !), vous propose son MOOC sur la Première Guerre mondiale.
La présentation du cours nous indique que ce cours «est conçu comme un laboratoire. Le public est invité à se confronter à la Grande Guerre à travers les archives et les sources conservées à la B.D.I.C. Il s’agit de montrer comment travaille l’historien et comment l’analyse des sources a renouvelé le regard sur 14-18.»
Les cours s’adressent à un large public dans une perspective de formation continue. Comme de bien entendu, il est indiqué que les séances s’appuieront sur les outils multimédias innovants. Mais la vidéo de présentation ressemble avant tout à un cours magistral filmé à la va-vite avec un professeur lisant plutôt laborieusement ses notes.
Concernant l’évaluation, celle-ci se fera sur la base d’un Q.C.M., autour de documents historiques à analyser selon les méthodes évoquées dans le cours. Rien de très révolutionnaire, ni de haut niveau taxonomique…
MOOC : la première guerre mondiale expliquée à travers ses archives | France Université Numérique
Revue de presse : Autour des MOOC | Intercoop
Une revue de presse et une collecte d’articles et de références en français sur les MOOC’s tenue à jour avec un wiki. Le wiki a été initié par Michel Briand (Telecom Bretagne). Il s’agit cependant d’un wiki ouvert.