Dans L’Histoire de la Russie revisitée par Poutine, le «petit père des peuples» est un héros.
Vladimir Poutine avait réclamé au début de l’été des manuels d’histoire plus patriotiques. Sa volonté a été accomplie. L’Académie des sciences a donné son feu vert mercredi à un nouveau manuel scolaire intitulé L’Histoire de la Russie de 1945 à 2006, présentant Staline comme «l’un des plus grands leaders de l’époque soviétique », dont les purges de 1937 étaient un «mal nécessaire» pour contribuer à la grandeur du pays. Le manuel, destiné au secondaire, doit servir de base pour l’étude de l’histoire dès la rentrée prochaine.
Par ailleurs, dans cette nouvelle mouture, les années Eltsine sont dépeintes sous un jour plus sombre et Vladimir Poutine est le sujet principal d’un chapitre consacré à la démocratie russe.
Cette relecture de l’Histoire, réminiscence des vieilles pratiques soviétiques, a été réalisée en partie par des analystes proches du Kremlin.
Vladimir Poutine avait réclamé au début de l’été des manuels d’histoire plus patriotiques. Sa volonté a été accomplie. L’Académie des sciences a donné son feu vert mercredi à un nouveau manuel scolaire intitulé L’Histoire de la Russie de 1945 à 2006, présentant Staline comme «l’un des plus grands leaders de l’époque soviétique », dont les purges de 1937 étaient un «mal nécessaire» pour contribuer à la grandeur du pays. Le manuel, destiné au secondaire, doit servir de base pour l’étude de l’histoire dès la rentrée prochaine.
Par ailleurs, dans cette nouvelle mouture, les années Eltsine sont dépeintes sous un jour plus sombre et Vladimir Poutine est le sujet principal d’un chapitre consacré à la démocratie russe.
Cette relecture de l’Histoire, réminiscence des vieilles pratiques soviétiques, a été réalisée en partie par des analystes proches du Kremlin.
Extraits d’un article publié par Adèle Smith (Moscou) dans le journal 24Heures du vendredi 21 septembre 2007.
En mon sens c’est une bonne chose, cela prouve la place que Staline doit occupé dans l’histoire. En ce sens que Staline n’est pas le héros du communisme et l’internationalisme prolétarien mais du chauvinisme et du nationalisme russe. Staline n’a pas à être le héros de l’extrème gauche mais celui de l’extrème droite.
Pour un nationaliste russe tout va de soit que pour préserver l’unité national et les politiques isolationistes les purges étaient un moindre mal. Pour un communiste il est claire que le mouvement stalinien est une contre révolution politique de la bureaucratie contre l’état prolétarien. Staline état un nationaliste panrusse, Trotsky luttait entre autre pour le droit des nations à disposer d’elle même. Il est clair que pour celui qui veut pouvoir massacrer les tchétchènes en paix Staline est idéologiquement beaucoup plus payant que Trotsky.
En mon sens Staline reprend sa place en tant que héros de l’extrème droite ce qui permettra à la gauche qui se proclame toujours de lui de se questionner à savoir si ils devraient toujours s’en proclamer. Si l’extrème droite française adule Bonaparte ce n’est pas pour rien, et aujourd’hui plus personne a gauche en France ne l’aime ce qui est très bien comme cela.
effectivement, j’appartiens à l’extrême droite, tendance national-bolchevique, et nous considérons staline comme proche de nos idées.
mais je pense qaund même que ce fut un criminel. d’ailleurs, quand on demande aux français quel est le roi dont le nom le nom leur vient à l’esprit, la réponse est : louis XIV. or, louis XIV est synonyme de famines, de guerres, de dragonnades, et j’en passe.
je suis d’extrême droite et je me sens des connivences pour staline