«Blogs, journaux en ligne, réseaux sociaux… Internet permet aux chercheurs de faire connaître leurs travaux au plus grand nombre, le plus vite possible.
Les sites vedettes d’Internet,Youtube, Facebook, Wikipedia ou encore les innombrables blogs ont donné des idées aux chercheurs. Non pour s’amuser mais pour doper leur efficacité. Diffusion plus rapide et plus large des idées, débats enrichis entre scientifiques mais aussi entre spécialistes et profanes, nouveaux supports pédagogiques, organisation et partage plus efficaces de la connaissance… Le tout de façon le plus souvent gratuite et ouverte. «Le but est de faire de la meilleure science et de la diffuser le plus vite possible au plus grand nombre», estime Cameron Neylon, biochimiste de l’université de Southampton et défenseur de la science ouverte (blog. openwetware.org/science intheopen).»
Une source d’inspiration pour la HEP-VD? Mais plus encore:
«L’âme même de la recherche est atteinte par cette vague Internet. Jusqu’à récemment, le progrès scientifique passait par la publication de travaux dans des revues dites à comité de lecture : une fois présélectionnés, les articles candidats à une publication sont envoyés anonymement à des pairs qui émettent un avis motivé. Après plusieurs semaines, la décision de publication est prise. Mais, de fait, l’accès à l’information diffusée par ces revues reste restreint et payant. Plusieurs initiatives sont en train de révolutionner sur la toile ce processus lent, pas toujours transparent et souvent cher.»
Alors que la HEP-VD réfléchit à sa présence sur le net, faut-il mimer les routines anciennes ou se projeter directement dans le monde de demain?
A lire donc…