• Passer à la navigation principale
  • Passer au contenu principal
  • Passer à la barre latérale principale
Histoire Lyonel Kaufmann

Histoire Lyonel Kaufmann

  • Mes Publications
  • Blog
  • Cours
    • Planifier
    • Film&Histoire
  • A propos

Publications

David Diop : « La France a construit l’image d’un tirailleur courageux, obéissant et parfois sanguinaire »

31 décembre 2018 by Lyonel Kaufmann

  • Auteur du roman « Frère d’âme », le lauréat du Goncourt des lycéens décrypte les représentations liées aux combattants africains pendant la première guerre mondiale. Propos recueillis par Gladys Marivat pour le journal Le Monde. Extrait.

Comment, à l’époque, étaient représentés les tirailleurs sénégalais ?

En 1910, le général Charles Mangin écrit La Force noire, livre dans lequel il préconise l’utilisation de tirailleurs sénégalais en cas de conflit en Europe. Pour lui, ce sont des soldats féroces qui ont aidé à la colonisation. Ils viennent de sociétés nobiliaires d’Afrique de l’Ouest où la capacité guerrière est valorisée. Il ne reste plus qu’à construire l’image – et ce ne fut pas très difficile – d’un tirailleur sénégalais courageux, qui obéit aux ordres. Et qui peut être sanguinaire. L’armée française joue là-dessus pour terroriser les Allemands. On envoie parfois les tirailleurs sénégalais avec le coupe-coupe pour nettoyer les tranchées. Cela crée un passif très fort. L’Allemagne lance une contre-propagande qui met en scène un tirailleur sénégalais violent, sauvage, tout en accusant la France de négrifier son armée et d’introduire la barbarie en Europe. Le tirailleur est donc pris entre deux feux, deux propagandes, l’allemande et la française.

Ce passif-là dure jusqu’à la seconde guerre mondiale puisque des tirailleurs sénégalais, dans bien des cas, sont tués, mitraillés sur le bord du chemin par des nazis au sein de l’armée allemande, sans autre forme de procès. Par la suite, les Allemands supportent très mal l’occupation de la Rhénanie en 1920 par les troupes coloniales. Pour eux, c’est une humiliation que des Nègres gardent la Rhénanie. Il y a tout un jeu de représentations négatives dans lequel le tirailleur est piégé. Enfin, une autre image exploitée est celle du grand enfant. C’est logique. Nous sommes dans l’empire colonial et il faut maintenir une hiérarchie des races et justifier une mission civilisatrice. Senghor le voit dans les affiches « Y’a bon Banania ». Il le dit dans le poème liminaire du recueil Hosties noires (1948) : « Je déchirerai les rires banania sur tous les murs de France. »

-À lire : David Diop : « La France a construit l’image d’un tirailleur courageux, obéissant et parfois sanguinaire » | Le Monde

Crédit image : L’écrivain David Diop, à Paris, le 20 septembre 2018. JOËL SAGET / AFP

Classé sous :Nouvelles de l'histoire, Publications

Un mariage compliqué : Les Humanités numériques, de Pierre Mounier

27 décembre 2018 by Lyonel Kaufmann

Pierre Mounier propose une analyse stimulante des relations complexes entre ces deux disciplines, qui ont fait émerger ce nouveau champ que sont les humanités numériques.

Présentation de l’éditeur

Que sont les humanités numériques ?

D’abord une rencontre, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Celle d’un prêtre jésuite soucieux d’analyser la Somme théologique de Thomas d’Aquin avec les ordinateurs d’IBM. Cette collaboration donnera naissance à ce qu’on appellera plus tard les humanités numériques.

Porteuses de l’histoire des technologies, marquée par le développement des technosciences et du complexe militaro-industriel, les humanités numériques conduisent à s’interroger en retour sur ce qui fait la spécificité des humanités. L’union des technologies numériques et des humanités conduit-elle à remettre en cause ce qui les dinstingue traditionnellement ? Le numérique pousse-t-il, par les méthodes et modèles qu’il permet de développer dans ce champ de recherche, à placer les humanités sous la domination de modèles scientifiques qui leur sont étrangers ?

Quels dangers ces approches comportent-elles, en particulier lorsqu’une part croissante des productions culturelles et des interactions sociales est désormais placée sous l’emprise de sociétés commerciales globalisées qui font un usage massif du numérique ?

Dans cet ouvrage, Pierre Mounier nous livre une histoire critique des humanités numériques et propose de redéfinir à la lumière de ces analyses le contrat moral que les humanités peuvent établir avec la société.

Les Humanités numériques, de Pierre Mounier (Maison des sciences de l’homme, 175 pages, 13,50 euros). ISBN-102-7351-2255-7 ISBN-13 978-2-7351-2255-4 GTIN13 (EAN13) 9782735122554

Source : Les humanités numériques, Une histoire critique (description)

L’avis de David Larousserie du Monde

« La critique se fait plus profonde lorsque l’auteur aborde la nature de la science informatique qui cherche à se marier aux humanités. Selon lui, l’informatique n’est qu’un nouvel avatar des technosciences, comme le nucléaire ou les biotechnologies, critiquées depuis les années 1960 pour leur idéologie ou leur accointance avec les complexes militaro-industriels.

Le constat et la conclusion sont clairs : il y a antinomie entre l’informatique et les humanités. La première voulant imposer son modèle technocratique à la seconde. La seule planche de salut est de réveiller la critique contre « l’idéologie numérique » et de retrouver ainsi ce qui fait le sel des humanités, à savoir la promesse d’émancipation. »

Source : Mariage compliqué entre informatique et humanités

Classé sous :Histoire savante, Opinions&Réflexions, Publications

Ecrire l’histoire de l’Afrique | France Culture

24 décembre 2018 by Lyonel Kaufmann

blank

Qui dit Afrique, dit Afrique des origines, celle de « la sortie du ventre africain », mais aussi une certaine pensée de l’immobilité, celle qu’évoque par exemple « les arts premiers, ou le primitivisme !

L’Afrique a assurément un passé, mais pour autant, aurait-elle une histoire, « Son » Histoire ?

Loin des terrains d’exploration ethnographique, ces « croisières noires » qui firent la richesse de nos musées, l’Afrique est un laboratoire, celui de l’historien, de l’archéologue, qui nous révèle une surprenante Histoire pleine de singularités. Car le grand continent est habité de plusieurs domaines d’histoire, non pas isolés mais articulés les uns des autres.

Art rupestre de "Laas Geel Somaliland"• Crédits : © Xavier Gutherz
Art rupestre de « Laas Geel Somaliland »• Crédits : © Xavier Gutherz

Monde Swahili et société Zoulou, commerçants musulmans et royaume chrétien, François-Xavier Fauvelle, directeur de recherche au CNRS propose aux auditeurs un tour d’horizon… d’une Histoire écrite car l’Afrique, depuis des millénaires écrit (hiéroglyphes d’Egypte et de Méroé, écriture Libyco-berbère, arabe, alpha-syllabique éthiopienne etc.)

Source : Ecrire l’histoire de l’Afrique

Crédit photo en-tête : Roi guerrier du Bénin• Crédits : © Metropolitan Museum of Art

Classé sous :Histoire savante, Publications

Les dinosaures comme miroir de notre condition humaine ? | Nautilus

22 décembre 2018 by Lyonel Kaufmann

blank

Boria Sax, professeur au Mercy College et auteur notamment de Imaginary Animals, the Wondrous et The Human and Animals in the Third Reich : Pets, Scapegoats, and the Holocaust, propose, repris par Nautilus, une explication sur le succès jamais démenti depuis le 19e siècle des Dinosaures dans nos musées et nos imaginaires tant enfantin qu’adulte. On pourrait ajouter le succès rencontré par les dinosaures dans nos classes. Succès d’autant plus étrange qu’ils sont souvent, et à tort, étudié en primaire et intégré au cours d’histoire. Pour Boria Sax, le fait même que nous ne sommes pas des descendants des dinosaures et que nous ne les ayons pas côtoyé facilite que nous considérions leur monde comme un miroir de notre condition humaine. Voici en guise de conte de Noël de ma part, une traduction partielle de cet article.

Les enfants, qui ne font qu’apprendre les attentes fondamentales de leur société, sont à l’extérieur de la culture. Leur attirance pour les dinosaures suggère que les créatures géantes font appel à quelque chose d’inné, ou du moins de très élémentaire, dans la psyché humaine. Une explication hautement spéculative est qu’il s’agit d’un héritage génétique qui remonte à l’époque où les premiers humains faisaient face à des lézards préhistoriques gigantesques comme la mégalanie ou peut-être même à l’époque où nos lointains ancêtres mammifères devaient affronter eux-mêmes les dinosaures. Une explication plus simple est que les images de dinosaures transmettent l’excitation du danger tout en ne représentant aucune menace réelle. Il se peut aussi que les dinosaures, du point de vue de l’enfant, ressemblent à des adultes, puisqu’ils sont à la fois très vieux et très grands.

En inspirant la fantaisie, les dinosaures atténuent le sentiment d’impuissance d’un enfant. Gail Melson l’a décrit de façon frappante :

Un petit garçon timide de 8 ans que je connais se dépêche de rentrer chez lui après l’école chaque jour pour retourner à l’époque où les dinosaures parcouraient la Terre. Une encyclopédie ambulante de l’histoire des dinosaures, il ne se lasse jamais de livrer des batailles entre brontosaure et tyrannosaure, en utilisant ses répliques de 15 cm de haut. Contrairement au pouvoir des adultes ou de leurs pairs plus grands et plus assertifs, le pouvoir des dinosaures est, littéralement, sous son pouce.

Et pourquoi la plupart des enfants abandonnent-ils cette fascination bien avant d’atteindre l’âge adulte ?

Les adultes se sentent souvent presque aussi impuissants que les enfants. Ils trouvent un soulagement dans des activités telles que l’abattage d’extraterrestres dans les jeux vidéo, ainsi que d’autres passe-temps qui sont beaucoup moins inoffensifs, mais rarement dans le jeu avec les dinosaures. Mais peut-être que les adultes ne se remettent pas vraiment de la phase dinosaure ? Il se peut qu’ils le revivent simplement par procuration à travers les enfants. Nous avons toujours considéré les dinosaures comme tragiques, car (à l’exception, nous le savons maintenant, des oiseaux) ils ont disparu, alors qu’ils étaient autrefois extrêmement grands et puissants. Cela correspond à la combinaison de la capacité de domination et de l’extrême vulnérabilité, qui sont deux aspects essentiels de notre façon de penser l’humanité.

En tout cas, ce petit garçon est très loin d’être seul. Au Musée américain d’histoire naturelle de New York, que je visite régulièrement, il y a une boutique dont presque un étage entier, un tiers de l’espace, est consacré à l’attirail des dinosaures, et la plupart des objets qui s’y trouvent n’ont qu’un lien très oblique avec la science. Il ya des étagères sur des étagères de peluches jouets dinosaures, dont beaucoup sont énormes. Il y a beaucoup de livres d’images sur les dinosaures, pour les enfants qui apprennent à lire, les dinosaures mécaniques, et d’innombrables accessoires portant des images de dinosaures.

[…]

Nous ne sommes pas des descendants des dinosaures, et nos ancêtres n’ont pas eu d’interaction avec eux, en dehors des bandes dessinées et des films de série B. Mais, précisément pour ces raisons, il est plus facile de considérer leur monde comme un miroir de la condition humaine.

Le fait que les dinosaures aient disparu a fait résonner leur histoire avec les traditions apocalyptiques des religions zoroastrienne, judaïque, chrétienne et islamique. Leur taille et leur puissance suggèrent des empires et des batailles à une échelle épique, peut-être même une sorte d’Armageddon. Même la vue actuelle que certains dinosaures ont survécu pour devenir des oiseaux suggère une sorte d’élu angélique qui sera sauvé. Mais nos peurs apocalyptiques ont été sécularisées, et la signification des dinosaures a changé avec elles. À la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle, les dinosaures étaient souvent utilisés pour représenter les grandes entreprises, bien que leur disparition éventuelle puisse ressembler à une révolution prolétarienne. Plus tard, leurs associations apocalyptiques ont pu être utilisées pour exprimer la terreur d’un holocauste nucléaire ou d’un effondrement écologique. En plus de l’attrait élémentaire de la grande taille et de l’antiquité, la raison de la popularité des dinosaures est que leur symbolisme est assez flexible pour accommoder une vaste gamme de significations. Ils ont été utilisés pour commenter la violence humaine, l’innocence, la richesse, l’industrialisation, l’échec, la modernité, la tragédie, l’extinction et bien plus encore.

Mais rien de tout cela n’a vraiment à voir avec les dinosaures à la fin. Nous imposons simplement nos propres significations à leurs vies infiniment mystérieuses. Je ne prêcherai pas contre cela, car exploiter d’autres créatures comme symboles est simplement ce que font les êtres humains, et je ne suis pas plus exempté que quiconque. Mais, lorsque nous parlons de dinosaures essentiellement en tant qu’artefacts culturels, nous devrions nous rappeler, de temps à autre, qu’ils étaient autrefois, et qu’ils le sont toujours, beaucoup plus.

Source et article original : What We Read Into Dinosaurs

Crédit image : Pixabay. CC0 Creative Commons. Libre pour usage commercial. Pas d’attribution requise

Classé sous :Nouvelles de l'histoire, Opinions&Réflexions, Publications

L’Europe et les génocides : le cas français | Fondation Jean Jaurès

21 décembre 2018 by Lyonel Kaufmann

blank

En novembre 2018, CNN publiait un sondage selon lequel 21 % des Français de 18 à 24 ans n’avaient jamais entendu parler de la Shoah, un chiffre particulièrement élevé parmi les populations européennes sondées. Un mois plus tard, la Fondation Jean-Jaurès, en partenariat avec AJC Paris, la FEPS et la Dilcrah, mesure avec l’institut de sondage Ifop un niveau similaire de méconnaissance du génocide des juifs au sein de cette catégorie de la population française.

Si le niveau de connaissance dans l’ensemble de la population est élevé (90 %), les résultats obtenus auprès des jeunes interrogent : comment expliquer ce déficit de connaissance ?

Concernant les moins de 35 ans, l’école joue un rôle prépondérant (76 %), au détriment des autres sources d’informations (30 % pour les films ou livres, contre 41 % en moyenne et 8 % pour la transmission familiale, contre 17 % en moyenne).

Ainsi l’analyse des résultats met en évidence que globalement l’école ne faillit pas à sa mission auprès des plus jeunes. Leur méconnaissance de la Shoah est avant tout liée à un manque de transmission familiale, culturelle et médiatique. Concernant l’ensemble des Français, l’école occupe le haut du classement avec 58 % des citations, suivi des films ou livres (41 %), de la transmission familiale (17 %), de la presse (16 %), des commémorations (16 %), des musées (11 %) et enfin d’Internet (6 %). Éducation nationale et productions audiovisuelles ou littéraires constituent donc en France les deux principales sources d’apprentissage de ce qu’a été le génocide des juifs.

Pour la Fondation Jean Jaurès, le différentiel entre transmission par l’Éducation nationale et par l’environnement culturel chez les jeunes souligne bien l’importance d’une approche globale pour favoriser le devoir de mémoire. Par ailleurs, le fait que 9 % des moins de 35 ans déclarent avoir acquis leurs connaissances du génocide des juifs principalement via Internet, contre 6 % des Français en moyenne, doit également être pris en compte dans la mesure où, pour la Fondation, les thèses complotistes se diffusent principalement en ligne.

—A lire : L’Europe et les génocides : le cas français | Fondation Jean-Jaurès

Crédit photographique : Mémorial aux Juifs assassinés d’Europe. Berlin. Pixabay. CC0 Creative Commons. Libre pour usage commercial. Pas d’attribution requise

Classé sous :Nouvelles de l'histoire, Publications

APPEL À CONTRIBUTION POUR DIDACTICA HISTORICA N° 6/2020

18 décembre 2018 by Lyonel Kaufmann

blank

Je vous laisse prendre connaissance de l’appel à communication pour le 6e numéro Didactica Historica, Revue suisse pour l’enseignement de l’histoire. N’hésitez pas à le diffuser dans vos réseaux, également auprès des enseignant.e.s d’histoire susceptibles de proposer un texte pour la rubrique « pratiques enseignantes » qui publie des récits d’expérience. 

DIDACTICA HISTORICA est composée de cinq rubriques pour lesquelles il est possible de soumettre une proposition :

1. DOSSIER : L’Altérité à travers l’histoire. Les processus d’inclusion et d’exclusion dans l’histoire

La rubrique « dossier » du numéro 6/2020 de DIDACTICA HISTORICA est consacrée au thème de l’Altérité et aux expériences et aux processus d’inclusion et d’exclusion.

Le terme « Altérité » définit la reconnaissance de l’Autre, et par là-même de Soi. Toutefois, cette reconnaissance peut déterminer la construction de stéréotypes positifs ou négatifs, ainsi que l’instauration de rapports de force, de pouvoir, de genre, de race, de classe… qui peuvent conduire à une banalisation, voire à une normalisation des discriminations.

Comment, au fil des différentes époques historiques, l’Autre a-t-il été perçu ? Comment les catégories « étranger » et « autre » ont-elles été construites dans diverses sociétés ? Quels sont les mécanismes d’inclusion et d’exclusion que l’on peut observer ? Que signifie pour une société de se définir en fonction d’appartenances et pour des individus d’être privés de droits politiques ou exclus de la participation à la vie en société en fonction de la couleur de la peau, de la religion, du sexe ou de l’orientation sexuelle, de la catégorie sociale, d’une appartenance ethnique ou d’une autre nationalité ? Par qui, par quels moyens et avec quels arguments, les droits des « autres » ont-ils été défendus à différentes périodes de l’histoire ?

Les processus et les expériences d’altérité, de stéréotypes et de discrimination, dans leur mise en récit et dans leur traitement par l’enseignement de l’histoire, constituent l’objet de ce dossier. Peuvent être soumises des propositions offrant des perspectives historiques, ainsi que des contributions didactiques qui réfléchissent aux enjeux de l’étude des mécanismes historiques d’inclusion et d’exclusion pour le présent des élèves.

Pour les articles qui s’inscrivent explicitement dans la recherche en didactique de l’histoire, il est possible de proposer, en plus de la version courte, une version longue (32’000 signes) expertisée en double aveugle par le Comité international de lecture de DIDACTICA HISTORICA – en fonction de la grille de critères annexée – et mise en ligne sur le site de l’éditeur. Une version courte « papier », expertisée par le comité de rédaction, est cependant obligatoire pour accéder à l’édition en ligne de la version longue expertisée en peer review. Les deux textes (article court et article long) doivent avoir un titre différent.

Nombre de signes pour les versions courtes (espaces compris) : maximum 16’000 signes + résumés, biographie et mots-clés + deux ressources iconographiques (image, tableau, schéma, graphique, …) libres de droits et de qualité suffisante (>300 dpi).

Nombre de signes pour les versions longues (espaces compris) : maximum 32’000 signes + résumés, biographie et mots-clés + deux ressources iconographiques (image, tableau, schéma, graphique, …) libres de droits et de qualité suffisante (>300 dpi).

2. DIDACTIQUE DE L’HISTOIRE

La rubrique « didactique de l’histoire » publie des articles scientifiques issus de la recherche en didactique de l’histoire ou de disciplines associées.

Dans cette rubrique, il est possible de proposer, en plus de la version courte (16’000 signes), une version longue (32’000 signes) expertisée en double aveugle par le Comité international de lecture de DIDACTICA HISTORICA – en fonction de la grille de critères annexée – et mise en ligne sur le site de l’éditeur. Une version courte « papier », expertisée par le comité de rédaction, est cependant obligatoire pour accéder à l’édition en ligne de la version longue expertisée enpeer review. Les deux textes (article court et article long) doivent avoir un titre différent.

Nombre de signes pour les versions courtes (espaces compris) : maximum 16’000 signes + résumés, biographie et mots-clés + deux ressources iconographiques (image, tableau, schéma, graphique, …) libres de droits et de qualité suffisante (>300 dpi).

Nombre de signes pour les versions longues (espaces compris) : maximum 32’000 signes + résumés, biographie et mots-clés + deux ressources iconographiques (image, tableau, schéma, graphique, …) libres de droits et de qualité suffisante (>300 dpi).

3. PRATIQUES ENSEIGNANTES

La rubrique « pratiques enseignantes » publie des récits d’expériences, avec des séquences didactiques ou des projets pédagogiques réalisés par des enseignant.e.s. De tels récits d’expérience n’exigent pas une écriture scientifique. Ils sont un reflet de la pratique, de ses expériences quotidiennes ou annuelles, de ses enjeux, de ses réussites et de ses difficultés.

Nombre de signes (espaces compris) : maximum 16’000 signes + résumés, biographie et mots-clés + deux ressources iconographiques (image, tableau, schéma, graphique, …) libres de droits et de qualité suffisante (>300 dpi). Des documents en annexe peuvent être mis en ligne sur le site de l’éditeur.

4. RESSOURCES POUR L’ENSEIGNEMENT

La rubrique « ressources pour l’enseignement » présente des documents, des outils, des lieux, des ressources, etc. qui constituent autant de moyens intéressants et inspirants pour l’enseignement.

Nombre de signes (espaces compris) : maximum 16’000 signes + résumés, biographie et mots-clés + deux ressources iconographiques (image, tableau, schéma, graphique, …) libres de droits et de qualité suffisante (>300 dpi). Des documents en annexe peuvent être mis en ligne sur le site de l’éditeur.

5. COMPTES-RENDUS

La rubrique «comptes-rendus» présente quelques parutions récentes qui traitent de l’histoire et de son enseignement.

Nombre de signes (espaces compris) : 4’500 à 6’000 + image de couverture de l’ouvrage de qualité suffisante (>300 dpi).

MARCHE À SUIVRE POUR PUBLIER UN ARTICLE

Les propositions d’article doivent être envoyées au format suivant :

  • Auteur.e.s
  • Titre
  • Rubrique envisagée, avec justification du choix
  • Présentations de l’article proposé (environ 2’000 signes) ou de l’ouvrage dans le cadre d’un compte-rendu
  • Présentation de l’auteur.e ou des auteur.e.s

Date limite pour soumettre une proposition d’article : 1er mars 2019
Date limite de réponse du comité de rédaction : 15 mars 2019
Date limite de remise des articles : 15 juin 2019

Pour les demandes de renseignement, les propositions d’article et les articles définitifs, voir l’appel à contribution sur le site de la revue : https://www.alphil.com/pdf/appelpublicationn62020.pdf

CONSIGNES ÉDITORIALES :

Merci de nous retourner votre article dans les délais, en ayant soin de respecter les consignes rédactionnelles fournies en annexe par notre éditeur Alphil – Presses universitaires suisses, Neuchâtel.

COMITÉ DE RÉDACTION DE DIDACTICA HISTORICA

Nadine Fink, HEP Vaud, directrice de rédaction ; Prisca Lehmann, Gymnase d’Yverdon-les-Bains, co-directrice de rédaction ; Pierre-Philippe Bugnard, émérite de l’Université de Fribourg ; Nicolas Guillaume-Gentil, HEP BEJUNE Neuchâtel ; Nathalie Masungi, HEP Vaud ; Michel Nicod, ES Marens Nyon ; Nadine Ritzer, PH Bern (co-responsable des articles germanophones) ; Béatrice Rogéré Pignolet, HEP Vaud ; Béatrice Ziegler, PH FHNW, Aarau (responsable des articles germanophones).

Classé sous :Nouvelles de l'histoire, Opinions&Réflexions, Outils enseignement, Publications

Jean-Clément Martin révolutionne la Terreur | Le Monde

16 décembre 2018 by Lyonel Kaufmann

L’historien, spécialiste de la Révolution française, a beaucoup travaillé sur la violence politique et à remettre en cause quelques idées reçues. Comme dans « Les Echos de la Terreur », son nouveau livre.

Jean-Clément Martin, à 70 ans, est un homme à la page. Ce spécialiste de la Révolution française, qui signe Les Echos de la Terreur, dans lequel il étudie le rôle de 1794 dans notre histoire, est sur Whats­App et Skype – où son avatar n’est autre que Méduse, de Caravage (1597-1598), qu’il voit comme une incarnation de la Terreur –, il a un blog – Passé­Présent, hébergé par Le Monde. fr –, et il s’intéresse aux jeux vidéos – il a conseillé Ubisoft, en 2014, pour la conception ­d’Assassin’s Creed Unity, situé pendant la Révolution. « Une chance inouïe, commente l’historien. Je ne suis pas devenu un gamer, mais j’en ai tiré la conclusion que si l’on veut comprendre la violence des lycéens aujourd’hui, il faut la rapporter aux jeux vidéo avec lesquels ils fonctionnent. »

L’ouvrage :

Les Echos de la Terreur. Vérités d’un mensonge d’Etat, 1794-2001, de Jean-Clément Martin, Belin, « Contemporaines », 324 p., 24 €.

Pendant deux siècles, la Terreur a permis de penser l’originalité de la période révolutionnaire. La prise en compte de sa radicalité dans une perspective d’histoire philosophique a assuré le succès de ceux qui l’ont vue, par la suite, comme matrice de tous les totalitarismes.

L’historien souligne que, en dépit de ces échos, la terreur a perdu sa majuscule sous l’effet des guerres qui ont bouleversé le XXe siècle et ébranlé l’héritage de la Révolution en diversifiant les sources et les acteurs de violences. Des échos qui, selon lui, sont devenus quasiment inaudibles depuis le 11 septembre 2001, date qu’il choisit pour clore l’étude de ce renversement de perspectives. Désormais, la terreur ne renvoie plus à la Révolution française : elle est devenue un nom générique désignant toutes les terreurs potentielles, dont le nombre risque toujours de s’accroître.

EXTRAIT (p. 16)

« A Maurice Blanchot qui assure : “la Terreur, on le sait bien, ne fut pas seulement terrible à cause des exécutions, elle le fut parce qu’elle se revendiqua elle-même sous cette forme majuscule, en faisant de la terreur la mesure de l’homme et le logos des temps modernes”, il faut répondre, non, nous ne savons rien de cela, non la Terreur ne fut pas revendiquée, et si ce qu’on appela “la Terreur” vint couvrir des événements c’est parce que cette appellation régula utilement des rapports de force inédits dans la France à la fin du XVIIIe siècle. C’est parce que la réalité indéniable des violences liées à la Révolution ne gagne rien à être désignée par un terme aussi vague que “la Terreur” qu’il convient ici d’en comprendre l’invention et l’usage. »

-À lire sur : Jean-Clément Martin révolutionne la Terreur

Crédit image : L’historien Jean-Clément Martin, en 2016. HANNAH ASSOULINE / OPALE

Classé sous :Histoire savante, Publications

Quand les algorithmes tournent mal, nous avons besoin de plus de pouvoir pour nous défendre, disent les chercheurs de l’IA

15 décembre 2018 by Lyonel Kaufmann

blank

Le public ne dispose pas des outils nécessaires pour tenir les algorithmes responsables.

Les gouvernements et les entreprises privées déploient des systèmes d’IA à un rythme rapide, mais le public n’a pas les outils nécessaires pour tenir ces systèmes responsables lorsqu’ils échouent. C’est l’une des principales conclusions d’un nouveau rapport publié par AI Now, un groupe de recherche regroupant des employés d’entreprises technologiques comme Microsoft et Google et affilié à l’Université de New York.

Le rapport examine les défis sociaux de l’intelligence artificielle et des systèmes algorithmiques, en se concentrant sur ce que les chercheurs appellent  » l’écart de responsabilité « , car cette technologie est intégrée  » à travers les principaux domaines sociaux « . Ils ont formulé dix recommandations, dont une demande de réglementation gouvernementale de la reconnaissance faciale (ce que le président de Microsoft, Brad Smith, a également préconisé cette semaine) et des lois sur la  » vérité dans la publicité  » pour les produits d’IA, afin que les entreprises ne puissent pas simplement faire du commerce sur la réputation de la technologie pour vendre leurs services.

Le rapport est clair : le danger pour la justice civique est particulièrement évident lorsqu’il s’agit de l’adoption de systèmes de décision automatisés (SDA) par le gouvernement. Il s’agit notamment des algorithmes utilisés pour le calcul des peines d’emprisonnement et l’attribution de l’aide médicale. Selon les auteurs du rapport, les logiciels sont généralement introduits dans ces domaines dans le but de réduire les coûts et d’accroître l’efficacité. Mais il s’ensuit souvent que les systèmes prennent des décisions qui ne peuvent être expliquées ou faire l’objet d’un appel.

Whittaker, du Google’s Open Research Group, et Kate Crawford, co-fondatrice d’AI Now et chercheuse chez Microsoft, affirment que l’intégration de l’ADS dans les services gouvernementaux a dépassé notre capacité à vérifier ces systèmes. Mais, disent-ils, des mesures concrètes peuvent être prises pour y remédier. Il s’agit notamment d’exiger que les fournisseurs de technologie qui vendent des services au gouvernement renoncent à la protection du secret commercial, ce qui permet aux chercheurs de mieux examiner leurs algorithmes.

« Il faut être capable de dire :  » Vous avez été coupé de Medicaid, voilà pourquoi « , et vous ne pouvez pas le faire avec des systèmes de boîte noire « , dit M. Crawford. « Si nous voulons rendre des comptes au public, nous devons pouvoir vérifier cette technologie. »

Un autre domaine où une action immédiate est nécessaire, disent les deux chercheurs, est l’utilisation de la reconnaissance faciale et la reconnaissance des affects. Le premier est de plus en plus utilisé par les forces de police, en Chine, aux États-Unis et en Europe. Le logiciel Rekognition d’Amazon, par exemple, a été déployé par la police à Orlando et dans le comté de Washington, même si des tests ont montré que le logiciel peut fonctionner différemment selon les races. Dans un test où Rekognition a été utilisé pour identifier les membres du Congrès, le taux d’erreur était de 39 % pour les membres non blancs, contre seulement 5 % pour les membres blancs. Et pour ce qui est de la reconnaissance des affects, où les entreprises prétendent que la technologie peut balayer le visage de quelqu’un et lire son caractère et même son intention, les auteurs d’AI Now disent que les entreprises vendent souvent de la pseudoscience.

Traduit de :When algorithms go wrong we need more power to fight back, say AI researchers | The Verge

Classé sous :Humanités Digitales, Opinions&Réflexions, Publications

Robert Frank, portrait réédité de l’Amérique

13 décembre 2018 by Lyonel Kaufmann

blank

En 1953, Robert Frank, prend la route et traverse les États-Unis, grâce à une bourse de la Fondation Guggenheim. Il dresse le portrait de l’Amérique et réalise un ouvrage, Les Américains. Paru pour la première fois en 1958, le livre vient d’être réédité aux éditions Delpire.

Robert Frank crée une nouvelle forme de photographie vernaculaire et redéfinit, comme le firent les auteurs de la beat generation, une image de la société américaine non idéalisée. Il donne à voir les marginaux, les espaces vides, la pauvreté, l’avidité et les excès. Et il le fait toujours sous un regard délicat et poétique, teinté de mélancolie.

from Pocket https://ift.tt/2Enzr3R
via IFTTT

Classé sous :Nouvelles de l'histoire, Publications Balisé avec :Feedly, Histoire, IFTTT, photo, Pocket

Cathy O’Neil : « Les algorithmes exacerbent les inégalités »

9 décembre 2018 by Lyonel Kaufmann

Dans son livre « Algorithmes, la bombe à retardement », Cathy O’Neil, ex-analyste à Wall Street, étudie les dérives de ces algorithmes qui influencent tous les domaines de la société.

blank

Education, justice, emploi, politique… Les algorithmes s’invitent dans tous les pans de la société, avec des conséquences parfois dramatiques. C’est, en tout cas, le constat de Cathy O’Neil, ancienne analyste à Wall Street, frappée par le rôle joué par ces « armes de destruction mathématique », comme elle les surnomme, dans la crise financière de 2008. Depuis, cette mathématicienne américaine dénonce les effets pervers de ces programmes informatiques, notamment dans son livre Algorithmes, la bombe à retardement, sorti en 2016 aux Etats-Unis et dont la traduction française vient d’être publiée aux Arènes, mercredi 7 novembre (352 pages, 20,90 €). Entretien.

—A lire sur : Cathy O’Neil : « Les algorithmes exacerbent les inégalités »

Crédit photo : La mathématicienne américaine Cathy O’Neil en 2017. Sara Arnald / CC0 1.0

Classé sous :Médias et technologies, Nouvelles de l'histoire, Opinions&Réflexions, Publications

  • « Aller à la page précédente
  • Page 1
  • Pages provisoires omises …
  • Page 11
  • Page 12
  • Page 13
  • Page 14
  • Page 15
  • Pages provisoires omises …
  • Page 39
  • Aller à la page suivante »

Barre latérale principale

Lyonel Kaufmann

blankHistorien & Blogueur En savoir plus…

Derniers articles

blank

ChatGPT à l’école : entre tabou et encouragement, le dialogue compliqué entre professeurs et élèves | Le Monde

12 octobre 2025 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

DécryptageUne minorité d’enseignants s’abstient de parler d’intelligence artificielle dans leurs classes. Mais ils sont de plus en plus nombreux à ouvrir la discussion sur le sujet, jusqu’à, pour certains, s’atteler à faire circuler les bonnes pratiques. Extrait : Certains enseignants profitent d’un espace aménagé par l’éducation nationale : l’intelligence artificielle figure en effet au programme de […]

blank

L’héritage toxique des épaves de la seconde guerre mondiale

8 octobre 2025 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

De nombreux navires coulés entre 1939 et 1945 gisent au fond des mers. Avec le temps et la corrosion, ces vestiges historiques menacent de libérer les substances qu’ils contiennent, avec des conséquences néfastes pour l’environnement. A l’échelle internationale, on estime à plus de 8 500 le nombre d’épaves potentiellement polluantes, dont la plupart issues des […]

blank

Colloque infoclio.ch 2025: Open Science in History. Ouvrir les sciences des Lumières à l’intelligence articifielle (21.11.2025)

16 septembre 2025 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

L’Open Science met les chercheuses et chercheurs au-devant de choix toujours plus complexes relatifs au partage de leurs résultats, méthodes, outils et données de recherche. Le colloque infoclio.ch 2025 explore les antécédents intellectuels et techniques de la notion d’Open science et discute des enjeux pratiques de sa mise en œuvre à l’ère des modèles génératifs […]

Abstract painting, coloring, modern art

Une histoire fragmentée ? Liens et ruptures dans un paysage de la recherche et de l’éducation en pleine remise en question (Journées suisses d’histoire 2025)

11 septembre 2025 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Dans le cadre des journées suisses d’histoire à Lucerne (juillet 2025), j’ai eu le plaisir d’assister et de réaliser le compte rendu pour infoclio.ch de la table ronde intitulée Fragmentierte Geschichte? Verbindungen und Brüche in einer sich ausdifferenzierenden Forschungs- und Bildungslandschaftm à laquelle participaient du côté francophone Nadine Fink (HEP Vaud) et François Vallotton (Université […]

blank

Vernissage : Plateforme Assistance et coercition (16.09.2025)

10 septembre 2025 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

ÉVÉNEMENT 🗓️ Enseigner une histoire longtemps tue. Écouter les voix de celles et ceux qui l’ont vécue. Cinq témoins romands prennent la parole dans un nouveau média éducatif pour aborder les mesures de coercition à des fins d’assistance et des placements extrafamiliaux en Suisse. Conçue pour les élèves dès le secondaire I, la plateforme «Assistance […]

blank

Restes humains issus de contextes coloniaux en Suisse. Un état des lieux

9 septembre 2025 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Ce rapport donne un aperçu général de la question des restes humains conservés dans les musées suisses. Ce rapport s’appuie sur une enquête menée entre 2023 et 2025 et fournit pour la première fois un état des lieux des restes humains («ancestral remains») acquis dans des contextes coloniaux et conservés dans des musées et collections […]

blank

Jean-Pierre Azéma (1937-2025)

15 juillet 2025 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

J’apprends par France Culture que l’historien Jean-Pierre Azéma est mort à l’âge de 87 ans. Spécialiste du régime de Vichy et de la Résistance, il a profondément marqué l’historiographie contemporaine, en contribuant à éclairer une page longtemps restée trouble de l’histoire nationale. Mais Jean-Pierre Azéma ne fut pas seulement un historien du papier : en […]

Tirés de nos archives

blank

Réformer le pupitre | François Guité

28 février 2009 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Voici une réflexion intéressant de François Guité sur son blog Relief » Réformer le pupitre: « Pendant que le mobilier domiciliaire et industriel progresse à la vitesse du génie et du design, le pupitre de l’élève évolue au rythme des bancs d’église, c’est-à-dire au train de l’érosion. » Cette réflexion nous rappelle également les origines toute religieuse […]

blank

Fanny Starr une dame de 87 ans témoigne dans Second Life sur les…

30 janvier 2009 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Fanny Starr une dame de 87 ans témoigne dans Second Life sur les atrocités de la seconde guerre mondiale. Non seulement le témoignage est bouleversant mais il permet d’être diffusé à une audience espacée sans que cette dame subisse les contraintes d’un déplacement et tout ce que cela occasionne à cet age.

Un Témoignage sur l’holocauste différent « 

blank

Générations Y/Z« Netflix, ben c’est de la télé ! »

8 avril 2016 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

La claque ! Mon accompagnatrice de Reed Midem n’en revient pas. Ces jeunes venus de plusieurs pays européens* et d’Australie ne ressemblent vraiment pas aux autres festivaliers. Résultat : je devais leur faire un speech, j’ai passé mon temps à les écouter !  Et jamais le fossé des usages médias n’a paru aussi grand ! Deux […]

blank

Revue de Presse : La tradition dans la rue | La vie des idées

2 juin 2015 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Comment comprendre les manifestations récentes contre le mariage pour tous, leur occupation de l’espace public et leur dimension spectaculaire ? Deux ouvrages récents mettent en évidence les recompositions idéologiques que ce mouvement implique, et son inscription dans l’histoire longue des mobilisations de droite. En résumé: Docteur en science politique, Gaël Brustier décrypte dans Le mai […]

blank

Revue de presse – Histoire 2.0 06/21/2010

21 juin 2010 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

1918 : la fin de la Première Guerre mondiale ? | Revue historique des armées En modifiant un peu la citation la plus connue de Clausewitz, on pourrait dire que : « la paix, c’est la poursuite de la guerre par d’autres moyens ». Cette formule s’applique en tout cas très bien à la période qui commence le 11 novembre 1918. En fait, […]

blank

History of Visual Communication

9 janvier 2009 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

“This website attempts to walk you through the long and diverse history of a particular aspect…

blank

Wired Campus: Professor Encourages Students to Pass Notes During Class — via Twitter – Chronicle.com Une expérience à suivre… et à retenir pour les cours ex-cathedra.

9 avril 2009 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Cole W. Camplese, director of education-technology services at Pennsylvania State University at University Park, prefers to teach in classrooms with two screens — one to project his slides, and another to project a Twitter stream of notes from students. He knows he is inviting distraction — after all, he’s essentially asking students to pass notes […]

Creative Commons License
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons. Lyonel Kaufmann 2004-2025

Creative Commons License Ce contenu est mis à disposition sous un contrat Creative Commons. Lyonel Kaufmann 2004-2025.
Thème Aspire 2.0.1 de Genesis Framework · WordPress · Se connecter

 

Chargement des commentaires…