


Le séminaire « Mai 68 et les intellectuels versus l’histoire orale » affiche dans son titre la dualité de son propos. Au titre de l’enseignement, il propose une réflexion sur les spécificités d’une discipline historique – l’histoire orale – en la comprenant dans un contexte international de circulation des savoirs, dans une temporalité historique et dans l’application d’une méthode scientifique. Pensé comme un atelier de recherche, il est dans l’agir puisque les postulats sont immédiatement convertis par la fabrication puis l’analyse d’un corpus raisonné de témoignages « d’intellectuels » qui, en situation à l’École des chartes, à l’Université ou dans les emprises du pouvoir politique, ont connu une intersection signifiante avec 68. Ce site Web reflète les activités du séminaire et en offre les résultats.

Professeur honoraire d’histoire contemporaine à l’Université de Lausanne, Hans Ulrich Jost a porté une attention soutenue à l’histoire de la Suisse aux 19e et 20e siècle. Son site regroupe sa production éditoriale et quelques textes.
Par ailleurs, Hans Ulrich Jost a été un de mes professeurs d’uni qui m’a le plus marqué et apporté relativement à mon métier d’historien. Son cours-séminaire de première année notamment m’a fourni les bases essentielles de la méthode historique. Je lui en serai à jamais reconnaissant.

Site de l’exposition consacrée en 2007 à Ibn Khaldoun qui a été l’un des plus grands intellectuels musulmans et appartenait à une famille hispano-musulmane établie dans la province de Séville.


En complément à mon billet « Romulus et Remus : du mythe à l’histoire ? », une série de liens complémentaires qui doit beaucoup à Hugo Billard et à son excellent blog Le Jardins des retours. 😉
Texte d’une conférence donnée le 13 octobre 2006. Elle fait partie d’un cycle intitulé Les origines et les premiers siècles de Rome : Tradition, Histoire et prolongements modernes, dont elle forme le quatrième volet.
Travail d’élèves (TPE) dont l’objectif est de développer la thèse d’une Rome fondée uniquement sur une légende et non basée sur des preuves historiques et concrètes.
Séminaire d’introduction à l’Archéologie classique de l’Université de Genève.


Parmi les dix sites les plus visités, le cabinet de mesure d’audience Comscore relève que Google est toujours en tête, avec près de 20 millions de visiteurs uniques. Il est suivi par le site de Microsoft qui enregistre 17 millions de visiteurs uniques. Wikipedia, de son côté, enregistre la meilleure progression avec 24 % de visiteurs en plus, ce qui lui vaut un score de 10 millions d’internautes au total. Une tendance que Delphine Gatignol, responsable du développement chez comScore France, attribue à la rentrée scolaire et notamment aux nouveaux comportements des étudiants qui utilisent Wikipedia comme outil de recherche.
Quoique chacun d’entre nous pense de Wikipedia, cette encyclopédie en ligne est devenue un incontournable en milieu scolaire. On peut crier, s’indigner, vouloir interdire l’utilisation de l’Internet par les élèves. La digue a déjà sauté, les amarres sont rompues, les habitudes prises ou se prennent.
Quelles sont les conséquences pour le travail de l’enseignant-e? Quelles pistes de travail? Pour ma part, je préconise (une nouvelle fois):
• accompagnons nos élèves dans cet univers et offrons-leur des jalons, des outils pour leur apprendre à naviguer dans ce nouveau rapport aux sources du savoir sur Wikipedia ou ailleurs.: »(Et je pense qu’ici le travail de la validation des sources fait par l’historien prend toute sa valeur et sa pertinence sociale.) »:
• proposons-leur des vraies démarches de recherches personnelles et non pas des tâches de pure restitution de savoir, car dans ce dernier cas, nos élèves ont tout à fait raison de travailler par simple couper/coller.: »(D’ailleurs sommes-nous si sûr que les enseignant-e-s que nous sommes ne procédions jamais par couper/coller sans citer et nous distancier de nos sources?) »:
• sortons du manichéisme internet, c’est mal ou internet, c’est la panachée universelle.
• et si nous réfléchissions avec nos élèves dans quelle mesure ce type de site modifie notre rapport et notre accès au savoir ainsi que notre rapport à la lecture?
Merci à Mme Membrey (et à ses élèves) pour la publication de cette information issue du journal Le Figaro (24 % de visiteurs en plus pour Wikipedia ! : l’ABC de l’élève futé). Mon billet se veut aussi l’autre face de la question puisque je m’intéresse au côté enseignant-e alors que son billet s’intéresse au pôle élève. Mme Membrey leur rappelle les règles de base suivantes :
• A : un élève futé est un élève qui ne se contente pas d’utiliser Internet pour faire ses travaux de recherche !
B : un élève futé est un élève qui ne se contente pas d’utiliser une seule source d’information sur la Toile.
C: un élève futé est un élève qui aime les livres et qui consulte des encyclopédies » papier « fiables pour ce faire.
D 🙂 ? : un élève futé dit toujours oui à Mme Membrey 🙂 .
L’article du Figaro : Quels sont les sites les plus visités en France?

La revue Histoire de l’éducation est éditée par l’INRP depuis 1978. Afin de répondre aux besoins de la communauté scientifique, la collection éditée est mise à disposition en ligne, à l’exception des numéros publiés durant les quatre dernières années.

Site de sources documentaires sur la Révolution française, vous y trouverez notamment une collection de discours, d’images, de notices biographiques, d’articles de journaux d’époque, de débats révolutionnaires, ainsi qu’un forum de discussion.
Ce site en allemand propose un certain nombre de sources en image (Bildergalerie) sur différents thèmes tel par exemple sur la Révolution française.
