En ce dimanche matin, le temps est ensoleillé au lever et le restera toute la journée. La journée débute calmement. Je prévois de partir vers midi. Auparavant, je profite de déjeuner, de faire quelques pas et de préparer mon Pechakucha de mercredi.
L’étape du soir est prévue à Alès. L’hôtel Orly nous attend après m’avoir déjà accueilli en 2010 et 2013. En arrivant à l’hôtel, le patron consultera son registre et constatera que le prix de la chambre avec le petit déjeuner est au même prix (quelque centimes en moins même) qu’en août 2013!
Le parcours prévoit de profiter du Vercors et de retraverser des lieux déjà empruntés, mais pas pour me rendre à Ludovia.
C’est notamment le cas avec le col du Roussey qui me mènera à Die et le col de la Chaudière qui mène lui à Bourdeaux.
Une halte est prévue et sera faite à Barjac près de notre lieu de vacances de juillet 2018.
Chemin faisant, j’aurai quatre pensées particulières. L’une pour Michel Agnan en traversant Saint-Agnan en Vercors. L’autre pour Stephanie de Vanssay au passage de l’Auberges des Trolles, un peu après d’ailleurs le lieu de la première pensée. Au col du Roussey, je me souviens de mon séjour auprès de Mars et Vinette. A Barjac, j’envoie un WhatsApp à ma femme en pensant à elle et à ses cousines l’année dernière.
L’arrivée à Alès se déroule à mon bon souvenir et je retrouve l’hôtel sans coup férir. Le patron viendra à ma rencontre pour me proposer son garage pour la moto. Tout est à sa place comme prévu. Trop bien.
Résumé de la journée à moto
Départ à 11h52
Arrivée à 17h58
283,1 km parcourus
4 arrêts seront effectués : col du Rousset, Dieulefit, Bollène et Barjac.
La température s’élevait à 27,5 degrés au départ. Elle a culminé à 34 degrés. En moyenne, elle oscillera entre 29,5 à 32 degrés.
Le parcours : https://rider.live/p/zfteKsQ3
Le parcours du jour est très varié, mais essentiellement sinueux. Outre les lieux déjà mentionnés, les gorges de la Bourne sont un must également, mais elles sont un peu trop fréquentées à mon goût. Le plateau du Vercors est toujours aussi somptueux et la Drôme majestueuse sent la lavande. Il souffle fort parfois, c’est agréable en raison des températures, mais ce doit être autre chose l’hiver sur certains plateaux.
En traversant le Rhône à Bollène, j’aperçois la A7 fort bouchonnée en direction de Lyon et fortement ralentie en sens inverse. Vive les chemins de traverse.
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