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Histoire Lyonel Kaufmann

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Les séries, cette culture populaire qui nous éduque

19 novembre 2019 by Lyonel Kaufmann

Les séries sont une nouvelle école de philosophie. C’est la thèse soutenue par la philosophe Sandra Laugier dans son ouvrage « Nos vies en séries ». Un livre qui place ce genre au cœur de la culture populaire d’aujourd’hui.

Selon Sandra Laugier, la série, qui a longtemps été considérée comme un sous-genre un peu débilisant, est devenue LE cœur de la culture populaire et en tant que tel une source essentielle d’éducation morale, sociale et politique. Il a même supplanté le cinéma pour Sandra Laugier.

Ce qui fait des séries des outils d’éducation politique et morale, c’est aussi qu’elles donnent des rôles majeurs aux minorités: qu’elles soient de genre, de sexualité, raciales ou sociales.

L’ouvrage : « Nos vies en séries, Philosophie et morale d’une culture populaire », Sandra Laugier (Editions Flammarion).

La chronique culturelle de La Matinale : Les séries, cette culture populaire qui nous éduque – rts.ch

Crédit photo : Photo par Tina Rataj-Berard sur Unsplash

Classé sous :Médias et technologies, Opinions&Réflexions, Outils enseignement

Histoire médiévale et bande dessinée, avec Fanny Madeline et Valérie Theis

18 novembre 2019 by Lyonel Kaufmann

Paroles d’histoire nous offre un très intéressant podcast autour de l’histoire médiévale en bande dessinée à l’occasion de la sortie de deux volumes de l’histoire dessinée de la France aux éditions La Découverte. A écouter sans modération.

Croisades et cathédrales, d’Aliénor à Saint Louis ; À la vie, à la mort, des rois maudits à la guerre de cent ans
Croisades et cathédrales, d’Aliénor à Saint Louis ; À la vie, à la mort, des rois maudits à la guerre de cent ans

Les invitées : Fanny Madeline, maître de conférences à l’université Paris-I ; Valérie Theis, professeur à l’ENS (Paris)

Le podcast :

http://content.blubrry.com/parolesdhistoire/bd.mp3

Le fichier : http://content.blubrry.com/parolesdhistoire/bd.mp3

Parmi les thèmes abordés, notons plus particulièrement :

  • Une collection qui a une identité forte, et qui fait souvent usage de narrateurs placés au sein du récit : le choix, ici, de la Mort comme narratrice pour le tome 8 (4’00), et de deux voyageurs pour le tome 7 (6’00)
  • Le jeu avec les représentations médiévales et le « médiévalisme », avec des clins d’œil aux Monty Python ou au Septième sceau (7’10)
  • À quels lecteurs-lectrices s’adressent les albums, avec quels niveaux de lecture ? (12’40)
  • Les codes graphiques très différents des deux livres, et ce qu’ils permettent de montrer du Moyen âge ; comment s’est fait le travail avec les artistes (17’20)
  • Les dessins de paysages et de villes médiévales du tome 7 (22’30)
  • Des images qui prennent parfois le contrepied des clichés sur un Moyen âge crasseux ou obscurantistes (27’15)
  • Une narration dans le tome 7 qui est davantage géographique que chronologique (30’10)
  • mais finalement presque tout…

Les parutions : Croisades et cathédrales, d’Aliénor à Saint Louis ; À la vie, à la mort, des rois maudits à la guerre de cent ans (t. 7 et 8 de l’Histoire dessinée de la France, éditions La découverte / La revue dessinée)

Source : http://parolesdhistoire.fr/index.php/2019/11/13/80-histoire-medievale-et-bande-dessinee-avec-fanny-madeline-et-valerie-theis/

Classé sous :Histoire active, Outils enseignement, Publications

Ouvrage : Michelle Perrot : Le chemin des femmes

17 novembre 2019 by Lyonel Kaufmann

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Grèves ouvrières, révoltes carcérales, luttes féministes : pionnière de la recherche sur ces sujets, l’historienne a supervisé la sélection de ses textes les plus emblématiques consacrés aux pans délaissés des mouvements sociaux.

Michelle Perroten septembre 2018. Photo Vincent Muller. Opale. Leemage
Michelle Perroten septembre 2018. Photo Vincent Muller. Opale. Leemage

Paru dans la collection Bouquins, Le Chemin des Femmes retrace l’impressionnant parcours d’une carrière d’historienne que Michelle Perrot elle-même se refuse à qualifier de bilan pour lui préférer le terme d’«itinéraire» ou de «trajet». C’est aussi un portrait, celui d’une conscience raccord avec son époque, empreinte d’engagement et d’un désir inlassable de contribuer à l’avancée de la recherche sur des pans délaissés.

L’ouvrage : Michelle Perrot Le chemin des femmes Avant-propos de Josyane Savigneau. Robert Laffont «Bouquins», 1 184 pp., 32 €.

-À lire : Michelle Perrot, l’histoire en marges – Culture / Next

Classé sous :Publications

Conférence : L’enseignement des SHS est-il soluble dans les Humanités numérique ? Et inversément.

14 novembre 2019 by Lyonel Kaufmann

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Le 5 septembre dernier à l’occasion de la 2ème journée romande des didactiques SHS. Penser les SHS pour la “génération Z”… et au delà ? à la HEPVS, Saint-Maurice, je suis intervenu relativement à la question des rapports et rapprochements possibles entre un enseignement des SHS et les Humanités numériques. Désormais la vidéo de mon intervention a été mises en ligne sur YouTube.

Préalablement, voici le texte de présentation de mon intervention :

« Au niveau romand comme au niveau international, c’est le branle-bas de combat pour une éducation numérique ou à l’ère du numérique. Au niveau vaudois et à ce sujet, le projet d’éducation numérique du DFJC comporte même comme premier objectif cette question des Humanités numériques. Le projet parle également de trois piliers de l’éducation numérique (science informatique, usage des outils numériques et éducations aux média). Mais que sont ces fameuses Humanités numériques et quelles peuvent-être les manières de les décliner dans l’enseignement des disciplines des Sciences humaines dans le cadre du PER? Quelles plus-values les SHS ont-elles à apporter à cette éducation dite numérique? Quels peuvent être les liens entre la démarche d’enquête des SHS et la résolution de problèmes en lien avec la pensée computationnelle? Voici quelques questions qui seront abordées lors de ce TedEx.»

Le plan de celle-ci :

  1. Pourquoi enseigner les SHS (quand elles sont déjà sur votre portable) ?
  2. La didactique de l’enquête en SHS (PER)
  3. Les technologies à l’école : continuité sans ruptures ?
  4. L’ère des Big Data et les Humanités numériques
  5. Machine Learning ou l’appétit de géant des algorithmes
  6. Un cadre conceptuel : sociologie du numérique
  7. Démarches d’enquête prospectives et analytiques
  8. Anciens territoires, nouvelles questions ? Et inversément
  9. Des “sciences molles” résistant aux lieux communs
  10. Bibliographie

Le lien vers le support de présentation : https://hackmd.io/lY8z5tHASq2ZR1JBwEmw9Q?view

La présentation intégrale :

Le programme et le résumé des autres interventions : http://www.hepvs.ch/2eme-journee-romande-des-didactiques-shs

Crédit image : Pixabay. Free for commercial use. No attribution required

Classé sous :Didactique, Humanités Digitales, Opinions&Réflexions, Publications

Berlin 1989, le week-end de la chute – Libération

9 novembre 2019 by Lyonel Kaufmann

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Le 11 novembre, du côté Ouest du Mur. Photo Jean-Claude Coutausse

Il y a trente ans, le photographe Jean-Claude Coutausse couvrait les événements à Berlin pour le journal «Libération». Arrivé sur place le 10 novembre au soir, il raconte qu’il a entendu le Mur avant de le voir : des centaines de Berlinois frappaient le béton. Il se souvient d’un week-end polaire et bouleversant durant lequel un flot ininterrompu de gens de l’Est s’échappait par les brèches ouvertes. A ce moment, il savait qu’il vivait la fin de la Seconde Guerre mondiale. 

Crédit image en-tête : Le 10 novembre. Un soldat est-allemand parle avec des habitants de Berlin-Ouest qui ont grimpé sur le Mur, près de la Porte de Brandebourg. Photo Jean-Claude Coutausse

Source : Berlin 1989, le week-end de la chute – Libération

Classé sous :Nouvelles de l'histoire

Derrière le mur de Berlin : les clichés fantômes pris par les appareils photo cachés de la Stasi

8 novembre 2019 by Lyonel Kaufmann

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Donna West Brett, University of Sydney

Quand le mur de Berlin a coupé l’Allemagne en deux, en 1961, le ministère de la Sécurité d’État de l’Allemagne de l’Est – plus connu sous le nom de Stasi – a mis en place une surveillance massive des citoyens de la République démocratique allemande.

Le Centre d’observation de la Stasi forma des agents à la photographie, à la filature des suspects et à l’art du déguisement.

Cette surveillance se traduisit par le recueil d’innombrables documents écrits, d’enregistrements audio et vidéo, d’odeurs individuelles… et de quelque deux millions de photographies qui se trouvent aujourd’hui rassemblées dans les archives de la Stasi.

Afin de prendre des photos en toute discrétion, des appareils photo ont été spécialement conçus pour être dissimulés dans des pots de fleurs, des stylos, des vestes et des sacs. Certains d’entre eux étaient d’une taille si réduite que leur objectif pouvait être cousu derrière une boutonnière, tandis que le déclencheur tenait dans une poche.

Trente ans après la chute du mur, les images de cette période de surveillance étatique de masse nous offrent un regard sans précédent à la fois sur les personnes qui ont tenté de fuir à l’ouest et sur les activités de la Stasi.

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Les ombres sur les côtés apparaissent à présent comme des effets dus à la pellicule – il s’agit en fait du bord du tissu de la boutonnière. Photos prises vers 1975, bureau des enregistrements de la Stasi

 

Les clichés pris avec des appareils dissimulés dans des boutonnières ont une étrange ombre sombre autour du bord de l’image qui ressemble aux effets photographiques fantomatiques que produisent parfois les appareils photo en plastique bon marché. Ces images sont souvent floues, l’observateur cherchant avant tout à photographier les suspects sur le vif.

Une série de clichés effectuée en 1975 montre deux personnes échangeant un sac dans la rue.

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Ces photos prises en secret capturent l’instant où un couple échange un sac. Photo prise vers 1975, bureau des enregistrements de la Stasi

 

L’agent de la Stasi a suivi le couple, prenant des photos qui montrent les suspects en train de marcher vers une voiture. Les images jettent un voile suspect sur ces actions qui semblent a priori tout à fait innocentes.

Mais il n’y a pas plus d’informations dans les archives de la Stasi sur ce couple ou sur cet événement. C’est probablement dû au fait que de nombreux enregistrements ont par la suite été endommagés ou détruits par le régime afin de dissimuler la surveillance de masse illégalement mise en œuvre.

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Le comportement de ces personnes est peut-être anodin, mais le seul fait de les photographier suffit à les rendre suspectes. Photo prise vers 1975, Bureau des enregistrements de la Stasi

Les chemins de l’évasion

Le mur de Berlin a été construit principalement afin d’endiguer le flux de plus de quatre millions de citoyens qui avaient quitté l’Allemagne de l’Est pour un Occident plus prospère et démocratique. Entre 1961 et 1989, plus de 5 000 personnes se sont échappées d’Allemagne de l’Est.

Parmi les méthodes employées, citons le fait de sauter par des fenêtres situées au-dessus de la frontière ; l’emploi de ballons à air chaud ; la construction de tunnels ; la fuite dans des coffres de voiture ; on a même rapporté un cas de tentative d’évasion dans le ventre creux d’une fausse vache.




Read more:
World politics explainer: The fall of the Berlin Wall


L’une des fuites les plus fameuses fut celle de Heinz Holzapfel, le 29 juillet 1965. Vivant à Leipzig, il avait d’abord rejoint Berlin-Est avec sa femme et son fils.

La famille s’est cachée dans un bâtiment appartenant à un ministère situé à proximité du mur, avant de monter sur le toit et de signaler sa présence avec une lampe torche à des amis de Berlin-Ouest, qui jetèrent aux Holzapfel une corde en nylon attachée à un marteau. La nuit était froide et venteuse et le passage par-dessus le mur, dans une poulie formée d’une roue de vélo et d’un baudrier, était extrêmement dangereux.

Une photo de presse montre Heinz Holzapfel et son fils en sécurité à Berlin-Ouest, exhibant leur baudrier. On les voit souriants, heureux d’avoir survécu à cette évasion si risquée dont la planification avait duré plus d’un an.

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Le harnais que la famille Holzapfel a utilisé pour passer le mur. Photographie d’illustration d’un article consacré à leur fuite. Anonyme : Réfugiés, RDA, fuite de la famille Holzapfel à l’ouest, 1965

Surveiller le mur

Les personnes soupçonnées de vouloir faire défection étaient surveillées par des officiers de la Stasi dont la mission était d’empêcher la fuite des suspects et de procéder à leur arrestation en les prenant sur le fait. Entre juillet et août 1962, des agents ont observé en permanence un restaurant abandonné situé dans le quartier de Kreuzberg, à Berlin. Des informateurs avaient signalé le creusement d’un tunnel passant sous le mur depuis l’intérieur du restaurant.

Les agents ont rédigé des rapports détaillés sur chaque personne entrant et sortant du bâtiment : couleur des cheveux, sexe, taille, vêtements, heure d’arrivée et de départ, venue en voiture ou à pied. En plus de ces très nombreuses notes, ils ont pris des photographies. Certaines ressemblent à des images de film. D’autres sont de piètre qualité, comme si le photographe était pressé de saisir l’instant.

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Des personnes suspectées de vouloir faire défection sont photographiées en train de retrouver des amis venus en voiture. Observation d’une possible tentative de fuite à proximité d’un checkpoint à Berlin, 26 août 1962, Bureau des enregistrements de la Stasi, Berlin

 

Un jour en août, les agents de la Stasi prirent une série de photos, soupçonnant que la tentative d’évasion était imminente. Un certain nombre de personnes – jugés suspects du fait qu’ils se trouvaient à proximité d’un checkpoint – rencontraient des amis dans une voiture (de nombreuses tentatives d’évasion ont été tentées en voiture, soit en percutant les barrières de contrôle, soit en passant en dessous), tandis que d’autres regardent depuis le toit voisin.

Il s’agissait en fait peut-être d’une diversion. Le tunnel et la tentative d’évasion furent abandonnés pour des raisons inconnues, et la Stasi fut incapable de procéder à la moindre arrestation.

Des souvenirs douloureux enfermés dans les archives

Fin 1989, des citoyens prirent d’assaut les bureaux de la Stasi après une série de révolutions qui bouleversèrent l’Europe de l’Est. La chute du mur de Berlin, le 9 novembre, marquerait la fin de l’après-guerre et la division de l’Allemagne.

Les personnes ayant été surveillées ou emprisonnées peuvent désormais accéder à leur dossier de la Stasi. Ces dossiers peuvent contenir des photographies et des preuves que des membres de leur famille, leurs épouses, maris ou amants, avaient été des informateurs des services de sécurité.

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Des dossiers semblables à celui-ci, qui documente la fuite de la famille Tomas par un tunnel le 7 mai 1962, sont désormais accessibles au public, y compris aux personnes ayant fait l’objet d’une surveillance de la part de la Stasi. Bureau des enregistrements de la Stasi

 

Vera Iburg, qui travaille dans les archives, a déclaré au Spiegel :

« C’est terrible. Les mensonges que les gens racontent et la faiblesse de la nature humaine vous plongent dans le désespoir. »

Nous voyons aujourd’hui dans ces photographies des objets esthétiques et des preuves factuelles de la surveillance de masse mise en œuvre par le régime de surveillance de masse ; mais n’oublions pas qu’elles restent à ce jour porteuses d’une profonde douleur pour les victimes.

Il nous appartient de tirer les leçons de l’expérience de la Stasi et de la surveillance constante de la vie quotidienne.The Conversation

Photo en-tête : Photographie prise par des agents de la Stasi de transfuges présumés dans un restaurant abandonné dans le quartier de Kreuzberg, Berlin, en 1962. Stasi Records Agency Berlin/Bild

Donna West Brett, Lecturer in Art History, University of Sydney

This article is republished from The Conversation under a Creative Commons license. Read the original article.

Classé sous :Nouvelles de l'histoire, sur le web

A l’école des jeux de rôle: des gymnasiens dans le quotidien des Romains – Le Temps

4 novembre 2019 by Lyonel Kaufmann

L’atelier «Qvotidie» propose aux élèves romands de résoudre une enquête dans la Rome antique, un jeu de rôle pédagogique qui complète et rafraîchit les méthodes d’enseignement. Reportage du journal Le Temps au Gymnase Provence à Lausanne.

« D’un point de vue pédagogique, «le jeu touche aux compétences transversales du plan d’études romand: collaboration, communication, stratégie d’apprentissage, pensée créative et démarche réflexive», explique Grégory Thonney, chargé de projet au SCMS. Ce créateur de Qvotidie a aussi fondé l’association Ars Ludendi, qui organise des événements pour explorer les différents potentiels des jeux de rôle. Il s’avère que l’aspect ludique stimule l’élève, qui «maintient souvent sa concentration de façon plus soutenue et s’autorise à se tromper parce que c’est «pour de faux», détaille la professeure de la HEP Vaud Anne Clerc-Georgy. Sa collègue Florence Quinche confirme que l’aspect ludique intensifie la participation des élèves, «ce qui ouvre une façon différente d’apprendre, complémentaire aux cours classiques: en expérimentant». »

Le Service culture et médiation scientifique (SCMS) de l’Université de Lausanne animait, en septembre dernier, le jeu de rôle Qvotidie auprès d’une classe de culture antique. Les vacances d’automne terminées, il propose de nouveau cette animation aux établissements scolaires.

—A lire :  A l’école des jeux de rôle: des gymnasiens dans le quotidien des Romains – Le Temps

Classé sous :Histoire active, Nouvelles de l'histoire, Opinions&Réflexions, Outils enseignement

La reine Marie-Antoinette, nouvelle icône pop | Le Monde

4 novembre 2019 by Lyonel Kaufmann

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La souveraine guillotinée connaît un regain de popularité auprès des artistes. Quelque 200 œuvres que la reine a inspirées sont exposées jusqu’en janvier 2020 à Paris, à la Conciergerie qui fut sa dernière demeure.

Il est peu de personnages historiques dont les légendes concurrentes, noire et dorée, accusent un contraste aussi fort que celles de Marie-Antoinette. Dernière reine de France, l’épouse de Louis XVI incarne à la fois la mère outragée lors d’une parodie de procès, devenue par sa mort sur l’échafaud une figure de martyr, et la princesse dépensière qui joue à la bergère au Trianon, creuse le déficit des finances publiques et méconnaît la situation réelle du pays jusqu’à être surnommée « Madame Veto ».

Deux siècles plus tard, la vision de la reine n’a plus guère de rapport avec celles livrées par la guerre, entre propagande monarchiste et stigmatisation révolutionnaire. C’est cette métamorphose que présente, à travers 200 œuvres, l’exposition proposée par la Conciergerie à Paris.

-A lire : La reine Marie-Antoinette, nouvelle icône pop | Le Monde

Crédit photo : « Queen Marie-Antoinette in a Court Dress by Elisabeth Vigée Le Brun. Self-portrait », de Kimiko Yoshida, 2010. KIMIKO YOSHIDA

Classé sous :Nouvelles de l'histoire, Opinions&Réflexions

MakerEd Workshop : ma deuxième journée Maker au LINE Nice (23 octobre)

1 novembre 2019 by Lyonel Kaufmann

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Du mardi 21 au mercredi 22 octobre, j’ai participé à un atelier sur le Maker en éducation organisé dans le cadre de la semaine internationale du LINE à Nice. Une belle occasion de vivre de l’intérieure une initiation aux possibilités du Maker en éducation. Margardida Romero, dans une publication sur Facebook, a très bien résumé le travail réalisé par des équipes d’étudiant.e.s (et moi également) durant ces deux jours:

De l’improvisation à la création #makered en passant par l’atelier de deux jours avec Jorge Sanabria-z, Saint-Clair Lefèvre, Inna Artemova, Lyonel Kaufmann, Marina Rafalskaya. M.Sc. Smart Ed Tech – Les étudiants de l’Université Côte d’Azur sont fiers de présenter leurs prototypes de type arduino pour résoudre @UN #GlobalGoals

Au niveau organisationnel, Jorge Sanabria-Z, professeur-chercheur en innovation à l’Université de Guadalajara au Mexique1, et Saint-Clair Lefèvre, coordinateur pédagogique du SmartTech de Nice ont conduit ces deux journées. Gustavo Calderon De Anda, étudiant SmartEdTech a également participé à la réalisation de cet atelier. Voici le compte-rendu de la première journée.

Mercredi 23 octobre

Après une première journée de mise en bouche, cette deuxième journée va nous permettre de mettre en oeuvre une démarche de Design Thinking et de de réaliser en équipe un projet.

La journée débute cependant par un récapitulatif de notre journée d’hier. Ensuite, nous passerons par les étapes suivantes du Design Thinking :

  1. Idéation
  2. Croquis
  3. Protoyage rapide
  4. Prototypage
  5. Présentation de notre réalisation

Devant les problèmes techniques rencontrés, chaque membre de notre équipe rejoint une autre équipe. Mon équipe du jour vient d’horizon très différent : Chine, Nigéria, Ghana et Suisse.

Notre projet doit pouvoir répondre à un besoin concret et trouver une solution en recourant à l’un ou plusieurs des éléments suivants travaillés hier : température/humidité, son ou lumière.

Nous allons devoir nous mettre d’accord sur le problème à résoudre, les solutions à trouver et réaliser un prototype.

Les idées principales qui émergent de notre groupe au final seront les suivantes :

  • il s’agit de résoudre un problème industriel de production de plantes;
  • le réchauffement de la planète pose des problèmes de régulation de leur croissance et de variation de température, lumière et humidité;
  • la main d’oeuvre manque et il faut automatiser l’ensemble du processus;
  • le dispositif doit atteindre la neutralité carbone.

Pour nous accompagner dans notre démarche, nous disposons de l’outil de travail ci-dessous :

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Notre équipe devant sont projet (prototype rapide) en compagnie de Jorge Sanabria-Z :

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Rapide bilan

L’intérêt de la démarche proposée par Jorge Sanabria-Z réside dans la mise en situation consistant à résoudre un problème concret à l’aide notamment de l’Arduino.

La démarche de Design Thinking proposée est une démarche de projet ressemblant par de nombreux aspects à d’autres démarches de projet. Elle est comporte plus particulièrement une phase de prototypage d’une réalisation d’un ou plusieurs objets. Un passage par le faire.

L’outil de travail accompagnant le travail du groupe était fort utile et intéressant.

Ce passage par le concret (maquette, objet, etc.) pour résoudre un problème peut être introduit dans le cadre d’une démarche d’enquête en histoire. Elle se situerait après une phase de recherche d’information (sources et documents) et s’intégrerait ensuite dans la phase de mise en commun de la démarche d’enquête en histoire.

Par contre, la force de notre réalisation ne réside pas dans la programmation de l’Arduino. Pour plusieurs raisons dont principalement, le temps à notre disposition et nos limites en matière de programmation. De manière générale, les groupes qui ont réussi cette partie-là intégrait une personne plus particulièrement à l’aise en matière de programmation.

L’Arduino ne se révèle pas forcément des plus intuitifs pour initier à la programmation. Par contre, le logiciel de simulation fourni s’avére utile.

A noter que la démarche proposée était volontairement limitée et centrée de résoudre un problème à l’aide de l’Arduino. Dans un MakerSpace, les matériaux à dispositions sont plus nombreux et ne se limitent pas à des objects de nature numérique. D’ailleurs, nous avons réutilisé un carton de machine à café, trouvé des petits pots et avons été cherché de la verdure pour rendre concret notre projet.

L’implication des participant.e.s et la dynamique de groupe sont à relever. Il est à souligner que les membres se retrouvaient pour la première fois en présentiel. La belle diversité des parcours de chacun a été un enrichissement de ce séminaire.

Merci à Jorge Sanabria-Z, Anne-Louise Davidson, Margarida Romero, toute l’équipe du LINE et les étudiant.e.s en mobilité pour ces deux excellentes et riches journées passées en leur compagnie. A refaire !

  1. Enseignant-chercheur au sein du Système Virtuel de l’Université de Guadalajara (UDG). Spécialiste dans l’utilisation des technologies pour l’apprentissage et dans la formation de formateurs dans des environnements d’apprentissage basés sur la fabrication numérique. Ses axes de recherche ont pour objectif le développement des compétences du 21e siècle en utilisant une approche interdisciplinaire STEAM, grâce à la mise en place d’un réseau de laboratoires de fabrication numérique dans les lycées. Il a également mis au point une formation aux techniques techno-créatives pour les enseignants basée sur la Méthode d’Immersion Graduelle (Sanabria, 2016). ↩

Classé sous :Humanités Digitales, Opinions&Réflexions, Outils enseignement

MakerEd Workshop : ma première journée Maker au LINE Nice (22 octobre)

27 octobre 2019 by Lyonel Kaufmann

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Du mardi 21 au mercredi 22 octobre 2019, j’ai participé à un atelier sur le Maker en éducation organisé dans le cadre de la semaine internationale du LINE à Nice. Une belle occasion de vivre de l’intérieure une initiation aux possibilités du Maker en éducation. Margardida Romero, dans une publication sur Facebook, a très bien résumé le travail réalisé par des équipes d’étudiant.e.s (et moi également) durant ces deux jours:

De l’improvisation à la création #makered en passant par l’atelier de deux jours avec Jorge Sanabria-z, Saint-Clair Lefèvre, Inna Artemova, Lyonel Kaufmann, Marina Rafalskaya. M.Sc. Smart Ed Tech – Les étudiants de l’Université Côte d’Azur sont fiers de présenter leurs prototypes de type arduino pour résoudre @UN #GlobalGoals

Au niveau organisationnel, Jorge Sanabria-Z, professeur-chercheur en innovation à l’Université de Guadalajara au Mexique1, et Saint-Clair Lefèvre, coordinateur pédagogique du SmartTech de Nice ont conduit ces deux journées. Gustavo Calderon De Anda, étudiant SmartEdTech a également participé à la réalisation de cet atelier. Voici le compte-rendu de la première journée.

Mardi 22 octobre

En ce mardi 22 octobre, cette première journée constitue une initiation au Maker en éducation. Une trentaine d’étudiant.e.s internationaux participent à ces journées (Amérique latine, Asie, Afrique, Europe, Australie).

The Maker Movement

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Manifeste des Makers

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Hackerspace vs Makerspace vs FabLab

Une référence : Makezine

 

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Source : http://mushroom.jobs/blog/makerspace-hackerspace-fablab-les-lieux-ou-linnovation-se-cree/

Hackerspace

Un hackerspace, hacklab ou media hacklab est un lieu où des gens avec un intérêt commun (souvent autour de l’informatique, de la technologie, des sciences, des arts…) peuvent se rencontrer et collaborer. Les Hackerspaces peuvent être vus comme des laboratoires communautaires ouverts, où des gens (les hackers) peuvent partager ressources et savoir.

Beaucoup de hackerspaces utilisent et participent à des projets autour du logiciels libres, du hardware libre, ou des médias alternatifs.

Makerspace

Maker, c’est avant tout un état d’esprit, à mi-chemin entre la tradition du faire soi-même, héritée du passé, et les nouvelles technologies qui offrent une multitude de possibilités pour créer et inventer. Trois motivations poussent les individus à s’inscrire dans ce mouvement. D’abord, une envie personnelle, celle de se faire plaisir, de faire quelque chose d’amusant et de créatif. Ensuite, l’envie de partager, de participer à un projet social. Et enfin, pour certains, un enjeu commercial.

Fablab

Un fab lab (contraction de l’anglais fabrication laboratory, « laboratoire de fabrication ») est un lieu ouvert au public où il est mis à sa disposition toutes sortes d’outils, notamment des machines-outils pilotées par ordinateur, pour la conception et la réalisation d’objets.

Pour être appelé fablab, un atelier de fabrication doit respecter la charte des fablabs, mise en place par le Massachusetts Institute of Technology (MIT). Pour être identifié en tant que « fab lab MIT », il faut passer une certification et des formations, mais un fablab n’est pas nécessairement affilié au MIT. Les fablabs sont réunis en un réseau mondial très actif, d’après son initiateur Neil Gershenfeld.

Introduction Arduino

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Durant l’après-midi, et en équipe, nous découvrons Arduino.

Nous disposons d’un kit, le « Elegoo Super Starter Kit for UNO »2, mais nous débutons par un outil de simulation en ligne de l’Arduino (Tinkercad)3

Nous pourrons ensuite passer aux expériences pratiques.

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Le microcontrôleur peut être programmé pour analyser et produire des signaux électriques, de manière à effectuer des tâches très diverses comme la domotique (le contrôle des appareils domestiques — éclairage, chauffage…), le pilotage d’un robot, de l’informatique embarquée, etc. C’est une plateforme basée sur une interface entrée/sortie simple. Il était destiné à l’origine principalement mais pas exclusivement à la programmation multimédia interactive en vue de spectacles ou d’animations artistiques (Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Arduino)

Quelques éléments de base à retenir d’Arduino :

  • la carte se compose d’un élément d’entrée (input) et d’un élément de sortie (output);
  • il est possible de composer soit de manière analogique ou digitale;
  • la carte est en mesure de réagir : aux sens, au son / à la musique musique, aux ultrasons, à la pression, à la réflection de la lumière, aux couleurs, aux mouvement, à la température, à l’humidité.
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Nous découvrons les éléments relatifs à la lumière, à la température et à l’humidité. Notre équipe rencontre des problèmes techniques, à chaque fois spécifique et liés à nos ordinateurs. Nous pouvons néanmoins compter sur l’aide soit de Jorge et de Saint-Clair ou des membres des autres groupes. Nous sommes ainsi directement plongé dans l’esprit Maker en éducation4.

Et la lumière fut…
Et la lumière fut…

Matériel

  • Arduino
  • MakeMakey: une alternative à Arduino

A 17h00, il est temps de ranger nos affaires et de faire un premier bilan de l’atelier. La plus-value a été pour moi de vivre de l’intérieur la démarche. Elle s’apparente à d’autres démarches de projets collaboratifs. Il a fallu faire connaissance créer les équipes et orienter sur le domaine des Maker. L’après-midi était plus de type « main à la pâte ». Nous avons été confrontés à plusieurs problèmes comme les schémas proposés comportaient des bugs ou nos propres ordinateurs étaient en usb C (ou manque d’ordinateur ou de courant). Il a, plus ou moins, été possible de les résoudre par le groupe. Je note que l’aspect technique reste facilement un obstacle. Nous avons néanmoins acquis quelques compétences sur le fonctionnement de l’Arduino et du code programme.

A suivre…

Crédit photo d’en-tête : Image parTayeb MEZAHDIA de Pixabay

  1. Enseignant-chercheur au sein du Système Virtuel de l’Université de Guadalajara (UDG). Spécialiste dans l’utilisation des technologies pour l’apprentissage et dans la formation de formateurs dans des environnements d’apprentissage basés sur la fabrication numérique. Ses axes de recherche ont pour objectif le développement des compétences du 21e siècle en utilisant une approche interdisciplinaire STEAM, grâce à la mise en place d’un réseau de laboratoires de fabrication numérique dans les lycées. Il a également mis au point une formation aux techniques techno-créatives pour les enseignants basée sur la Méthode d’Immersion Graduelle (Sanabria, 2016). ↩
  2. On en trouve pour une quarantaine de dollars sur internet. ↩
  3. Pour télécharger le logiciel Arduino (Mac) : Software MacOs ↩
  4. En discutant ensuite avec Anne-Louise Davidson, celle-ci m’explique que c’est spécifique à la démarche de Jorge ou qu’elle souhaite développer. Généralement les sessions Maker, hors éducation, sont plutôt une mise en concurrence des différentes équipes. L’esprit collaboratif n’est pas forcément présent. ↩

Classé sous :Humanités Digitales, Opinions&Réflexions Balisé avec :éducation

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Lyonel Kaufmann

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Derniers articles

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Utiliser la littérature jeunesse pour aborder les sujets sensibles en histoire : récit de pratique autour de la Shoah | Histoire Engagée

17 octobre 2025 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Pour Mathieu Mercier, enseignant d’histoire et de géographie à l’École secondaire de Rivière-du-Loup, collaborateur au Service national du RÉCIT, domaine de l’univers social, enseigner l’Holocauste au secondaire est à la fois un défi et une nécessité : défi, parce que le sujet évoque des horreurs indescriptibles et des récits traumatiques qui peuvent heurter les élèves; […]

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ChatGPT à l’école : entre tabou et encouragement, le dialogue compliqué entre professeurs et élèves | Le Monde

12 octobre 2025 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Décryptage. Une minorité d’enseignants s’abstient de parler d’intelligence artificielle dans leurs classes. Mais ils sont de plus en plus nombreux à ouvrir la discussion sur le sujet, jusqu’à, pour certains, s’atteler à faire circuler les bonnes pratiques. Extrait : Certains enseignants profitent d’un espace aménagé par l’éducation nationale : l’intelligence artificielle figure en effet au programme […]

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L’héritage toxique des épaves de la seconde guerre mondiale

8 octobre 2025 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

De nombreux navires coulés entre 1939 et 1945 gisent au fond des mers. Avec le temps et la corrosion, ces vestiges historiques menacent de libérer les substances qu’ils contiennent, avec des conséquences néfastes pour l’environnement. A l’échelle internationale, on estime à plus de 8 500 le nombre d’épaves potentiellement polluantes, dont la plupart issues des […]

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Colloque infoclio.ch 2025: Open Science in History. Ouvrir les sciences des Lumières à l’intelligence articifielle (21.11.2025)

16 septembre 2025 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

L’Open Science met les chercheuses et chercheurs au-devant de choix toujours plus complexes relatifs au partage de leurs résultats, méthodes, outils et données de recherche. Le colloque infoclio.ch 2025 explore les antécédents intellectuels et techniques de la notion d’Open science et discute des enjeux pratiques de sa mise en œuvre à l’ère des modèles génératifs […]

Abstract painting, coloring, modern art

Une histoire fragmentée ? Liens et ruptures dans un paysage de la recherche et de l’éducation en pleine remise en question (Journées suisses d’histoire 2025)

11 septembre 2025 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Dans le cadre des journées suisses d’histoire à Lucerne (juillet 2025), j’ai eu le plaisir d’assister et de réaliser le compte rendu pour infoclio.ch de la table ronde intitulée Fragmentierte Geschichte? Verbindungen und Brüche in einer sich ausdifferenzierenden Forschungs- und Bildungslandschaftm à laquelle participaient du côté francophone Nadine Fink (HEP Vaud) et François Vallotton (Université […]

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Vernissage : Plateforme Assistance et coercition (16.09.2025)

10 septembre 2025 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

ÉVÉNEMENT 🗓️ Enseigner une histoire longtemps tue. Écouter les voix de celles et ceux qui l’ont vécue. Cinq témoins romands prennent la parole dans un nouveau média éducatif pour aborder les mesures de coercition à des fins d’assistance et des placements extrafamiliaux en Suisse. Conçue pour les élèves dès le secondaire I, la plateforme «Assistance […]

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Restes humains issus de contextes coloniaux en Suisse. Un état des lieux

9 septembre 2025 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Ce rapport donne un aperçu général de la question des restes humains conservés dans les musées suisses. Ce rapport s’appuie sur une enquête menée entre 2023 et 2025 et fournit pour la première fois un état des lieux des restes humains («ancestral remains») acquis dans des contextes coloniaux et conservés dans des musées et collections […]

Tirés de nos archives

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Et soudain, le génocide vous apparaît bien en face

18 mars 2017 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Pourquoi, à une époque où l’histoire de la violence et des génocides suscite le plus vif intérêt du public, celui du Rwanda intéresse si peu? Il y a un quart de siècle, près d’un million de personnes ont été assassinées en l’espace de cent jours. L’Afrique est-elle vraiment trop «loin» de l’Europe pour que nous […]

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Quand le prêtre formera l’instituteur, par Caroline Fourest – Opinions – Le Monde.fr

2 mai 2009 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Jusqu’ici, les établissements catholiques privés pouvaient parfaitement préparer des élèves au bac, mais ceux-ci devaient passer leur diplôme avec tous les autres. Petite astuce connue des professeurs : de nombreux établissements privés choisissent de ne présenter que les meilleurs élèves sous leurs couleurs et d’envoyer les autres en candidats libres pour améliorer leur score de réussite […]

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Tenir la classe ou faire apprendre les élèves ?

19 juin 2019 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

A méditer : « En situation de grande insécurité, les élèves peuvent faire pression pour rester dans les régimes les moins exigeants de ces registres. Ils apprécieront donc des enseignants qui se contentent de dérouler un cours sans surprise en garantissant, par une discipline rigoureuse, une paix qui permet d’être et de demeurer dans la forme […]

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Vie numérique : grand écart entre le discours et la pratique…

31 mai 2013 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

See on Scoop.it – Médias sociaux et enseignement « Le décalage est total entre un discours très négatif et pathologisant quant aux nouvelles technologies, et la réalité des pratiques, » résume la sociologue Laurence Allard. En d’autres termes, si nous avons le sentiment d’être addict ou accro, c’est bien plus à cause du discours et des idées […]

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03. Résolution de problèmes par coopération

8 mars 2006 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Durant les activités de résolution de problème, les élèves/étudiantEs forment des groupes hétérogènes en compétences, genre et travaillent à la résolution de problèmes. Chaque membre du groupe se voit assigner un rôle précis tel qu’illustrateur/trice, secrétaire, modérateur/trice. Dans ces phases, l’enseignantE fonctionne comme personne-ressource. À l’issue de leur travail, chaque groupe présentera le résultat de […]

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Thèse de Ruth Fivaz-Silbermann sur les Juifs refoulés durant la Deuxième Guerre mondiale : apports et limites selon Hans Ulrich Jost | infoclio

6 juin 2017 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

La presse se fait l’écho du débat sur les refoulements aux frontières suisses durant la Deuxième Guerre mondiale, débat relancé par la thèse récente de l’historienne Ruth Fivaz-Silbermann. Le coeur du débat porte principalement sur deux points: le nombre de refoulés aux frontières suisses durant la guerre et le rôle joué par Heinrich Rothmund, alors […]

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Antiquité et cinéma : 1. Egypte 2. Rome

5 novembre 2017 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Le blog « L’Antiquité au cinéma » nous promet trois billets sur cette thématique. Les deux premiers sont déjà publiés et méritent le détour. Le premier est consacré à l’Egypte antique et le deuxième à Rome. A consommer sans modération. Le cinéma s’est très vite emparé de sujets historiques, et pourtant faire revivre des temps lointains n’est […]

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Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons. Lyonel Kaufmann 2004-2025

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