Si l’accusation était sans doute déplacée dans le contexte d’un rapport d’inspection, Olivier Pétré-Grenouilleau n’a fait que mettre sur la table un débat qui occupe des spécialistes tels que Sophie Ernst sur l’usage des mots « Shoah », « holocauste » ou encore « judéocide ». Quand il dit que le terme ‘génocide’ est « plus neutre et juridiquement fondé », il réaffirme sa volonté de refuser le chantage émotionnel qui consiste à mobiliser les souffrances d’un peuple pour justifier manquements et approximations historiques. Et à nouveau, il est taxé de révisionnisme.
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