Le petit curieux: Colonisation, décolonisation: ressources vidéos
Nouvelles de l'histoire
http://static.slidesharecdn.com/swf/ssplayer2.swf?doc=qcm25nov2005-090503134637-phpapp01&stripped_ti
http://static.slidesharecdn.com/swf/ssplayer2.swf?doc=qcm25nov2005-090503134637-phpapp01&stripped_title=crer-des-exerciseurs-en-ligne
Why It’s Time to Revive a Tradition of Intellectual History
Today there is nothing intellectual about so-called American history. Public schools teach something called “social studies” instead, and colleges encourage social history that is a combination of advocacy journalism and sociology. Few professors have a larger view
Le petit curieux: Colonisation, décolonisation: ressources vidéos
Le petit curieux propose à ses élèves d’enrichir leur cours sur le colonialisme à travers quelques vidéos trouvées sur le net. Il nous propose ainsi une sélection comportant:
- Zoos humains, de Pascal Blanchard et Eric Deroo (2002)
- Le roi blanc, le caoutchouc rouge et le sang noir, de Peter Bate (2004)
- Namibia, genocide and the 2nd Reich, documentaire de la BBC (2005)
- Afrique 50, de René Vautier (1950)
- L’ennemi intime, de Florian Emilio Siri (2007)
- La bataille d’Alger, de Gillo Pontecorvo (1966)
Pour chaque film, nous disposons d’une présentation synthétique de celui-ci ainsi que d’un extrait vidéo issu de youtube, dailymotion ou google video.
Le petit curieux: Colonisation, décolonisation: ressources vidéos
Quand le prêtre formera l’instituteur, par Caroline Fourest – Opinions – Le Monde.fr
Jusqu’ici, les établissements catholiques privés pouvaient parfaitement préparer des élèves au bac, mais ceux-ci devaient passer leur diplôme avec tous les autres. Petite astuce connue des professeurs : de nombreux établissements privés choisissent de ne présenter que les meilleurs élèves sous leurs couleurs et d’envoyer les autres en candidats libres pour améliorer leur score de réussite au bac. Appâtés par des pourcentages tournant autour de 100 %, de plus en plus de parents se tournent vers ces établissements au détriment de l’école publique.
Le gouvernement fait tout pour encourager ce choix : démantèlement de la carte scolaire, baisse du nombre de professeurs dans le public… Le plan banlieue est à sec, mais on racle les fonds de tiroirs pour financer – sur fonds publics – l’ouverture de 50 classes privées catholiques dans les quartiers populaires. Un grand lycée Jean-Paul-II est sur les rails. Un collège tenu par l’Opus Dei est déjà sous contrat.
Il ne manquait plus que ça : la fin du diplôme d’Etat… Justement au moment où l’Etat annonce vouloir supprimer les IUFM, brader les concours, et remplacer leur formation par un master que pourrait préparer n’importe quel établissement privé. Comme ça, en plus de délivrer le baccalauréat, le Vatican pourra ouvrir des masters destinés directement aux futurs enseignants.
Montre l’instrumentalisation de l’histoire dans la vie quotidienne et interroge sur la pertinence de telles citations plus proches du Café du commerce que d’une histoire comparative. LeTemps.ch | H.-R. Merz derrière la ligne Villiger comme Gamelin derrière la ligne Maginot
Le G20 instrumentalisé par la place financière britannique a contourné les blockhaus bétonnés par Kaspar Villiger aussi facilement que les Allemands en mai 1940 et Hans-Rudolf Merz ne fait pas meilleure figure que Maurice Gamelin à l’époque et se trouve tout aussi dépourvu.
Voici le blog-compagnon de l’ouvrage “Apprendre avec les pédagogie coopératives”,
Voici le blog-compagnon de l’ouvrage “Apprendre avec les pédagogie coopératives”, écrit par Sylvain CONNAC
Voilà un article qui donne à penser et à réfléchir relativement à la question de l’évaluation. En plus de manière enjouée et drolatique. Brouillon de poulet pour l’âne: La technique Nado
Théoriquement, une compétence s’évalue à la fin d’une formation. L’étudiant démontre lors de son évaluation s’il a atteint ou non cette compétence. On est compétent ou on ne l’est pas. Il est ridicule de prétendre être compétent à 80 %, et encore plus de calculer la compétence moyenne d’une classe.
Par contre, pour des raisons humanitaires, il nous est interdit de soumettre nos étudiants à une seule épreuve sommative. Pourquoi ? Parce que nous vivons dans une société capitalissssssse. Pour une grande partie des étudiants, les évaluations formatives sont considérées comme des évaluations facultatives. Pour qu’ils travaillent, pour qu’ils avancent, il faut que ça paie, donc il faut que le travail compte. Les notes sont le salaire de l’étudiant. Si ça ne compte pas, ils ne le font pas. Ils ne sont pas bénévoles, même si dans les faits, ils travaillent tous à leur compte. Mais ne lançons pas trop vite la pierre aux étudiants, les profs ne sont guère mieux. Pour certains, une seule évaluation sommative serait considérée comme une seule évaluation. Finie la correction, les soirées et les fins de semaine gâchées, voilà pour un prof l’équivalent d’une belle augmentation de salaire.
C’est donc pour cela qu’il existe une politique institutionnelle des apprentissages qui stipule que les élèves doivent avoir au moins X évaluations sommatives au cours de la session. Bref, les réformes passent, le calcul des notes finales restent.
Or, il peut se produire avec cette façon de faire deux injustices graves que la technique Nado combat tout en étant juste pour les étudiants sans cheminement particulier que je qualifierai de constants.
La technique Nado consiste simplement à mettre une pondération variable et proportionnelle sur l’évaluation finale tout en lui accordant un poids minimal élevé.
Extrait du compte-rendu de l’ouvrage Historicités de François Dosse, Christian Delacroix, Patrick Garcia paru en février 2009 aux Editions de La Découverte. Le temps de l’histoire
Finalement toutes les contributions pourraient bien être réunies par cette donnée anthropologique fondamentale : l’homme est un être de significations ; il ne vit pas dans le « réel brut » ; il l’interprète. A commencer par son présent, doublement investi par un « espace d’expérience » (relation au passé) et un « horizon d’attente » (relation au futur), pour reprendre la distinction si productive de Koselleck, qui traverse tout l’ouvrage. Ce qui signifie entre autres que « la dialectique chahutée des temporalités », selon l’heureuse formule de l’introduction, pourrait bien disqualifier la définition canonique de l’histoire par Marc Bloch comme « science des hommes dans le temps »… Nouvelle perspective qui pourrait marquer la fin d’un positivisme à la peau dure, remontant à l’Ecole méthodique du XIXème siècle et nullement remis en cause par les Annales, surtout dans leur version braudelienne… On retrouve ici l’écho du courageux combat de François Dosse, -bien solitaire au départ- contre les apories de la « nouvelle histoire »
Propos d’Emmanuel Rahm, le chef de cabinet de Barack Obama à la Maison-Blanche. Obama : 100 jours, 100 réformes, une inquiétude | Mediapart
« Je ne voudrai pas être négatif sur Franklin Delano Roosevelt, mais il n’avait pas fait voter de réforme économique durant ses 100 premiers jours. Nous, nous avons fait voter le plus gros plan de relance de l’histoire de ce pays. Nous avons changé l’approche de la guerre en Irak. Et nous sommes sur le point de ratifier un budget qui permettra des changements majeurs. »