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Histoire Lyonel Kaufmann

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Histoire savante

Engager le public d’un musée à vivre l’histoire

10 janvier 2016 by Lyonel Kaufmann

Dans la vidéo ci-après, Wendy Rowney, Assistant General Manager au Black Creek Pioneer Village suggère plusieurs pistes pour engager le public (les visiteurs de ce village historique) dans l’apprentissage de l’histoire. Elle partage ses réflexions issues d’une recherche menée en 2014 dans laquelle elle et un-e collègue ont enquêté sur ce qui attiraient les visiteurs d’un musée et ce qui les encourageaient à y revenir. Rowney formule 6 suggestions pour engager de façon significative le public sur les sites d’histoire vivante.

Source : Engaging the Public at Living History Sites | ActiveHistory.ca

Il s’agit de la première diffusion d’une des conférences vidéos du colloque «New Directions in Active History: Institutions, Communication, and Technologies» qui a eu lieu du 2 au 4 octobre 2015 à la Huron University College en Ontario. Une vidéo par semaine devrait être diffusée. A suivre donc sur le le site ActiveHistory.ca.

Concernant le Black Creek Pioneer Village, celui-ci a été créé il y a une quarantaine d’année. Il présente la vie d’un village rural typique de la région de Toronto et du sud de l’Ontario entre 1790 et 1860. Il a l’ambition de permettre de faire revivre la vie d’une époque « into the way people lived before cars, digital technology and the dominance of urban culture separated them from the land ».

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A lire : La sonnerie du réveil est un piège capitaliste | Slate.fr

4 janvier 2016 by Lyonel Kaufmann

La manière dont l’humain actuel se sort du lit, à l’aide d’un bruit sonore et déplaisant, est assez proche du réveil des ouvriers du XIXe siècle.

Tout au long de l’histoire, les gens n’ont eu globalement jamais besoin de se réveiller à une heure précise. Ils devaient simplement se lever suffisamment tôt pour que le travail à faire dans la journée soit terminé au coucher du soleil. Si vous étiez fermier –et vous l’auriez probablement été–, vous n’aviez pas de patron pour vous dire d’être opérationnel à 9 heures du matin. En réalité, vous n’auriez sans doute même pas su qu’il était 9 heures du matin –tout ce qu’il vous fallait savoir, c’était à quel moment traire les vaches et point barre.

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À LIRE AUSSI : Comment se réveillait-on avant l’invention du réveil?

Ce qui allait changer au cours de la Révolution industrielle. Comme l’écrivait en 1967 l’historien du travail E. P. Thompson, dans son texte essentiel Temps, discipline du travail et capitalisme industriel, «la première génération d’ouvriers en usine avait été instruite par leurs patrons de l’importance du temps». Une usine ne sert à rien si les ouvriers viennent travailler quand bon leur chante, les propriétaires d’industrie allaient donc devoir trouver des moyens d’assurer la présence de leurs employés dès potron-minet.

Il y eut par exemple de stridents coups de sifflet pour réveiller les ouvriers vivant dans les parages et marquer le début et la fin des rotations. Dans l’Angleterre industrielle, les «knocker-ups» étaient là pour cogner aux fenêtres des gens et s’assurer qu’ils soient à l’heure au travail. En 1876, quand la Seth Thomas Clock Company brevète le premier réveil-matin mécanique et programmable, le marché n’attendait plus que cette invention. Aujourd’hui, le réveil n’a plus rien à voir avec le cycle du soleil ou les demandes saisonnières de l’agriculture mais est entièrement et artificiellement réglé sur un calendrier de production imposé et dont la rigidité n’aura pas bougé d’un iota.

Lire la suite : La sonnerie du réveil est un piège capitaliste | Slate.fr

Classé sous :Histoire savante, Nouvelles de l'histoire

A écouter : Quelle pédagogie des mémoires ? France Culture

4 janvier 2016 by Lyonel Kaufmann

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Nous commençons cette année 2016 en parlant de la mémoire. Au-delà des cours d’histoire, il s’agit d’apprendre à se souvenir ensemble, à l’école, des faits, dates, lieux du passé qui fabriquent une mémoire commune, éduquent les consciences : la Révolution française, la Grande Guerre, la Seconde Guerre mondiale et l’histoire douloureuse du XXème siècle. Peut-on parler de pédagogie de la mémoire ? À quoi peut-elle ressembler ?

Nos deux invités, un enseignant au collège et une élue de Paris se sont penchés sur la question.

Avec : Norbert Czarny, écrivain, professeur de lettres, autour de son travail avec le mémorial de la Shoah ; Catherine Vieu-Charier, adjointe au Maire de Paris chargée de la mémoire et du monde combattant

via Quelle pédagogie des mémoires ? – Information – France Culture.

Référence de l’image : Plaque commémorative L. Jennepin © Radio France

Classé sous :Didactique, Histoire active, Histoire savante, Opinions&Réflexions, Outils enseignement

DOSSIER – Le génocide arménien, 1915-2015

4 janvier 2016 by Lyonel Kaufmann

En octobre 2015, nonfiction.fr consacrait un dossier au Genocide arménien commis il y cent ans. Trois articles qu’il convient de lire.

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Le dossier : http://www.nonfiction.fr/article-7754-dossier__le_genocide_armenien_1915_2015.htm

Le génocide des Arméniens en perspective

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Cent ans après le premier génocide du XXe siècle, Mikaël Nichanian dresse un bilan de l’état actuel des connaissances sur le génocide arménien. Il s’interroge plus largement sur le processus génocidaire, sa construction dans la durée, ses conséquences à moyen et long termes tout en évoquant les difficultés de l’historien dans l’appréhension de tels faits. À l’heure du négationnisme, cet ouvrage rappelle que le génocide a touché la quasi-totalité des deux millions d’Arméniens de l’Empire ottoman, et qu’il est le seul belligérant de la Première guerre mondiale à être directement l’instigateur de la mort de deux tiers des victimes civiles sur son propre territoire.

La suite de l’article : http://www.nonfiction.fr/article-7704-le_genocide_des_armeniens_en_perspective.htm

Plaidoyer pour un peuple assassiné

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1915 : le génocide arménien fait près de 1,3 million de morts. La date, le chiffre, et les mots sont connus, mais l’histoire l’est-elle vraiment ? C’est la question que l’on se pose en refermant le livre de Michel Marian. L’histoire du génocide arménien est plus complexe que celle connue par le grand public. La déportation et le massacre des Arméniens par les Jeunes-Turcs pendant la Première Guerre mondiale constitue le commencement d’une douloureuse histoire mémorielle entourée d’indignation, de silence, d’oubli, de négation, d’espoir.
La suite de l’article : http://www.nonfiction.fr/article-7705-plaidoyer_pour_un_peuple_assassine.htm

ENTRETIEN – Le génocide arménien en Bande Dessinée – avec Laurent Mélikian

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 En 2015, 100 ans après le déclenchement de l’extermination des Arméniens dans l’empire ottoman, sont parus deux albums sur le sujet. Dans cet entretien publié en version illustrée par notre partenaire Cases d’Histoire, Laurent Mélikian, qui a dirigé l’un de ces livres, revient sur la représentation du génocide dans la bande dessinée. Journaliste et critique de bandes dessinées, il a collaboré à L’Événement du Jeudi, BoDoï, L’Écho des Savanes. Français d’origine arménienne par son grand-père paternel, il est cofondateur d’un festival de bande dessinée en Arménie.
L’interview : http://casesdhistoire.com/le-genocide-armenien-en-bd-dialogue-avec-laurent-melikian/

Classé sous :Histoire active, Histoire savante

Compte-rendu : Visualiser le passé | La Vie des idées

25 décembre 2015 by Lyonel Kaufmann

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Recensé : Adrien Genoudet, Dessiner l’Histoire. Pour une histoire visuelle, Paris, Le Manuscrit, coll. «  Graphein  », 2015, 206 p., 23,9 €.
Cet essai inaugure à la fois la collection «  Graphein  » aux éditions Le Manuscrit et conclut un cycle de séminaire sur les écritures visuelles de l’histoire de la bande dessinée. En pénétrant les ateliers de dessinateurs de bande dessinée qui se saisissent de l’histoire, attentif au geste, Adrien Genoudet ne propose pas ici simplement une réflexion sur l’histoire et sa représentation, mais sur l’écriture même de l’histoire. Questionnant le «  concept culturel d’histoire  » en interrogeant la notion de passé, il installe sa réflexion dans le giron d’une histoire culturelle renouvelée (Pascal Ory a signé la préface de l’ouvrage).

«Dans cet ouvrage, part belle a été donnée au geste du dessinateur, à ce trait chargé qui, déposé sur le papier, forme et libère les images du passé. La dernière partie offre un retour à la pratique de l’historien, à son geste d’écriture, à son risque d’imposture. Écrire l’histoire, c’est s’engager  ; se commettre avec ce qui a été, retracer ce qui fut avec ce qui nous fait aujourd’hui.

Si Dessiner l’Histoire semble répondre à l’idée d’«  écrire l’Histoire  », il est possible, peut-être même nécessaire, d’envisager une écriture visuelle de l’histoire. Ce livre en fait le pari. Regardeur, chercheur, auteur : écrire une histoire visuelle, c’est percevoir le temps passé en tant que visuel, se confronter au passé comme image composée et analyser «  comment la visualité des époques passées s’imposent dans nos mémoires et quelle est leur performance dans notre société contemporaine  » (p. 174).

Le débat est ouvert. Il est à espérer que les futurs essais de cette collection creuseront le sillon, en s’interrogeant par exemple sur la forme de la bande dessinée dans laquelle le dessin n’est pas produit par le scénariste. Ou encore : existe-t-il des trous noirs dans la représentation de l’histoire, des passés sans image  ?»

Le compte-rendu : Visualiser le passé – La Vie des idées

Classé sous :Histoire savante, Nouvelles de l'histoire

Construire un roman national pluriel ?

14 décembre 2015 by Lyonel Kaufmann

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«Destruction de l’idée républicaine», «éradication de la culture», «paroxysme d’un processus de déculturation»… L’enseignement de l’histoire fait régulièrement l’objet de débats houleux. L’édition 2015, autour de la réforme des programmes du collège, aura été particulièrement virulente. Les historiens Pierre Nora et Jean-Pierre Le Goff, les essayistes Pascal Bruckner et Alain Finkielkraut, l’ancien ministre de l’Education Luc Ferry ont attaqué frontalement le projet élaboré par le Conseil supérieur des programmes : pas assez chronologique, trop repentant. Libération a demandé à une historienne américaine, Carla Hesse, spécialiste de la Révolution française et professeure à Berkeley (Californie) de commenter la tempête historiographique de l’année. Sa position relative à la nécessité de construire un roman national pluriel ne manquera pas, à son tour, de faire polémique…

La première critique faite aux nouveaux programmes, c’est qu’ils signeraient la fin du «roman national». Un pays a-t-il besoin d’un tel récit ?

«Pour exister, une collectivité a besoin d’un roman national, qui réunit une idée de la temporalité mais aussi de l’espace. La conscience de la temporalité – le sentiment d’exister dans un trajet temporel – est, au niveau cognitif, essentielle à l’individu comme à toute collectivité. Pour agir, dans n’importe quel domaine, mais surtout pour agir en tant que collectivité politique, pour essayer de construire une société plus juste et plus prospère, il nous faut partager une narration collective avec un passé, un présent et un avenir. Il n’y a aucune raison de ne pas pouvoir écrire ce roman au pluriel, en incorporant des voix et des perspectives multiples».

Source : Carla Hesse : «Cette passion publique pour l’histoire est le signe d’une démocratie en pleine vigueur» – Libération

Classé sous :Didactique, Histoire savante, Opinions&Réflexions

Reconnaissance du génocide arménien, une histoire en marche | Slate

12 novembre 2015 by Lyonel Kaufmann

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Femme arménienne | American Committee for Relief in the Near East via Wikipedia Commons License

Dans son essai, Michel Marian, philosophe d’origine arménienne et partisan du dialague arméno-turc, retrace le parcours des Arméniens dans la nommination du génocide. Il y mélange regard personnel et expérience de tout un peuple. Slate nous offre le compte-rendu de cet essai.

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En cette année de commémoration du centenaire, publications, colloques et émissions retracent cette histoire longtemps oubliée, aujourd’hui encore mal connue. Michel Marian ne propose pas de retracer l’histoire du génocide arménien en faisant un récit des événements, mais en présentant une réflexion sur l’ensemble des débats, des questionnements et des controverses qui l’entourent. En ce sens, il s’adresse à tous ceux qui veulent partager cette «mémoire outragée», selon l’expression utilisée par le sous-titre de l’ouvrage.

A lire : Reconnaissance du génocide arménien, une histoire en marche | Slate

Classé sous :Histoire savante, Publications

L’histoire à la marge | Alma & Georges

12 novembre 2015 by Lyonel Kaufmann

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A l’heure où l’on exige plus-values et applications concrètes de la recherche scientifique, les sciences humaines et sociales passent trop souvent pour des disciplines peu rentables. Anne-Françoise Praz, professeure associée d’histoire contemporaine de l’Université de Fribourg, prouve le contraire. Ses recherches sur les enfants placés l’ont conduite au sein de la Commission indépendante d’experts chargée par le Conseil fédéral d’enquêter sur les internements administratifs. Le magazine Alma & Georges de l’Université de Fribourg présente sa démarche et son travail.

blankOn les compte par dizaines de milliers, ces enfants issus de parents pauvres, ou jugés «incapables», et confiés à des institutions ou des particuliers entre 1850 et 1980. Selon l’historien Marco Leuenberger, 5% des enfants nés durant le XXe siècle sur territoire bernois ont ainsi grandi hors de leur cadre familial. Anne-Françoise Praz les découvre un peu par hasard. Son travail de doctorat, portant sur les politiques liées à l’enfance, lui en fait régulièrement croiser le parcours.

A ce jour, les recherches menées sur le sujet se sont concentrées sur la période la plus sombre, allant jusqu’à la Seconde guerre mondiale. Soutenu financièrement par le Fonds national suisse de la recherche scientifique dans le cadre de son programme Sinergia, le projet de recherche interdisciplinaire, «Placing Children in Care: Child Welfare in Switzerland (1940-90)» a pour but de mieux comprendre le système de placement institutionnel des enfants en Suisse dans la seconde moitié du XXe siècle. Il regroupe l’Université de Fribourg, la Haute école du Nord-Ouest de la Suisse, l’Université de Bâle, la Haute école de recherche appliquée de Zurich et l’Université de Genève.

Lire l’article : L’histoire à la marge | Alma & Georges

Classé sous :Histoire savante, Nouvelles de l'histoire

Palmyre, comme si elle était restée intacte – Bibliobs 

4 novembre 2015 by Lyonel Kaufmann

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Veyne publie « Palmyre, l’irremplaçable trésor ». Jean-Pierre Filiu l’a lu pour BibliObs, avec douleur et gratitude.

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Vieux de près de 2000 ans, l’Arc de Triomphe romain de Palmyre. Y. Ubelmann

Paul Veyne publie « Palmyre, l’irremplaçable trésor ». Jean-Pierre Filiu l’a lu pour BibliObs, avec douleur et gratitude.

Dans sa magnifique fresque de l’histoire palmyréenne, [Paul Veyne] offre à voir et à comprendre ce que fut, aux confins de l’Empire romain et de la Perse, ce moment de notre humanité. Il nous rend présent, palpable, ce que les jihadistes voudraient effacer, éradiquer, réduire en poussières insaisissables.

La densité d’informations de cet essai est impressionnante, bien qu’elle ne pèse jamais sur un récit enlevé, parfois captivant, souvent pittoresque. On saisit enfin ce qu’est d’être Romain pour un Araméen, comment d’immenses fortunes ont pu se nourrir des caravanes à Palmyre, comment Zénobie a pu croire le pouvoir suprême de l’Empire à portée de sa main. Le cahier de photographies centrales fait écho aux descriptions d’architecture et d’urbanisme. Ce n’est pas Palmyre comme si vous y étiez, c’est Palmyre comme elle aurait dû, une fois entrée dans l’Histoire, y demeurer intacte.

[…] Paul Veyne, en dressant ce tombeau à Palmyre, illustre l’Histoire dans ce qu’elle a de plus noble, car elle nous élève vers la mémoire, donc l’espoir. Qu’il en soit remercié.

Paul Veyne (2015).  Palmyre. L’irremplaçable trésor. Paris: Albin Michel, 144 p., 14,50 euros (en librairie le 2 novembre).

Jean-Pierre Filiu est professeur des universités à Sciences Po (Paris) en histoire du Moyen-Orient contemporain. Il vient de publier «Les Arabes, leur destin et le nôtre», aux Editions La Découverte.

Source : Palmyre, comme si elle était restée intacte – Bibliobs – L’Obs

Classé sous :Histoire savante, Publications

BALLAST Robespierre : de l’image en politique

26 octobre 2015 by Lyonel Kaufmann

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La figure de Robespierre reste en France politiquement très polarisée. L’opposition entre robespierristes et antirobespierristes a suscité, depuis 1791, une importante production iconographique : gravures, desseins, tableaux, statues, films, bandes dessinées… aucun genre artistique ne semble y avoir échappé, et il est remarquable de constater à quel point les productions iconographiques épousent les grands mouvements historiographiques. La publication en 2012, par l’historien australien Peter McPhee, de la première grande biographie scientifique de Robespierre14, est peut-être susceptible de permettre la tenue d’un débat dépassionné sur l’Incorruptible. Il est toutefois permis d’en douter : la récente controverse survenue à l’occasion de la reconstitution numérique du visage de Robespierre, à laquelle ont participé politiques et historiens15, témoigne du fait que la représentation du Jacobin demeure aujourd’hui encore une question éminemment politique.

Loin d’être anodine, la question de la représentation doit interroger la pensée de gauche. L’image n’échappe pas à la polarisation idéologique. Elle fait partie du répertoire d’action du combat politique, au même titre que la grève, la manifestation ou la rédaction d’écrits théoriques, et est un élément essentiel du combat pour l’hégémonie culturelle. Les penseurs de gauche ne sauraient, donc, faire l’économie d’une réflexion sur la question.

Lire l’article : BALLAST Robespierre : de l’image en politique

Classé sous :Histoire savante, Opinions&Réflexions

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