Ou quand les usages concrets dépasse le travail d’enquête : Au terme d’un sondage mené auprès de 31 000 collégiens du Québec – dont 92 % avaient un profil Facebook actif –, Bruno Poellhuber et ses collègues ont réalisé que des élèves avaient formé des groupes Facebook pour leurs cours et y engageaient des discussions sur des sujets abordés en classe, le plus souvent à l’insu de l’enseignant.
Faut-il permettre l’usage de Facebook pendant les cours? – UdeMNouvelles
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