Résumé : Cette article de Public History Weekly traite des avantages et des inconvénients de la pratique de l’histoire publique, en particulier en ligne. Le thème sous-jacent est que les avantages de la culture numérique qui prévaut dans l’histoire publique peuvent finir par aller à l’encontre du « bien commun ». Une autre dimension est que les processus participatifs – qui prévalent également dans l’environnement Internet – limitent la paternité exclusive et facilitent le plagiat. Les chercheurs tentent d’historiser ces derniers phénomènes et d’évaluer si l’utilisation des médias numériques signifie une transition vers un nouveau paradigme de la propriété intellectuelle.
To conclude, we attempt to offer an account of the opportunities and the constraints provided by the relatively recent prevalence of public history. We think that because of the digital mass media and the internet the public role of historians has been augmented as compared with past periods. More people can therefore participate in sense-making processes as regards the past, and in public too. (…) People are having increased access to digital material – the question he asks is how many have real access to their meaning too? In the end, history is not about the sources but about making sense of them.
Référence : Apostolidou, Eleni: Misinformation, Trivialization, and Plagiarism. In: Public History Weekly 8 (2020) 2, DOI: dx.doi.org/10.1515/phw-2020-14894.
-À lire (abonnés) Misinformation, Trivialization, and Plagiais | Public History Weekly