En cette fin de journée, le ciel s’embrase pour cette dernière journée de janvier 2018. La beauté des couleurs fait oublier le froid mordant du moment.
Roadbook
Vendredi 1er juillet Etape 1 : Francfort #Roadtrip #Norvège 2016
7h58, la moto est chargée et prête pour entreprendre un périple de deux semaines dont 8 jours en Norvège, but du voyage. Compte-rendu du jour.
Dans les coffres, les habits de voyage (moto, après-moto, costume de bains, habits de sport) et les affaires personnelles. Dans le sac réservoir, un appareil photo + un petit trépied, les différentes lunettes (de lecture, à soleil, pour le brouillard), la deuxième paire de gants, des sous-gants, une casquette, une lampe de poche à main, une batterie de recharge de smartphone (faisant également office de lampe de poche), un couteau suisse, les cartes routières de l’Allemagne et de la Norvège, le guide de l’Allemagne, le roadbook, un deuxième carnet, le livret de l’agence de voyage et de quoi écrire, des écouteurs. Remplaçant la selle passager, le sac de selle comprend le matériel photo 24×36 (un boitier, deux objectifs, un flash et trois batteries supplémentaires, un pull, un coupe-vent et une polaire), une sacoche comprenant les affaires de pluie sur le porte bagages et, entre les deux, un grand trépied. Voilà…
A 7h58, la moto se met en mouvement pour rejoindre le restoroute de Gruyère où j’ai rendez-vous à 8h30 avec Philippe et Pascal. Ils m’ont proposé de m’accompagner au moins jusqu’à Bâle. Je vais donc être sous escorte de deux commandants de police jusqu’à la frontière ! Excusez du peu. Cela me fait chaud au coeur. L’amitié n’est pas un vain mot après deux législatures. Merci les potes.
Avant de rejoindre Bâle, c’est d’abord l’heure d’un premier café. La nuit a été courte.
9h23, nous enfourchons nos bécanes pour sortir de l’autoroute à Guin, direction Morat, Kerzers, Aarberg, Lyss. Une heure plus tard, nous nous arrêtons à Buren A. der Aare, une bourgade fort sympathique ainsi que son Barista Café. C’est l’heure pour moi d’un deuxième café. La nuit a vraiment été courte et j’ai encore la tête remplie d’images et des musiques de la veille. Merci à Eric Constantin.

Nous reprenons en direction de Soleure, puis Oensingen. Les travaux routiers ne manquent pas et ralentissent la cadence, mais le café fait son effet. A Oensingen, il est temps de quitter le plateau pour rejoindre Balsthal, puis Bâle.
Vers midi, Philippe nous fait comprendre que les grenouille agitent son estomac. Vers 12h30, nous mettons pied à terre à Liestal, capitale de Bâle-Ville où nous mangeons et conversons agréablement sur une terrasse. L’été est là !
Avant de repartir, nous faisons le point. Pascal et Philippe décident de m’accompagner jusqu’à Fribourg-en-Brisgau avant de revenir par le Titisee et la Forêt Noire.
A 15h40, nous prenons congé comme convenu. Nous avons parcouru ensembles 238 kilomètres soit près de la moitié de l’étape du jour. J’espère que la petite graine d’un voyage à moto en Ecosse les trois va prendre…
Je prends ensuite l’autoroute pour rejoindre Francfort des remerciements plein les yeux à l’intention de Philippe et Pascal. Je vais zigzaguer entre passages à vitesse non limitée, ralentissements à proximité de localités importantes et ralentissements dus aux travaux. Captain Adventure me tire de tous les tracas.
Lors d’un arrêt sur une aire d’autoroute, je croise le chemin d’un motard britannique (Bmw GS 1200). Il vient de faire les Alpes françaises et poursuit sa route en Allemagne. Nous conversons brièvement, puis chacun reprend sa route. Tout simplement.

Après 516 kilomètres, il est 19 heures quand j’arrive au pied de l’hôtel à Francfort. Une bonne douche s’avère nécessaire avant de redécouvrir avec grand plaisir le centre-ville et de trouver un restaurant.
Résumé du jour : 516 km parcourus, 5,0 litres au 100 km, température moyenne 21 degrés (37 degrés au plus chaud).
Prochaine étape : Hambourg
L’Auvergne à moto
L’été est là avec les beaux jours. Une envie de week-end à moto ou plus? Et si vous choisissiez d’aller en Auvergne ?
Ca tombe bien le site L’Auvergne à moto vous offrira des parcours sur une semaine, un week-end ou un jour, des roadbooks (24 itinéraires qui sont téléchargeables gratuitement), des hébergements, des séjours tout compris (2 à 6 nuits)…
Un petit aperçu de ce que vous pourrez vivre à moto en Auvergne:
Avec sa rubrique « Itinérance », les motards peuvent faire leurs réservations pour des hébergements situés tout au long de leur parcours. Un petit plus qui facilite nettement la préparation de son voyage vers cette « terre de motards ».
Côté must, le site propose sa « Grande Boucle de l’Auvergne » qui emmène le pilote à travers 1.100 km de routes sur toute la région tout en lui proposant des arrêts et visites de lieux remarquables. Au départ de Vichy ce circuit traverse le Parc naturel des volcans d’Auvergne, avant de rejoindre le Puy-en-Velay. Il sillonne ensuite les gorges de l’Allier, traverse le Parc naturel régional du Livradois Forez et la Montagne bourbonnaise avant de vos ramener à votre point de départ. En tout, 7 étapes sont proposées.
A noter que le site vient d’être mis à jour.
L’Auvergne à moto : http://www.auvergne-moto.fr
Pères et Fils au Tessin (4)
2 pères + 2 fils = 4 motos au Tessin lors du week-end de l’Ascension 2015. Roadbook (4e jour, dimanche 17 mai 2015).
Voilà, c’est déjà l’heure du retour. On reprend le même parcours à l’envers du premier jour.
Nous quittons Lugano à 9h00 par le Monte Ceneri pour rejoindre Ponte Brolla au-dessus de Locarno. Ensuite, ça tournicote dans les Centovalli. Le temps est beau et chaud.
Arrêt-café à Re et son incroyable basilique qui « mange » tout le village.
Tout petit aperçu de la basilique de Re
A Re, c’est l’heure du culte qui est diffusé par hauts-parleurs jusque sur notre terrasse de café.
Cette localité doit son importance à un miracle ayant eu lieu en 1494. Pendant 20 jours, du 29 avril 1494 au 18 mai, du sang n’a cessé de couler à partir d’une effigie de la Vierge. En 1596, l’évêque de Novarre promeut définitivement le culte de Notre-Dame du sang. Détaché du sanctuaire de la Vierge, un clocher est construit en 1699. L’actuelle basilique en style byzantin-renaissance a été inaugurée en 1958. Le sanctuaire date lui de 1894 et abrite la « Vierge du sang ». Chaque année, on commémore le miracle entre le 25 avril et le 1er mai au gré d’un pèlerinage à pied partant de Domodossola.
Un peu à l’écart, une vieille maison qui ne bénéficie visiblement pas du même culte…
Après les Centovalli, nous entreprenons ensuite la remontée du col du Simplon. Plus on monte, plus le vent se lève et la température, elle, descend. Dès 20° initiaux, on se retrouve à 7,5° au sommet du col. Cette fois-ci, on ne s’arrête pas et entamons directement la descente en direction de Brig. Nous y trouvons une belle terrasse ensoleillée pour notre dernier repas.
A 14h00, nous remontons sur nos montures. Le vent nous accompagnera tout au long de notre traversée du Valais.
Il est 17h10 quand nous mentons pied à terre à La Tour-de-Peilz. En tout nous aurons parcouru 271 km en ce dimanche de mai.
En tout, nous aurons parcouru environ 780 km lors de ce très chouette week-end de l’Ascension. A refaire. Sûr.
En guise de conclusion, toutes les photos de ce week-end :
Lien direct vers l’album : http://lyonelk.smugmug.com/photos/swfpopup.mg?AlbumID=49385568&AlbumKey=vnxh5d
Pères et Fils au Tessin (3)
2 pères + 2 fils = 4 motos au Tessin lors du week-end de l’Ascension 2015. Roadbook (3e jour, samedi 16 mai 2015).
Les jours se suivent, mais heureusement, ne se ressemblent pas. C’est le soleil qui nous accueille au réveil à Lugano. Il ne nous quittera pas de la journée.
9h30, l’heure du départ sonne. Direction Melide, Morbio, Chiasso, puis Côme pour un premier arrêt. Le lac de Lugano est splendide. A Côme, les rues piétonnes nous attendent et c’est l’heure du premier café devant la basilique.
Côme, le soleil est revenu.
La vie à l’italienne…
Avec un capuccino
Une place
Et en bonne compagnie
Quelques traces des pluies du jour précédent.
Nous reprenons nos brêles et longeons les hauteurs du lac de Côme en direction de Nesso. A Nesso, nous débutons notre montée jusqu’au Monte Cippei. Nous y faisons halte pour le déjeuner sur une terrasse et en compagnie d’autres motards italiens. Repas très agréable au soleil.
Un paysage montagneux entre les deux branches du Y du lac de Côme.
Nous descendons ensuite en direction de Lecco pour rejoindre l’autre jambe du Y du lac de Côme.
Il fait chaud et la traversée de Lecco se fait au milieu de la circulation et des badauds. Cette fois-ci, nous ne longeons plus le lac en hauteur, mais sur son bord. Après un petit salut à Moto Guzzi en traversant Mandello del Lario (le musée est fermé le samedi et le dimanche), nous poursuivons jusqu’à Varenna.
A Varenna, nous mettons nos motos sur le bac pour rejoindre Menaggio.
Baptème de bateau pour nos motos.
Tout le monde a la banane
Le soleil ajoute à la bonne humeur
Les lunettes à soleil ne sont pas là que pour le look
Pendant la traversée, nous en profitons tant pour admirer le paysage que pour profiter de l’air du large.
Varenna
On croise un autre bac.
Menaggio
En descendant à Menaggio, l’heure est venue de quitter le lac de Côme pour rejoindre à nouveau le lac de Lugano. A Porlezza, nous bifurquons à gauche pour grimper à Sighignola et le Balcon d’Italie. De là, nous avons une vue imprenable sur le lac de Lugano et les Alpes.
Balcon Italia : le lac de Lugano du côté de Melide.
Balcon Italia : le lac de Lugano en direction de Chiasso.
Les Alpes et la ville de Lugano
Par beau temps clair, on peut voir jusqu’au Cervin.!
Après, c’est l’heure de l’apéro au restaurant La Baïta. Super accueil, un très bon salami et de l’excellent fromage plus tard et nous remontons sur nos montures pour notre dernière étape du jour. Nous revenons sur nos pas à Porlezza avant de longer une dernière fois le lac de Lugano au jour descendant. Nous sommes ensuite de retour à notre Auberge de jeunesse juste avant 20 heures.
Cette superbe journée a été organisée sur la base de l’article les Joyaux de Lombardie, numéro 28 (mars-avril 2015) de l’excellent magazine Roadtrip (Le carnet de voyage motos). Merci à eux et à leurs conseils.
Au final, nous aurons parcouru 180 km par une température maximum de 24,5°
Fin du troisième jour. To be continued…
Pères & Fils au Tessin (2)
2 pères + 2 fils = 4 motos au Tessin lors du week-end de l’Ascension 2015. Roadbook (2e jour, vendredi 15 mai 2015).
Au lever du deuxième jour, nous constatons que la météo ne s’était pas trompée. Il pleut comme vache qui pisse et aux Grisons, il neige. Après le déjeuner, nous méditons sur notre triste sort. Il est évident que les motos resteront tranquillement parquées. Une éclaircie est annoncée pour le début de l’après-midi et nous décidons de prendre le bateau pour aller visiter le très joli village de Gandria.
Petit clin d’oeil souvenir pour ma fille qui adooorreeeee les petits trains touristiques.
Pour l’instant la pluie reste modérée. Il y a encore de l’espoir.
Sur le bateau au départ de Lugano…
Une éclaircie doit nous attendre du côté de Gandria…
Nous restons positifs.
Le charmant village de Gandria à notre arrivée.
Gandria, une heure plus tard lorsque nous attendons notre bateau…
Les rues de Gandria
Par beau temps, nous serions revenus sur Lugano par le chemin des oliviers
Même les oiseaux tentent de s’abriter.
Le retour se fait au milieu du déluge qui se prolongera à notre arrivée à Lugano. A notre descente de bateau, nous cherchons à nous abriter et à boire un bon café. Opération réussie.
Nous dînerons dans une pizzeria avant de rejoindre notre Auberge de jeunesse trempé. Vivement demain et le retour du soleil.
Fin du deuxième jour. To be continued…
Pères & Fils au Tessin (1)
2 pères + 2 fils = 4 motos au Tessin lors du week-end de l’Ascension 2015. Roadbook (1er jour).
Après la bande de sauvage en Appenzell lors du week-end de l’Ascension en 2014, c’est un autre groupe de quatre motards, composé de deux pères et de leurs deux fils, qui prend la route en ce week-end de l’Ascension 2015. Destination? Le Tessin, camp de base Lugano. La météo en a décidé ainsi, car au début il était prévu de rejoindre les Grisons après Lugano, puis de poursuivre ensuite en direction du lac des Quatre-Cantons.
Jeudi 14 mai, 8h30, les quatre motos sont équipées et prêtes au départ. Nos montures sont faites de gènes fort différents : un choper Harley-Davidson Sportster 1200, une supermotard KTM SMC 690, un roadster Suzuki Gladius 650 et un trail routier BMW GS 1200 Adventure, mais la même passion commune anime les conducteurs !
Compte tenu des montures, la route sera privilégiée et l’autoroute sera l’exception. Nous partons un peu à 8h40, tous les pleins faits, pour rejoindre Villeneuve par les hauts de Montreux. Jusqu’à la sortie de Bex, nous empruntons la route cantonale. De Bex à Martigny, nous empruntons l’autoroute. L’heure du café est pour le restauroute de Martigny. Le soleil joue avec les nuages, à moins que cela ne soit l’inverse. La température est de 21°.
Nous sortons à Martigny et rejoignons Sion, via Fully et les coteaux. La route est agréable et la circulation faible. A la sortie de Sion, nous reprenons l’autoroute jusqu’à la sortie de Sierre. Nous continuons la plaine du Rhône et le plein est fait avant Viège, sauf pour l’Adventure…
Ensuite c’est la montée du Simplon qui nous attend. Au sommet, la température est descendue à 17,5°. Première pose photos :
Les équipages au Simplon.
La neige est encore proche (depuis il a reneigé…)
Joël le KTMiste
Olivier l’homme à la Harley-Davidson
Nathan, gladiateur sur sa Suzuki
Captain Adventure, mon fier et nouveau destrier
La douce température du jour nous incite à faire la pause de midi au sommet du col. Nous dînons sur la terrasse, puis à 14h00 nous enfourchons nos montures. Les Centovalli nous attendent, puis Locarno et une nouvelle occasion de faire le plein pour certains. Le Mont-Ceneri sera notre deuxième col de la journée avant d’atteindre l’Auberge de Jeunesse de Lugano. Il est 17h35 lorsque nous descendons de nos montures, prenons possession de nos chambres et faisons un saut dans la piscine. La température est maintenant à 29,5°.
La soirée se déroulera à Lugano où nous mangeons agréablement sur une terrasse.
Fin du premier jour. To be continued…
Montréal Méditerranéen | Québec 2015
7 avril 2015 – Montréal. Grosse journée à travers Montréal aujourd’hui et des lieux que je n’avais pas encore eu l’occasion de visiter. La journée sera l’occasion de belles flâneries. La journée est ensoleillée, mais fraîche dès qu’on est à l’ombre ou que le vent se lève. Départ !
Après avoir pris le métro, nous sortons pour nous rendre au marché Jean Talon, un beau marché pour les produits frais.
Marché Jean Talon
A partir de là, nous allons déambuler dans les rues hors des sentiers dits touristiques. C’est ce qui arrive au troisième séjour lorsque les 10 lieux incontournables ont déjà été visités! Et c’est pas plus mal.
Une manière originale de raccorder le garage avec son appartement à l’étage…
Nous descendons en direction du Bd Rosemont, puis nous explorons Rosemont – La Petite-Patrie.
Nous parcourons des quartiers d’habitation plus ou moins bien arrangés. Aucune maison ne ressemble à sa voisine (ou presque). L’imagination est au pouvoir. Par contre, elles sont généralement sur deux à trois étages et chacune comporte un escalier en façade, soit devant, soit derrière.
Les traces de l’hiver sont encore visible ça et là.
Dégel…
Une vie de quartier est généralement perceptible : quartiers familial, bobos, étudiant ou légèrement alternatif se succèdent ou s’entremêlent pour notre plus grand plaisir. Par moment, nous nous retrouvons sur de larges avenues striées par le trafic automobile. C’est alors plutôt moyen, mais cela ne dure pas.
Le soleil incite à la flânerie.
A midi, nous nous arrêtons à l’Artizan Biztro dans la rue St-Hubert. Le décor est superbe. Le repas est comme on dit ici « correct » ! L’espresso mérite le détour. On ressort pour faire du lèche-vitrines et un peu de «magasinage». Partout l’ambiance est décontractée. L’effet du soleil s’ajoute à la gentillesse du personnel.
Salle de l’Artizan Biztrot
Nous rejoignons la station de métro Jean Talon et revenons sur nos pas à la station Bd Rosemont.
Notre après-midi se poursuit de la Rue Bernard aux ruelles et façades du Mile End.
Il fait frais, mais le soleil incite à en profiter et à s’asseoir sur les bancs.
On entendrait presque Pierre Perret nous chantez … “Ouvrez, ouvrez la cage aux oiseaux »
Le guide nous indique que
«Dans les ruelles du Mile End, les façades en brique, les petites arrières-cours, l’entrelacs d’escaliers de service, les potagers et les cordes à linge tirées entre les maisons font oublier brièvement que l’on est au coeur de la ville. […] Quel bonheur de s’y perdre!»
Les arrières-cours sont peu bucoliques à cette période de l’année…
mais le charme opère néanmoins.
En ce début de printemps… et de dégel, les petites arrières-cours ne sont pas encore charmantes au contraire des façades. Nous avons également la chance de croiser un écureuil, heureux lui aussi de retrouver le printemps.
Les écureuils aussi sont contents de l’arrivée du printemps.
Le Café Olimpico sur St-Viateur
A l’Avenue St-Viateur, nous apprécions l’animation du quartier. Nous profitons du Café Olimpico pour boire un café «ristretto». L’ambiance est italienne avec les drapeaux de clubs de série A du calcio, mais les serveurs sont plutôt hipster… Le plafond intrigue.
Plafond du Café Olimpico
Bientôt il sera temps de revenir sur nos pas. Nous le ferons en redescendant l’avenue Saint-Laurent.
Terrasse particulière sur St-Laurent
Parti à 11h00, il est 19heures quand je retrouve l’hôtel.
Montréal vu du ciel (ou presque)… | Québec 2015
Dimanche 5 avril 2015 – Depuis la Tour de Montréal, du Stade Olympique, il est possible d’admirer la région de Montréal et la plaine du Saint-Laurent jusqu’à une distance de 80 kilomètres. Un panorama à couper le souffle.
La Tour est la plus haute tour inclinée au monde, avec ses 165 mètres et un angle de 45 degrés. En comparaison, la tour de Pise a une inclinaison de cinq degrés seulement!
On accède au sommet de la Tour par une montée saisissante dans un funiculaire vitré.
Vue sur le Downtown et le Mont Royal
Le fleuve Saint-Laurent
Le fleuve Saint-Laurent (2)
L’île de Montréal
Installations portuaires
Le biodôme et le Saint-Laurent
Le stade de football du complexe olympique
Québec sous la neige | Québec 2015
En ce jeudi 2 avril, le colloque de l’AQUOPS vit ses derniers instants. Avant de reprendre le train, nous redécouvrons Québec sous un manteau blanc. La neige nous a accueilli à notre arrivée et elle nous raccompagne à notre départ…
Le départ du funiculaire donnant sur le Saint-Laurent et surplombant le quartier du Petit Champlin
Le château Frontenac et la terrasse Dufferin
Vue sur le quartier du Petit Champlin, le Saint-Laurent et Levi.