Comment expliquer, au moment de la parution du troisième volume du manuel d’histoire franco-allemand couvrant l’Antiquité à la chute de Napoléon, le peu d’écho rencontré par ces manuels auprès des enseignants ? Est-ce seulement, comme l’indique le journal Le Monde un symbole de l’évolution des rapports franco-allemands ?
Vous en saurez plus en lisant ma chronique du Café pédagogique dans le mensuel du mois de mai 2011.
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