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Histoire Lyonel Kaufmann

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Nouvelles de l'histoire

Le rêve du tombeau de Champlain | Le Devoir

16 novembre 2018 by Lyonel Kaufmann

En annonçant la découverte d’une fortification de 1693 dans le Vieux-Québec, la semaine dernière, le maire Régis Labeaume a lancé à la blague qu’il ne restait plus qu’à retrouver les ossements du fondateur de la ville. « Une fois qu’on aura trouvé le tombeau de Champlain, on pourra lâcher prise ! » La question se pose. Mais où se terre donc le fondateur de Québec ?

  • Lire la suite : Le rêve du tombeau de Champlain | Le Devoir

Crédit image : Photo: MNBAQ, Jean-Guy Kérouac «Étude pour l’arrivée de Samuel de Champlain à Québec», de Marc-Aurèle de Foy Suzor-Coté, 1908-1909

Le reportage de Radio-Canada sur la découverte des fortifications

D’une longueur de 20 mètres, ces fortifications étaient enfouies dans la glaise, ce qui explique leur excellent état de conservation même si elles ont 325 ans.

© radio-canada

En 1693, Québec était une toute petite ville d’environ 800 habitants, constamment menacée par les Anglais et les Iroquois. Si le cap Diamant a toujours constitué un efficace rempart naturel au sud-est, Québec était toutefois vulnérable sur son flanc ouest.

Environ 500 hommes ont contribué à la construction de la palissade. Elle est composée de pièces massives de cèdre taillées à la hache.

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Une carte de l’époque où l’on distingue l’emplacement de la palissade de Beaucours Photo : Courtoisie

Référence de l’article de Radio-Canada : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1134201/decouvertes-archeologique-fortifications-1693-decouvertes-a-quebec

Classé sous :Nouvelles de l'histoire

« 11-11 : Memories Retold » : un jeu vidéo peut-il montrer l’horreur de la Grande Guerre ?

15 novembre 2018 by Lyonel Kaufmann

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Comment s’inspirer de la réalité de la guerre sans la trahir ? Et s’en détacher sans taire l’horreur ? Les développeurs de ce jeu sur 14-18 s’expliquent.

Le journal Le Monde nous présente de manière très intéressante le travail du Français Yoan Fanise, du studio Digixart Entertainment, à l’occasion de la sortie le vendredi 9 novembre dernier de son jeu vidéo «11-11 Memories Retold» sur PC, PlayStation 4 et Xbox One. L’article nous permet de réfléchir notamment sur le travail de conception d’un tel jeu et des relations complexes entre un jeu vidéo et l’histoire. Dans un autre article, le journal présente « 8 jeux vidéo inspirés de la première guerre mondiale ».

Débutons par une présentation du jeu lui-même

11-11 Memories Retold raconte la Grande Guerre, de deux points de vue : celui d’un photographe canadien, Harry, et celui d’un ingénieur allemand, Kurt. Pour restituer leurs deux histoires, les créateurs du jeu ont donc consulté deux historiens, un Anglais et un Allemand.

S’inspirer du réel

Yoan Fanise explique s’être documenté grâce à la littérature, aux poèmes d’époque. Il explique également comment, pour lui le texte d’une carte postale écrite par son arrière-grand-pères, permet de dire en trois mots quelque chose d’émotionnellement intense. Il y a ainsi cette carte écrite en 1922 concernant son frère disparu : « Suis arrivé à bon port, mais las. Ai fait faire exhumation. Je n’ai plus aucun doute. »

« En quatre mots on comprend qu’il a retrouvé son frère. C’est quelque chose que je dis aux scénaristes, qui aiment bien écrire très long : parfois, en trois mots, on arrive à dire quelque chose de plus intense qu’en quarante. C’est important de voir des lettres avec des mots simples. »

Montrer le quotidien

Yoan Fanise évoque des lettres, des témoignages d’époque, qui décrivent des moments de joie, de camaraderie.

« 97 % du temps, les soldats ne se battaient pas. Ils jouaient aux cartes, créaient des liens. On s’est dit que ces moments, il fallait les montrer. Mais à partir du moment où ils connaissaient la date de l’assaut, la peur commençait à monter. Plus on s’en approche, plus elle monte. Ils savaient non seulement qu’ils pouvaient mourir, mais ils connaissaient aussi la date. »

Savoir se détacher du réel

Concernant son travail, Yoan Fanise assume prendre ses distances avec la réalité. Il montre ainsi l’importance de la narration dans le jeu vidéo :

« « 11-11 », c’est une fable. Il se passe des choses à la fin qui ne sont pas du tout crédibles. Les historiens ont sauté au plafond. Je leur ai dit qu’on en avait besoin pour la narration, pour faire vivre quelque chose de fort, provoquer une sorte d’électrochoc. Le but, c’est de faire réagir le joueur, de lui dire « tu vois, la guerre, c’est ça aussi ». »

La nécessaire « horreur de la guerre »

L’horreur s’invite par deux fois dans le récit, le temps d’autant de scènes de bataille. Pour Yoan Fanise,

« Ils sont importants, ces moments, parce que ce sont ceux où on se pose des questions morales. On le voit dans les lettres, la peur la plus grande, ce n’est pas celle de mourir, c’est celle de devoir tuer quelqu’un. Et de se préparer à devoir vivre avec le souvenir d’avoir tué. Et d’ailleurs, ce sont des témoignages qu’on entend chez tous les traumatisés de guerre, encore aujourd’hui. C’est rassurant : tant qu’on pense comme ça, ça veut dire qu’on est encore humain. »

Distraire malgré tout

Yoan Fanise le reconnaît volontiers : gamin, l’histoire ne l’intéressait pas. Il le regrette aujourd’hui, et entend œuvrer, à son niveau, à ce que les enfants d’aujourd’hui ne fassent pas la même erreur.

« Pourquoi cela n’intéresse pas plus les gens ? Il y a un problème dans la façon dont on raconte l’histoire. Donc il faut trouver un truc ! Et le nôtre, c’est de faire des jeux vidéo. »

Pour les scénaristes Stephen Long et Iain Sharkey,

« On veut faire une histoire distrayante, qui peut aussi trouver des échos dans notre histoire moderne. Pourquoi ? Parce qu’on vit dans un monde où il y a encore la guerre partout. »

  • A lire sur « 11-11 : Memories Retold » : un jeu vidéo peut-il montrer l’horreur de la Grande Guerre ?

Prolongements

En complément à cet , Le Monde a publié « 8 jeux vidéo inspirés de la première guerre mondiale ».

Abondamment traitée par la littérature et le cinéma, la guerre 1914-1918 inspire de plus en plus d’expériences vidéoludiques, du banal jeu d’action aux expériences plus marquantes.

Les 8 jeux sont

  • « Soldats inconnus : mémoires de la grande guerre », le plus touchant
  • « Battlefield 1 », le plus spectaculaire dont beaucoup considère qu’il a incité passablement de (jeunes) joueurs à s’intéresser à la Première Guerre mondiale
  • « Victoria II », le plus sophistiqué
  • « 1916 – Der Unbekannte Krieg », le plus cauchemardesque
  • « Verdun », le plus rugueux
  • « Red Baron », le plus rétro
  • « 11-11 Memories Retold », le plus impressionniste
  • « Sid Meier’s Ace Patrol », le plus léger

L’article : https://www.lemonde.fr/pixels/article/2018/11/09/huit-jeux-video-inspires-de-la-premiere-guerre-mondiale_5381257_4408996.html?utm_term=Autofeed&utm_medium=Social&utm_source=Twitter#Echobox=1541790870

Crédit image : Un jeu de guerre qui se passe souvent loin du front. Bandai Namco

Classé sous :Histoire active, Médias et technologies, Nouvelles de l'histoire

Les malheurs d’un million d’immigrants canadiens-français | Le Devoir

14 novembre 2018 by Lyonel Kaufmann

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Un million d’immigrants entassés dans des ghettos ne survivent que dans des conditions sanitaires précaires. À Brunswick, au Maine, ils vivent dans une densité difficile à se représenter. Pourquoi en parler encore aujourd’hui ? Cette histoire des Canadiens français en Nouvelle-Angleterre reflète ce que d’autres groupes migrants connaissent actuellement.

« C’est difficile à imaginer. Ils sont environ 500 individus à l’acre, comparativement à une famille de 4 ou 5 personnes qui occupent d’ordinaire une maison sur un demi-acre », observe en entrevue David Vermette, auteur d’une histoire de l’immigration des Canadiens français en Nouvelle-Angleterre, A Distinct Alien Race.

Plus d’un million de Québécois immigrèrent pour échapper à la misère. Ils sont aujourd’hui à peu près oubliés. « Chaque famille québécoise a pourtant un lien avec cette immigration. Il est rare que je parle à quelqu’un du Québec dont un membre de la famille n’ait pas été lié avec cette fuite vers les États-Unis » qui court du milieu du XIXe siècle jusqu’à l’entre-deux-guerres

  • À lire sur Les malheurs d’un million d’immigrants canadiens-français | Le Devoir

Photo: National Child Labor Committee collection, Librairie du Congrès

Parmi les milliers d’immigrants canadiens-français qui peinent dans les usines de la Nouvelle-Angleterre, on trouve des enfants. Le sociologue et photographe Lewis Hine documente leurs conditions de travail. Il note à l’oreille leurs noms. Ici «Jo Bodeon», Joseph Beaudoin, photographié à la Chace Cotton Mill de Burlington, au Vermont, en 1909.

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Battlefield 1 : un sacripant profite de la trêve des joueurs qui commémorent l’armistice pour les bombarder – Numerama

14 novembre 2018 by Lyonel Kaufmann

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À l’occasion du centième anniversaire de l’armistice, ce dimanche 11 novembre 2018, des joueurs australiens de Battlefield 1 ont décidé d’instaurer un cessez-le-feu. À 11 heures, heure de Canberra, ils ont arrêté les combats, en même temps que les deux minutes d’hommage national. Mais la trêve n’a pas tenu la durée, après le bombardement d’un avion allemand.

Ce n’est pas la première trêve instaurée in game. Le jeu de simulation référence de la guerre 14-18, Verdun, avait introduit un événement pour la trêve de noël, sur les fronts où le cessez-le-feu avait été respecté.

  • A lire sur Battlefield 1 : un sacripant profite de la trêve des joueurs qui commémorent l’armistice pour les bombarder – Numerama

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Première Guerre mondiale : au terme de 5 ans de commémorations

13 novembre 2018 by Lyonel Kaufmann

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En ce dernier week-end des 10 & 11 novembre 2018, les commémorations de l’armistice de 1918 marquent grandement la fin des commémorations de la Première Guerre mondiale. Ces commémorations sont les plus longues de l’époque récente. Ces derniers jours, elles ont connu une intensité particulière. Pour certains, c’est également l’occasion d’un (premier) bilan.

Dans le contexte politique européen et mondial actuel, l’attention devrait rapidement se porter sur notre rapport à l’entre-deux-guerres et plus particulièrement sur la crise des années trente et la montée du fascisme.

Quelques publications récentes en lien avec les commémorations du 11 novembre 2018. Bien entendu, vous disposez également de plusieurs articles sur ce site. A l’aide du mode recherche et de mots-clés comme « Première guerre mondiale », « Grande Guerre » ou « 14-18 », vous accéderez à l’ensemble des articles.

Bonne lecture !

 FIGDATA

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Une tranchée en Champagne. Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France

FIG DATA – 1,4 million de militaires français ont perdu la vie au cours de la Première Guerre mondiale. Fig Data vous propose de visualiser où sont tombés ces «Morts pour la France». Fig Data est une publication du Figaro.

Lien : http://www.lefigaro.fr/histoire/centenaire-14-18/2018/11/08/26002-20181108ARTFIG00219-tombes-au-champ-d-honneur.php?redirect_premium

Verdun, Chemin des Dames, Bataille de la Marne, contre-offensive des Cent-Jours… Quel fut le rythme des pertes? Comment chronologiquement se sont enchaînées les différentes batailles? Voir la cartographie inédite.

Comment évaluer le nombre de morts de la Première Guerre mondiale ?

En complément au travail effectué par le Figaro, on lira l’article d’Anne-Aël Durand pour les Décodeursdu journal Le Monde. Il y a cent ans s’achevait la première guerre mondiale, un conflit qui a marqué les esprits, tant les morts ont été nombreux. Alors que l’on commémore le centenaire de ce massacre, il n’est pas si facile d’obtenir des décomptes précis des millions de mortscausées par cette guerre. Les données disponibles montrent toutefois l’ampleur du traumatisme. L’article pose et répond aux questions suivantes :

  1. Pourquoi est-il difficile d’obtenir des chiffres précis ?
  2. Quels pays ont été les plus touchés ?
  3. Quel impact du conflit en France ?

Le lien : Comment évaluer le nombre de morts de la Première Guerre mondiale ?

Mon centenaire : cinq ans avec les poilus sur le front

Pendant cinq ans, Stéphanie Trouillard a couvert pour France 24 le centenaire de la Première Guerre mondiale. À travers plus de 160 articles, elle aessayé de décrypter ce conflit qui a bouleversé le monde, tout en allant à la rencontre de ma propre histoire familiale. Dans cet article, elle dresse un bilan de ses publications sans oublier la dimension personnelle et familiale prise par cette aventure éditoriale.

L’article : https://www.france24.com/fr/20181109-centenaire-bilan-cinq-ans-poilus-front-memoire-premiere-guerre-mondiale?ref=tw

Les combattants de la grande guerre, fervents patriotes ou victimes de la contrainte étatique ?

Depuis plus de vingt ans, deux camps d’historiens français s’opposent notamment sur les ressorts de la mobilisation des appelés et la contrainte étatique. A l’occasion de la publication du livre de Frédéric Rousseau 14-18, penser le patriotisme,« Folio histoire », inédit, 482 p., le journal Le Monde revient sur ce débat historiographique français et interoge l’historien en lui demandant notamment «Pourquoi était-il nécessaire de revenir aujourd’hui sur ces débats ?».

L’entretien du Monde: https://mobile.lemonde.fr/livres/article/2018/11/09/1914-1918-frederic-rousseau-historien-il-faut-clarifier-ce-que-l-on-entend-par-consentement_5381071_3260.html?xtref=

Entretien : retrouver 14-18 : cent ans de cinéma (3/3)

Cet article de Nonffiction.fr consitue la troisième et dernière partie d’un grand entretien avec Laurent Véray, professeur d’études cinématographiques et audiovisuelles à l’université Paris III, portant sur le cinéma « de » et « sur » la Grande Guerre. L’époque de la Grande Guerre a été l’occasion de la mise en place d’un modèle du « film de guerre », d’un dispositif cinématographique pérenne qu’on retrouve jusque dans la production contemporaine. Sur le fond aussi, 14-18 constitue un objet cinématographique récurrent, souvent retravaillé, notamment dans les deux dernières décennies. Au-delà de ces continuités, Nonfiction interroge Laurent Veray sur ce qui lui semblent être les grandes ruptures de cette histoire des films « sur » 14-18, après les films « de » 14-18.

L’entretien : https://www.nonfiction.fr/article-7334-entretien__retrouver_14_18__cent_ans_de_cinema__33.htm

Le centenaire de la Grande Guerre vu d’Allemagne, avec Arndt Weinrich | Paroles d’histoire

Le podcast de Nicolas Offenstadt donne la parole à l’historient allemand Arndt Weinrich.

La discussion : la dimension franco-allemande du 11 novembre 2018 et sa perception en Allemagne (1:00), les crispations que cela suscite et la place de la « victoire » dans les commémorations (3;10), la faible importance du 11 novembre par rapport au 9 novembre en Allemagne (6:40), un bilan global du centenaire allemand (9:05), le succès du livre de Christopher Clark, qui participe d’une « normalisation » du passé allemand (11:00), un parallèle entre le contexte de réception du livre de Daniel Goldhagen sur le nazisme, et celui de Clark sur 1914 (14:35), les parutions marquantes dans le champ historiographique allemand, synthèses plus que monographies (17:00), les variations régionales de la mémoire de la Grande Guerre en Allemagne (20:20), le mémorial franco-allemand du Hartmannswillerkopf (21:25), la mémoire très vive des mutins de la marine en 1918 à Kiel (22:15), le contraste avec les commémorations des mutineries françaises (24:25), la disproportion est-ouest de la mémoire avec la difficulté plus grande de commémorer le front oriental (26:40), l’absence complète de la dimension coloniale dans les mémoires allemandes de la guerre, et le contraste avec le cas français (29:50), la question des civils et du blocus paradoxalement pas très présente non plus (32:25), les formes de révisionnisme historique appliquées à la question des atrocités allemandes lors de l’invasion de la France et de la Belgique (34:30), la question des continuités ou ruptures entre Grande Guerre et nazisme, aujourd’hui envisagée de façon bien moins linéaires, y compris pour la question du traité de Versailles, et le « masochisme français » à ce propos (37:40), la place des historiennes et des historiens dans l’espace public au moment du centenaire, de part et d’autre du Rhin (42:15).

L’émission : Play in new window | Download| Le billet

 Dans les tranchées avec les poilus suisses de 14-18: Nés en Suisse, ils sont morts pour la France.

Dans son édition du samedi 10 novembre 2018, le journal vaudois 24Heures propose un dossier permettant de découvrir l’histoire oubliée des Suisses partis combattre pour la France.

En Suisse, tout le monde ne rejoint pas l’armée fédérale, envoyée garder les frontières ou fortifier des recoins du pays appeler à résister en cas d’invasion, comme le Vully. Pour des raisons qui nous échapperons sans doute dans leurs détails, des milliers d’hommes nés chez nous, sans doute plus de 12’000, partent dans les rangs de l’armée française.

Qui sont-ils ? Des gens modestes, des intellectuels, qui se portent volontaires pour défendre une patrie dont ils se sentaient proche. Il y a aussi des citoyens de l’hexagone, expatriés, qui choisissent de ne pas disparaître dans la nature et de rejoindre leurs copains mobilisés. Il y a ce qu’on appelle aujourd’hui aussi les réservistes. Des vétérans de la Belle époque, rappelés sous les drapeaux. Un mélange hétérogène d’hommes, d’histoire et de volontés, qu’une seule chose va finalement réunir. Ils vont vivre la première guerre industrielle et mondiale de l’humanité. Ils vont vivre l’horreur.

Outre une série d’article et d’analyse, 24Heures propose une base de données permettant à tout en chacun d’identifier les personnes ayant combattu durant la Première Guerre mondiale et qui y ont perdu la vie. Sur les plus de 12’000 Suisse partis combattre en France, 1901 ont perdus la vie. 24Heures a compilé les données déclassifiées par les archives françaises. Ces registres et fiches noircies par un siècle d’histoire révèlent les noms des 1901 soldats tombés durant le premier conflit mondial. Des noms, des prénoms, des biographies ordinaires et extraordinaires, qui permettent de comprendre comment, il y a cent ans, des gens d’ici sont partis faire la guerre.

Le lien vers les articles du dossier : https://webspecial.24heures.ch/longform/suisse14-18/14-18-intro/

Cérémonie en mémoire des Suisses tombés durant la Grande Guerre | RTS

Un hommage a été rendu samedi aux volontaires suisses engagés au côté de la France durant la Première Guerre mondiale. Organisé par des anciens combattants français, il s’est déroulé au cimetière du Bois-de-Vaux à Lausanne.

C’est la première fois qu’une telle cérémonie était organisée dans notre pays, selon Dominique Vanthier, président de l’Union des anciens combattants français en Suisse. 2939 engagés volontaires suisses sont tombés pour la France durant le conflit.

L’hommage s’est déroulé en présence de la conseillère d’Etat vaudoise Béatrice Métraux et de l’adjudant-chef Anne-Marie Glady, adjointe de l’attaché militaire français en Suisse. Plusieurs officiers supérieurs suisses étaient également sur place.

> Lire aussi le dossier réalisé en 2016: Votre aïeul suisse a-t-il combattu dans les tranchées en 1916?

Lien : Cérémonie en mémoire des Suisses tombés durant la Grande Guerre | RTS

Classé sous :Nouvelles de l'histoire, Publications Balisé avec :14-18, Allemagne Suisse, commémoration, commémorations, France, Première Guerre mondiale

Gérard Noiriel blogue…

11 novembre 2018 by Lyonel Kaufmann

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L’historien Gérard Noiriel vient d’ouvrir son blogue. Il en explique les raisons et les finalités dans son premier billet. Laissons-le expliquer les raisons de sa démarche.

«  J’ai créé ce blog dans le but d’approfondir, d’expliciter et de discuter des questions que j’ai développées dans mon Histoire populaire de la France (Agone, 2018). Même si cet ouvrage dépasse les 800 pages, étant donné qu’il couvre une période extrêmement longue (de la guerre de Cent Ans à nos jours), j’ai souvent été contraint de limiter mes analyses, de faire des choix draconiens dans les exemples, dans les références bibliographiques, etc. Ce blog me permettra d’aller plus loin en tenant compte des réflexions, des critiques, des compléments apportés par les lecteurs.

La seconde raison de ce blog tient à ma volonté de reprendre pied dans l’espace public pour aborder les grands problèmes d’actualité en mobilisant les outils que nous offrent les sciences sociales. Je me range dans la catégorie des « intellectuels spécifiques». Elle regroupe les universitaires qui interviennent publiquement pour éclairer des questions qu’ils ont eux-mêmes étudiées, afin d’aider les citoyens à enrichir leur propre réflexion, mais en évitant les jugements de valeur, les dénonciations, les mises en cause personnelle, etc. Cette posture est aujourd’hui mal en point car les bouleversements récents des techniques de communication (réseaux sociaux, chaînes d’information continue, etc) marginalisent de plus en plus la réflexion et la connaissance, au profit des leçons de morale, des anathèmes, des plaidoyers de toutes sortes. 

[…]

C’est ce genre d’objectif que j’essaierai d’atteindre dans ce blog en m’efforçant de « reproblématiser » des questions brûlantes de notre actualité.

[…]

La troisième raison qui m’a poussé à ouvrir ce blog est résumée dans son titre : « le populaire dans tous ces états ». Je suis convaincu, en effet, qu’il s’agit-là d’un enjeu majeur quand on veut « reproblématiser » notre actualité. Voilà pourquoi la question du « populaire » (que je définis dans mon livre comme une relation de pouvoir entre ceux d’en haut et ceux d’en bas) sera le fil conducteur de mon blog.» 

Les deux premiers billets publiés depuis traitent de la question du rôle des intellectuels dans le débat public et du rapport de notre présent avec la situation politique des années 1930 :

  • Réflexions sur « la gauche identitaire » : l’origine de ce billet est la polémique récente, publiée dans le journal Le Monde (1er octobre 2018), sous le titre « La gauche s’occupe-t-elle trop des minorités ? » dans laquelle s’affrontent deux éminents universitaires : Marc Lilla, professeur de sciences humaines à l’université de Columbia (New York) et Eric Fassin, professeur de sociologie à l’université de Paris 8. Marc Lilla reprend, dans ce texte, les principaux arguments qu’il a développés dans un livre, récemment traduit en français sous le titre : La Gauche identitaire (Stock, 2018). Selon lui, la gauche américaine a abandonné la classe ouvrière au profit des minorités. Pour Noiriel, « ce genre de polémiques marginalise, et rend même inaudibles, celles et ceux qui souhaitent aborder les questions d’actualité tout en restant sur le terrain de la recherche scientifique ». En outre,

« Si nous voulons comprendre le processus qui conduit les dominés à s’affronter entre eux en pérennisant ainsi les formes de domination qu’ils subissent, il faut nécessairement prendre du recul par rapport à l’actualité et parfois même accepter de se replier dans sa « tour d’ivoire » afin d’éviter que la classe dominante exploite nos analyses pour alimenter ses discours réactionnaires. » 

  • Sommes nous dans les années 1930 ? : pour Noiriel, au-delà des calculs politiciens d’Emmanuel Macron dans la perspective des prochaines élections européennes « l’Europe est effectivement confrontée aujourd’hui à un engrenage dangereux pour la démocratie qui peut être comparé à celui des années 1930 ». Son analyse est à lire.

Deux premiers billets déjà passionnants et éloignés de tout « simplisme ».

Source : Reproblématiser l’actualité – Le populaire dans tous ses états

Classé sous :Histoire savante, Nouvelles de l'histoire, Opinions&Réflexions, Publications

Centenaire de l’armistice de 1918 : Erich Kästner, symbole des derniers soldats de l’empire allemand oubliés de l’histoire

10 novembre 2018 by Lyonel Kaufmann

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En 2008, le dernier vétéran de l’armée allemande de la Grande Guerre est mort dans l’indifférence générale. Une situation bien éloignée du traitement des poilus en France.

Un cercueil drapé de bleu-blanc-rouge, porté par onze légionnaires du 3e régiment étranger d’infanterie, fait son entrée dans la cour des Invalides, à Paris, le 17 mars 2008. Tous les drapeaux tricolores des administrations publiques sont en berne. La France rend hommage national à Lazare Ponticelli, le dernier poilu français de la Première Guerre mondiale, mort quelques jours auparavant.

Des légionnaires entourent le cercueil de Lazare Ponticelli, le dernier poilu, aux Invalides, le 17 mars 2008. (ERIC FEFERBERG / AFP)
Des légionnaires entourent le cercueil de Lazare Ponticelli, le dernier poilu, aux Invalides, le 17 mars 2008. (ERIC FEFERBERG / AFP)

Pourtant, de l’autre côté du Rhin, c’est bien dans l’oubli que sont tombés les derniers vétérans de la Grande Guerre. Ainsi, Erich Kästner, dernier soldat de l’armée impériale allemande, est mort le 1er janvier 2008, près de Cologne, à l’âge de 107 ans, dans l’indifférence générale. Un banal avis d’obsèques a été publié dans la rubrique nécrologie du journal local de Hanovre, le Hannoversche Allgemeine Zeitung, sans faire état de son passé militaire. « Après une longue vie remplie, notre père, beau-père et grand-père bien-aimé s’est éteint », peut-on simplement lire. La mort du dernier soldat allemand de la Première Guerre mondiale a bien failli passer totalement inaperçue.
— Lire la suite sur mobile.francetvinfo.fr/societe/guerre-de-14-18/centenaire-de-l-armistice-de-1918-erich-kastner-symbole-des-derniers-soldats-de-l-empire-allemand-oublies-de-l-histoire2955061.html


Classé sous :Nouvelles de l'histoire

Christian Savary : L’engagement sur Les Sentiers de la mémoire

9 novembre 2018 by Lyonel Kaufmann

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Professeur d’histoire-géographie au lycée Charles François Lebrun de Coutances (Manche), Christian Savary est aussi devenu un acteur majeur de la vie locale grâce à l’association Sentiers de la mémoire qu’il a créé en 2004. En quelques années cette association lycéenne est devenue un animateur de la petite ville normande et aussi une expérience humaine forte et fédératrice pour sa jeunesse.

Trouver du sens

Pas de chance. L’interview de Christian Savary commence alors que le président de la République vient de justifier une cérémonie en mémoire de Philippe Pétain, ex-maréchal. Et C Savary revient tout juste d’un périple qui l’a conduit, avec 84 jeunes, sur les derniers pas de Juifs baltes en passant par Riga, Vilnius, Kaunas, Treblinka, Auschwitz et Cracovie. Alors pour lui, « il est difficile de concevoir qu’en juillet on organise une grande cérémonie pour l’entrée de S Veil au Panthéon et que 4 mois plus tard on rende hommage à Pétain. C’est difficilement lisible pour les jeunes. Or le sens c’est justement ce qu’ils viennent chercher aux Sentiers de la mémoire ».

Lire la suite : Christian Savary : L’engagement sur Les Sentiers de la mémoire

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Le Canada présente ses excuses pour avoir renvoyé des Juifs vers le port d’Anvers en 1939 – Le Temps

8 novembre 2018 by Lyonel Kaufmann

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Evoquant «le poids de sa honte» devant le Parlement, le premier ministre Justin Trudeau a dénoncé la politique d’immigration discriminatoire de l’époque.

Le premier ministre canadien Justin Trudeau a présenté mercredi des excuses officielles au parlement pour le refus du Canada d’accueillir en 1939 des centaines de Juifs allemands qui cherchaient à fuir le régime nazi. Un paquebot avait été retourné en Belgique.

Le 15 mai 1939, à quelques mois du déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, le paquebot «Saint-Louis» avait quitté l’Allemagne avec près de 1000 passagers, dont 907 Allemands juifs cherchant à échapper à la persécution. Première escale du navire, Cuba leur avait refusé l’asile. Même chose aux Etats-Unis, puis au Canada, en raison d’une politique d’immigration discriminatoire à l’époque.

Le paquebot était finalement retourné vers l’Europe, accostant dans le port belge d’Anvers, d’où ses passagers avaient fini par se disperser, certains en Belgique, d’autres en France, aux Pays-Bas ou au Royaume-Uni. Parmi eux, 254 ont péri durant l’Holocauste.

A lire : Le Canada présente ses excuses pour avoir renvoyé des Juifs vers le port d’Anvers en 1939 – Le Temps

Crédit photo : l’image Justin Trudeau s’est excusé pour son pays. /REUTERS /Chris Wattie © REUTERS

Classé sous :Nouvelles de l'histoire

e-Dossier: Les 80 ans de la Nuit de Cristal | dodis.ch

5 novembre 2018 by Lyonel Kaufmann

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Les Documents diplomatiques suisses nous proposent un nouveau dossier numérique concernant les 80 ans de la Nuit de Cristal. Il pourra être complété par leur dossier consacré à La Suisse, les réfugiés et la Shoah».
La synagogue de la Börneplatz de Francfort-sur-le-Main est incendiée par une foule nationale-socialiste dans la nuit du 10 novembre 1938. Source : www.alemannia-judaica.de

«Des hordes d’adolescents armés de haches et de pieds-de-biche écumaient la ville, détruisant les vitres des magasins juifs, y pénétrant et ravageant tout à l’intérieur», rapporte Hans Dasen à la légation de Berlin, le 11 novembre 1938. Il y a 80 ans, le gérant du consulat de Suisse à Francfort est le témoin de ladite «Nuit de Cristal» (dodis.ch/46704). Ni lui, ni son collègue, le consul Franz Rudolph von Weiss, à Cologne, ne perçoivent dans ce pogrom une «réaction spontanée du peuple allemand», comme le prétend le ministre du Reich Goebbels; ils reconnaissent au contraire clairement «que cette action inhumaine à l’encontre les juifs était menée conformément à un plan établi en haut lieu» (dodis.ch/46705).

Cf. aussi le e-Dossier «La Suisse, les réfugiés et la Shoah».

Lire la suite du dossier : e-Dossier: Les 80 ans de la Nuit de Cristal | dodis.ch

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Tags: Histoire Culture unhcr liberté Education civique réfugié game serious

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