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Histoire Lyonel Kaufmann

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Revue de Presse : « Star Wars raconte comment une nation démocratique peut évoluer vers le côté obscur »

6 décembre 2015 by Lyonel Kaufmann

Capture d'écran du futur chancelier Palpatine face au Sénat galactique
“C’est un homme politique et Richard M. Nixon est son nom” (G. Lucas). Capture d’écran du futur chancelier Palpatine face au Sénat galactique.

Spécialiste des Etats-Unis et présentateur de l’émission « Histoires d’Info » sur France Info, l’historien Thomas Snégaroff vient de publier « Je suis ton père : La saga Star Wars, l’Amérique et ses démons », un essai dans lequel il montre à quel point l’oeuvre de George Lucas raconte l’histoire politique des Etats-Unis. Entretien.

J’ai essayé de redonner à La Guerre des étoiles cette dimension historique et la sortir de la science-fiction, qui à mon avis est un piège. Star Wars est bien une oeuvre de science-fiction, mais son propos est très politique et contemporain. Les deux trilogies correspondent à deux périodes différentes de l’Amérique. Les années 1970 pour la première, qui est une période de perte de repères, de la défaite au Vietnam, du déclin de l’autorité familiale. Le film propose de la retrouver, avec la quête d’un fils qui cherche son père et inversement. La prélogie, elle, correspond à une deuxième époque américaine avec la guerre en Irak, le Patriot Act, une nation qui bascule vers des mesures liberticides pour maintenir sa sécurité. C’est la sécurité contre la liberté. C’est en ça que cette saga raconte vraiment l’histoire des Etats-Unis et, plus largement, de nos démocraties.

Lire l’entretien : Les Inrocks – « Star Wars raconte comment une nation démocratique peut évoluer vers le côté obscur »

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Histoire alternative : une classe de Troisième dessine les frontières de l’Europe de 1919.

2 novembre 2015 by Lyonel Kaufmann

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K-Classroom nous offre une intéressante séquence pédagogique consacrée au Traité de Versailles de 1918.

Afin de mieux comprendre les enjeux nationaux et territoriaux de l’Europe en 1919, lorsque les pays vainqueurs de la Première Guerre mondiale se rencontrent et discutent des frontières et de la paix continentales à la conférence de Versailles (France, Royaume-Uni, Italie, Etats-Unis), les élèves de 3e A se sont livrés à une petite expérience d’histoire alternative.

L’expérience :

Organisés en quatre ateliers de cinq ou six membres, les élèves se sont glissés dans la peau des vainqueurs de la Grande Guerre. Face à une carte politique de l’Europe de 1914, ils ont redessiné les frontières des différents états du continent en se fondant sur leurs réflexions collectives ou en se fiant à leur instinct. Sans références préalables ni documents d’appoint, munis de leurs seules connaissances de cours, ils ont été libres de prendre toutes les décisions jugées nécessaires à condition de suivre deux règles simples :

-montrer, à travers leur production cartographique, que l’Allemagne et l’Autriche-Hongrie sont les grands états vaincus de la guerre ;

-donner un territoire à chaque peuple aspirant à « disposer de lui-même ».

Afin de ne pas embrouiller les esprits, les modifications territoriales à l’est de l’Europe, issues du traité de Brest-Litovsk de mars 1918, n’ont pas été prises en compte lors de cette expérience.

Bien évidemment, il ne s’agit pas d’en rester là. Les élèves auront ensuite à débattre du résultat et de leurs choix, puis à comparer leur travail au découpage réel issu du Traité de Versailles.

Finalement, un avis d’historien est fourni :

Dénoncé sur le moment comme un Diktat par l’Allemagne, le traité de Versailles a longtemps été critiqué pour son injustice. Il est parfois tenu pour responsable de la montée du nazisme et de la Seconde Guerre mondiale. L’historiographie [c’est à dire l’écriture de l’histoire] récente apporte des jugements plus nuancés. Elle montre que les solutions parfois bancales qui ont été trouvées reflètent une situation d’une incroyable complexité, et sont souvent les seules possibles dans ce contexte. Bien des points précis ont été revisités, comme le célèbre article 231 du traité de Versailles sur la responsabilité allemande. Celui-ci n’était pas conçu comme une condamnation morale mais comme un moyen de justifier juridiquement le paiement de réparations jugées légitimes au regard des dévastations en France et en Belgique, et dont l’étendue, en réalité, sera moins grave que ce qu’en disait [l’économiste anglais] Keynes. Mais le débat sur la question reste toutefois vif. 

 D’après André Loez, la Grande Guerre, Paris, La Découverte, 2010.

La séquence complète : Histoire alternative : une classe de Troisième dessine les frontières de l’Europe de 1919..

Classé sous :Didactique, Histoire active, sur le web

Revue de Presse : The Swiss frontier in the First World War

23 octobre 2015 by Lyonel Kaufmann

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Revue de Presse : The Swiss frontier in the First World War

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Since Switzerland was a neutral country, its frontiers had to be guarded to prevent the warring armies crossing them, deliberately or accidentally. However there were occasions when the border was crossed…Image: A Swiss soldier (foreground) talks to a German border guard through the frontier wire. The start of the war was one of the points at which there was the greatest fear amongst the Swiss of…

Lire la suite : http://ift.tt/1OVGsXq

Classé sous :Nouvelles de l'histoire, sur le web Balisé avec :Feedly, IFTTT, Recently Read, Saved for Later

La Suisse bombardée à La Chaux-de-Fonds | Il y a cent ans

18 octobre 2015 by Lyonel Kaufmann

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La Suisse bombardée à La Chaux-de-Fonds | Il y a cent ans:

Une édition de la Chaux-de-Fonds, la Sentinelle du 18 octobre 1915, permet d’avoir des détails fiables.

Le 17 octobre, en milieu d’après-midi, un avion allemand (l’enquête le confirmera) lâcha 8 bombes ou grenades sur le territoire suisse à bonne distance de la frontière française. L’après-midi était ensoleillé et les promeneurs nombreux car on était dimanche,

18_19_10 EC Bombes sur la Suisse

aussi les comptes-rendus de la presse helvétique insistent-ils sur la chance relative qu’eurent les habitants du lieu d’échapper à ces explosions. Ce ne fut tout de même pas le cas d’une famille occupée à préparer une « torée », les TRIPET, dont le père, un fils et une fille furent blessés.

[…]

Les jours suivants, la presse de toute la Confédération témoignait de cette émotion générale. Si elle admettait l’erreur du pilote allemand, elle estimait que c’était l’incident le plus grave depuis le début de la guerre et que tout devait être entrepris pour qu’il ne se répétât point. L’indignation était telle que l’on attendait des réparations et pas de simples excuses diplomatiques.

18_19_10 EC Bombes sur la Suisse 3

Il y eut évidemment des protestations officielles dont voici la teneur extraite encore de la Sentinelle de La-Chaux-de-Fonds, dans son édition du 21 octobre. 

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Et l’on apprend, quelques jours après que l’Allemagne a reconnu les faits et promis des indemnités. (cf.  extrait du Petit Comtois du 26 octobre 1915).

(Via aetdebesancon.blog.lemonde.fr)

Classé sous :Nouvelles de l'histoire, sur le web

Compte-rendu : « Le Long Remords de la Conquête » | Le Monde des Livres

2 octobre 2015 by Lyonel Kaufmann

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blankUNE HISTOIRE. « Le Long Remords de la Conquête », de Romain Bertrand

Un jeune enfant possédé par les démons, deux servantes indiennes qui lui introduisent un petit canard d’étain dans le nez, un gouverneur espagnol qui frôle le sadisme, des conquistadors corrompus, des frères de l’ordre de Saint-Augustin prompts à tout pardonner et des populations philippines assujetties par les armes. Voilà les personnages du nouveau livre de Romain Bertrand, un portrait dense et captivant des Philippines dans les années 1570, où s’entrechoquent ces « mondes » si différents de la Conquête, l’expansion espagnole, au-delà du Pacifique. L’historien avait marqué les esprits avec son précédent essai, L’Histoire à parts égales (Seuil, 2011). A nouveau, dans ce livre, ce n’est pas la rencontre victorieuse entre Occident et Orient qui anime ses réflexions, mais le fonctionnement de ce monde nouveau, marqué par l’héritage des relations de pouvoir importées d’Espagne et les pratiques autochtones. L’ouvrage s’inscrit ainsi dans la perspective des histoires connectées qui élargissent leur propos à l’échelle du monde, mais revendiquent également une approche au ras du sol. Les « plantes, plumes, pelages, résines, racines » dont usent Inès et Beatriz, par exemple, sont-ils des substances de guérisseuse ou des poisons du diable, un élixir d’amour ou un breuvage du malin ? Sorcellerie ou médecine, possession ou folie, idolâtrie ou croyance, tout est affaire de catégories. L’enquête de Romain Bertrand se nourrit d’une prose personnelle et forte, qui donne vie à cette société hispanique des Philippines, laborieuse dans sa gestation et encore mal connue.

Le Long Remords de la Conquête. Manille-Mexico-Madrid. L’affaire Diego de Avila (1577-1580), de Romain Bertrand, Seuil, « L’univers historique », 576 p., 25 €.

Source : La sélection du « Monde des livres »

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Serious Game Project | L’aventure de la création d’un serious game historique

1 octobre 2015 by Lyonel Kaufmann

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Grâce à Sarah Lachise, professeure d’histoire-géographie, et Pascal Fautero, professeur de maths et développeur, vous pouvez suivre la genèse et la réalisation de leur jeux sérieux (serious game) ayant la Renaissance pour toile de fond.

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Jouer est depuis notre plus jeune âge notre meilleur moyen d’apprentissage. À l’heure où les serious game progressent en entreprise et font parler d’eux dans les médias, nous avons trouvé intéressant de nous pencher sur les serious game dans l’éducation. Et quoi de mieux pour en comprendre le principe que d’essayer d’en créer un nous-mêmes.

Mais qui sommes-nous ? Un prof de maths développeur, gamer à ses heures et un peu pirate, et une prof d’histoire-géo, super curieuse et motivée, chargée de mission pour le numérique éducatif. Nous travaillons tous les deux pour la Délégation académique au numérique éducatif de l’académie de Versailles et nous nous engageons avec ce projet sur certains axes prioritaires de cette année scolaire 2015-2016 comme favoriser l’utilisation et la production de ressources ou de services numériques, développer des projets numériques éducatifs, former aux services et aux outils numériques, favoriser les échanges professionnels.

Vous trouverez sur ce blog notre journal de bord : les différentes étapes, galères, réflexions, remises en question, joies, déceptions liées à notre projet… et j’espère que vous en verrez l’aboutissement.

Prêts ? Partez !

A suivre donc… et avec intérêt.

Source : Serious Game Project | L’aventure de la création dun serious game

Classé sous :Médias et technologies, Opinions&Réflexions, Outils enseignement, sur le web

Le génocide arménien en BD : dialogue avec Laurent Mélikian | Cases d’Histoire

1 septembre 2015 by Lyonel Kaufmann

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100 ans après le déclenchement de l’extermination des Arméniens dans l’empire ottoman, il convenait de réfléchir à sa représentation dans la bande dessinée. La publication récente de deux albums sur le sujet est l’occasion pour Laurent Mélikian, qui a dirigé l’un de ces livres, de répondre aux questions de Cases d’Histoire. Journaliste et critique de bandes dessinées, il a collaboré à L’Événement du Jeudi, BoDoï, L’Écho des Savanes. Français d’origine arménienne par son grand-père paternel, il est cofondateur d’un festival de bande dessinée en Arménie.

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Laurent Mélikian voit la BD comme un outil pédagogique :

Par ailleurs je crois à la bande dessinée en tant qu’outil pédagogique. Varto, Le fantôme arménien et d’autres œuvres peuvent être utilisés par des enseignements pour aborder le génocide des Arméniens en classe. À ce chapitre, j’ai participé avec le scénariste Laurent Galandon et l’historienne Laure Piaton à l’exposition itinérante « Surtout n’en oubliez aucun, regards dessinés sur les génocides », produite par le Centre du patrimoine arménien de Valence. À partir d’un corpus d’une vingtaine de bandes dessinées, l’exposition explique les spécificités et les points communs de l’élimination des Juifs, Tsiganes, Arméniens, Cambodgiens et Tutsi. Tous les jours nous voyons malheureusement à quel point il est urgent de mieux informer particulièrement les jeunes sur ces drames.

(Via Le génocide arménien en BD : dialogue avec Laurent Mélikian | Cases d’Histoire)

Classé sous :Médias et technologies, Outils enseignement, sur le web

«Journal d’Hiroshima»: le terrifiant carnet d’après la Bombe

6 août 2015 by Lyonel Kaufmann

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Des travailleurs japonais des raids aériens transportent une victime après l’explosion d’Hiroshima, le 6 août 1945. Archives via Reuters.

Dans un livre publié en 1955 qui fit grand bruit, réédité aujourd’hui en France, un médecin japonais, Michihiko Hachiya raconte les différentes étapes de l’après Hiroshima: les douleurs après l’explosion, l’incompréhension, la sidération, et l’entrée dans l’ère atomique.

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Avant (en haut) et après (en bas) l’explostion de la bombe atomique sur Hiroshima / prises en avril et août 1945 Photos: U.S. Strategic Bombing Survey, via Reuters

L’explosion atomique d’Hiroshima, dont on commémore, ce 6 août, le 70ème anniversaire, est souvent racontée par le gigantisme effrayant de ses chiffres. Il y a aussi l’autre manière, celle du receveur, c’est le même récit mais par l’autre bout, une autre entrée, au ras du sol, à hauteur de gisant, dans la même nuit, de plein jour, de l’esprit humain; en gros plan, comme dans un film tourné «caméra à l’épaule», sur ce qu’il resta soudain de vie et de décor «sur terre», à 8h15 du matin.

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Peu après l’explosion, le 6 août 1945 via Wikipedia License CC

«A ma grande stupeur, je découvris alors que j’étais complétement nu. Chose étrange! Où étaient passés mon caleçon et mon maillot de corps?»

Ce Journal d’Hiroshima –dans une nouvelle traduction française – Michihiko Hachiya, le directeur de l’hôpital du Bureau des Communications, entreprit de le tenir, jour après jour, à partir du 8, et jusqu’au 30 septembre.  Publié aux Etats-Unis et à travers le monde à partir de 1955, ce journal ne fût pas pour rien dans la montée, en Occident, d’un sentiment antinucléaire –que pour sa part, Michihiko Hachiya eut la chance de pouvoir observer jusqu’à sa mort, tardive pour un rescapé d’Hiroshima, en 1980.

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Journal d’Hiroshima. De Michihiko Hachiya. Traduit par Simon Duran. Editions Tallandier, 2015. LIRE UN EXTRAIT

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Source : «Journal d’Hiroshima»: le terrifiant carnet d’après la Bombe

Classé sous :Nouvelles de l'histoire, Publications, sur le web

La traite négrière : 315 années, 20.528 voyages et des millions de vies.

27 juin 2015 by Lyonel Kaufmann

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Andrew Kahn a conçu une carte interactive à propos de la traite négrière. Cette carte donne une idée de l’échelle de la traite transatlantique des esclaves dans le temps, ainsi que des flux et des éventuelles destinations. Slate.fr nous permet de la consulter : http://www.slate.fr/widgets/esclavage/index.html.

Chacun des points représente un navire négrier. Les points correspondent également à l’ampleur du transport. Plus le point est grand, et plus nombreux étaient les esclaves à bord. Si vous mettez la carte sur pause et que vous cliquez sur un point, vous apprendrez la nationalité du navire –son point de départ, sa destination et son histoire au cours de la traite négrière.

Cette carte couvre plus de 20.000 voyages archivés dans la base de données de la traite transatlantique des esclaves. Le graphique en dessous de la carte interactive synthétise les données accumulées –et encore, celles-ci ne représentent qu’une partie de la traite négrière, environ la moitié du nombre des esclaves africains qui ont été transportés depuis le continent.

À la fin de la traite transatlantique, les Européens avaient asservi et transporté plus de 12,5 millions d’Africains. Au moins 2 millions n’ont pas survécu au voyage, selon des estimations d’historiens. Le graphique suivant tiré de la base de données de slavevoyages.org nous en donne le total ainsi que le nombre d’esclaves par Etats européens (+ les Etats-Unis).

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Source : slavevoyage.org

Chaque visiteur du site peut télécharger les données de chacun des tableaux proposés aux visiteurs.

Pour terminer, la frise chronologique proposée par ce site :

Number of Captives Embarked and Disembarked per Yearblank

Source : slavevoyage.org

Slavevoyage.org nous propose ainsi un travail fort précieux et des éléts données exploitables en classe.

Article : La traite négrière transatlantique résumée en une infographie de deux minutes | Slate.fr

 

Classé sous :Histoire active, Médias et technologies, Outils enseignement, sur le web

Charleston : bouleversante oraison funèbre de Barack Obama

27 juin 2015 by Lyonel Kaufmann

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Barack Obama a prononcé à Charleston, devant les 6000 personnes présentes dans l’église Emanuel, une bouleversante oraison funèbre au pasteur Clementa Pinckney. Il a parlé, il a scandé, il a même chanté, avec son coeur. Et avec une passion qui fait de son discours un moment puissant et absolument inédit de l’histoire américaine.

«Si nous pouvons trouver cette grâce, tout est possible. Si nous pouvons la toucher, tout peut changer. Une grâce étonnante. Une grâce étonnante.»

Après avoir, vendredi 26 juin, prononcé ces mots lors de l’éloge funèbre du pasteur Clementa Pinckney, assassiné dans son église le 17 juin avec huit autre personnes, Barack Obama a marqué une longue pause d’une dizaine de secondes. Puis il a commencé à chanter a cappella «Amazing Grace», un des hymnes chrétiens les plus connus au monde, composé en 1779.
L’image est très forte, et restera indéniablement comme une des plus marquantes de la présidence Obama.
L’entier de l’oraison funèbre de Barack Obama à Charleston :

L’article du Temps consacré à cette oraison : Charleston: Barack Obama prononce et chante une inouïe oraison funèbre.

Mes précédents articles sur les discours de Barack Obama :
Sur les discours d’Obama et ses références aux sermons dans les Eglises : Révérend Obama ?
Sur le recours à l’histoire dans les discours de Barack Obama : « An American Dream » : Obama et l’histoire.

Classé sous :Nouvelles de l'histoire, sur le web Balisé avec :BarackObama, discours

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