• Passer à la navigation principale
  • Passer au contenu principal
  • Passer à la barre latérale principale
  • Passer au pied de page
Histoire Lyonel Kaufmann

Histoire Lyonel Kaufmann

  • Blog
  • Mes Publications
  • Cours
    • BPSHS13 – Enseigner l’histoire au cycle 2
    • BP22SHS – Dispositifs didactiques en sciences sociales
    • BP43MEP-9 «Comment penser le monde d’aujourd’hui et de demain, par l’intermédiaire des disciplines des sciences humaines et sociales ?»
    • MSHIS11 – Didactique de l’histoire II
    • MSHIS31 – Didactique de l’histoire I
    • IP Génération Y 2014
    • Cours (Supports)
  • Planifier
    • Concevoir une «situation d’apprentissage ou d’évaluation authentique»
    • Histoire et pédagogie différenciée
    • Travaux de groupe : Check list
  • Film&Histoire
    • Réflexions : Histoire des technologies à l’école
    • Cinéastes & Historiens
    • Education médias
    • Films & Périodes
    • Vocabulaire filmique
    • Bibliographie cinéma
    • Filmographie
  • A propos

littérature

Frère d’âme : Rencontre avec la grande révélation de la rentrée littéraire, David Diop

4 novembre 2018 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

A travers l’expérience d’un jeune Africain envoyé à la boucherie, David Diop adopte un point de vue inédit sur la guerre de 14-18 et explore la douleur de l’exil. Son roman, Frère d’âme (Seuil, 176 pages), figure parmi les attendus des prix littéraires 2018. 

« Tout a commencé pour David Diop à la lecture de lettres de poilus, “chargées d’une grande émotion, car ce sont des lettres qui ont été écrites par des jeunes gens qui allaient mourir. J’ai voulu chercher des lettres équivalentes de tirailleurs sénégalais, mais je n’en ai pas trouvées. Il y a un lieu au Mali où certains effets de ces soldats auraient été conservés, dont des lettres. Mais un historien m’a confirmé que souvent celles-ci n’étaient pas intimes mais administratives. Je me suis dit que je pouvais, moi, imaginer une intimité d’un tirailleur sénégalais pendant la guerre.”

Ce sera celle d’Alfa Ndiaye, l’un des narrateurs les plus bouleversants qu’on ait pu inventer ces dernières années. Engagé volontaire, dans ce qui allait être une boucherie, pour suivre  son ami, son plus que frère, bref son “frère d’âme” Mademba Diop, il va vivre dans sa chair la violence et l’injustice de la guerre.

Si tous les jeunes gens enrôlés en auront souffert, les soldats sénégalais étaient ceux qu’on envoyaitau front en première ligne, c’est-à-dire ceux qui se faisaient tirer par les Allemands comme des lapins, ceux aussi à qui l’on ne donnait pas de manteau, puisqu’ils allaient mourir de toute façon. “Certains étaient envoyés pour couper les barbelés entre les deux lignes et là, c’était du tir au pigeon. Mais tout le monde a souffert de cette abomination.”

Dans Frère d’âme, ce sont en effet eux que le capitaine Armand sacrifie d’abord – les autres jeunes y passeront ensuite, de toute façon. Dès le début, Alfa assiste à la mort lente et atrocement douloureuse de son ami, éventré par l’ennemi “aux yeux bleus”. “Alfa Ndiaye refuse trois fois de l’achever. C’est ce moment-là qui est fatal pour lui. Alfa tombe dans une espèce de folie meurtrière, car il a perdu sa raison de faire la guerre et son meilleur ami”, raconte David Diop.» 

Source : LesInrocks – Rencontre avec la grande révélation de la rentrée littéraire, David Diop

Classé sous :Nouvelles de l'histoire, Publications Balisé avec :14-18, littérature, Première Guerre mondiale

Revue de presse : Benoît Mouchart, éditeur : “Nous avons ressuscité Corto Maltese parce qu’il relève du mythe” – Livres – Télérama.fr

12 octobre 2015 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

blank

blank

Longtemps directeur artistique du Festival international de la bande dessinée d’Angoulême, Benoît Mouchart est devenu depuis mars 2013 le directeur éditorial de Casterman.Très attaché aux personnages et aux séries qui constituent selon lui, « l’ADN » de cette grande maison, ce jeune quadra a beaucoup œuvré à la renaissance de Corto Maltese.

Pourquoi avoir ressuscité Corto Maltese ?

Parce que Corto, lui, relève du mythe. C’est un personnage romantique qui ne peut vivre que dans une époque trouble, où tout peut arriver. Il peut revivre aujourd’hui car la situation actuelle n’est pas très éloignée de celle des années 1919-36. Corto se place du côté de l’humain, pas de celui de l’idéologie. Il n’y a pas eu de cahier des charges pour sa reprise, Juan DÍaz Canales et Rubén Pellejero n’ont pas reçu de directive, sinon de réinterpréter le personnage à leur manière. Ils ont eu la délicatesse de ne pas calquer le trait de Pratt, qui d’ailleurs n’a quasiment jamais dessiné le même Corto. Ils ont tenté de retrouver le charme du personnage, de capter ce qu’il a de mythique.

L’entier de l’interview : Benoît Mouchart, éditeur : “Nous avons ressuscité Corto Maltese parce qu’il relève du mythe” – Livres – Télérama.fr

Classé sous :Opinions&Réflexions Balisé avec :blogcafé, Feedly, for, Histoire, Later, littérature, Saved

La Première Guerre mondiale : une passion littéraire française ?

5 novembre 2013 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

blank

Juste avant le début officiel des commémorations du centenaire de la Première Guerre mondiale, le Prix Goncourt décerne son prix à un roman ayant la Première Guerre mondiale comme toile de fond tout comme elle le fit en 1916 lorsqu’elle décerna son prix, reporté pour cause du déclenchement des hostilités, 1914. 

blank

En 1916, Adrien Bertrand recevait le prix Goncourt 1914 ((en raison du déclenchement des hostilités, le Prix Goncourt fut reporté en 1916)) pour son roman L’Appel du sol, publié en 1914 et  dans lequel on suit les étapes significatives de la vie d’un bataillon français de chasseurs alpins et en 1916 toujours, quelques jours après sa parution chez Flammarion, Le Feu (sous-titré Journal d’une escouade)  d’Henri Barbusse recevait le Prix Goncourt.

Le roman et le parcours d’Adrien Bertrand ne manquent pas de singularité. Sa biographie ((http://fr.wikipedia.org/wiki/Adrien_Bertrand)) nous apprend qu’Adrien Bertrand

«Après des études à l’École alsacienne, Adrien Bertrand commença sa carrière en tant que journaliste pour plusieurs journaux d’actualité et littéraires où il exposa ses idées socialistes et diffusa ses poèmes surréalistes. […]. Blessé en 1914, il meurt des suites de cette blessure en 1917. Il est inhumé dans le caveau familial à Nyons où une rue porte désormais son nom.»

Sur son blog, Federico Trabaldo nous indique que pacifiste Bertrand ne put résister à l’appel du sol, du sol de sa patrie, et partit au front, âgé d’à peine 25 ans ((Un jour, un Goncourt : L’appel du sol, Adrien Bertrand)). Son parcours est semblable à celui d’Henri Barbusse ((http://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_Barbusse)) qui, en 1914, âgé de 41 ans et malgré des problèmes pulmonaires, s’engage volontairement dans l’infanterie malgré ses positions pacifiques d’avant-guerre. Le Feu, prix Goncourt 1916, est le récit de son expérience sur la Première Guerre mondiale. Son réalisme souleva les protestations du public de l’arrière autant que l’enthousiasme de ses camarades de combat.

Dans «l’Appel du sol» de Bertrand, on suit les étapes significatives de la vie d’un bataillon français de chasseurs alpins et les doutes perpétuels des hommes : « Que faisons-nous là ? ».  Au fil des pages, Adrien Bertrand fait comprendre à son lecteur «que le bataillon sera détruit pendant l’assaut final, que ses chefs seront tués ; les héros de cette troupe en sont d’ailleurs conscients : c’est leur destin de périr sur ce champ, dans cette tranchée, par amour de leur pays» ((Un jour, un Goncourt : L’appel du sol, Adrien Bertrand)).

Pour le lecteur d’aujourd’hui, «l’Appel du sol» et «Le Feu» illustrent parfaitement le patriotisme relatif à l’époque de la Première Guerre mondiale. L’attribution du Prix Goncourt en témoigne comme probablement le parcours de leurs deux auteurs, pacifistes avant la guerre et engagés volontaires au moment du déclenchement de celle-ci. Par ailleurs, après la guerre, Henri Barbusse fut l’instigateur en 1932, avec Romain Rolland, du mouvement pacifiste Amsterdam-Pleyel ((http://fr.wikipedia.org/wiki/Mouvement_Amsterdam-Pleyel)). Là aussi, la trajectoire d’Henri Barbusse est comparable à celle de nombreux anciens combattants.

blank
Paul Castelnau (1880–1944). Tranchée de première ligne : groupe de poilus devant l’entrée d’un abri, Hirtzbach, 16 juin 1916. Réunion des musées nationaux

En 2013, trois jours avant le début officiel en France des commémorations par François Hollande ((14-18: un Centenaire très populaire | Libération)) du centenaire de la Première Guerre mondiale, Pierre Lemaitre se voit attribuer le Prix Goncourt pour son roman Au revoir là-haut et apparaît déjà comme un premier hommage au centenaire. En effet, ce roman s’articule autour du destin de deux rescapés démobilisés de la Première Guerre mondiale.

Albin Michel ((http://www.albin-michel.fr/Au-revoir-la-haut-EAN=9782226249678)) nous présente ce roman de la manière suivante :

«Sur les ruines du plus grand carnage du XXe siècle, deux rescapés des tranchées, passablement abîmés, prennent leur revanche en réalisant une escroquerie aussi spectaculaire qu’amorale. Des sentiers de la gloire à la subversion de la patrie victorieuse, ils vont découvrir que la France ne plaisante pas avec ses morts…
Fresque d’une rare cruauté, remarquable par son architecture et sa puissance d’évocation, Au revoir là-haut est le grand roman de l’après-guerre de 14, de l’illusion de l’armistice, de l’État qui glorifie ses disparus et se débarrasse de vivants trop encombrants, de l’abomination érigée en vertu.
Dans l’atmosphère crépusculaire des lendemains qui déchantent, peuplée de misérables pantins et de lâches reçus en héros, Pierre Lemaitre compose la grande tragédie de cette génération perdue avec un talent et une maîtrise impressionnants.»

Mais aujourd’hui comme hier, le roman de Lemaître illustre avant tout l’air et les préoccupations du temps de sa rédaction ((Goncourt : l’art français du roman de guerre | Huffington Post)) :

«Si j’ai choisi cette après-guerre, c’est parce que j’étais frappé par la similitude entre cette période et la nôtre. Il y a quelque chose d’assez commun et d’assez troublant.»

«Dans les années 1920, pendant le retour des vétérans, la France n’est pas en mesure de les intégrer. Aujourd’hui, il y a toute une population qui se trouve en risque de précarité, menacée d’exclusion. Ce sont ces gens qui deviennent les nouveaux pauvres de l’époque.»

Si avant 2008 et la mort des derniers poilus, les travaux historiques s’inscrivaient dans une perspective comparatiste ((Corinne François-Denève, « 1914-1920 : Retrouver la guerre ? », Acta fabula, vol. 7, n° 5, Octobre 2006, URL : http://www.fabula.org/revue/document1660.php.)), les romans de 2013 consacrés à la Première Guerre mondiale s’inscrivent plutôt dans un égotisme propre à notre époque.

S’il veut faire saisir l’air de 1914, l’enseignant ferait mieux de se reporter aux romans d’Adrien Bertrand et d’Henri Barbusse ainsi qu’à la littérature de témoignages, produite par les poilus. Par contre, s’il veut saisir la configuration mémorielle du centenaire, il est probable que les romans et publications de 2013 soient un guide intéressant.

Classé sous :Nouvelles de l'histoire, Opinions&Réflexions, Publications Balisé avec :14-18, 1914-1918, Histoire&Littérature, littérature

Colloque : Histoire et littérature, regards croisés (26-28 mai 2011)

29 avril 2011 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

blank

L’Institut français d’éducation organise un colloque international qui se déroulera du 26 au 28 mai 2011 à l’IFÉ à Lyon. Ce colloque questionnera les relations entre histoire et littérature(s) et interrogera l’épistémologie et l’enseignement de deux disciplines connexes ou rivales parfois.

Cette manifestation s’articulera autour de trois axes :

  • AXE 1. Littérature et histoire, continuités de l’interdisciplinarité
  • AXE 2. Les corpus : du cours de littérature au cours d’histoire et retour…
  • AXE 3. Entre histoire et fiction : la fabrique du réel

Parmi les communications prévues et le programme fort riche, je signale plus particulièrement:

  • Marie-France Rossignol et Brigitte Marin, université de Paris-Est-Créteil, IUFM : Enseigner l’humanisme et la Renaissance en français et en histoire, un commerce équitable ?
  • Kahina Bouanane, université d’Oran (Algérie) : La construction du réel entre contenu historique et trame narrative ?
  • Maryse Vuillermet, université Claude-Bernard Lyon 1, IUFM : Albums et problématiques historiques : comprendre l’histoire et ses enjeux ?
  • Catherine Jorgensen, université Montpellier 2, IUFM : Le personnage historique dans le roman du XIXe et XXe siècles
  • Patricia Victorin et Thomas Granier, université Paul Valéry Montpellier 3 : La « fabrique du chevalier » : apport de l’histoire et de la littérature médiévales
  • Laurent Bazin, université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines : Didactique du possible : place de l’uchronie dans l’enseigne- ment des lettres et de l’histoire
  • Jean-François Py, université Claude-Bernard Lyon 1 : Fiction/peinture/histoire
  • Solveig Lepoire et Angelina Ogier, université Claude-Bernard Lyon 1, IUFM : Lecture interdisciplinaire d’un roman historique
  • Sylvie Brodziak, université de Cergy-Pontoise : L’écriture fictionnelle du retour : quelles traces pour l’histoire ?
  • Dominique Briand et Gérard Pinson, université de Caen Basse-Normandie, IUFM : Du roman à son adaptation cinématographique, du film à l’enseignement de l’histoire de la Grande Guerre à partir du roman
  • Pierre Bessagnet, université Toulouse 2 – Le Mirail, IUFM : Didier Daeninckx : écrire en franc-tireur pour garder trace des oubliés de l’Histoire

Pour l’ensemble du programme et les inscriptions (jusqu’au 22 mai 2011), le site de l’IFÉ de Lyon : Histoire et littérature, regards croisés : enseignement et épistémologie.

Classé sous :Didactique, Nouvelles de l'histoire, Opinions&Réflexions Balisé avec :Films&Histoire, Histoire&Fiction, Histoire&Littérature, littérature, roman historique

Tolkien médiéval | La vie des idées

25 février 2010 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

blank

blankCe compte-rendu de la Vie des idées porte sur l’ouvrage Tolkien et le Moyen Âge, recueil d’articles rédigés par des étudiants en master et doctorat sous la direction de Leo Carruthers, professeur d’anglais à Paris IV Sorbonne et directeur du Centre d’Etudes Médiévales Anglaises (CEMA). Les différents articles de ce recueil traite de l’œuvre de Tolkien dans ses rapports avec le monde médiéval. On trouve ainsi un article de Claire Jardillier sur “Les échos arthuriens dans Le Seigneur des Anneaux” aux pages 143-169 ou un autre article de Dino Meloni, sur Arda et l’inspiration antique et médiévale de son architecture et de ses édifices (p. 237-262) Les derniers articles tentent eux une incursion hors du champ littéraire pour s’attaquer à des thématiques culturelles (la féodalité, les armes et armures, la musique et la poétique, l’architecture, la magie et la médecine) spécifiques de la période médiévale.

Au final, tant le compte-rendu que le recueil d’articles —même si pour la Vie des idées il n’est pas sans certains défauts—  intéresseront les enseignants d’histoire concernant une œuvre littéraire et maintenant cinématographique qui fait partie de l’univers des adolescents et des jeunes (et moins jeunes) adultes.

via Tolkien médiéval – La vie des idées.

Classé sous :Médias et technologies, Nouvelles de l'histoire, Publications Balisé avec :Films&Histoire, littérature, monde médiéval, moyen-âge, Mythe&Histoire, Mythes, Seigneur des Anneaux, Tolkien

Le fantôme d’Arthur Bloch n’a pas fini de hanter les Payernois

6 février 2009 by Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

blank

Aujourd’hui, la Rue-à-Thomas a effacé toute trace de sa sordide histoire. En 1942, à la place du parking, une écurie allait rendre Payerne sinistrement célèbre. Le Bernois Arthur Bloch a été assassiné à cet endroit par cinq habitants de Payerne parce qu’il était juif. Son corps a été découpé, puis caché dans des boilles à lait et jeté dans le lac de Neuchâtel. Le crime a bouleversé toute la région. Créant la polémique, Jacques Chessex a choisi de conter cette histoire dans son dernier roman, «Un Juif pour l’exemple». En 1977, un documentaire de la TSR (Télévision suisse romande), consacré à cette affaire, avait déjà ramené Payerne à la mémoire.

Faut-il arrêter avec cette histoire? Oui pour certains. Mais que penser des propos de certains à l’égard des Kosovars ou des Cap-Verdiens?

«Maintenant, les embrouilles on les a avec les Albanais et les Kosovars. Ils veulent montrer qu’ils sont les meilleurs alors moi je ne les porte pas dans mon cœur», explique Michael, l’ancien skinhead. Fils d’un immigré espagnol, Miguel, lui, dit rencontrer souvent des problèmes avec les étrangers. «Il pourrait se passer aujourd’hui à Payerne la même chose qu’il s’est passé en 1942. S’il faut en arriver là pour qu’ils comprennent…»

Est-on sûr d’avoir intégré les leçons de l’histoire et du «plus jamais cela»?

Le fantôme d’Arthur Bloch n’a pas fini de hanter les Payernois | Vaud | 24 heures

Classé sous :Nouvelles de l'histoire Balisé avec :antisémitisme, Café histoire, Histoire 2.0, HistoireSuisse, JacquesChessex, littérature, nazisme, Payerne, racisme, tumblr.

Barre latérale principale

Avatar de Lyonel Kaufmann

Derniers articles

building castle figures facade

Est-ce que tout le monde peut faire de l’histoire?

7 octobre 2023 Par Lyonel Kaufmann

Nota Bene et Manon Bril (C’est une autre histoire), deux youtubeur·euses, ont réalisé en 2018 cette capsule vidéo intitulée Est-ce que tout le monde peut faire de l’histoire? Pour les étudiant·es du Bachelor primaire, cette capsule offre une utile révision sur certains éléments abordés au BP13SHS, plus particulièrement au cours 1 et 2. Pour les […]

blank

Du Sang dans la clairière, une nouvelle façon de présenter la trajectoire du groupe Manouchian en BD – Cases d’histoire

5 décembre 2023 Par Lyonel Kaufmann

21 février 1944, Marcel Rajman meurt fusillé par les Allemands en compagnie de ses camarades du groupe Manouchian. Résistants recherchés par les polices allemandes et françaises, ces hommes et ces femmes n’ont cessé de harceler les forces d’occupation depuis 1942. L’histoire n’est pas inédite en bande dessinée, mais avec Du Sang dans la clairière, Tal […]

blank

Les pratiques féministes de la radio et leurs contextes, 1975-2000

28 novembre 2023 Par Lyonel Kaufmann

Conservés aux Archives contestataires, les fonds des émissions de radio féministes Radio Pleine Lune et Remue-Ménage témoignent d’une prise de parole à contre-courant, diffusée sur les ondes de Radio Zones au cours des années 1980 et 1990. S’inscrivant dans un contexte de libéralisation des ondes et de facilitation d’accès à la technique, les émissions de radios associatives (dites « libres ») et leur […]

blank

Sur le travail de récolte des témoignages de survivant·es de la Shoah par l’équipe de Steven Spielberg et leurs derniers développements

25 novembre 2023 Par Lyonel Kaufmann

Où quand je redécouvre un passage du livre La mémoire saturée (2013) de Régine Robin sur les témoignages recueillis par Spielberg de survivant·es de la Shoah et que je le replace en rapport avec la recréation de témoignages au moyen de l’Intelligence artificielle (IA) recourant à des procédés comparables à ceux utilisés par ChatGPT pour […]

blank

ChatGPT testé en matière de génération de textes et d’images pour l’archéologie

24 novembre 2023 Par Lyonel Kaufmann

AktArcha est le blog de recherche du projet Actrices de la recherche archéologique entre sciences humaines et sciences naturelles : Sur le terrain, en laboratoire, au bureau (AktArcha). L’objectif du projet est de rendre visibles les femmes innovantes et leurs réalisations dans le domaine de l’archéologie de la fin du 18e siècle au 21e siècle. […]

War and Peace on Mercury (NASA, MESSENGER, 06/27/11)

Quand la guerre à Gaza s’invite dans la salle de classe

23 novembre 2023 Par Lyonel Kaufmann

“Dans chaque guerre, on crée une image de l’ennemi, et la désinformation qui circule sur les réseaux sociaux renforce cette image, souligne Erik de Soir. Les écoles ont ce rôle essentiel : elles doivent mettre en lumière le processus qui conduit la personne la plus honnête à se métamorphoser en bête.” Se taire est un luxe […]

blank

Tous les récits du monde – La Vie des idées

17 novembre 2023 Par Lyonel Kaufmann

Sebastian Conrad, professeur d’histoire globale à la Freie Universität de Berlin, est spécialiste d’histoire intellectuelle et a notamment travaillé sur l’Allemagne et le Japon. Ses éclairages sur les liens entre le nationalisme allemand et la mondialisation ont largement renouvelé l’histoire nationale. Et c’est en praticien confirmé de l’histoire globale qu’il a proposé, en 2016, l’ouvrage […]

blank

35% of college students are using AI tools to help them with their studies | ZDNET

8 novembre 2023 Par Lyonel Kaufmann

La pandémie a jeté un frein aux parcours éducatifs de nombreux étudiants, et maintenant ils dépendent d’outils comme l’IA pour combler le fossé. Quatre étudiants sur cinq ont déclaré avoir utilisé les médias sociaux ou ChatGPT pour étudier et trouver du contenu lié à leurs cours. Plus précisément, 35 % des élèves ont déclaré avoir […]

Abonnez-vous à ce blog par e-mail.

Saisissez votre adresse e-mail pour vous abonner à ce blog et recevoir une notification de chaque nouvel article par e-mail.

Archives

Creative Commons License
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons. Lyonel Kaufmann 2004-2023

Footer

Calendrier des publications

décembre 2023
L M M J V S D
 123
45678910
11121314151617
18192021222324
25262728293031
« Nov    

Articles par catégories

  • Cours et séminaires (67)
    • BP110 – Faire de l'histoire aujourd'hui (30)
    • BP13/22SHS Enseigner les sciences humaines et sociales aux cycles 1 et 2 (14)
  • Didactique (1 344)
    • CartoDidacHistoire (3)
    • Enseignement à distance (33)
    • Histoire active (243)
    • Histoire savante (481)
    • Opinions&Réflexions (581)
    • Outils enseignement (303)
    • Patrimoine scolaire (5)
    • Publications (368)
  • Humanités Digitales (147)
    • EdNum (11)
    • histodons (15)
  • Médias et technologies (999)
    • Annuaire de sites (249)
    • Ludovia (50)
    • sur le web (277)
  • Nouvelles de l'histoire (1 608)

Chercher dans le site

Abonnez-vous à ce blog par e-mail.

Saisissez votre adresse e-mail pour vous abonner à ce blog et recevoir une notification de chaque nouvel article par e-mail.

Creative Commons License
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons. Lyonel Kaufmann 2004-2023

Creative Commons License Ce contenu est mis à disposition sous un contrat Creative Commons. Lyonel Kaufmann 2004-2023.
Thème Genesis Sample de Genesis Framework · WordPress · Se connecter

 

Chargement des commentaires…