Compte-rendu par le site nonfiction.fr de l’ouvrage de F. d’Almeida et A. Rowley (2009). Et si on refaisait l’histoire. Paris: Odile Jacob
L’introduction du compte-rendu:
Comme le romancier – pour des raisons certes fort différentes – l’historien connaît «la fin de l’histoire». Si son rôle est d’interpréter le passé et d’élaborer des «faits» qui soient vraisemblables, il n’en reste pas moins limité dans ses capacités imaginatives, à la fois par la documentation dont il dispose, mais aussi par le poids (souvent oppressant) de la causalité historique. Aussi n’échappe-t-il que difficilement aux «biais rétrospectifs» et commet-il, parfois sans le savoir, cet affreux péché de «téléologie», qui consiste à comprendre des événements passés à l’aune de leur issue supposée. Cette fâcheuse tendance, F. d’Almeida et A. Rowley ont fait le pari de la pourfendre par un essai d’histoire «contre-factuelle».
Le compte-rendu complet: Et si on refaisait de lhistoire ? – Nonfiction.fr le portail des livres et des idées
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