Image hypertexte
La Cathédrale : Travail de stagiaire
Un texte lacunaire
Une image cliquable de la cathédrale
Aux élèves de découvrir et compléter la fiche.
Ici on utilise le navigateur internet et un fichier en hml pour le support à l’activité. L’avantage est que la démarche est ainsi multiplateforme et que tous les derniers ordinateurs disposent d’un navigateur web.
L’activité :
cathe.html
Le texte lacunaire : info.html
Image vectoriel
La perspective
Dans le cadre d’un travail autour de la Renaissance et pour complèter la compréhension des principe de la perspective, les élèves peuvent être amené à en appliquer les règles pour trouver le point de fuite d’un tableau de la Renaissance.
Pour ce travail, AppleWorks est ici utilisé (fichier ici au format .pdf). L’image est fixée en fond de page pour éviter toute erreur de manipulation.
A l’aide de l’outil « trait », les élèves tirent les lignes de perspectives
La consigne :
« A partir d’un des deux tableaux, j’applique les règles de la perspective pour retrouver le point de fuite. »
Il sera vraisemblablement nécessaire de réaliser un petit mode d’emploi relativement à l’utilisation de la palette du logiciel image que vous aurez choisi.
Parmi les avantages de ce type de démarche, il convient de signaler qu’il est possible contrairement à un exercice feuille de papier de réaliser différentes versions. La peur de se tromper s’atténue.
Informations sur les oeuvres :
1° La Flagellation du Christ par Piero della Francesca
La perspective est utilisée pour donner de la profondeur. Les figures de l’arrière-plan et les détails architecturaux sont parfaitement proportionnés et mis en place par rapport à celles du premier-plan.
2° Le Mariage de la vierge par Raphaël
Les lignes du pavage disparaissent dans le lointain pour donner à la peinture uen impression de profondeur. L’artiste a employé les ombres et la lumière pour donner une impression de solidité à la tour en arrière-plan.
Illustrations et légendes tirées de “Entrez dans…La Renaissance”, Gründ, 1993
Les fichiers :
a) pour les élèves
–
Flagellation_Christ(e).pdf
– Mariage_Vierge(e).pdf
b) un corrigé
– Flagellation_Christ.pdf
– Mariage_Vierge_(c).pdf
Image bitmap
L’ouverture des Etats généraux
A partir du tableau (tronqué) « L’ouverture des Etats-Généraux (1840) par Auguste Couder (1789-1873) [Peinture à l’huile, commande pour et conservée au Musée de Versailles.] » figurant dans leur manuel d’histoire, les élèves reçoivent un fichier en mode bitmap du tableau (scanné) et devront ouvrir un autre fichier (traitement de texte, logiciel d’image vectoriel, logiciel intégré, …).
La consigne :
A partir du tableau de l’ouverture des Etats généraux (manuel version B, p. 24), je travaille par couper/coller et je classe les différents ordres et personnes présentes lors de cette ouverture :
– Louis XVI
– Marie-Antoinette
– Necker
– la noblesse
– le clergé
– le Tiers Etat
– des membres du public
Notes: parmi les représentants du Tiers-Etat, on peut observer
— le seul représentant paysan, Michel Gérard, qui n’a pas de perruque
— Mirabeau
— deux prêtres (Sièyes? avec Mirabeau)
– Marie-Antoinette se tient à la gauche du roi. Devant la table et debout, Necker tient un discours.
Il sera vraisemblablement nécessaire de réaliser un petit mode d’emploi relativement à l’utilisation de la palette du logiciel image que vous aurez choisi.
L’ouverture des Etat-Généraux par Auguste Couder (1840)
Logiciel intégré (image + texte)
Les débuts de la Première guerre mondiale (Chronologie)
A l’aide de leur manuel et d’un fichier AppleWorks (vectoriel), les élèves construisent leur chronologie de la première guerre mondiale.
Ci-dessous vous trouverez une exemple de fichier de base au format pdf.
Commentaire :
Parmi les avantages de ce type de démarche, il convient de signaler qu’il est possible contrairement à un exercice feuille de papier de réaliser différentes versions et d’imprimer un document soigné.
Il offre aussi un cadre motivant par rapport à la lecture du manuel.
De plus, ce type de démarche nécessite pour l’élève de faire des choix et lui offre une part de créativité.
L’activité peut être réalisée en salle d’info ou en fond de classe.
Le fichier : –
débuts 14-18.pdf (source anglaise)
– version « vaudoise »(.pdf)
La suite autour des logiciels :
Activités réalisées à l’aide de logiciel standards (traitement de texte, tableur, base de données, logiciel intégré, dessin vectoriel ou bitmap) ou utilisable à l’aide d’un navigateur internet (mais en intranet ou sur un ordinateur).
Tableur / Graphique
Manuel d’histoire (vaudois) et révolution industrielle
A – Réflexions et démarches (ébauches)
Le manuel d’histoire vaudois regorge de graphiques et tableaux se rapportant à la Révolution industrielle (voir annexe).
Par ailleurs, le Plan d’étude vaudois (PEV) attend que la compétence suivante soit travaillée en 8e année :
• Travailler avec des graphiques et tableaux (compétences du PEV)
En outre, le programme de mathématique prévoit également de travailler la question des graphiques.
En fonction de ces différents éléments, la démarche suivante est possible.
Phase 1 : faire regrouper différents tableaux / graphiques aux élèves
Faire des photocopies (le manuel pouvant servir pour les couleurs).
Activités possibles lors de cette phase :
– Les élèves (en individuel, puis en groupe) doivent imaginer des regroupements et des classements possibles en fonction de la nature des documents (≠ les thèmes traités ici)
– A partir des graphiques uniquement, répondre aux questions : où et quand ? Possibilités de séparer les graphiques et les groupes en fonction de avant et après le chapitre ”L’Europe dominante”.
– Prendre plusieurs graphiques du livre sur le sujet traité et faire une fiche de questions
– quel est le sujet traité ?
– que montre ou que veut montrer (ou ne montre pas) le graphique ?
– peut-on retrouver les chiffres bruts ?
– quelle est l’origine (l’auteur) du graphique ?
– quelle est la forme du graphique ?
– quand utiliser un graphique ?
– quels commentaires faire à un graphique ?
– Faire regrouper les graphiques par thèmes d’études possibles relativement à la Révolution industrielle (sans le manuel ici).
– Fournir d’un côté les titres des chapitres et de l’autre les graphiques/tableaux. Demander ensuite aux élèves d’associer les uns avec les autres (évidemment sans le manuel).
– Un vrai / faux sur les informations issues des graphiques / tableaux
Phase 2 : travail avec l’informatique
Nécessité d’identifier à quel moment la production de graphique ou tableaux par ordinateurs peut apporter un plus :
– à la compréhension des graphiques
– à la compréhension de l’histoire et de la Révolution industrielle en particulier
Exemple : Appleworks (ou Excel) fournit des grandes catégories de graphique lorsque l’on cherche à en établir un. Il est donc possible de confronter les catégories élaborées par les élèves à celle utilisée par AppleWorks (ou Excel).
• Longueur des lignes de chemin de fer dans quelques pays, p. 81 (voir aussi p. 104)
Le graphique pourrait être retransformé en fonction de la superficie actuelle des pays, de la surface habitable de telle sorte à arriver à une densité plutôt que des valeurs absolues. Que se passe-t-il au niveau de la lecture du graphique ? A-t-on une autre vision de la réalité ? Quelle forme graphique vais-je choisir si je veux montrer que tel ou tel pays connaît un grand essor des chemins de fer (ou l’inverse) ? Que cherche à montrer l’auteur du graphique dans le manuel ? est-ce que cela trouve un écho dans le texte du manuel ? …
• L’éclairage électrique à Lausanne et • Bilan énergétique dans le monde de 1840 à 1920, p. 103
Recalculer la population totale de Lausanne et refaire un graphique. Transformer, le réaliser en %.
• Beaucoup de ces tableaux, graphiques sont incrustés d’une illustration, simplement refaire le graphique sans l’illustration. Quelles sont les rapports entre l’illustration et le tableau graphique. Comment les lit-on ? de manière identique, différente, pourquoi ?
• Mettre en forme des données brutes (stat.) en graphique
Attention : la réussite de la démarche dépendra de la connaissance des élèves du programme. Si connaissances préalables (info à l’école ou personnelles) cela ira plus vite sinon, soit faire un petit point théorique, soit s’arranger avec le prof d’info, soit s’appuyer sur les élèves qui ont le plus de connaissances (apprentissage par les pairs).
– faire une démarche pour les élèves
– leur laisser le choix du type de graph à élaborer; une consigne : faire en sorte que cela soit le plus clair possible
– discuter des différents graph produit par les E
– pas mettre la colonne total
– dans consignes : être le plus clair possible; essayer au moins deux type de graph
D’autres pistes sont évidemment possibles.
Phase 3 : Construire un graphique ou le choix d’un point de vue
• Donner les mêmes données à tous les élèves; à partir de ces mêmes données, les graphiques serviront à défendre des points de vue opposés.
Ex. : à l’aide de différentes données relatives aux salaires ouvriers et leur évolution, un groupe devra défendre le point de vue du patronat, un autre celui des ouvriers.
• A partir de là, il est aussi possible de faire élaborer une double page (format A3) regroupant différentes données et informations (graphiques, tableaux, illustrations, …). Selon le point de vue attribué aux élèves, cette double page présentera la Révolution industrielle au travers du regard
– de la bourgeoisie ;
– des ouvriers ;
– des petits paysans ;
– des grands propriétaires ;
– de l’aristocratie ;
– des femmes ;
– des enfants.
B – Démarche proposée par un stagiaire
A la suite de cette introduction, un stagiaire du SPES avait élaboré la démarche suivante pour des élèves.
Démarche et consignes :
Démarches_consignes.pdf
Données brutes : Données brutes.xls (excel)
Base de données
Enquête sur le Nationalisme
Le programme de 8e année du canton de Vaud comprend passablement de concepts très abstraits pour des élèves de 8e.
Une fois ce constat fait, pour tenter de dépasser cet obstacle, il été prévu lors de l’étude de l’émergence des nationalismes et des nationalités de faire réaliser une enquête par les élèves.
Ainsi, tout en travaillant 1848, l’unité allemande et l’unité italienne, les élèves ont pu mettre la main différemment à la pâte.
Ils ont donc rédigé un certain nombre de question, recueilli l’avis de sondé (notamment dans la rue) et enfin traité les résultats à l’aide d’un logiciel de base de données (FileMaker Pro).
Ce travail a été réalié en 1994.
Voici la démarche.
1° Présentation:
Dans un premier temps, les élèves ont été amenés par groupe à formuler un certain nombre de question. Ce fichier indique les consignes et les buts à atteindre dans cette première phase :
2° Q. élèves :
Ensuite, j’ai regroupé les différentes questions des élèves par thèmes. Eventuellement en adaptant la syntaxe.
Les élèves ont ensuite décidé des questions qu’ils désiraient conserver. Cette opération s’est déroulée en deux temps. Après un premier tri, il restait 19 questions, puis après une deuxième réflexion nous avons ramené le questionnaire à 15 questions.
3° Questionnaire
Après la deuxième phase, j’ai réalisé le questionnaire final. En adaptant les questions et les réponses possibles si nécessaire.
Toute la classe s’est ensuite déplacée en ville de Lausanne pour interviewer des passants. Les élèves étaient répartis par groupes à des endroits différents. Ils devaient interroger au moins 5 personnes et respecter également la répartition par classes d’âge. Ils ont également répondu individuellement au questionnaire.
Le questionnaire : Questionnaire.pdf
4° Dépouillement des données
Les élèves ont été initiés préalablement à FileMaker Pro et aux principes des bases de données.
Ensuite, chaque élève disposait d’un fichier-modèle, sans fiche, pour entrer leur données.
Après, un fichier-maître permettait d’insérer le travail de chaque élève.
6° Analyse
Après avoir regroupé tous les résultats, j’ai élaboré un document pour que les élèves s’initient au dépouillement des données ainsi récoltées.
Il permettait également aux élèves de pratiquer les notions de requêtes, tris et (analyse) de résultats.
Les résultats (enquêtes) : Resultats.pdf
7° Prolongements possibles
N’ayant cette classe que pour l’histoire et ayant été déjà pris par le temps nécessaire à la conception de l’activité, le travail s’est arrêté à ce stade.
Cependant, l’activité aurait pu être prolongée par l’intermédiaire d’une visite (préalable ou après l’enquête de terrain) auprès d’un institut de sondage ou du Service vaudois de la statistique (SCRIS). De cette manière, les élèves auraient pu être initiés aux raisons de la conception de sondages, leurs pièges et à la manière dont ces officines dépouillent les données.
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