Comment enseigner la guerre d’Algérie dans les salles de cours, alors même que cette histoire est sujette à des débats encore très vifs. Benoit Falaize, professeur agrégé d’histoire à l’Université de Cergy-Pontoise, spécialiste de l’enseignement des sujets controversés, s’est longuement penché sur le sujet du traitement de cet événement dans les manuels scolaires d’histoire français. Interview.
Via tempsreel.nouvelobs.com
Blog
Algérie-France, mémoires sous tension
Histoire commune entre les deux pays, la guerre d’Algérie n’est pas encore une histoire partagée. La réconciliation est difficile tant le cloisonnement des mémoires est fort. Un texte de Benjamin Stora
Il y a 50 ans : la fin de la guerre d'Algérie
18 mars 1962.
Au bord du lac Léman, à l’hôtel du Parc dans la ville d’Evian, Louis Joxe, Robert Buron et Jean de Broglie, les négociateurs désignés par le général de Gaulle, et le vice-président du GPRA (Gouvernement provisoire de la république algérienne), Krim Belkacem, signent les accords d’Evian qui mettent fin à ce qu’on appelle encore à l’époque les événements d’Algérie. Le 3 juillet, le général de Gaulle proclame l’indépendance. C’est la liesse dans les villes et villages d’Algérie, les postes de radios crépitent, les youyous résonnent, les drapeaux sont de sortie et les slogans à la gloire de la nation fusent. C’est enfin « la paix ».
Source : 50 ans après la fin de la guerre d’Algérie, que reste-t-il ? | Le Nouvel Observateur
A débattre : Guerre d’Algérie : doit-on expliquer aux élèves la violence coloniale ? | Le Nouvel Observateur
Un an avec une tablette… | Veille et Analyse TICE
A l’issue d’une année d’usage personnel, je réfléchis à la transposition de cette expérience dans le monde de l’enseignement/apprentissage. Et là je suis forcé de constater que, malgré ses insuffisances, les choix des concepteurs, les promesses d’un véritable outil nomade à portée de la main se réalisent enfin.
La pédagogie inversée | Infobourg.com
La ZoneTIC du Cégep Lévis-Lauzon décrit la « pédagogie inversée » (ou classe renversée, flipteaching, reverse instruction) comme ceci : une stratégie d’enseignement où la partie magistrale du cours est donnée à faire en devoir à la maison, alors que les traditionnels devoirs (travaux, problèmes et autres activités) sont réalisés en classe. Quel est l’intérêt? Lorsque les élèves appliquent ce qu’ils ont appris à l’école en faisant leurs devoirs à la maison, ils rencontrent parfois des difficultés et des questionnements qu’ils ne rapportent pas toujours à l’école le lendemain. De plus, la collaboration entre pairs n’est pas toujours facile à cause des horaires de chacun. Les adeptes de la pédagogie inversée préfèrent donc que les élèves utilisent le temps de classe pour construire, collaborer, lancer des défis, remettre en question leurs apprentissages plutôt que de s’asseoir et écouter.
via La pédagogie inversée | Infobourg.com – TIC, actualité, grands dossiers et ressources en éducation.
Décrypter les images — Éduscol Numérique
Via Scoop.it – histoire
La Ligue de l’enseignement et l’Institut des images sont à l’origine d’un portail spécifique d’éducation aux images, [decryptimages]. Ce portail dirigé par Laurent Gervereau est composé de deux grandes parties : la première partie est consacrée aux analyses (repères en histoire du visuel, modules pédagogiques, analyse d’images par tranche d’âge, pistes de formation) et la seconde est davantage axée sur les ressources et les références en matière iconographique au sens large ( portail de ressources en ligne, corpus d’images) . Le site présenté comme « un lieu d’accueil, de confrontations, d’échanges » sans publicité s’enrichit grâce aux contributions plurielles des internautes. Il constituera une ressource de référence pour la 23ème édition de la Semaine de la Presse qui est consacrée au thème : « Des images pour informer ».
Via www.eduscol.education.fr
Les représentations de l’ennemi et du combat dans les dessins animés soviétiques de 1941
Via Scoop.it – histoire
La Seconde Guerre mondiale eut un impact considérable sur la production culturelle des pays impliqués dans le conflit. Devant l’ampleur de la menace, les autorités soviétiques n’ont pas hésité à mobiliser le milieu artistique afin de relayer un discours patriotique projetant une image particulière de l’ennemi. Les dessins animés qui ont été produits en 1941, lorsque débute l’invasion du territoire soviétique par l’armée allemande, intègrent certaines thématiques liées à la représentation de l’ennemi et du combat dans une double perspective de pédagogie militaire et de création d’une fiction de la victoire.
Via amnis.revues.org
Cabinet de curiosités
Via Scoop.it – histoire
Etrangetés des XVIIe et XVIIIe siècles glanées ici et là au détour de la toile. Tient comme la photo que j’ai choisie pour illustrer cette découverte, il s’agit d’une montre en forme de crane (Genève, 1640-1650). Charmant, non?
Via oniromanie.tumblr.com
La Révolution Française par l'image 1789-1799
Via Scoop.it – histoire
Un site personnel « sans prétention » (selon son auteur) qui « recense documents et représentations sur la Révolution française ». On y trouvera notamment des tableaux (de l’époque révolutionnaire, mais aussi du XIXe siècle), des reproductions de documents, des « bonus musicaux » intéressants…
Via 1789-1799.blogspot.com
Un an après : les origines numériques de la « Révolution arabe » | Culture et politique arabes
Via Scoop.it – histoire
En réaction à des commentaires trop rapides sur le rôle des réseaux sociaux dans les événements de Tunisie et d’Égypte, CPA mettait en ligne un billet à propos des origines culturelle numériques de la Révolution arabe. Qu’en est-il un an plus tard, sachant qu’on en est toujours à se demander si le mot « révolution », souligné par une majuscule, est bien celui qui convient pour parler de changements politiques toujours très incertains ? Faut-il employer le singulier, pour un mouvement qui a embrasé toute la région, ou bien le pluriel, chaque pays se caractérisant par une situation singulière ?
Via cpa.hypotheses.org