La commémoration de la Première Guerre mondiale est aujourd’hui suffisamment avancée pour que les réticences qu’elle avait suscitées au fil des mois quant aux motivations de ses instigateurs se trouvent confirmées : dans sa déclinaison scolaire, empêtrée dans des injonctions administratives insistantes, cette opération mémorielle à grand spectacle n’a guère à voir avec l’histoire. C’est même tout le contraire.
Un avis «tranché» de la part de Bernard Girard, enseignant en collège.
L’avis divergent de Pierrick Auger : http://pierrickauger.wordpress.com/2014/10/05/je-ne-suis-pas-tellement-daccord/
Et vous ? Votre avis ?
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