- Reportage au journal de France 2 relatif au documentaire «14-18, le bruit et la fureur». Intéressant relativement au choix historiographique opéré…
- «Pour Nicolas Offenstadt, coauteur de Comment Nicolas Sarkozy écrit l’histoire de France (éd. Agone, 2008), le choix de Verdun obéit à une double logique. « Tout d’abord, explique l’historien, Nicolas Sarkozy aime se mettre en scène dans des lieux tragiques où se mêlent la mort et l’esprit de sacrifice. En se rendant à Douaumont, il rejoue plusieurs visites de cet ordre, comme celles qu’il fit sur le plateau des Glières, l’un des lieux emblématiques du martyre de la Résistance, en mai 2007 et en mars 2008. Mais aller à Verdun, c’est aussi une façon de s’inscrire dans la lignée de ses prédécesseurs : de Gaulle y a fait un discours historique le 29 mai 1966, Mitterrand et Kohl s’y sont tenu longuement la main le 22 septembre 1984, Chirac s’y est rendu le 25 juin 2006 pour y inaugurer un monument aux combattants musulmans de 14-18. »
- Revue de presse quotidienne des JT de la mi-journée avec les extraits consacrés à l’armistice.
- Rompant avec la tradition présidentielle, Nicolas Sarkozy a voulu faire des célébrations de ce 90e anniversaire de l’armistice un « hymne à la réconciliation européenne » en invitant vainqueurs et vaincus. Ainsi, le prince Charles, héritier de la couronne d’Angleterre, son épouse Camilla et le grand-duc Henri de Luxembourg seront présents au fort de Douaumont, dans la Meuse, haut lieu de la bataille de Verdun, comme le président du Bundesrat, le Sénat allemand, Peter Müller, le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, ou encore le président du Parlement européen, l’Allemand Hans-Gert Pijttering.
- Nicolas Sarkozy a rendu hommage ce dernier mardi à tous les morts de la Grande Guerre «sans exception», y compris les fusillés, en commémorant l’armistice du 11 novembre 1918 devant le fort de Douaumont (Meuse), haut lieu de la meurtrière bataille de Verdun.
- Bande annonce du documentaire «14-18, le bruit et la fureur» diffusé sur France 2 en cette année de commémoration du 90e anniversaire de l’armistice. Documentaire problématique de par son mélange d’archives colorisées (et sonorisées) ou non et d’extraits de films de fiction qui soutiennent une narration en «je» d’un pseudo poilu de 14-18 au statut de narrateur omniscient. Or, depuis Fabrice à Waterloo (La Chartreuse de Parme), on sait qu’une telle vision n’est plus tenable… Malgré la qualité littéraire du commentaire, le tout compose un bouillie informe à l’utilisation des plus problématiques en classe d’histoire. Par ailleurs, la consultante du documentaire est Annette Becker et le documentaire distille donc uniquement le point de vue historiographique du Mémorial de Péronnes.
- Le festival du film de Pessac présente une sélection de long-métrages de fiction consacrés à la Première Guerre mondiale et organise des débats et réflexions entre historiens et cinéastes. La page de Zéro de conduite propose une sélection de films consacrés au premier conflit mondial.
- Cet article du site américain History News Network fait le point sur la configuration actuelle autour de la commémoration du 11 novembre et des discours sur la Première guerre mondiale en Grande-Bretagne. L’auteur note la fracture existant entre le public et le travail des historiens. Les premiers ne considèrent le conflit que sous l’angle de la tragédie britannique, d’une génération perdue et de l’inutilité. Les travaux des historiens se sont eux largement renouvelés dans les années 1980 en nuançant et en complexifiant les points de vue: culture de guerre, histoire sociale, émancipation féminine, acceptation, …
- Un site en anglais réunissant dans son comité éditorial la plupart des grands historiens anglo-saxons de la Grande Guerre. On y trouve des annonces de parutions et de séminaires, des bibliographies, de nombreux liens vers des articles de presse sur l’actualité de la Grande Guerre, des comptes rendus de livres, etc.
- Ce collectif s’est créé en réaction aux thèses historiographiques de l’Historial de Péronne. Parfois désignés comme les tenants de « l’école de la contrainte », ces historiens promeuvent une histoire sociale des pratiques combattantes qui met l’accent sur les dispositifs de coercition utilisés par les autorités civiles et militaires.
- Le site du Mémorial de Péronne. Les historiens qui l’animent sont à l’origine de ce que l’on nomme parfois « l’école du consentement patriotique » et ont promu le développement de l’histoire culturelle de la Grande Guerre.
Yes, we can ! – Les échos d’une heure
- «Depuis la rentrée, pas une heure de cours sans qu’un élève ne m’évoque l’élection de Barack OBAMA. Pourquoi on en parle tant ? Qu’est-ce qu’il va faire ? C’est qui ? J’ai vraiment de tout… A tel point que je dois filtrer l’avalanche des questions posées sur le Blog. Parmi toutes ces réactions, j’ai envie de retenir plus particulièrement celle de Léa PRUVOT, élève de 5ème G. Le lendemain de la rentrée, après avoir écouté bien sagement mes premières explications sur cette élection historique, elle est venue m’apporter, à la fin du cours, la petite revue de presse qu’elle avait réalisée toute seule, dans son coin, sans que rien ne lui ai été demandé.» Preuve en est que les élèves s’intéressent au monde qui les entoure et qu’aller à leur rencontre peut rapporter beaucoup… Superbe témoignage, superbe travail également de Bruno Sentier et blog d’Or amplement mérité… A méditer et à suivre.
Typography & History
- A trois occasion dans son existence, le New York Times avait utilisé une taille de caractère de 96 points dans un titre: le premier homme sur la lune, la démission de Nixon et le 09/11. Depuis hier, il y a une quatrième fois: OBAMA.
Obama et la formation supérieure | Bicentenaire Lincoln
- Cet article fait le point sur le programme que devrait mettre en oeuvre Barack Obama concernant la formation supérieure. Dans le programme du candidat, c’est sa quatrième priorité après l’économie, l’Irak et l’Afghanistan. C’est dire si 25 après « A Nation at Risk » (qui ne concernait pas la formation supérieure), l’éducation sera un des thèmes majeure du calendrier politique présidentiel. Un accent particulier devrait être mis sur les sciences et les technologies. Il y a notamment sa volonté de réinstaurer que les décisions politiques soient basées sur des critères scientifiques valides plutôt que sur des considérations idéologiques des agences gouvernementales. Ces objectifs consistent également à relier éducation, science et compétitivité économique. L’article offre un lien à ce sujet relativement au discours qu’Obama a tenu en juin à la Kettering University. Dans son programme, il y a clairement le maintien de la discrimination positive en y adjoignant le facteur de classe sociale.
- 2009 marquera le bicentenaire de la naissance d’Abraham Lincoln. Le blog de l’American Historical Association fait le point sur les projets en cours.
"We made history"

Je pourrais dire que cela n’a pas traîné. Hier, je proposais un parcours de l’ascension de Barack Obama au travers de son utilisation de l’histoire dans les discours. Aujourd’hui, je peux vous présenter la traduction graphique du fait qu’en devenant le premier président des Etats-Unis issu de la communauté afro-américaine [1] Barack Obama fait histoire.
Ce poster fait partie d’un ensemble de travaux graphiques qui ont agrémentés la campagne américaine et qui eux-aussi s’appuiaient, réinterprétaient et renouvelaient l’image d’Obama en s’appuyant sur des codes graphiques chargés d’histoire. Ce sont les fameux travaux utilisant notamment les slogans « Hope », « Change » ou « Progress »:

Dès janvier 2008, ces posters faisaient entrer Barack Obama dans la culture populaire. Dans un premier temps, il s’agissait de tirages en série limitée permettant à leurs acquéreurs tout à la fois de soutenir la campagne du candidat et d’effectuer un achat de nature artistique. Dans un deuxième temps, imprimés en grand nombre, ils servaient à l’affichage en milieu urbain. [2]
Lors de la convention démocrate de Denver, Deroy Peraz, graphiste new-yorkais, d’Hyperakt réalisait une série d’affiches, déclinée en cinq combinaison de couleurs différentes, comportant le slogan « The New Hope », le nouvel espoir (Obama “The New Hope” Wallpapers). La référence historique au New Deal est on ne peut plus évidente de même que l’association Obama-Roosevelt.
Dans la nuit de mardi à mercredi, Deroy Peraza a changé le slogan pour «We made history», nous avons fait l’histoire, au-dessus de «President Obama». Dans la foulée, il a également créé une affiche du couple présidentielle Barak et Michelle Obama avec pour seul slogan «Victory!» (Source: Le Temps)
L’alliance pop-art et les références aux New Deal ne peuvent ainsi que parler aux classes moyennes. D’une part de leur véritable émergence comme acteur central de la vie politique, sociale et économique américaine. D’autre part, en les renvoyant à l’âge de leur prospérité pour leur faire envisager, alors qu’elles sont durement touchées par la crise, un nouvel âge de prospérité dont Barack Obama serait le porte-drapeau. Les référents culturels utilisés sont donc connus et intégrés par une largre frange de la population. L’art du poster est également des plus intéressant associant message artistique, politique et production de masse.
D’autre part, ces artistes sont des militants progressistes, voire radicaux, de plus ou moins longue date qui ont fait leurs armes pendant la présidence de George W. Bush, notamment lors de la campagne de 2004. Voici à titre d’exemple deux travaux récents réalisés par Shepard Fairey [3]
Ces artistes et leurs travaux jouent avec les références culturelles et s’inscrivent dans tout un mouvement tendant à refonder un discours progressiste tranchant avec le discours des néo-conservateurs qui domine la scène américaine depuis Ronald Reagan. Comme leurs prédécesseurs des années 1930, leurs productions démocratisent l’art pour former un nouvel art populaire.
[1] Sur sa couleur de peau:
Un sans-faute dans la communauté noire : près de 95% des électeurs afro-américains ont choisi Obama.
Mais en ne se posant jamais comme un représentant de la communauté noire, le démocrate a convaincu qu’il pouvait être le « président de tous les Américains » et non le porte-parole des Afros-américains. L’historien Jacques Portes va plus loin :
« Les Etats-Unis nous étonneront toujours oui ! Mais je pense que si Obama avait été un Noir du Sud des Etats-Unis, portant des revendications contre l’esclavage, il n’aurait pas eu ses chances. »
Historique, émouvante, réjouissante : l’entrée de Barack Obama à la Maison Blanche prouve que cette question n’était pas la plus importante. L’Amérique aurait donc changé ?
« Non, répond Vincent Michelot,l’Europe voit mal ce qui change aux Etats-Unis. Sur l’effet Bradley, on se trompait, le pays a changé depuis une vingtaine d’années ! L’enjeu était é-co-no-mi-que. »
[2] Sur le travail de Shepard Fairey pour la campagne d’Obama lire Shepard Fairey: Obey Obama. The designer’s endorsement as a striking poster series.
[3] Shepard Fairey a exposé en octobre 2007. Deux articles en lien avec cette exposition et le travail de l’artiste:
A noter aussi ce poster de Martin Luther King réalisé par Fairey:

Ce billet a été proposé à un concours organisé par Designer Daily. N’hésitez pas à participer! (délai 15 novembre 2008)
La BNF, son blog et ses futurs blogs
- Buzzeum nous apprend que la BNF se met à l’internet social et participatif. D’abord en ouvrant une plate-forme de blog dont le premier est consacré aux expositions de l’institution. Ensuite, elle ouvre également sa page Facebook.
"An American Dream" : Obama et l’histoire
D’ici demain, Barack Obama entrera peut-être dans l’histoire en devenant le premier afro-américain à accéder à la fonction présidentielle, mais depuis le début de sa campagne il n’a cessé de se positionner par rapport à un ensemble de figures historiques américaines. Cet article vous propose de revenir vers les étapes principales de ce rapport à l’histoire du candidat Obama.
Avec Barack Obama, comme avec Nicolas Sarkozy, le candidat reinterprète l’histoire à sa manière. Cette utilisation de l’histoire lui permet de mettre en scène non seulement sa vision de l’histoire, mais de proposer un récit autour du candidat ce qu’on appelle le Storytelling (Une machine à fabriquer des histoires, par Christian Salmon) [1] Dans la mise en scène de ces rapports à l’histoire, comme pour le reste de sa campagne, les vidéos publiées sur youtube.com sont centrales dans la diffusion de ces messages. Dès le départ de sa campagne, le candidat Obama propose les versions intégrales de ses discours souvent fleuves. C’est probablement une des originalités de sa campagne et de la diffusion de ce récit. Dès le début, Barack Obama non seulement se pose en successeur de figures historiques importantes de l’histoire américaine, mais en pasteur conduisant le troupeau d’abord de ses fidèles avant le peuple américain tout entier vers sa terre promise à l’aide de mots soigneusement choisi et scandé à répétion (Hope – Change – Yes we can…).
Dans la construction de ce nouvel « american dream« , le prologue est constitué par son adresse à la convention démocrate de Boston en 2004 lorsque cette dernière se choisit John Kerry comme candidat face à Georges W. Bush. Il y prononce alors le Keynote, le discours conçu pour enthousiasmer les délégués. Après le discours, A star is born:
Barack Obama à la convention de Boston en 2004
Dès l’annonce officielle de sa candidature le 10 février 2007, Barack Obama se sert de l’histoire pour sa mise en scène. En effet, il ne choisit pas Springfield par hasard. C’est la ville d’Abraham Lincoln. Dans cette ville, alors candidat républicain à la Présidentielle, Lincoln y prononce le 16 juin 1858 un discours qui met en évidence le danger de désunion du pays sur le problème de l’esclavage (« A House Divised Against Itself Cannot Stand« ). Obama se place ainsi sous une auguste figure tutélaire, se pose en rassembleur ainsi qu’en homme par lequel viendra la rupture et le changement. Il représente aussi la dernière marche qui sépare les Afro-Américains de l’émancipation intégrale: l’accession à la présidence des Etats-Unis. Enfin, le décor choisit n’est pas sans évoquer « Mr Smith au Sénat » soit celui qui veut nettoyer les écuries d’Augias à Washington et le discours comprend également un passage sur le nécessaire besoin de changement de Washington et de son rapport aux lobbys. Membre de cet establishment, car sénateur, Barack Obama se construit pourtant une figure anti-establishment qui doit le servir dans les primaires face à la candidate de l’establishment démocrate: Hillary Clinton.
Barack Obama: l’annonce de sa candidature (Springfield, 10 février 2007)
Et le message passe. Le duo Lincoln-Obama fonctionne:
Approches alors les premières primaires et la première d’entre elle, celle du New Hampshire. La victoire d’Obama donne lieu à ce discours de victoire qui martèle le désormais fameux « Yes we can »:
Un style (13 minutes de discours), un ton de pasteur en chair. Avec indéniablement une référence au pasteur Martin Luther King (voir mon billet Révérend Obama?). Discours fondateur et hypnotique, il sera resamplé et repris par le tout aussi fameux clip suivant:
Indéniablement la deuxième personnalité qui va servir d’étalon-historique pour le candidat Barack Obama est le pasteur Martin Luther King. Le calendrier commémoratif américain fait bien les choses puisque, dans la foulée du New Hampshire, le 22 janvier, on commémore le 40e anniversaire de la mort par assassinat de Martin Luther King. Pour chacun des candidats démocrates, c’est un passage obligé. Le discours de Barck Obama ce jour-là à l’Ebenezer Baptist Church:
Mais c’est avec son discours fleuve sur la question raciale (A More Perfect Union) qui définitivement cale le candidat Obama sur la vie et l’oeuvre du pasteur:
J.-F. Kennedy est une autre figure historique tutélaire qui est régulièrement convoquée, par la presse, pour présenter le candidat Obama. D’ailleurs, ce dernier obtient les ralliements de la plupart des membres encore en vie de la famille Kennedy dont le sénateur Edward Kennedy. Voici une photo de campagne qui n’est pas sans rappeler la référence à J.F.K.
Barack Obama à Reno, Nevada, Vendredi 18 janvier 2008 (New York Times).
Un dernier et tout récent discours-fleuve (« American Stories, American Solutions« ) a été prononcé dans le prolongement de la crise de ce mois d’octobre:
Comme le souligne André Gunthert (Pour Obama, la classe moyenne a le visage de la famille):
Brûlant de ses derniers feux, la campagne de Barack Obama nous a livré hier un objet devenu rare: un vrai film de propagande à l’ancienne, sous la forme étonnante d’un publi-reportage de 27 minutes diffusé simultanément sur sept chaînes nationales.
En se replaçant au coeur de la classe moyenne et dans le contexte de crise actuelle rapportée inlassablement à la crise économique du début des années 1930, Barack Obama fait référence à l’autorité de Roosevelt et son action de changement devient le nouveau New Deal dont les Etats-Unis ont besoin pour sortir de la crise économique:
Or cette classe moyenne n’est pas née par enchantement, ni par la seule force des volontés individuelles. Elle a été en bonne partie le fruit de l’action de l’Etat à partir des années 1930 qui, en soutenant les plus défavorisés, a rendu le jeu moins inégal, le terrain plus praticable pour tout le monde. En permettant aux fils des familles modestes de faire des études supérieures, il leur a donné l’opportunité de faire valoir leur talent face à des jeunes plus favorisés qu’eux au berceau. En protégeant les citoyens les plus vulnérables contre les risques de la vie (vieillesse, maladie…), il a aidé de nombreuses familles à envisager l’avenir avec un minimum de sérénité, et donc d’optimisme.
L’Amérique veut retrouver son rêve Yann Mens (Alternatives économiques)
Lincoln, Marin Luther King, Kennedy et Roosevelt: le décompte historique de Barack Obama est bon les trois mousquetaires d’Obama sont donc quatre.
[1] Storytelling is the ancient art of conveying events in words, images and sounds often by improvisation or embellishment. Article de Wikipedia.
Serge Bernstein revient sur la crise | Obama et le rêve américain
- Le célèbre historien Serge Berstein retrace pour Marianne2 les conséquences de la crise de 29 dans l’Allemagne de l’entre-deux-guerres. Dans cette deuxième partie, il explique comment le peuple allemand sacrifia la démocratie en pensant sauver l’économie.
- En dernière semaine de campagne électorale, Barack Obama a livré un objet rare avec un publi-reportage d’une durée inhabituelle de 27 minutes, diffusé simultanément sur sept chaînes nationales (4 millions de téléspectateurs). Jusqu’à présent de tels objets médiatiques (dont son déjà célèbre discours sur la question raciale) avait eu internet comme diffuseur. Un tel discours appartient en plein au « storytelling ». André Gunthert l’analyse sous l’angle des films de propagande anciens. Quatre traits ont retenu son attention: « le rôle de l’illustration musicale, l’intangibilité d’un certain nombre de formes du récit politique; la place donnée à la figure de la famille; le caractère finalement plutôt terne d’un projet très mesuré. » A lire pour la qualité de l’article et aussi pour la qualité des commentaires qui s’en suivent.
Les films et l’Histoire : Kingdom of Heaven
MicroHistoire du 2008-10-27 (Twitter)
- @museumtweets Merci beaucoup pour les infos (en plus en français, super). Bonne journée. A bientôt. #
- Via @museumtweets : le Muséum de Toulouse dispose d’un compte de Twitter. C’est là: @museumtoulouse #
- Deux autres musées francophones trouvés via @museumtoulouse : @lesabattoirs et @museeinfo (non actif depuis juin) #