Le Dr. Rankin, professeur d’Histoire à l’UT de Dallas, cherchait le moyen de faire participer plus d’étudiant-e-s à ses cours et à les engager dans plus de discussions en classe et hors la classe. Voici le compte-rendu en vidéo de son expérimentation de Twitter dans son cours d’histoire.
Personnellement, je retiens la diversité des moyens à disposition des étudiant-e-s pour rédiger leur «tweet»: leur ordinateur, leur téléphone portable (sms) et même la bonne vieille feuille de papier. De plus, il ne faut pas oublier le cadre d’enseignement proposé ici. En effet, le professeur Rankin dispense son cours à un grand groupe en auditoire (cours frontal dialogué) et l’on sait que plus le groupe est grand plus l’échange et la discussion sont difficiles. Comme elle le dit elle-même:
«Most educators would agree that large classes set in the auditorium-style classrooms limit teaching options to lecture, lecture, and more lecture. And most educators would also agree that this is not the most effective way to teach. I wanted to find a way to incorporate more student-centered learning techniques and involve the students more fully into the material.»
Source: Some general comments on the “Twitter Experiment” by Monica Rankin (UT Dallas)
La technologie ici s’intègre donc dans un enseignement de type traditionnel (frontal) pour le renforcer en y insérant d’autres dimensions pédagogiques. Il n’y a pas concurrence de modèles pédagogiques, mais confluence.
J’apprécie enfin que le professeur Rankin présente et analyse très simplement son utilisation de Twitter.
Sources:
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