Les résultats quantitatifs de l’étude menée par Amandine Berton Schmitt sont en effet assez effrayants. Dans les onze manuels étudiés, sur les 339 biographies proposées, seulement onze d’entre elles sont consacrées à des femmes, soit seulement 3,2%. « Parmi les auteur-e-s de documents proposés, 4 % sont des femmes. 3,5% des documents relevant du domaine politique sont écrits par des femmes, 2,8% des documents relevant du domaine artistique, 5,2% des documents relevant du domaine de la connaissance »,
Blog
Revue de presse : manuels numériques (23 novembre 2011)
- Près d’un enseignant sur cinq utilise un manuel numérique – LeMonde.fr – Près d’un enseignant sur cinq utilise un manuel numérique, signe que leur usage « gagne du terrain » dans l’éducation nationale, rapporte une enquête TNS-Sofres, menée du 10 juin au 11 juillet 2011 auprès de 6 183 professeurs et rendue publique ce mardi 22 novembre.
Environ 92 % des élèves accèdent aux manuels numériques par la vidéoprojection en classe. Comme le dit un commentateur de l’article du Monde :
«Si utiliser un manuel numérique, c’est en projeter le contenu au videoprojecteur, les chiffres sont probablement exactes, si c’est en avoir une utilisation croisées avec les élèves (véritable utilisation du manuel), alors là nous en sommes très loin.»
Revue de presse : la BD historique (22 novembre 2011)
Du 23 au 26 novembre 2011, l’Université de Pau et des Pays de l’Adour (UPPA) accueil un colloque international consacré à la Bande Dessinée historique. Ce colloque est organisé par le Centre de Recherches Poétiques et Histoire littéraire (CRPHL) et a pour but de mieux (faire) comprendre les spécificités de ce que l’on peut appeler la bande dessinée historique. Les invités d’honneur de ce colloque seront Jean Dufaux et Philippe Delaby, le scénariste et le dessinateur de Murena.
On trouve en ligne les résumés des interventions au colloque scientifique. Cette revue de presse vous présente celles qui paraissent le plus intéressantes en relation avec l’utilisation de Bande Dessinée en classe d’histoire.
- 60 ans de gladiature en BD, entre mythe et réalité | Teyssier Eric– La BD, comme le péplum, constitue un vecteur fondamental de connaissances du monde antique. Entre mythe et réalité, cette forme d’expression véhicule certaines vérités historiques comme les pires clichés. En matière d’histoire ancienne, la gladiature constitue un champ particulièrement propice aux fantasmes et aux idées reçues. La connaissance scientifique de ce domaine a pourtant fait de grands progrès depuis une dizaine d’années grâce notamment à une approche plus technique et rationnelle de ce monde paradoxal. Paradoxal, car les principaux acteurs de ces combats sont dans le même temps adorés et méprisés suivant les cas et les époques. Tout à la fois stars adulés de tous et prostitués livrés presque nus au plaisir de la foule, victimes ou héros affrontant la mort en face, les passions qu’ils suscitaient voici 2000 ans ne pouvaient pas laisser insensible les auteurs de BD et se retrouvent encore dans leurs différentes approches.Mais quelles sont les sources d’inspiration de ces auteurs ?
- La classe d’Histoire de l’Antiquité : réflexion didactique préliminaire sur les apports et limites pédagogiques du recours à la bande dessinée – Participants au Colloque sur la bande dessinée historique àl’Université de Pau et des Pays de l’Adour (23 au 26 novembre 2011), Jean-François Boutin et Virginie Martel ont pour objectif de répondre à trois questions concernant l’utilisation de la Bande Dessinée en classe d’histoire
— La bande dessinée «antique» en classe d’Histoire : pourquoi ?
— La bande dessinée «antique» en classe d’Histoire : à quelles conditions et avec quelles précautions pédagogiques
— La bande dessinée «antique» en classe d’Histoire: quel dispositif pédagogique?
- Mythologies et stéréotypes nationaux dans Astérix : sources iconographiques et historiques – Dans un contexte de formation des professeurs d’école, une équipe de chercheurs et de représentant de l’institution scolaire se questionne sur la place de la bande dessinée dans l’enseignement du socle commun de connaissances et de compétences, au regard de la partie nommée « culture humaniste » (Histoire, Histoire des arts, arts visuels, éducation musicale, littérature).
Leur travail s’effectue à partir de la notion de stéréotype, la construction de ceux-ci en terme de compréhension de l’histoire, la construction de repères socio-culturels ou de mémoire collective.
Leur corpus est celui des bandes dessinées d’Astérix en les interrogeant sur la construction d’un propos à la fois militant et distancié autour de la nation gallo-française. Extrait du résumé de la contribution de Villagordo Eric, Sala Céline, Parayre Marc et Halimi Jackie.
- D’Alix à Murena. De l’audience de ces deux séries chez les enseignants | Thiebaut Michel– L’ancienne prévention contre les images restituant l’Histoire s’est aujourd’hui considérablement atténuée, avec un début de reconnaissance universitaire. Ces images font aujourd’hui l’objet d’études et sont aussi un moyen pour redonner un intérêt à la connaissance des langues anciennes et de la civilisation antique, à un moment où ces enseignements apparaissent particulièrement menacés à l’école secondaire.À une quarantaine d’années de distance de la publication des premières aventures d’Alix, il est significatif que le souci documentaire s’impose désormais à certains auteurs de bande dessinée. Il répond à un questionnement et une attente de la part de lecteurs avertis qui appartiennent souvent à la mouvance universitaire.
Raconter l'histoire en 140 caractères | RSR La Première
Récemment je vous faisais part de l’initiative du défi que s’était lancé un jeune historien anglais de l’Université d’Oxford consistant à décrypter le deuxième mondiale, jour après jour, sur le compte Twitter @RealTimeWWII. Son expérience et mon billet ont donné lieu ce lundi à un reportage de Pierre Crevoisier au 12h30 de la Radio Suisse romande.
Pour celles et ceux qui l’auraient manquée : RSR La première le 12h30 du 21 novembre
Cela a été aussi l’occasion de signaler le projet TwHistory qui a déjà fait l’objet ici de 2 articles:
Raconter l'histoire en 140 caractères | RSR La Première
Récemment je vous faisais part de l’initiative du défi que s’était lancé un jeune historien anglais de l’Université d’Oxford consistant à décrypter le deuxième mondiale, jour après jour, sur le compte Twitter @RealTimeWWII. Son expérience et mon billet ont donné lieu ce lundi à un reportage de Pierre Crevoisier au 12h30 de la Radio Suisse romande.
Pour celles et ceux qui l’auraient manquée : RSR La première le 12h30 du 21 novembre
Cela a été aussi l’occasion de signaler le projet TwHistory qui a déjà fait l’objet ici de 2 articles:
Revue de presse : Apocalypse Hitler (19 novembre 2011)
Diffusé à une heure de grande écoute sur une chaîne du service publique, Apocalypse Hitler présente beaucoup d’atours susceptible de séduire les enseignants d’histoire. La revue de presse ci-dessous permet de remettre cette série à une plus juste place.
- Apocalypse Hitler – Edouard Husson, vice-chancelier des Universités de Paris et spécialiste de l’Allemagne dans sa période nazie, ne manque pas de tordre le coup à l’absurde insistance d’«Apocalypse Hitler» sur la possible ascendance juive de Hitler :
«une thèse bien éculée, et dont on se demande bien pourquoi les auteurs la réhabilitent. Que le père de Hitler n’ait pas su l’identité de son vrai géniteur, quoi de plus banal dans une région (Bavière, Nord-Ouest de l’Autriche) où les naissances illégitimes étaient particulièrement nombreuses à cette époque, sans doute liées au système de la famille souche- l’aîné héritant et se mariant laissait peu d’espoirs à des cadets de s’établir. Que Hitler n’ait pas su, contre les critères du régime qu’il avait établi, prouver l’origine de ses quatre grands-parents, certes. Mais de là à nous refaire le coup d’un Hitler peut-être juif, il y a un grand pas, franchi avec désinvolture. Non seulement il aurait fallu creuser dans une autre direction: Hitler a peut-être eu des ancêtres tchèques; mais il aurait fallu se rappeler que la thèse des ancêtres juifs de Hitler est un symptôme de la mauvaise conscience européenne et occidentale vis-à-vis du judéocide: ce serait si pratique de pouvoir se dédouaner de siècles de persécutions culminant dans un génocide et de pouvoir dormir tranquille car un Juif aurait décidé de tuer massivement d’autres Juifs…» - “Apocalypse Hitler”, une impression de déjà-vu – Télévision – Télérama.fr – A grand renfort d’archives colorisées, “Apocalypse Hitler”, diffusé mardi 25 octobre, sur France 2, retrace l’ascension politique du Führer jusqu’à l’invasion de la Pologne. Un documentaire qui s’inscrit dans une longue lignée, sans rien apporter de très novateur. Décryptage avec deux jeunes universitaires.
Pour l’historienne Julie Maeck, chargée de recherches à l’Université libre de Bruxelles, Apocalypse Hitler se contente d’adapter au goût du jour la démarche de l’Allemand Guido Knopp qui, à partir de 1995, consacra des documentaires au Führer et à ses «complices», mêlant images de propagande et documents amateurs dans une forme accrocheuse et sans recul critique […]. «La seule nouveauté des films d’Isabelle Clarke et de Daniel Costelle tient à la colorisation des archives. Pour le reste, ils traitent ces images de la même manière émotionnelle, dans un montage hyper-rythmé, sans apporter la moindre plus-value à la compréhension du phénomène Hitler, ni à la façon dont les nazis sont arrivés au pouvoir.» - ‘Apocalypse’ : les faux monnayeurs, par J-L. Comolli | Le blog documentaire – «Hitler est partout, tout le temps : normal, il est filmé par ses amis ou par ses séides. Brouillage donc. Ne pas signaler l’origine des archives a pour résultat de les mettre toutes sur le même plan donc de mentir sur leurs déterminations. Et ne pas prendre en compte la spécificité historique de ces archives, qui portent la marque de leur époque et des capacités du cinéma en leur époque, revient encore à mentir sur les limites de ces images, et donc la relativité de leur point de vue ; ici, les images sont absolutisées […]
Il y avait donc d’autres images, pouvant rendre le film plus complexe et son commentaire plus subtil. L’écrasement du format d’origine des images, comme leur colorisation et leur sonorisation, signifient falsification de l’histoire, celle du cinéma, qui n’est pas moins historique que l’histoire politique. Les auteurs de cette apocalypse peuvent être dits des faussaires. Ils trompent les téléspectateurs sur la « marchandise ». Le cinéma dans les années 30 était moins puissant qu’aujourd’hui. D’ailleurs, Hitler s’est surtout manifesté par la radio. Le piège tendu perversement par les auteurs est de feindre de dénoncer le Führer, de le critiquer dans leur commentaire, alors que les images proposées sans hors-champ, sans déconstruction, au téléspectateur, reconduisent la fascination supposée du peuple allemand pour la figure du Führer. Pour dénoncer une adhésion, on la maintient, on la perpétue.» - Apocalypse/Hitler : la mystification, par Hugues Le Paige « Le blog documentaire – «Lors d’une émission radio sur la Première (RTBF) et dans des termes bien plus modérés, l’historienne du CEGES, Chantal Kesteloot avait suggéré une lecture critique des images et émis quelques réserves, notamment sur les limites de la démarche et sur la nécessité d’indiquer les sources des documents. Ce qui a eu pour effet de provoquer la colère tonitruante de Daniel Costelle lors de son intervention en duplex dans la même émission dont on connaît pourtant le caractère éminemment consensuel. « Mais nous voulions faire de la ‘prom’, répondait ingénument l’animateur face au déchaînement du réalisateur « révulsé par les réflexions coupantes d’une professeur-de-je-ne-sais-pas-quoi, d’une ‘historienne’ entre guillemets ».Les auteurs d’Apocalypse qui entamaient déjà leur première série par la phrase définitive : « ceci est la véritable histoire de la seconde guerre mondiale », ne supportent décidément pas que l’on émette quelques critiques même très modérées et, lors de cette émission, très largement bienveillantes à l’égard de leur « œuvre vivante », comme ils la qualifient. Leur prétention est à la mesure de leur mystification historique. Il existe cependant un danger plus pressant car, au-delà de ces productions et de ce que l’on peut en penser, le risque est grand de voir ce formatage du documentaire qui enchante les télévisions devenir le modèle à suivre.»
En définitive, les enseignants seront mieux inspirés d’utiliser des films de fiction de grande qualité. Dans Télérama, Matthias Steinle, maître de conférences en cinéma à Paris III et l’historienne Julie Maeck, chargée de recherches à l’Université libre de Bruxelles nous proposent «Le Didacteur» (1940) de Chaplin, «To Be or Not to Be» (1942 d’Ernest Lubitsch et même «Inglorious Basterds» (2009) de Quentin Tarantino, car, comme l’indique Matthias Steinle :
«Ces films, au moins, n’entretiennent pas le mythe du Führer; ils cherchent à l’arrêter. En voyant Inglorious Basterds, les jeunes comprennent au moins que le nazisme, c’est mal ! Reste juste à leur expliquer qu’Hitler n’est pas mort dans un cinéma.»
Voir aussi notre précédent article : Du bruit autour du Führer | Écrans.
Revue de presse (16 novembre 2011)
- Sur France 3, un téléfilm réécrit l’histoire du procès de Nuremberg | Rue89 – Les téléspectateurs de France 3 ont vécu une expérience un peu surréaliste mardi soir.
Après la diffusion de « J'étais à Nuremberg », une fiction reconstituant avec soin le procès des dignitaires nazis à la fin de Seconde Guerre mondiale, ils ont pu assister à un débat pendant lequel des spécialistes de la période ont pointé les erreurs historiques et curieux parti-pris du téléfilm.
Principal grief soulevé par les invités de « Ce soir ou jamais » : le rôle attribué à Auguste Champetier de RIbes, représentant de la France au sein du Tribunal militaire de Nuremberg, incarné par Patrick Raynal.
Dans plusieurs scènes, on le voit tenter de dissuader son adjoint Pierre Bernard (un personnage inventé pour l'occasion) d'évoquer le rôle de Vichy dans la déportation des juifs de France.
Le problème, c'est que cette scène n'a jamais existé… - L’image de la Suisse | Mots d’images – Les banques, le chocolat, la propreté ou l’horlogerie sont autant de clichés très répandus de la Suisse. Si ces derniers s’inspirent bien de faits concrets, qu’en est-il de tous les mythes, croyances et symboles qui fabriquent l’imaginaire du pays ? Comment sont-ils nés ? Comment fonctionnent-ils ? Gianni Haver, sociologue de l’image, vient de publier L’image de la Suisse pour faire le tour de ces questions. Mots d'image nous en offre un compte-rendu.
Les Hommes libres (Ismaël Ferroukhi) | Zéro de conduite
Cinq ans après Indigènes de Rachid Bouchareb, Ismaël Ferroukhi lève le coin d’un autre voile : le rôle des Maghrébins sous l’Occupation, et notamment dans la Résistance.
En s’appuyant sur des travaux d’historiens, les quelques archives et témoignages disponibles, le réalisateur du Grand Voyage (2004) fait revivre la communauté maghrébine de l’époque. Il montre le petit peuple des ouvriers parisiens réduits à la survie par l’Occupation, mais aussi quelques hommes d’exception comme Si Kaddour Ben Ghabrit, Recteur de la Mosquée de Paris qui, sous couvert de ses bonnes relations avec les autorités allemandes, réussit à aider des résistants et des juifs en les cachant dans les sous-sols de la Mosquée.
Les Hommes libres s’appuie sur un duo de comédiens : Tahar Rahim d’Un Prophète (Younes) et Michael Lonsdale en Ben Ghabrit.
Zérodeconduite.net consacre au film ce site pédagogique et ce dossier en Histoire. Si le dossier est de bonne facture, regroupe un riche dossier documentaire complémentaire et propose d’intéressantes activités pour les élèves, je regrette vivement qu’à aucun moment il ne travaille véritablement à partir d’une analyse des images et des spécificités du médium.
Source : Les Hommes libres – Un film de Ismaël Ferroukhi – Dossier pédagogique.
Passionnant : la seconde guerre mondiale tweetée en temps réel | Gizmodo
« Les troupes SS habillés comme les soldats Polonais attaquent l’émetteur radio de Gleiwitz, afin de fournir un prétexte à l’Allemagne pour attaquer la Pologne. » Voici le premier tweet d’un anglais de 24 ans diplômé en histoire à l’université d’Oxford. D’autres ont suivi et suivront car Alwyn Collinson (notre étudiant anglais donc) a décidé de raconter la seconde guerre mondiale en temps réel uniquement avec des tweets.
[…]
L’invasion de la Pologne par les troupes SS a commencé le 1 septembre 1939. Et le premier tweet de Collinson date du 1er septembre 2011. Il en est actuellement à la prise de parole de Winston Chruchill à la radio anglaise un certain 12 novembre 2011. Un lien sur le discours de Churchill est même donné dans le tweet.
[…]
Pour le suivre sur twitter, c’est ici (compte @RealTimeWWII).
Source : Passionnant : la seconde guerre mondiale tweetée en temps réel | Gizmodo.
Revue de presse (9 novembre 2011)
- 15 dispositifs technologiques pour une expérience muséale augmentée | Knowtex Blog– Depuis les années 1980, la montée des technologies numériques, du multimédia et des technologies de l’information a suscité l’intérêt de nombreux musées. L’audioguide un peu désuet s’est transformé en guide multimédia, les écrans ont envahi les lieux d’expositions, de nouveaux modes d’accès à l’information sont apparus (e.g. via les smartphones).Ces dispositifs, toujours plus sophistiqués, créent ainsi de nouveaux rapports entre le musée et le visiteur. La visite se veut plus sensible, personnalisée, intelligente. Les concepts peuvent être exposés au même titre que les objets. Le visiteur dispose d’informations plus riches, accède aux éléments cachés de l’exposition, joue avec les œuvres, contribue à l’exposition, prolonge l’expérience hors les murs… De nombreux avantages qui restent néanmoins à mesurer… en tentant l’expérience !Des tables interactives aux systèmes de guidage à réalité augmentée, voici une sélection hétérogène de dispositifs technologiques originaux et innovants mis en place dans des musées.
- Innovations numériques, révolution au musée | Knowtex Blog – Les technologies numériques modifient notre manière d’accéder à l’information, notre manière d’échanger, de nous déplacer, d’acheter, de créer. C’est pourquoi elles ont et elles auront certainement un impact considérable sur les musées mais pas forcément là où elles sont les plus attendues. Très souvent, elles sont considérées par les professionnels de musées du point de vue de la diffusion de contenu : elles devraient permettre de délivrer une information sous une forme plus variée, plus séduisante. On se situe alors dans l’ordre de l’efficacité et de la quantité : image haute définition, image en relief… Ou alors leur rôle est souvent réduit à des formes variées et déclinées de l’audioguide, de la borne interactive et du site web. Petit tour d’horizon
- Civil War still divides Americans | History News Network – Il y a 150 ans démarrait la Guerre de Sécession.
Dans un sondage CNN / Opinion Research Corporation publié mardi, environ un Américain sur quatre ont dit qu’ils sympathisaient davantage avec la Confédération de l’Union, un chiffre qui s’élève à près de quatre sur dix parmi les Sudistes blancs.
Quand on leur demande la raison de la guerre civile, si elle a été combattue sur l’esclavage ou les Etats des droits, 52 pour cent de tous les Américains ont dit les dirigeants de la Confédération a fait sécession afin de garder l’esclavage légal dans leur état, mais une importante minorité 42 pour cent ont déclaré l’esclavage n’a pas été la raison principale pour laquelle ces Etats fait sécession…. - Par Toutatis ! La véritable histoire de nos ancêtres les Gaulois – Pendant plus d’un an, à la Cité des sciences et de l’industrie, Les Gaulois, une expo renversante montre une tentative de fabrique de l’histoire et la construction d’une des plus grandes mythologies politiques françaises. À rebours des idées reçues et de l’imagerie d’Épinal, et grâce à cinq salles thématiques didactiques, on finit par comprendre que l’on n’avait rien compris jusque-là: nos ancêtres ne portaient ni casques ailés ni braies rayées. Mieux, ils formaient une civilisation complexe, démocratique, qui n’attendit pas Jules César pour émerger. Un article du Figaro.