Ainsi donc il y a un double problème qui touche aussi bien la vision du métier d’enseignant par ceux qui le vivent que celle de ceux qui le « regardent » de près ou de loin. La baisse très importante ces dernières années de l’estime de soi ne peut se localiser dans tel ou tel aspect du métier, que ce soit la nouvelle culture des jeunes, la demande sociale ou les conditions de travail. De nombreux paramètres sont à prendre en compte et la volonté de restaurer cette estime de soi du « monde de l’enseignement » devrait être une des premières missions des cadres de l’éducation mais aussi de chacun des acteurs. Le risque serait, si on ne le parlait pas vraiment serait de s’en tenir au seul discours de surface qui amène à des solutions de surface….
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