BILLIE JOE ARMSTRONG : Avec cet album, je pense qu’il a comblé un fossé dans notre carrière, en tant qu’arc, et tout ça. Mais surtout en étant à notre meilleur niveau. Nous avons fait ce que nous faisons le mieux, c’est-à-dire repartir de zéro et entrer en studio. On allume les amplis et on y va. C’est au début de la pandémie que la première chanson a été écrite, « Saviors ». Puis « Goodnight Adeline » et je pense à « Look Ma, No Brains ! ». Ces chansons sont le début de la carte sur laquelle vous essayez de déployer ce qui se passe. (janvier 2024)
20 ans après Lyonel Kaufmann blogue toujours
En replongeant dans les entrailles de mes deux blogs principaux (https://lyonelkaufmann.ch/Blog et https://lyonelkaufmann.ch/histoire), le 15 janvier 2024 marquera officiellement mes vingt ans de blogging. Pour fêter cette année anniversaire, je compte exhumer de ces vingt ans de blogs quelques articles et billets pour moi significatifs. Ces articles seront réunis sur un blog dédié intitulé 20 ans de Lyonel Kaufmann blogue… Depuis 20 ans sur la route à moto avec un café*. Je débute ce parcours en me replongeant dans les débuts de cette aventure et de la genèse de mon activité de blogueur.
Difficile pour moi de dire avec exactitude exactement quand j’ai débuté à bloguer. Probablement en 2003. En effet, cette année-là marque l’arrivée de deux plates-formes de blogs : WordPress et Typepad que je vais utiliser.
Préalablement, j’avais débuté mon premier site (CMS), hébergé en propre et avec un nom de domaine, avec SPIP. Mes premiers pas sur WordPress furent décevants en raison des problèmes de spams. Typepad avait alors représenté provisoirement une alternative pour bloguer.
J’ai aussi recouru à Blogger, apparu lui en 1999. Dans mon archéologie de ma pratique du blog, la plus ancienne trace de ma présence en qualité de blogueur remonte au 28 septembre 2003 :
Pendant un certain temps, ou un temps certain, mes blogs sous différentes formes et sous différentes plate-formes ont coexisté avec mon site consacré à la didactique de l’histoire et à mes cours à la HEP-VD (à l’époque l’adresse était http://lkaufmann.ch).
Finalement, la forme actuelle de ma présence sur le net autour de lyonelkaufmann.ch et politis.ch date de la fin de l’année 2006 ainsi que l’atteste la capture d’écran suivante:
(
Depuis cette date, mon outil principal réside sur des WordPress auto-hébergés. Ce dernier a réuni à la fois mon CMS et mes blogs.
Toujours est-il que les débuts sont plutôt modestes puisque cinq billets sont publiés en 2004 et dix-neuf en 2005. Fin 2023, Lyonel Kaufmann blogue compte 3291 billets publiés et 104 privés et Histoire Lyonel Kaufmann compte lui 2696 articles publiés et 233 privés. Certains ont été publiés sur les deux blogs.
En remontant les statistiques les plus anciennes disponibles avec JetPack, c’est mon blog professionnel qui est largement le plus visités. Sur ces dix dernières années (2013-2023), cela représente plus de 300’000 vues et plus de 200’000 visiteur·euses provenant très majoritairement de France, Suisse, États-Unis, Canada et Belgique, puis d’Afrique du Nord (Algérie, Maroc et Tunisie).
A partir du 15 janvier 2024, je republierai avec leur date de première parution une série de billets retraçant ces vingts ans de blogs. C’est par ici : https://lkblogue.ch/
Concernant le premier billet original : Ils étaient Suisses… mais aussi négriers
Au café… To Walk A Way – Dominique Fils-Aimé
Dans ce monde de bruit et de fureur de plus en plus assourdissants, je vous propose en ce jour chrétien de Noël la beauté et la douceur proposée par Dominique Fils-Aimé avec To Talk Away.
To walk a way
To see the joy inside
To walk a way
Bring the joy you hide
Pour marcher sur le chemin
Pour voir la joie à l’intérieur
Pour aller de l’avant
Apporte la joie que tu caches
Sur ce, je me retire sur la pointe des pieds et je vous souhaite de belles Fêtes de fin d’année.
Née à Montréal en 1984, Dominique Fils-Aimé, Québécoise de descendance d’Haïti, grandit dans un environnement musical, entre sa sœur, pianiste de formation classique, et ses parents amateurs de musique afro-américaine comme la Soul, ou encore le jazz. (Source : Wikipedia)
De l’air… avec mon MacLinux
Prenez un vieux MacBook 12″ qui tire la langue, puis tenter de le repimper en installant une distribution Linux.
Je dispose encore d’un MacBook 12″. Par rapport aux processeurs M1 ou M2, c’est loin d’être une bête de course. Son principal défaut, en terme de portabilité, reste pour moi son autonomie. Même si les dernières version avaient un peu amélioré la donne.
Cependant, comme tout Mac, il reste fonctionnel longtemps. Il représente alors une bonne occasion pour faire des essais et expérimentations.
L’occasion est belle de mettre les mains dans le moteur pour installer Linux ? Allez je pose la question sur Mastodon de savoir quelle distribution serait recommandée par les membres de ma communauté.
Plusieurs propositions me sont faites. Je procède ensuite à quelques essais en rebootant mon Mac à l’aide d’une clé usb. J’essaye ainsi les différentes distribution LInux conseillées.
Finalement, mon choix se porte sur la distribution Linux Mint. Elle est relativement légère et son interface est superbe.
La plupart des éléments sont fonctionnels. Le principal problème réside dans la non-reconnaissance de la carte son ou des hauts-parleurs de mon MacBook 12″. La prise casque fonctionne cependant. C’est rageant. La consultation de différents forums n’apportent aucun solution. Seul Spotify me permet de contourner l’obstacle pour diffuser ma musique sur ma chaîne hifi du salon. C’est la seule application non open source que je me dois d’installer.
Autrement, je complète encore le système en installant quelques applications dont je dispose également sur mon MacBook Air. Voici donc mon environnement de travail:
- Firefox
- Thunderbird
- Libre Office
- Typora
- QOwnNotes
- Clementine
- Zotero
Le résultat est intéressant même si
- vous n’en faites pas plus une bête de course de votre MacBook 12″ (il fait son âge et son clavier « papillon » est une vraie daube);
- la carte son refuse partiellement de fonctionner sous Linux Mint;
- le bluetooth ne semble pas fonctionner correctement.
Par contre, je suis très fan du fond d’écran choisit avec Tokyo par nuit pluvieuse.
Bilan
Au final, l’expérience reste incomplète et partiellement frustrante. Du côté du MacBook 12″, celui-ci fait son âge. Je rêve d’un petit notebook avec un processeur M1 ou M2, améliorant tant les performances que l’autonomie. Je rêve évidemment, car un tel portable entrerait en concurrence avec l’iPad Air ou l’iPad Pro 11″. Ce matériel ancien pose aussi des frustrations au niveau de Linux Mint du côté de la carte son ou du bluethoth. C’est dommage, car l’interface et l’appui sur le logiciel libre valent le détour.
De l’air… Bye Standard Notes (et merci)
La mise sur pied d’un NextCloud domestique avec ma NextBox me conduit à rapatrier progressivement sur celle-ci mon espace et mes outils de travail tant sur mes appareils que sur le Cloud.
Ces dernières années, j’ai notamment utilisé Standard Notes qui est une solution en ligne, mais aussi utilisable via une application sur son ordinateur ou son smartphone. Elle est open source et cryptée. Je l’utilisais comme carnet de notes et je rédigeais en Markdown (comme j’en ai maintenant pris l’habitude).
Sur NextCloud, l’application Notes remplace facilement, largement et facilement Standard Notes. Comme j’arrive à la fin de mon abonnement, je ne vais pas le renouveler.
J’ai donc sauvegardé et récupéré mes fichiers pour les déposer sur NextCloud.
Cela n’enlève rien à l’intérêt ou la qualité de cette solution. Elle conviendra à celles et ceux qui ne sont pas prêts à installer leur cloud à domicile et à mettre les mains dans l’installation de NextCloud ou sa configuration chez un hébergeur dédié.
Standard Notes : https://standardnotes.com/
De l’air… avec la NextBox de Nitrokey
Devant mon Mac mini ramant et à la carte son pas au meilleure de sa forme, je suis récemment parti dans l’idée de le remplacer en passant au processeur M2 et une configuration à 1TB.
Progressivement, la réflexion s’est progressivement élargie à l’ensemble de mon écosystème. Elle est partie du « que faire alors de mon MacMini actuel ? », de comment le recycler, car comme tout matériel Apple, son obsolescence est relative.
Pour le MacMini, je me suis intéressé à en faire un serveur musical. J’ai alors divagué sur mon utilisation d’un Nextcloud auto-hébergé. Je suis retombé sur mes pattes de rester le plus possible propriétaire de mes propres données. J’en avais repris le fil au début de cette année 2023 (Premiers pas avec Nextcloud 3.0).
En commentaire, Julien attirait déjà d’ailleurs mon attention sur la solution NAS
Bonjour Lyonel,et merci pour vos publications.
A mon sens, un raccordement « bonne fibre » autorise pleinement un auto-hebergement sur NAS. Avec un NAS doté et un disque dur special NAS – pour éviter que ca lague (Tout le contraire de ce que j’ai fait avec Junior 🙂 Cachem a développé un excellent tuto à ce sujet – et confronté par plusieurs centaines de non experts comme moi.
La retraite approchant, l’idée fait son chemin pour un meilleur contrôle des coûts et se passer des solutions cloud tel DropBox ou kDrive.
A partir de mes recherches pour transformer mon MacMini en serveur, je suis reparti sur les questions d’auto-hébergement. Plus précisément d’auto-hébergement en m’appuyant sur Nextcloud pour travailler à distance. La solution via un serveur MacMini m’est apparue trop complexe pour moi.
Par contre, j’ai découvert ceci :
Source : https://shop.nitrokey.com/shop/nextbox-116#attr=68,217
Ce petit boitier est basé sur Raspberry Pi 4 et contient Nextcloud Hub. A l’achat, on choisit notamment la taille de son disque (HDD ou SSD) et sa RAM (de 2GB à 8GB). Il est configurable pour être accessible à distance en le branchant sur son routeur domestique. La consommation électrique est très raisonnable soit environ 5 à 10 watts – selon la charge.
Avec sa Nextbox, Nitrokey a développé un cloud pour la maison dont on ne doit pas s’occuper. En revanche, on peut y accéder partout dans le monde. Fini de confier mes données à des tiers dans le cloud. Je disposerai de mon propre cloud accessible à distance pour gérer mes fichiers, prendre mes notes, visionner des films ou écouter ma musique.
Par contre, après la lecture de l’article de Golem (Die eigene Cloud im Wohnzimmer) et, à sa sortie, il n’était pas recommander, en 2021, d’installer OnlyOffice ou Collabora, car ces suites ne fonctionnaient pas correctement sous l’architecture ARM. Il faudra donc voir quelles sont les évolutions connues ces solutions.
En résumé, la Nextbox est un mini-serveur plug-and-play avec une installation Nextcloud. La maintenance est assurée par Nitrokey, qui souhaite mettre à disposition des mises à jour pendant de nombreuses années, lesquelles sont installées de manière autonome par la Nextbox.
Depuis j’ai fait l’acquisition d’une NextBox. J’espère que cette solution répondra à mes attentes. Autrement, j’envisage un NAS de la marque Synology qui propose un accès à ses fichiers à distance et un accès à une suite de type Office à l’aide d’un navigateur web.
La mise en place de ce nouvel environnement de travail devrait se faire prochainement.
A suivre…
A lire un article très complet au sujet de la NextBox (en allemand) : Die
eigene Cloud im Wohnzimmer.
Shane MacGowan, le chanteur du groupe The Pogues, est mort à 65 ans
Shane MacGowan, le chanteur du groupe de punk celtique The Pogues, est mort à l’âge de 65 ans après une longue maladie, a annoncé jeudi son épouse.
Le groupe The Pogues est notamment connu pour son grand succès Fairytale of New York, sorti en 1987. Ce duo entre Shane MacGowan et Kirsty MacColl est devenu un classique de Noël, teinté de folklore irlandais.
Shane MacGowan est né en Angleterre, en 1957, de parents irlandais. En 1982, il a fondé le groupe The Pogues. Il jouait alors dans les pubs des ballades irlandaises interprétées à cent à l’heure par des musiciens mélangeant allègrement rythmes irlandais et énergie des punks.
Alliant légendes celtiques et ivrognerie, The Pogues est devenu dans les années 1980 la voix politique, anti-Thatcher et anti-censure, des jeunes de Londres, issus de l’immigration irlandaise. Son chanteur était connu pour ses chansons racontant la vie des Irlandais et de la diaspora irlandaise.
Source : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2031172/mort-shane-macgowan-pogues-65-ans
A lire aussi, l’article de The Guardian lui rendant homage : https://www.theguardian.com/music/2023/nov/30/shane-macgowan-pogues-singer-dies
Crédit photo en-tête : Shane MacGowan , du groupe The Pogues, sur scène, à Londres, en 2014. Photo : AFP / LEON NEAL
Parcours photographique : Université de Berne – 1
Mercredi 15 novembre 2023. A l’occasion de la journée « Dialogue sur les données ouvertes liées » (Linked Open Data in Dialogue), organisée à l’Université de Berne dans le Bâtiment principal (Hauptrasse 4), j’ai eu l’occasion de découvrir ce bâtiment réalisé au début du XXème siècle et situé à la Haupstrasse 4. Petit parcours historique et photorgraphique à propos de ce bâtiment depuis l’intérieur.
Mercredi 15 novembre 2023. A l’occasion de la journée « Dialogue sur les données ouvertes liées » (Linked Open Data in Dialogue), organisée à l’Université de Berne dans le Bâtiment principal (Hauptrasse 4), j’ai eu l’occasion de découvrir ce bâtiment réalisé au début du XXème siècle et situé à la Haupstrasse 4. Petit parcours historique et photographique.
Les magnifiques escaliers intérieurs du bâtiment principal. Mercredi 15 novembre 2023
Sony ILCE-7M2 – Objectif Sony FE 24mm F2.8 G, ISO 800, f4, 1/160s.
OpenAI menacé de disparition après le congédiement de son patron Sam Altman | Le Devoir
Roi de l’intelligence artificielle générative depuis un an, OpenAI est menacé de disparition après le débarquement de son patron, Sam Altman, qui a déclenché une crise majeure sur fond de craintes quant aux dangers potentiels de l’IA.
Les événements des derniers jours ont mis en évidence les limites du modèle d’OpenAI, qui voulait placer sous le contrôle d’une holding à but non lucratif une société sur laquelle des acteurs financiers ont misé des milliards de dollars.
Sans rien provoquer, Microsoft a récupéré Sam Altman, de même que plusieurs anciens cadres ayant choisi de quitter OpenAI. Microsoft s’est, en outre, engagé à embaucher tous les salariés d’OpenAI qui choisiraient de démissionner, faute de départ des administrateurs.
« Si Microsoft avait essayé d’acheter OpenAI, ils n’auraient jamais eu le feu vert des autorités de la concurrence », considère Carolina Milanesi, du cabinet Creative Strategies.
« Microsoft vient de réaliser l’acquisition la moins chère jamais vue », a abondé Paul Barrett, directeur adjoint du centre des affaires et des droits humains de l’université NYU Stern.
Source : OpenAI menacé de disparition après le congédiement de son patron Sam Altman | Le Devoir
Un des derniers caribous de la Gaspésie abattu par des braconniers | Le Devoir
Les caribous de la Gaspésie sont au seuil de la disparition et des braconniers ont abattu le mois dernier une des dernières femelles de cette population d’environ 30 bêtes. L’animal portait un collier télémétrique pour suivre ses déplacements.
Selon les informations publiées lundi par le ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs (MELCCFP), des agents de protection de la faune ont saisi de la viande de ce caribou et ils ont rencontré des « suspects » qui auraient abattu cet animal.
Le caribou tué était porteur d’un collier télémétrique. « Il s’agit de l’une des femelles capturées et mises en enclos à l’hiver 2023. Elle a été libérée avec les autres femelles à la fin du mois d’août après les recommandations d’un comité scientifique consultatif externe », précise le ministère dans son communiqué.
Source et lire la suite: Un des derniers caribous de la Gaspésie abattu par des braconniers
“The Crown” : une saison finale qui “insulte le souvenir” de Diana
“Diana était une femme merveilleuse, c’est une insulte absolument abjecte à son souvenir. J’arrête tout de suite mon abonnement à Netflix”, se récrie le journaliste Andrew Norman Wilson dans The Times, après avoir visionné la fin de The Crown. Mise en ligne le 16 novembre par Netflix, la sixième saison de la célèbre série sur la famille royale britannique n’a pas manqué de faire du bruit de l’autre côté de la Manche, tout comme les précédentes. Les spectateurs sont cette fois invités à suivre les dernières semaines de Diana, aux côtés de son amant Dodi Al-Fayed.
Plus enthousiaste, le Financial Times estime pour sa part que “les scènes polémiques – où la princesse fraîchement décédée s’entretient avec Charles et la reine – n’offenseront probablement que ceux qui aiment jouer les indignés”, la série n’ayant jamais eu pour objectif la véracité historique.
Source : “The Crown” : une saison finale qui “insulte le souvenir” de Diana
Commentaire
A propos de la saison 4, Hugo Vickers, auteur de biographies approuvées par la famille royale estimait luit que c’était le prince Charles qui était dépeint de manière inadéquate et que, par conséquent, la série épargnait largement Diana
La façon dont cette série dépeint leur relation, vous avez Charles comme une sorte de mauviette, méchant et désagréable, criant sur sa femme et des choses comme ça. On ne voit jamais ses crises de colère, ni les choses qu’elle faisait et qu’il devait supporter. C’est totalement unilatéral.
Friel, M. (2020, Novembre 18). 7 moments in the « The Crown » season 4 that didn’t happen in real life. Insider. Consulté 13 novembre 2023, à l’adresse https://www.insider.com/moments-in-the-crown-season-4-that-didnt-happen-2020-11.
Chacun y trouve ainsi ce qu’il souhaite, ou non, y trouver en quelque sorte. A moins que les auteurs de la série jouent avec les nerfs des spectateurs ou que d’une saison à l’autre, ils inversent les bons et les méchants. Ou… à vous de voir.
Dans tous les cas, rien ne vaut une bonne polémique pour l’audimat (73 millions de téléspectateurs à travers le monde pour les 5 premières saisons).
La NX 500 remplace la CB 500 X chez Honda pour 2024
La NX 500 n’est pas exactement un nouveau modèle dans la gamme 2024 de Honda, même si le nom est nouveau. C’est en fait la CB 500 X rebadgée et avec des changements significatifs, tant techniques qu’esthétiques ou fonctionnels.
Pour 2024, Honda ajoute le contrôle de traction à la dotation standard, autrement dit un antipatinage sur la roue arrière. Il est désactivable, si par exemple on veut s’en passer en roulage tout-terrain. L’ABS, lui, demeure, tout comme la fonction anti-dribble et assistée sur l’embrayage.
Le gros changement est d’ordre esthétique, avec un nouveau carénage avant, plus protecteur et plus large en haut que le précédent. Il donne à la NX 500 un petit air de moto de rallye. Le phare avant, à LED, évolue en offrant un faisceau lumineux plus large. Les autres éclairages sont tous à LED. Le design du feu arrière change, mais c’est purement cosmétique.
Les réglages de base des suspensions (fourche Show SFF-BP devant, amortisseur central réglable en précharge derrière) ont été « optimisés » sur la NX 500, pour obtenir un meilleur retour d’information et plus de confort, tant sur la route que dans le terrain.
Dernier gros changement pour 2024, l’apparition d’un écran couleur conçu pour éviter au maximum les reflets, de technologie TFT, qui s’inspire de celui de la nouvelle Honda XL 750 Transalp.
Le réservoir de 17,5 litres et la consommation d’essence déclarée de 3,6 l/100 km devraient permettre de rouler sur plus de 470 km avant de devoir refaire le plein.
Plusieurs accessoires et packs d’accessoires sont disponibles: valises latérales rigides, top-case, crash bars, feux additionnels, protège-mains, béquille centrale, prise 12 V pour les accessoires, poignées chauffantes …
Lire l’article complet: La NX 500 remplace la CB 500 X chez Honda pour 2024