Cette semaine est consacrée aux Journées de la mémoire pour la prévention des crimes contre l’humanité. A l’approche et durant celles-ci, elles donneront lieu dans les médias à des articles nécessaires concernant soit les témoins encore vivants et la nécessité de la transmission de leur mémoire et de cette histoire européenne, soit aux questions relatives à la place de cette question dans la formation des élèves. Nous vous proposerons le renvois à quelques articles parus à ce propos. Aujourd’hui, un article du journal suisse La Liberté.
24.01.2020. A 11 ans, Simon Gronowski a été sauvé du seul train attaqué sur la route d’Auschwitz. Septante ans après, il a pardonné à un nazi et a tissé une amitié avec un fils de SS.
Tanguy Verhoosel, Bruxelles

Né dans une famille juive il y a 88 ans, l’avocat belge Simon Gronowski aurait dû périr dans le camp d’extermination d’Auschwitz, dont on commémorera lundi le 75e anniversaire de la libération, par l’Armée rouge soviétique. Mais à 11 ans, celui qui est aussi un pianiste de jazz renommé a pu s’échapper, en 1943, du convoi de la mort le déportant de Belgique vers la Pologne, où ont été tuées sa mère et sa sœur. Récit de survie.
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