Le discours sur la perte des données numériques est un leurre. Nous avons aujourd’hui un problème de trop-plein, de tri et de sélection. Ce dont on a besoin c’est d’une bonne gestion de l’oubli. La discussion sur le droit à l’oubli initiée par la secrétaire d’Etat à l’économie numérique est mal posée, mais elle demeure une bonne question face à l’univers numérique qui par défaut conserve tout… Ce qui est vite ingérable.
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