Dans un récit billet (22 novembre), Patrick Giroux, professeur au département des sciences de l’éducation de l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) et directeur du LiNumLab (Laboratoire de formation et de recherche sur la littératie numérique) s’interroge, à la lecture du résumé des communications au colloque AUPTIC-EDUCATION, sur l’importance des interventions relatives à la classe inversée dans l’espace scientifique européen et la pertinence de cette thématique du point de vue de la recherche en éducation. Son avis sur la question est relativement tranché :
« Il me semble que la classe inversée en tant que mécanisme pédagogique, même si elle est intéressante, ne mérite pas une trop grande mobilisation des ressources. D’autres sujets/questions comme l’évaluation des compétences, la littératie numérique et médiatique et son aussi importante.»
Sur la nature de ce phénomène européen (francophone?), il a ensuite interrogé un collègue européen qui explique cette mode à l’impact de Marcel Lebrun et de ses collaborateurs, chercheur particulièrement actif en regard de ce sujet.
Revenant en Europe en 2019, P. Giroux compte approfondir la question.
A suivre…
Source : Une nouvelle vague? Une nouvelle mode? – PédagoTIC
Crédit photo en-tête : Wells Cathedral, Wells, United Kingdom. Photo de Annie Spratt sur Unsplash