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Revue de presse : Les Raisins de la colère en version restaurée au cinéma dès aujourd’hui
Le film américain Les Raisins de la colère (The Grapes of Wrath), réalisé par John Ford en 1940 sera en salles en version restaurée dès le 20 avril 2016. Sorti sur les grands écrans français le 31 décembre 1947, ce film est une adaptation du roman éponyme de John Steinbeck du même nom, publié en 1939 et récompensé du prix Pulitzer l’année suivante.
via Actualitté : Les Raisins de la colère en version restaurée, au cinéma dès aujourd’hui
Revue de presse : Les Inrocks – « Les victimes de l’histoire en appellent plus à la connaissance qu’à la reconnaissance »
Un extrait de « Shoah » de Claude Lanzmann
Grand historien de la seconde guerre mondiale, auteur d’essais décisifs sur la mémoire de Vichy – Le syndrome de Vichy de 1944 à nos jours, Vichy, un passé qui ne passe pas -, Henry Rousso s’interroge aujourd’hui sur les usages actuels de l’histoire et les politiques de mémoire en France. Son livre important, Face au passé, essai sur la mémoire contemporaine (Belin) tente de comprendre le sens d’un investissement collectif inédit pour prendre en compte, les séquelles des traumatismes du passé. Un plaidoyer vif pour la connaissance du passé, intégrant elle-même la question du silence des victimes.
L’entretien d’Henry Roussy par les Inrocks : Les Inrocks – « Les victimes de l’histoire en appellent plus à la connaissance qu’à la reconnaissance »
Revue de presse : Voyages au front (La France en guerre 1914-1915), Edith Wharton | LA GRANDE GUERRE EN DESSINS
Le 1er août 1914, Edith Wharton, installée en France depuis 1907, est à Paris. « L’air est lourd de rumeurs », les nouvelles de la veille sont mauvaises. Elle décrit cette matinée avec « partout l’atmosphère [qui] s’alourdit d’une appréhension grandissante ».
Dans l’après-midi, elle observe les badauds devant les affiches de « Mobilisation générale », calmes et peu nombreux. C’est un bouleversement pour une nation entière mais aussi pour cette femme libre, aimant profondément la France, américaine de naissance et sensible à la beauté des arts et de la littérature du vieux continent.
Lorsque la guerre éclate, Edith Wharton a 52 ans. Elle est l’auteure à succès d’une œuvre décrivant le monde qu’elle connait le mieux : le sien. En 1913, elle a gagné définitivement sa liberté au prix d’un divorce, peu courant pour l’époque.
Durant la guerre, elle effectuera 6 voyages sur le front qui sont présentés par LA GRANDE GUERRE EN DESSINS
Voyages au front (La France en guerre 1914-1915), Edith Wharton | LA GRANDE GUERRE EN DESSINS
Revue de presse : La classe inversée en Histoire pour « redonner à l’élève le plaisir de travailler » » VousNousIls
Alexandre Balet a mis en place une forme originale de classe inversée. Les élèves ont le choix des « blocs d’apprentissage ». Pour « retrouver le plaisir de travailler ».
Au fil du temps, le projet d’A. Balet finit par dépasser le simple visionnage en amont d’une vidéo. L’enseignant a créé un système basé sur des “blocs d’apprentissage”.
Un bloc d’apprentissage correspond à une séance. Ensemble, plusieurs blocs forment une séquence pédagogique (chapitre). “Dans chaque bloc, il y a 3 étapes : ‘avant la classe’, ‘pendant la classe’ et ‘après la classe’. Pour chaque étape, il y a des activités à réaliser’”, décrit A. Balet.
“L’originalité tient dans le choix donné aux élèves : ils vont pouvoir faire ces blocs d’apprentissage dans l’ordre qu’ils souhaitent, et non suivant un plan linéaire. Ce qui les motive énormément”, indique l’enseignant.
Dans chaque bloc, “les activités sont également au choix. Ce sont des ‘parcours’ qui permettent de travailler les mêmes compétences, mais avec des niveaux de difficulté et des thèmes différents”.
Un exemple ici convaincant de classe inversée et en histoire.
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Revue de presse : Le site L’Histoire par l’Image offre une nouvelle version plus lisible, plus intuitive et plus connectée à l’écosystème RMN-GP
Dans la continuité de la refonte des différents sites internet de la galaxie ‘‘Grand Palais’’ engagée depuis 2013, L’Histoire par l’Image se renouvelle à son tour dans une version dévoilée le mercredi 13 avril 2016. Dans un souci de modernisation et d’ergonomie, le site a été totalement refondu et réactualisé afin de correspondre aux nouveaux usages du web.
La refonte concerne à la fois la technologie utilisée pour gérer l’interface, l’ergonomie du site qui facilite la prise en main par l’utilisateur, et l’identité même du site, grâce à un nouveau design et à un nouveau logo. La lisibilité des études se voit donc améliorée, les outils de navigation sont optimisés, la richesse du contenu, toujours grandissant, est plus largement mis en avant en renforçant l’offre cross-média. Le site s’en trouve donc plus simple d’accès et plus intuitif et est désormais adapté aux interfaces mobiles (responsive design).
De plus, L’Histoire par l’image renouvelé s’intègre plus facilement dans l’écosystème numérique de la Rmn-GP, permettant à un autre site de la galaxie de récupérer tout ou partie des informations.
Service public entièrement gratuit, L’Histoire par l’image s’adresse à tous, famille, amateur d’art et d’histoire, enseignant, élèves, étudiants… pourvu que l’on désire accroître ses connaissances historiques et artistiques, en découvrant les collections des musées et des fonds d’archives. Mis en ligne en novembre 2001, le site propose à ce jour plus de 1 335 études portant sur 2 466 œuvres des collections nationales, accompagnées de 119 animations audiovisuelles. Il compte plus de 3,2 millions de visites par an et pour tout lire, il faudrait 5 308 heures, soit 221 jours complet !
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Revue de presse : Benoît Mouchart, éditeur : “Nous avons ressuscité Corto Maltese parce qu’il relève du mythe” – Livres – Télérama.fr
Longtemps directeur artistique du Festival international de la bande dessinée d’Angoulême, Benoît Mouchart est devenu depuis mars 2013 le directeur éditorial de Casterman.Très attaché aux personnages et aux séries qui constituent selon lui, « l’ADN » de cette grande maison, ce jeune quadra a beaucoup œuvré à la renaissance de Corto Maltese.
Pourquoi avoir ressuscité Corto Maltese ?
Parce que Corto, lui, relève du mythe. C’est un personnage romantique qui ne peut vivre que dans une époque trouble, où tout peut arriver. Il peut revivre aujourd’hui car la situation actuelle n’est pas très éloignée de celle des années 1919-36. Corto se place du côté de l’humain, pas de celui de l’idéologie. Il n’y a pas eu de cahier des charges pour sa reprise, Juan DÍaz Canales et Rubén Pellejero n’ont pas reçu de directive, sinon de réinterpréter le personnage à leur manière. Ils ont eu la délicatesse de ne pas calquer le trait de Pratt, qui d’ailleurs n’a quasiment jamais dessiné le même Corto. Ils ont tenté de retrouver le charme du personnage, de capter ce qu’il a de mythique.
L’entier de l’interview : Benoît Mouchart, éditeur : “Nous avons ressuscité Corto Maltese parce qu’il relève du mythe” – Livres – Télérama.fr
Revue de presse : 85.000 vidéos de British Pathé en accès libre sur Youtube, une collection historique
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85.000 vidéos de British Pathé en accès libre sur Youtube, une collection historique