« Par le voyage se découvre la matérialité sensible de l’histoire, son âpreté et son opiniâtreté. […] C’est ce qui ma convaincu n’était pas l’histoire comme discipline, mais son enseignement comme pratique collective. […] Deux idées simples, qui emportaient mon adhésion et que je tâche depuis lors de défendre : la première est qu’enseigner l’histoire est terriblement amusant — on a pas l’air de s’en lasser de sitôt; la seconde est qu’avec l’histoire peut se transmettre et s’éprouver une pensée critique qui a souvent un effet d’émancipation — on ne perd jamais son temps à l’enseigner. »
Patrick Boucheron (2016). Pourquoi faire profession d’historien. Paris: Seuil, Points histoire, p. 74.
Voir les choses en grand ou l’enseignement de l’#histoire par grand vent. Une pratique collective. L’exemple de Georges #Duby.
Patrick Boucheron (2016). Pourquoi faire profession d’historien. Paris: Seuil, Points histoire, p. 92-93.
enquête #pensée historienne