Reading a book composed entirely of excerpts from textbooks may seem an unpromising activity, but history texts reveal much about national perspectives and prejudices: They are more expressive than government pronouncements; they get into matters diplomats avoid; and yet, as the authors note, they are in varying degrees state-sanctioned and thus official, or semi-official, stories about the national past. Most reflect public attitudes; all help to create those attitudes because they are the most widely read histories in each country, and because kids read them during the formative adolescent years. What students remember from their reading is not, of course, so clear. (It’s certainly not clear in the United States, where history texts run to 1,200 pages and weigh about four pounds.) Still the texts have an authority that books by individual historians lack, for, even in the best school systems, teachers, in their desperate attempt to drum in a few names and dates, rarely question their points of view, and students hazily come to regard what they read as the truth.
Nouvelles de l'histoire
Entre les tables numériques et le papier, quel est le meilleur support pour l’apprentissage ? | InternetActu.net
Au final, concluent les auteurs, les tables numériques peuvent apporter une expérience plus immersive et dynamique que le papier. Le dessin favorise le processus cognitif et permet de mieux comprendre et assimiler un concept abstrait. Le support numérique permet la répétition et l’autoexpérimentation que le papier ne permet pas. Reste qu’en comparant les résultats des étudiants à leur examen, la différence entre les modes d’apprentissages liés aux deux supports ne se fait pas sentir.
Richard Hétu Histoire sans mémoire ou mémoire sans histoire?
Avant d’autoriser la simulation de noyade sur des suspects d’Al-Qaeda, les responsables du gouvernement américain ignoraient que les États-Unis avaient intenté des procès pour crimes de guerre après la Deuxième Guerre mondiale contre ceux qui y avaient recouru. Ils ne savaient pas non plus que cette forme de torture était la favorite de régimes despotiques, de l’Inquisition espagnole à Pol Pot en passant par la Chine communiste des années 1950.
Georges Clemenceau en réponse à à Jules Ferry défendant en 1884 « le droit d’aller chez ces barbares, parce que nous avons le devoir de les civiliser » et proclamant même que « les races supérieures ont un droit vis-à-vis des races inférieures ». Propos repris In Nicolas Sarkozy ou le mépris du monde | Mediapart
« Je ne comprends pas que nous n’ayons pas été unanimes à nous lever d’un seul bond pour protester violemment contre vos paroles. Non, il n’y a pas de droit des nations dites supérieures contre les nations inférieures. N’essayons pas de revêtir la violence du nom hypocrite de civilisation. Ce n’est pas le droit, c’en est la négation. »
Ségolène Royal, Discours de Dakar en réponse à celui prononcé en 2007 dans cette même ville par Nicolas Sarkozy. Propos cités in Nicolas Sarkozy ou le mépris du monde | Mediapart
« Qu’il y ait eu, à cette époque, des hommes et des femmes sincères, cela est sûr. Mais on n’a rien dit quand on n’a dit que cela. Le problème est que la colonisation fut un système. Ce système doit être condamné pour ce qu’il fut : une entreprise systématique d’assujettissement et de spoliation. Les colonisés n’avaient pas le choix. Le travail forcé et le code de l’indigénat étaient la règle. Et le mépris. Et le racisme. Et la violence d’un système qui fit les uns ployés sous le joug des autres. »
Quand Internet croit faire de la politique – Framablog
18 juin 1940 – le général de Gaulle envoit un message sur Twitter et crée une cause sur Facebook.
19 juin 1940 – déjà plus de 30 millions d’internautes ont rejoint les rangs des “Français Libres” sur les réseaux sociaux. Les SMS et mails de soutien affluent. Des milliers de blogs fleurissent. Sur les forums, Gaullistes, FFI, FTP et Miliciens pétainistes s’écharpent..
18 juin 2009 – In Frankreich wird nur noch Deutsch gesprochen…
Wired Campus: Professor Encourages Students to Pass Notes During Class — via Twitter – Chronicle.com Leçon 2: de la manière dont les élèves/étudiant-e-s utilisent un outil dans le cadre de leurs apprentissage.
Once students warmed to the idea that their professors actually wanted them to chat during class, students begin floating ideas or posting links to related materials, the professor says. In some cases, a shy student would type an observation or question on Twitter, and others in the class would respond with notes encouraging the student to raise the topic out loud. Other times, one of the professors would see a link posted by a student and stop class to discuss it.
Wired Campus: Professor Encourages Students to Pass Notes During Class — via Twitter – Chronicle.com Leçon 1: où l’on apprend qu’il faut d’abord persévérer pour que les élèves/apprenants se saisissent et utilisent un outil…
Back then, most of his students were unfamiliar with Twitter, the microblogging service that limits messages to 140 characters. And for the first few weeks of course, students were reluctant to tweet, says Mr. Complese. “It took a few weeks for this to click,” he said. “Before it started to work, there was just nothing on the back channel.
Wired Campus: Professor Encourages Students to Pass Notes During Class — via Twitter – Chronicle.com Une expérience à suivre… et à retenir pour les cours ex-cathedra.
Cole W. Camplese, director of education-technology services at Pennsylvania State University at University Park, prefers to teach in classrooms with two screens — one to project his slides, and another to project a Twitter stream of notes from students. He knows he is inviting distraction — after all, he’s essentially asking students to pass notes during class. But he argues that the additional layer of communication will make for richer class discussions.