• Passer à la navigation principale
  • Passer au contenu principal
  • Passer à la barre latérale principale
Histoire Lyonel Kaufmann

Histoire Lyonel Kaufmann

  • Mes Publications
  • Blog
  • Cours
    • Planifier
    • Film&Histoire
  • A propos

Blog

#Ludovia2013 : ma journée du mardi 27 août 2013

28 août 2013 by Lyonel Kaufmann

Le rythme soutenu de Ludovia me laisse peu de temps pour un article de fond. Je vous propose donc en attendant le compte-rendu en photos de ma journée.
Au lever de ce mardi, le temps est plutôt maussade, mais la bonne humeur règne au petit déjeuner.
20130828-141647.jpg
Vue depuis la chambre

Départ ensuite pour la première table-ronde. Je suis chargé avec Laurence Juin d’en rédiger la synthèse. Le thème était « Expression 2.0 des élèves et culture numérique à l’École» ou Comment accompagner les élèves dans un choix critique et raisonné des outils, des ressources et des usages du numérique ? Les intervenants étaient Sébastien Reinders (Délégation Wallonie), Florence Canet (enseignante documentaliste AC Toulouse), Françoise Maine (représentante de l’Enseignement Catholique), Blandine Raoul Réa (DGESCO) et Jean-Marc Merriaux (CNDP). La modération était assurée par François Guité. Notre compte-rendu sur ludovia.org Table ronde : Expression 2.0 des élèves et culture numérique à l’école. Laurence et moi en ressortons avec une impression mitigée.
20130828-142752.jpg
Problèmes techniques pour François Guité en début de table-ronde.

Après avoir rédigé en début d’après-midi notre compte-rendu, je suis en mesure de faire un saut au colloque scientifique pour en prendre la température. Les interventions sont de qualité devant un public quelque peu clairsemé, mais attentif et fidèle.
20130828-162846.jpg
Je me rends ensuite aux ExplorCamp. Nettement plus de monde y assiste. Il s’agit surtout d’enseignants. Le tout se déroule dans un stimulant brouhaha. J’y retrouve Virginie et Pascal qui, cette année, proposent une intéressante démarche de soutien à la lecture à l’aide de QR codes.
20130828-163247.jpg
Virginie et Pascal à l’oeuvre
Après le souper, ce sera ensuite l’heure de la Conférence politique. J’y constate une fort convergence entre les différents acteurs : académies, ministère, collectivités locales. J’apprécie particulièrement les propos de Catherine Bizot, représentante du ministère de l’éducation nationale. On y parle de société numérique, de changement, d’innovation et de mode d’évaluation. On y retrouve le mot d’ordre 2013 de cette édition : l’éducation par/au numérique. La volonté également de sortir de la seule question de l’outil de la part de l’Etat et des collectivités locales est à souligner, mais méritera d’être confirmée dans les actes et les actions.
20130828-163915.jpg
Je termine en photo par ce dernier clin d’oeil pris à l’ExplorCamp.

Classé sous :Ludovia

Revue de Presse : Si les personnages historiques avaient eu Internet…

28 août 2013 by Lyonel Kaufmann

blank

Et si les personnages historiques avaient eu Internet ? C’est la question existentielle que s’est posée Laurent Desserrey dans un Tumblr. De Marie Antoinette à Ray Charles en passant par Napoléon, il imagine l’utilité du web pour des personnages marquants.

blank

Si les personnages historiques avaient eu Internet – Le blog du Modérateur.

Classé sous :Médias et technologies, Nouvelles de l'histoire, sur le web

#Ludovia2013 : arrivée et ouverture (26 août 2013)

27 août 2013 by Lyonel Kaufmann

blank

Deuxième jour de mon déplacement à Ax-les-Thermes, retrouvailles d’anciens et nouveaux compères et ouverture officielle de Ludovia ont agrémenté ma journée de lundi. Le tout avec une météo largement décevante…
Au niveau du voyage, le programme était plus léger puisqu’il me fallait être sur place entre 15h00 et 16h00 à Ax-les-Thermes pour la traditionnelle séance des blogueurs avec Eric Fourcaud (The Big Chief). Le temps était couvert au départ, franchement humide après Sainte-Afrique jusqu’à Revel et nuageux pour terminer.
20130827-113117.jpg

Cela ne m’a pas empêcher de découvrir la jolie ville de Castres. Comme vous le savez (je fais le malin maintenant), c’est la ville où est né Jean Jaurès qui y dispose aujourd’hui d’une statue et d’un musée (que je n’ai pas visité).
20130827-113255.jpg
La statue de Jean Jaurès

Arrivé avant 15h00 et la première navette (charrette) de blogueurs/participants, j’ai d’abord eu le temps de retrouver mes petits camarades et de participer au briefing d’Eric Fourcaud. J’y ai appris que ma principale tâche consisterait à faire la synthèse (en duo) de trois tables-rondes. Chouette. Si vous voulez maintenant mieux connaître Ludovia et son Big Chief, je vous invite à lire cet article du Café pédagogique : http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2013/08/26082013Article635131009654719798.aspx
20130827-114124.jpg
La réunion des blogueurs prise sur le vif par Laurence Juin
Vers 19h00, la partie officielle a ouvert cette 10e édition, puis le buffet.
20130827-114743.jpg
La partie officielle.
Après le buffet, nous avons eu droit à la conférence inaugurale assurée par Pascal Cotentin CTICE et Directeur CRDP de l’académie de Versailles en Tandem avec Marcel Lebrun Techno-pédagogue Université de Louvain-la-neuve. Elle s’intitulait «Imaginaires et promesses de 10 ans de numérique en éducation». Pour un compte-rendu de cette conférence, je vous renvoie à mon compère Michel Guillou (Chroniques axéennes, premier épisode #ludovia2013).

20130827-115247.jpg
Pascal Cotentin à gauche et Marcel Lebrun, à droite, lors de leur causerie.
Les principales vedettes en furent deux robots.
20130827-115150.jpg
La fin de la soirée fut elle placée sous le signe d’une bonne bière en compagnie de Virginie et Pascal (Paul n’était pas dispo…) et d’intervenants tic ariégeois essayant de promouvoir les montagnes pointues de l’Ariège. Pas facile… 😉

Classé sous :Ludovia, Médias et technologies

Revue de presse : Découverte du plus ancien globe montrant le Nouveau Monde | Les découvertes archéologiques

26 août 2013 by Lyonel Kaufmann

blank

Daté du début des années 1500, le globe a probablement été fabriqué à Florence, en Italie, avec les moitiés inférieures de deux œufs d’autruche.

20130826-191050.jpg
Le Nouveau Monde sur le globe en oeuf d’autruche porte trois noms: « TERRA DE BRAZIL, » « MVNDVS NOVVS, and « TERRA SANCTAE CRVCIS. »

Découverte du plus ancien globe montrant le Nouveau Monde | Les découvertes archéologiques

Classé sous :Nouvelles de l'histoire Balisé avec :globe, GrandesDécouvertes, Histoire, RevuePresse

Sur la route de #Ludovia2013

25 août 2013 by Lyonel Kaufmann

blank

Comme en 2010, je joins l’utile à l’agréable en profitant de rejoindre l’Ariège et la 10e édition de Ludovia en deux jours et à moto. Cette année, je suis parti ce dimanche avant 8h00 pour rejoindre Millau et son viaduc. Bien évidemment, la ligne droite n’est pas le plat principal. Aperçu en quatre photos.

20130825-224234.jpg
Le barrage de Villefort entre Langogne et Alès

20130825-224510.jpg
La corniche des Cévennes depuis le col de Perjuret

20130825-225317.jpg
En arrière-plan, l’impressionnant Viaduc de Millau surplombe la ville. Pas banal.

20130825-224745.jpg
La tour du beffroi à Millau

Classé sous :Ludovia

En #Ludovia2013 : " Imaginaire et promesses du numérique"

24 août 2013 by Lyonel Kaufmann

blank

En 2010, j’ai eu la chance de participer à Ludovia, l’Université d’été organisée par le Conseil général de l’Arriège à Ax-les-Therme et consacrée aux technologies dans l’enseignement. En 2011 et 2012, mes nouvelles fonctions m’ont amené à renoncer à ce déplacement. En 2013 pour la 10e édition, j’y retourne à partir de lundi après-midi et je m’en réjouis.

ludovia2013

Cette année, le thème de ce Ludovia 2013 est  » Imaginaire et promesses du numérique ».

Je vous rendrais compte de cette édition sur ce blog, via twitter (@lyonelkaufmann + hashtag #Ludovia2013). Comme tous mes billets, ils seront également annoncés sur ma page Facebook.

Les outils que j’utiliserai seront mon iPad mini + son clavier ainsi que mon appareil de photo numérique. Un matériel léger puisque je m’y rends, comme en 2010, à moto.

Pour vous mettre en bouche, je vous invite à lire l’article que j’avais rédigé concernant l’édition 2011 : «Ludovia 2011 : Tous nomades?». Vous pouvez également consulter le programme de cette 10e édition : http://www.ludovia.org/2013/

A suivre…

Classé sous :Ludovia, Médias et technologies

Revue de presse : Bilan noir pour le tableau blanc dans les écoles | Le Devoir

22 août 2013 by Lyonel Kaufmann

blank

Problèmes techniques, manque de formation pour les enseignants, simple remplacement du tableau noir dans le cadre d’un enseignement restant majoritairement magistral et utilisé la plupart du temps comme écran de télévision ou d’écran de projection, le Tableau Blanc Interactif (TBI) au Québec est en échec dans cette étude menée auprès de 800 enseignants par Thierry Karsenti, titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur les technologies de l’information et de la communication (TIC), et son équipe.
Le constat est sans appel et le TBI rejoint les très nombreuses solutions techniques implantées sans véritable réflexion, ni moyens consacrés à la formation et à l’accompagnement des enseignants. Sans parler de la nécessité de préalablement faire évoluer les pratiques pédagogiques plutôt que de miser sur le seul outil technologique pour y arriver.
D’autant que, souvent, ce sont les lobbys industriels qui poussent à l’investissement. Tel est ainsi le cas pour le TBI au Québec. En effet, lancé par le gouvernement Jean Charest en février 2011, ce programme de 240 millions sur cinq ans pour doter toutes les écoles du Québec de TBI a été pointé du doigt lorsque les médias ont révélé qu’un ancien membre du cabinet Charest était lobbyiste pour l’entreprise Smart Technologies, qui a fourni la quasi-totalité des TBI des écoles québécoises. Depuis le nouveau gouvernement québécois a mis le programme au frigo (congélateur?).

Bilan noir pour le tableau blanc dans les écoles | Le Devoir

Classé sous :Médias et technologies, Nouvelles de l'histoire, Outils enseignement Balisé avec :blogcafé, école, Histoire, médiaTICE, Réforme, RevuePresse, TBI

Chronique de l'été : Les générations X, Z et C et l'avenir de l'école

20 août 2013 by Lyonel Kaufmann

blank

Je mets à profit la pause estivale pour publier en ce mois d’août mes chroniques mensuelles du Café pédagogique. Avant la pause estivale, ma dernière chronique s’intéressait à la question de savoir si les différentes générations arriveraient-elles à s’accorder sur l’école ou si cette dernière finirait par imploser. Bonne lecture.

blank

En 2012, il était de bon ton de pourrir le web et les élèves en étant enseignant de littérature. En 2013, le monde éducatif montre une situation plus complexe à de nombreux égards. Une question demeure néanmoins : les différentes générations arriveront-elles à s’accorder sur l’école ou celle-ci implosera-t-elle?

Plusieurs enquêtes ou articles récents m’ont récemment interpellé et indiquent, malgré les résistances, que le numérique prend une place de plus en plus considérable concernant le monde scolaire jusqu’aux portes de la classe.

En préambule, je constate une évolution importante de la place du numérique à l’école. En effet, l’évolution sur trente ans est considérable. Lorsque j’ai débuté ma carrière d’enseignant à la fin des années 1980, peu d’enseignants disposaient d’un ordinateur à l’école ou à la maison. Ce n’était pas qu’une question de prix, même si l’institution favorisait l’équipement personnel des enseignants au travers d’accords de prix préférentiels, négociés avec les fabricants d’ordinateurs.

Aujourd’hui, quelques rares enseignants résistent peut-être encore, mais globalement tous utilisent un ordinateur dans la préparation de leurs enseignements ou dans le cadre de la gestion administrative scolaire. C’est ainsi le cas dans l’expérience «un ordinateur pour tous» du Département des Landes:

« Les vrais changements ont lieu hors des collèges. Les enseignants ont totalement intégré l’ordinateur dans leur travail de préparation des cours. Les collégiens sont très satisfaits d’avoir un ordinateur portable. Certains se sont fait scolariser dans les Landes pour en bénéficier. Ils l’utilisent massivement pour le travail scolaire et assez peu pour le ludique (même si c’est techniquement prévu sur les machines). Le ludique passe plutôt sur leur ordinateur fixe à la maison. Le portable est donc bien perçu par eux comme un support d’enseignement. Les élèves aimeraient qu’il soit davantage utilisé en classe. Le rapport souligne la dextérité avec laquelle les collégiens tapent leurs textes et utilisent l’ordinateur. » [1]

Ceci au moment où tablettes et smartphones annoncent une nouvelle évolution et expliquent, peut-être et surtout pour les smartphones, les raisons de l’opposition de l’institution et des enseignants à l’utilisation de ces outils en classe.

L’espace scolaire n’est donc pas si immobile et rétif au numérique qu’il peut paraître, même si comparativement à la majeure partie du secteur tertiaire, il a pris du retard. En effet, s’il est un lieu où le numérique peine à faire sa place, « malgré la quasi-généralisation de l’équipement et les pratiques numériques personnelles des enseignants et des familles, malgré la multitude d’expériences et d’initiatives depuis au moins deux décennies », c’est bien dans l’activité en classe même. [2]

Tout autour de la classe, par contre, le numérique se diffuse dans le domaine éducatif et en premier lieu, chez les enseignants. C’est ainsi qu’une enquête réalisé auprès d’enseignants américains des écoles secondaires débouche sur le constat que les technologies numériques sont devenues essentielles à leur enseignement et à leurs actes professionnels. Bien que les enseignants interdisent ou restreignent l’utilisation de Wikipedia par leurs élèves, ils les utilisent largement dans la préparation de leurs cours. Comparativement à l’ensemble des adultes utilisant internet aux Etats-Unis, les enseignants recourent même à Wikipedia à des taux beaucoup  plus élevés (87% contre 53%). [3] Paradoxe quand tu nous tiens.

blank

Du côté des élèves, un article récent du journal Le Monde confirme que les usages du numériques « encerclent » l’espace de la classe lorsque Facebook devient la plate-forme d’aide aux devoirs entre élèves. [4] Et, si les enseignants leur interdisent en classe l’utilisation de Wikipedia, les élèves y recourent, une fois rentré à la maison, pour faire leurs devoirs. Dans sa présentation des Pratiques numériques médiatiques des jeunes, enjeux et perspectives, Michel Guillou relève ainsi que 74% des 8-16 ans utilisent internet pour faire des recherches pour l’école alors que 65% des 12-17 ans disent ne jamais utiliser internet sur le lieu de leur scolarité tout en étant 50% entre 8 et 17 ans à avoir utilisé leur mobile en classe… [5] Toujours paradoxale, non, l’éducation nationale ?

Du côté des parents appartenant à la Génération Y, Bruno Devauchelle s’interrogeait récemment, dans un article du Café pédagogique, sur les conséquences de leur arrivée et de leur imprégnation du numérique dans la relation parents-écoles.  [6] Pour Bruno Devauchelle,

«Si dans la relation à l’école, primaire, au collège l’arrivée de parents Y ne semble pas changer beaucoup les relations, c’est avec le lycée, et en particulier l’orientation scolaire que les aptitudes numériques des parents peuvent prendre de l’importance.»

En outre,

« Il n’est probablement pas loin le temps où certains exigeront la prise en compte de la « mobilité multiplateforme » désormais au coeur des questionnements de tous les services informatiques. La continuité communicationnelle devient une situation ordinaire : d’un lieu à l’autre, d’une machine à l’autre, chacun souhaite disposer de mes « outils de travail » personnels, familiaux, sociaux, professionnels. »

A nouveau, les usages du numériques « encerclent » l’espace de la classe sans véritablement y pénétrer. Néanmoins la question se pose de savoir jusqu’à quand la classe restera rétive au numérique et à quel moment les barrières de la classe céderont. Cette question est essentielle, car ignorer les pratiques du numériques des élèves hors la classe revient à créer des inégalités entre élèves non seulement dans la maîtrise des outils, mais dans les apprentissages scolaires. Comme l’illustre parfaitement les résultats d’une enquête menée par Stéphanie de Vanssay sur les devoirs numériques :

« comment les élèves peuvent-ils considérer ces outils comme un moyen parmi d’autres s’ils sont absents, ou quasi absents, de l’école, voire diabolisés encore par de nombreux enseignants ? De plus, s’en servir à bon escient et de façon efficace nécessite un apprentissage largement laissé à la charge des parents. » [7]

D’autre part, à force d’être utilisé massivement hors la classe pour des tâches scolaires, le numérique pourrait zapper définitivement la classe. Dans les deux cas, ce serait au détriment de l’Ecole de la République. Pendant ce temps-là, au Danemark et depuis 2010, on passe le bac en surfant sur Google et Wikipedia. [8] Interrogé par le journal Le Point, Steen Larsen, conseiller au ministère danois de l’éducation précise que «les examens se tenaient déjà depuis plusieurs années au format numérique. Ils étaient sur des CD-Rom, sans connexion possible au Web. Après réflexion, nous avons voulu renforcer le lien entre les TIC (technologies de l’information et de la communication) et les élèves, qui utilisaient déjà Internet pendant les cours. C’est plus cohérent : apprentissages et évaluations sont désormais réalisés dans les mêmes conditions.»

Sur ces derniers propos, je vous souhaite un bon été et d’excellentes vacances scolaires.

Lyonel Kaufmann, Professeur formateur,

Didactique de l’Histoire, Haute école pédagogique du canton de Vaud, Lausanne (Suisse)

Référence du Café pédagogique : Kaufmann, L. (2013). Les générations X, Z et C et l’avenir de l’école. Le Café pédagogique, No 144, juin

Notes

[1] Landes : Les TICE seules peuvent-elles changer la pédagogie ?
http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2013/04/24[…]

[2] Numérique et éducation : le trouble et la trouille :
http://dkaplan.tumblr.com

[3] Quelle est l’utilisation de wikipedia par les enseignants?
https://lyonelkaufmann.ch/histoire/2013/03/05/how-teachers[…]

[4] Facebook, nouvelle porte d’entrée dans l’adolescence :
https://lyonelkaufmann.ch/histoire/2013/03/24/facebook-nouve[…]

[5] Quelles sont les pratiques numériques des jeunes (dossier) | Netpublic :
http://www.netpublic.fr/2013/03/pratiques-numeriques-des-jeunes/

[6] Y a-t-il des parents Y ? Travailler avec les parents à l’ère du numérique :
http://bit.ly/12CXJyw

[7] As-tu fais tes devoirs numériques?
http://ecolededemain.wordpress.com/2013/02/26/as-tu-fai[…]

[8] Au Danemark, on passe le bac en surfant sur Google et Wikipedia. Le Point.fr – Publié le 11/06/2013 à 16:58 – Modifié le 18/06/2013 à 16:27 :
http://www.lepoint.fr/societe/au-danemark-on-passe-le-b[…]

Classé sous :Didactique, Médias et technologies, Opinions&Réflexions

Les premières publications des photos de Robert Capa sur le débarquement en Normandie | Déjà vu

17 août 2013 by Lyonel Kaufmann

blank

Le 19 juin 1944, le magazine Life publie plusieurs pages de photos et commentaires sur le débarquement en Normandie. Ces images sont désormais emblématiques du débarquement en Normandie. Patrick Peccatte revient sur l’histoire de leur prise de vue et de leur publication dans la presse lors du Débarquement ainsi que celles d’autres photographies prises par d’autres photographes. Un article fouillé et érudit qui ravira autant les amateurs d’histoire que de photographie (de presse).

Intitulé Beachheads of Normandy, l’article du magazine Life peut être retrouvé dans la collection de Life numérisée par Google. Il comporte deux parties: sept pages de photos prises par Robert Capa à Omaha Beach le 6 juin, puis six pages de clichés pris par d’autres photographes ainsi que des cartes.

blank
Life, 19 juin 1944, page 27

La première photo de la page 27 présentée ci-dessus, parfois décrite comme The Face in the Surf, est l’une des photos les plus célèbres de Capa.

Lire l’article : Les premières publications des photos de Robert Capa sur le débarquement en Normandie | Déjà vu.

Classé sous :Nouvelles de l'histoire, sur le web Balisé avec :39-45, archives, Photographie, Photographies, Robert Capa

Chronique de l'été : 14-18, le centenaire en phase d'approche serrée

15 août 2013 by Lyonel Kaufmann

blank

Je mets à profit la pause estivale pour publier en ce mois d’août mes chroniques mensuelles du Café pédagogique. En mai, les commémorations du centenaire de 14-18 approchant à grand pas, je présentais des ressources et des initiatives intéressantes en la matière. La plupart ont déjà été mentionnées sur ce site. Bonne (re)lecture.

blank

2014 approche à grands pas et nous n’échapperons pas aux diverses entreprises de commémoration du déclenchement du Premier conflit mondial. Dans ce cadre-là, l’Internet joue déjà un rôle important et offre tant des ressources que quelques initiatives fort intéressantes pour planifier son enseignement. Cependant, vivement que l’on pense à commémorer le centenaire de la Grande Paix.

En préambule, je vous renvoie à l’interview réalisé le mois dernier avec Sébastien Ledoux. [1] Dans celui-ci consacré aux rapports entre histoire du devoir de mémoire et enseignement de l’histoire, s’exprimant sur les commémorations du centenaire de la Première Guerre mondiale, Sébastien Ledoux indiquait :

« Les commémorations sont des temps de remémoration collective. La Première Guerre mondiale connait depuis une vingtaine d’années un regain d’intérêt en constituant à la fois un nouveau patrimoine national à sauvegarder et un événement qui suscite un sentiment d’injustice et de compassion à l’égard de la souffrance vécue par les combattants.  On peut donc penser que ce centenaire va cristalliser cette évolution. Dans le même temps, les acteurs des politiques du passé veulent imprimer leur trace sur l’histoire. La commémoration est devenue un événement incontournable de l’agenda du politique, et la communication est fondée sur la nouveauté. La controverse actuelle autour du choix du 14 juillet comme date commémorative en est l’écho direct. Il restera à l’enseignant d’histoire la charge d’exercer son métier en assumant sereinement son ambivalence en toute liberté pédagogique: transmettre un événement du passé à partir des questions du présent. »

Il convient donc de garder ces propos à l’esprit en abordant les ressources présentées aujourd’hui.

A tout seigneur tout honneur, il convient de s’attarder sur le site officiel de la commémoration : L’archéologie de la Grande Guerre de la Mission Centenaire 14-18 : http://centenaire.org/fr.

Mission Centenaire 14-18 est le portail officiel français du Centenaire de la Grande Guerre. Il est actuellement mis en ligne dans une première version. Sa version finale sera proposée en 2014 pour accompagner les commémorations du centenaire de la Première Guerre mondiale. La Mission du centenaire de la Première Guerre mondiale est un groupement d’intérêt public créé en 2012 par le Gouvernement français. Elle est constituée de seize membres fondateurs et travaille sous l’autorité du ministre délégué chargé des Anciens combattants, Monsieur Kader Arif. Garantie de sérieux, Antoine Prost est le Président du Conseil scientifique de la Mission du Centenaire.

Sur le plan pédagogique, le site propose un espace pédagogique comprenant plusieurs séquences en lien avec les programmes d’histoire du primaire et du secondaire. En introduction, je vous encourage à lire l’article consacré La place de la Première Guerre mondiale dans les programmes scolaires. [2] Une partie est notamment consacrée aux critiques du contenu des nouveaux programmes du secondaire concernant la Première Guerre mondiale. Il y est notamment abordé la polémique lancée par Le Figaro sur la disparition des maréchaux, qui, pour la Mission du Centenaire

« relève de la nostalgie d’une l’histoire militaire vue « d’en haut », faisant la part belle aux grands chefs, considérés comme des héros de l’histoire de France et oubliant les combattants et les civils. Elle tient d’autant moins qu’elle est fondée sur un amalgame entre programmes et manuels et que, depuis les années 1920, les programmes eux-mêmes n’ont jamais cité les noms des maréchaux. Elle s’inscrit dans un critique plus globale, récurrente dans le Figaro Magazine depuis la rentrée scolaire 2010, portant sur la disparition des héros de notre histoire nationale au profit de l’étude de civilisations lointaines (cf. la soit disant évacuation de Louis XIV et Napoléon des manuels et des programmes). »

La Mission centenaire aborde également la critique qui s’en prend à une approche du conflit considérée comme étant « compassionnelle ». A ce propos, le site indique que

« La meilleure façon d’amener les lycéens du cycle terminal à comprendre ce qu’est l’histoire est de leur montrer qu’elle n’est pas écrite une fois pour toute et qu’elle fait l’objet de débats. ».

blank
Produits de fouilles des tranchées de Massiges

© Mission du centenaire de la Première Guerre mondiale

Deux séquences d’enseignement ont retenu plus particulièrement notre attention. Il s’agit de deux séquences autour de l’archéologie de la Grande Guerre. Cette discipline est aujourd’hui en pleine expansion. Au niveau didactique, la volonté est d’offrir aux élèves une entrée dans l’étude du premier conflit mondial par le biais d’une approche à la fois concrète et pluridisciplinaire. Pour les auteurs de la séquence, l’archéologie de la Grande Guerre permet d’approcher et de découvrir la guerre par le biais de différents éléments :

  • La fouille de la tombe d’Alain-Fournier peut être un préalable à l’étude de l’œuvre de l’écrivain mort à la guerre.
  • L’étude du Feu d’Henri Barbusse ou de toute autre œuvre littéraire peut s’appuyer sur les découvertes d’objets de fouilles ou de tranchées.
  • Les sciences du repérage (vues Lidar), les techniques de fouilles, l’étude anthropologique des corps découverts, peuvent être autant d’éléments utilisés dans les disciplines scientifiques.

Pour ces séquences, l’enseignant dispose de supports variés dont des vidéos. Ces vidéos peuvent être utilisées en classe entière mais aussi en salle informatique lors de séances de groupes. Les séquences interrogent et impliquent également les élèves autour des documents médiatisés.

Ces deux séquences pédagogiques proposent des activités pédagogiques de différents niveaux taxonomiques jusqu’à la synthèse/créativité tant pour les élèves du primaire que du lycée.  Ce faisant, ces séquences offrent un travail centré sur une véritable approche par compétence. Rare et précieux.

Poursuivons avec une autre démarche émargeant cette fois-ci des milieux académiques. Il s’agit de la Bibliographie collaborative de la Grande Guerre, hébergée sur Zotero :

https://www.zotero.org/groups/first_world_war_studies_bibliography/items

L’idée démarre lors d’un colloque organisé par l’International Society for First World War Studies à Innsbruck en septembre 2011. [3] Elle consiste transformer la bibliographie statique de cette société en bibliothèque interactive. Désormais, le blog de la société affiche en temps réel le contenu de la bibliothèque, sans qu’une mise à jour manuelle ne soit nécessaire. Chaque modification apportée par l’équipe de rédaction est automatiquement transmis non seulement aux autres membres du groupe Zotero, mais aussi au site web de la société, sur un un compte Twitter dédié à cet usage et sur une page Facebook. Cet exemple est transposable à d’autres thématiques en histoire ou dans d’autres disciplines. [4]

Concernant les ressources numérisées consacrées à la Première Guerre mondiale, Biblioweb consacre un article et propose une liste de ressources pouvant intéresser l’enseignant d’histoire : La Grande Guerre numérisée (http://biblioweb.hypotheses.org/8710). De son côté, L’encyclopédie collaborative en ligne du Pas-de-Calais, Wikipasdecalais (http://www.wikipasdecalais.fr/index.php/Accueil), mène deux projets autour de la Grande Guerre. Ceux-ci mobilisent de manière complémentaire les sources d’archives publiques et privées : l’établissement de notices biographiques pour les quelques 35.000 victimes militaires du Pas-de-Calais, dont plus de 12.000 sont déjà en ligne ; et le projet intitulé « Un nom, un visage, une histoire », qui prévoit la collecte de fonds privés pour enrichir ces notices, mais aussi la publication de documents originaux accompagnée de leur transcription. Pour vous tenir à jour des sources publiées sur l’Internet concernant la Première Guerre mondiale, je vous invite à suivre le blog « Sources de la Grande Guerre » (http://sourcesdelagrandeguerre.fr/WordPress3/).

Parmi les ressources fréquemment utilisées en classe d’histoire, les affiches de guerre et les cartes postales tiennent la corde. Je vous signale deux ressources à leur sujet. En premier lieu, une sélection de liens sur les Affiches de la Grande Guerre :

http://sourcesdelagrandeguerre.fr/WordPress3/?p=2191.

En second lieu, la Mission centenaire consacre un article à la vie sur le front au travers des cartes postales :

http://centenaire.org/fr/tresors-darchives/carte-postale/la-vie-au-front-travers-les-cartes-postales

 

blank

On trouve de plus en plus d’application pour mobiles, dont nos élèves sont friands, consacrés à l’histoire. Carnets 14/18 est le nom d’une application pour mobile qui permet la visite de 5 grands sites de bataille de Première Guerre Mondiale en Picardie et dans le Nord-Pas-de-Calais. Cette initiative s’inscrit dans le projet européen Mémoire de la Grande Guerre. D’un coût total d’environ 10 millions d’euros, elle est financée à près de 50% par l’Union européenne. Dans le cadre de ce projet, signalons également l’exposition virtuelle « Sur les chemins de la Grande guerre » :http://expositionvirtuelle.memoire1418.org/. Cette exposition virtuelle comporte également des dossiers pédagogiques. Les thématiques abordées sont les suivantes :

  • les combattants entre front et arrière-front ;
  • le parcours des blessés ;
  • des corps déplacés : la gestion des morts» ;
  • les déplacements de civils ;
  • les déplacements d’après-guerre.

Pour terminer, il convient encore à l’enseignant d’histoire de construire une problématique historique à laquelle ses élèves devront ensuite répondre.. A ce titre, les préoccupations des historiens peuvent l’aider les enseignants. En voici un exemple à l’aide d’un article de 2008 paru dans la Revue historique des armées (http://rha.revues.org/index288.html). En 2008, Georges-Henri Soutou s’interroge : 1918 représentait-elle la fin de la Première Guerre mondiale ? Son article s’intéresse notamment à la situation en Allemagne après la signature de l’armistice ainsi que sur les motivations de Ludendorff. De manière générale, pour Soutu, il s’agissait non pas d’armistices militaires, mais politico-militaires. D’où l’importance de cette période au cours de laquelle s’arrête la Grande Guerre, mais alors que les traités de paix se font attendre. La fin de son article, fort intéressant dans son ensemble, nous offre ensuite un bel exemple permettant de problématiser la fin du conflit et de projeter les élèves dans l’étude de l’entre-deux-guerres et la Deuxième Guerre mondiale. Nous sommes également en présence d’un travail d’histoire maniant une histoire-événementielle et une histoire-problème. En effet, il conclut son article par une interrogation : Un armistice de 21 ans ?

Dans le corps de son article, il proposait à la fois des éléments pouvant être exploité dans le sens d’une Guerre de Trente Ans. Dans les lignes conclusives, l’article propose également des éléments invitant dans le sens d’une spécificité du deuxième conflit mondial. Dans tous les cas, un joli point de départ pour construire une séquence d’enseignement englobant la conclusion de 1918, l’entre-deux-guerres et la Deuxième Guerre mondiale. Une problématique non négligeable lorsqu’on ne dispose de peu de périodes d’enseignement d’histoire par semaine.

Lyonel Kaufmann, Professeur formateur,

Didactique de l’Histoire, Haute école pédagogique du canton de Vaud, Lausanne (Suisse)

Référence du Café pédagogique : Kaufmann, L. (2013). 14-18, le centenaire en phase d’approche serrée . Le Café pédagogique, No 143, mai

Notes

[1] La chronique de Lyonel Kaufmann. Histoire du devoir de mémoire et enseignement de l’histoire. Une interview de Sébastien Ledoux. Chronique mensuelle no 142, avril 2012 :

http://www.cafepedagogique.net/lemensuel/lenseignant/schumaines/histoire/Pages/2013[…]

[2] http://centenaire.org/fr/espace-scientifique/la-place-de-la-prem[…]

[3] http://www.firstworldwarstudies.org/

[4] Sur la présentation complète de la démarche :

http://www.boiteaoutils.info/2013/01/bibliographie-collaborative-de-la.html

Classé sous :Histoire active, Histoire savante, Médias et technologies, Opinions&Réflexions, Outils enseignement

  • « Aller à la page précédente
  • Page 1
  • Pages provisoires omises …
  • Page 134
  • Page 135
  • Page 136
  • Page 137
  • Page 138
  • Pages provisoires omises …
  • Page 275
  • Aller à la page suivante »

Barre latérale principale

Lyonel Kaufmann

blankHistorien & Blogueur En savoir plus…

Derniers articles

blank

Jean-Pierre Azéma (1937-2025)

15 juillet 2025 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

J’apprends par France Culture que l’historien Jean-Pierre Azéma est mort à l’âge de 87 ans. Spécialiste du régime de Vichy et de la Résistance, il a profondément marqué l’historiographie contemporaine, en contribuant à éclairer une page longtemps restée trouble de l’histoire nationale. Mais Jean-Pierre Azéma ne fut pas seulement un historien du papier : en […]

blank

Lectures de l’été : IA et éducation

1 juillet 2025 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

L’été est toujours un moment où enfin on dispose de temps, où le flux interrompu et stressant du quotidien ralenti quelque peu. Il est favorable au farniente, à la lecture de polar, mais aussi à la réflexion. Je vous propose ainsi trois articles que je vais prendre le temps de lire attentivement consacrés à des […]

Décès du documentariste Marcel Ophüls à 97 ans

26 mai 2025 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Décès du documentariste Marcel Ophüls à 97 ans. Le maître français du documentaire historique est mort samedi dans sa maison du sud-ouest de la France, a-t-on appris lundi auprès de sa famille. Fils du grand cinéaste allemand Max Ophüls (“ La Ronde”, “Lola Montès”…), Marcel Ophüls avait fui l’Allemagne nazie enfant pour s’installer en France, avant de […]

blank

Passion Médiévistes : Hors-série 34 – Le Moyen Âge au cinéma

22 avril 2025 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

À l’occasion de l’édition 2025 du Festival international du film court d’Angoulême, deux invités sont venus croiser, dans cet épisode hors-série de Passion Médiévistes, leurs expériences sur les représentation du Moyen Âge au cinéma. Les invités : Cet épisode vient proposer les regards complémentaires d’un réalisateur et d’un historien pour interroger la manière dont le […]

blank

Trous de mémoires de Nicolas Juncker

17 avril 2025 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Comment raconter la guerre d’Algérie et ses mémoires sans tomber dans le pathos ou la leçon d’histoire trop académique ? Trous de mémoires relève ce défi avec audace, mêlant comédie burlesque et réflexion historique. Nicolas Juncker y explore, avec un humour grinçant, les tensions et contradictions qui entourent la mémoire de ce conflit, en s’inspirant du […]

blank

Ces familles néerlandaises qui découvrent un passé de collaboration – rts.ch

28 mars 2025 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

C’est avec stupeur que de nombreux Néerlandais et Néerlandaises ont récemment découvert sur internet qu’un membre de leur famille avait collaboré avec les nazis durant la Seconde Guerre mondiale. En cause: la mise en ligne d’une liste de 425’000 noms par les archives nationales des Pays-Bas. Depuis janvier, les descendants affluent à La Haye, souvent […]

blank

Spreitenbach: Un paradis du shopping ou la porte des enfers? – Blog du Musée national suisse

24 mars 2025 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

En 1975, l’Association suisse des instituteurs publia le panneau scolaire n°167. Celui-ci montre une vue aérienne de la commune de Spreitenbach, dans la vallée de la Limmat. Ou plus précisément de la ville nouvelle de Spreitenbach, «Neu-Spreitenbach», avec son centre commercial entouré d’un immense parking rempli de voitures aux couleurs vives et son imposant quartier […]

Tirés de nos archives

blank

M078 – «L’enseignant d’histoire transmetteur de savoir» (Séminaire)

18 décembre 2006 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

L’ENSEIGNEMENT MAGISTRAL L’enseignement magistral ou modèle transmissif se qualifie par l’accès aux vérités par le discours, par l’exposé, par la démonstration. Cette méthode axée principalement sur le professeur, a pour but de présenter des propositions vraies sous forme de transmission. L’élève se devra donc de reconnaître comme évidence les savoirs acquis. Dans notre exposé consacré […]

blank

Un an après : Pourquoi Cléopâtre n’a pas inventé le vibromasseur

8 mai 2017 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

À l’occasion de la sortie récente d’une bande dessinée à succès sur l’histoire de la sexualité, par Philippe Brenot et Laetitia Coryn (Les Arènes BD, 2016), l’information selon laquelle Cléopâtre aurait inventé, il y a un peu plus de 2000 ans, le premier vibromasseur a fait le tour du Web, témoignant de la fascination qu’exerce aujourd’hui encore l’ancienne […]

blank

Une « histoire de l’Histoire » à Berlin, capitale du XXe siècle

15 août 2011 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Une « histoire de l’Histoire » à Berlin, capitale du XXe siècle Mouvements artistiques, Rosa Luxemburg, Deuxième Guerre mondiale, le Mur et sa chute : Berlin est-elle la « capitale » du XXe siècle, pour le meilleur et pour le pire ? La réponse est oui pour l’auteur de cet article sur Rue89. «Cela devrait être Berlin. C’est […]

blank

Dossier d'actualité – Impact des TIC dans l'enseignement – janvier 2009

4 février 2009 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Dossier d’actualité – Impact des TIC dans l’enseignement – janvier 2009: Comment individualiser les…

blank

Nuit et Brouillard – Jean Ferrat

23 juillet 2010 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

En 1963, Jean Ferrat compose cette chanson en mémoire des victimes des camps de concentration. Son père, immigré juif de Russie est mort à Auschwitz. La chanson fut « déconseillée » par le directeur de l’ORTF, mais passa un dimanche à midi sur la première chaîne, dans l’émission Discorama de Denise Glaser. Cette chanson fera partie avec cinquante-neuf […]

blank

EdNum – Casser les codes : le long chemin des femmes

26 novembre 2022 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

En rassemblant les acteurs et les actrices engagé.e.s dans l’inclusion indispensable des femmes dans les secteur du numérique, l’association Femmes@Numérique, créée en 2021, souhaite donner toutes ses chances à la transformation en profondeur qui doit être conduite pour atteindre cet objectif. Elle a aussi servi de point de départ à la formation et au colloque organisés les 16 et […]

blank

Thomas Paine, La justice agraire opposée à la loi et monopole agraire, ou plan d’amélioration du sort des hommes, Paris, an V (1797), p.20 L’Europe peut-elle être dite “civilisée” ? – Révolution Française

22 avril 2010 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

L’état actuel de la civilisation en Europe est aussi injuste dans ses principes, qu’odieux dans ses conséquences : on en est généralement convaincu, et c’est ce sentiment intime qui fait craindre les progrès des lumières, et qui fait trembler les possesseurs des propriétés à la seule idée d’une révolution ; […]. Lorsque la richesse et l’éclat, au […]

Creative Commons License
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons. Lyonel Kaufmann 2004-2025

Creative Commons License Ce contenu est mis à disposition sous un contrat Creative Commons. Lyonel Kaufmann 2004-2025.
Thème Aspire 2.0.1 de Genesis Framework · WordPress · Se connecter

 

Chargement des commentaires…