Alors que les études sur la Shoah se renouvellent, le génocide cambodgien reste un angle mort de la recherche, et les massacres du Rwanda sont peu enseignés dans les écoles. Sous la direction de l’historien Vincent Duclert, 65 chercheurs ont fait le bilan des connaissances sur ces tueries de masse et sur la motivation de leurs auteurs, qui s’inspirent les uns des autres.
— À lire sur www.liberation.fr/debats/2019/01/27/vincent-duclert-la-recherche-permet-de-fermer-la-porte-au-negationnisme-en-revelant-l-entreprise-de-_1705742
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