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Blog
Sur écran ou sur papier, les étudiants utilisent des stratégies d’apprentissage inefficaces — RIRE
Cette étude montre que les participants qui ont mobilisé des stratégies d’apprentissage telles que l’enregistrement de notes audio, la création de graphiques comparatifs, l’association d’idées et la réalisation d’activités pratiques sur écran ont obtenu des scores de 29 % à 63 % supérieurs à ceux de leurs homologues qui ont opté pour les stratégies qu’ils ont l’habitude d’utiliser.
http://www.youtube.com/watch?v=8v77VIxElwM Les loups, ououh! ououououh! Les loups étaient loin de Pa
Les loups, ououh! ououououh!
Les loups étaient loin de Paris
En Croatie, en Germanie
Les loups étaient loin de Paris
J’aimais ton rire, charmante Elvire
Les loups étaient loin de Paris.
Café histoire du 12 August 2010
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A publié "Avons-nous à ce point espéré que ce qu’on n’appelait pas encore la Shoah était l’événement…".
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A partagé AHA Today: History, There’s an App for That. |
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Toni Judt (1948-2010)Trop de Shoah tue la Shoah, par Tony Judt (Le Monde diplomatique)
Si le génocide nazi incarne
un mal unique, pourquoi
nous dit-on qu’il peut
se reproduire n’importe quand ?
L’article du Monde diplomatique : http://www.monde-diplomatique.fr/2008/06/JUDT/15982
AHA Today: History, There’s an App for That
Woman aircraft worker, Vega Aircraft Corporation, Burbank, Calif. Shown checking electrical assembli
Koblet, le James Dean suisse | Deux ou trois choses vues de Paris
La projection sur la Piazza Grande de Locarno du film de Daniel von Aarburg «Hugo Koblet, pédaleur de charme» donne l’occasion à André Crettenand de répondre à question : Qu’est-ce qu’un héros suisse?
Dans ce cadre-là, Hugo Koblet déteint par rapport aux héros magnifiés au 19e siècle pour, selon la jolie formule d’André Crettenand, «faire une nation avec des confettis d’Etat»:
ce qui est remarquable, c’est la célébration nouvelle de la star si peu suisse au fond, réussissant sans travailler, dépensier, volage mais si généreux, charmant, bon camarade et amoureux de la vie.
Pour André Crettenant, il ne fait aucun doute que le film est déjà promis au succès. Ne serait-ce que par le contraste avec Ferdi Kübler, l’autre champion suisse du vélo de ces années-là plus proche que Kublet de l’imaginaire du héros national suisse attendu.
L’affirmation de Koblet comme héros national décalé par rapport aux héros nationaux du 19e siècle s’inscrirait parfaitement dans les observations plus générales faites concernant l’évolution des héros nationaux occidentaux. Ainsi, à propos de la figure de Luther et de son traitement au fil des différentes commémorations protestantes en Allemagne, Yves Bizeul ((Bizeul Y. (2010). Le Huguenot résistant et Luther, le colosse aux pieds d’argile. In Cottret B. & Henneton L. (dir). Du bon usage des commémorations. Histoire, mémoire et identité XVIe-XXIe siècle. Rennes: Presses universitaires, p. 67)) note-t-il
il faut bien voir que l’humanisation des anciens héros et la reconnaissance de leurs faiblesses peuvent être des stratégies payantes dans une haute modernité qui vénère moins le «surhomme» goéthéen et nietschéen que l’homme en recherche, traversé de doutes, mais aussi capable de grandeur.
Koblet, le James Dean suisse | Deux ou trois choses vues de Paris.
Serge Daney, “Le travelling de Kapo”, Trafic, n°4, automne 1992, p. 15 Propos cités dans Crainte et tremblement- Serge Daney | Cinémadoc
Avons-nous à ce point espéré que ce qu’on n’appelait pas encore la Shoah était l’événement historique unique “grâce” auquel l’humanité entière “sortait” de l’histoire surplomber un instant et y reconnaître, évitable, le pire visage de son possible destin?
Une image pour la guerre | L'Atelier des icônes
Dans un court et brillant article, André Gunthert porte son regard et son analyse sur la dernière couverture du Time. Le portrait d’une jeune afghane Aisha actuellement aux Etats-Unis pour une opération de reconstruction faciale.
André Gunthert l’a met notamment en relation avec un autre portrait d’une Afghane désormais célèbre réalisé par Steve McCurry et pris en 1984. En 2002, le photographe avait d’ailleurs retrouvé la jeune fille et cela avait donné lieu à ce double portrait:
Il constate au propos du portrait d’Aisha et concernant notre trouble devant cette image que
Alors que l’image de la victime féminine est habituellement utilisée comme symbole pour dénoncer le conflit, celle-ci sert à l’inverse à légitimer la poursuite de l’occupation.
Ce retournement du schéma explique l’autre différence essentielle de cette icône: au lieu d’une photographie de reportage prise sur le vif, il s’agit d’un portrait soigneusement posé (réalisé par Jodi Bieber pour le magazine), comme celui d’un mannequin ou d’une célébrité, qui rend plus affreux encore le contraste entre la mise en scène de la beauté et la blessure ouverte.
Sources:
- Le billet d’André Gunthert: Une image pour la guerre | L’Atelier des icônes.
- L’histoire des photos de Steve McCurry: Afghan Girl