- Tablettes tactiles et enseignement : prise en main avec des élèves | Tablette-tactile.net – Tout l’intérêt, l’avantage d’une tablette numérique en classe par rapport à un ordinateur :
«le gros intérêt réside dans le fait que mes élèves ne bougent plus du laboratoire. La tablette est simplement posée sur la table parmi leurs affaires. Elle s’allume et l’application se lance en moins de 5 secondes alors que le même travail réalisé auparavant sur les ordinateurs de la salle équipée de l’établissement prend plus de 4 min juste pour allumer l’ordinateur et lancer l’application, temps auquel il faut rajouter le temps de déplacement vers la dite salle, le temps d’installation inversement proportionnelle à l’âge de nos élèves, le tout pour réaliser une activité qui dure moins de 10 min! Autant dire que j’avais renoncé à bloquer la salle multimédia pour faire ce type d’activité.»
J’y ajoute pour compléter mes propos tenus dans le journal Le Temps (30.12.2011) :
«L’école s’est souvent barricadée face à l’informatique. Car l’ordinateur fait écran devant le professeur. En ce sens, je vois davantage l’école se saisir des tablettes, moins intrusives, proches d’un livre… Et qui, dans la foulée, faciliteront l’intégration des nouvelles technologies.»
Le lien : http://t.co/tzyQMsVG
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Revue de presse: Tablettes tactiles et enseignement (31 décembre 2011)
- Tablettes tactiles et enseignement : prise en main avec des élèves | Tablette-tactile.net – Tout l’intérêt, l’avantage d’une tablette numérique en classe par rapport à un ordinateur :
«le gros intérêt réside dans le fait que mes élèves ne bougent plus du laboratoire. La tablette est simplement posée sur la table parmi leurs affaires. Elle s’allume et l’application se lance en moins de 5 secondes alors que le même travail réalisé auparavant sur les ordinateurs de la salle équipée de l’établissement prend plus de 4 min juste pour allumer l’ordinateur et lancer l’application, temps auquel il faut rajouter le temps de déplacement vers la dite salle, le temps d’installation inversement proportionnelle à l’âge de nos élèves, le tout pour réaliser une activité qui dure moins de 10 min! Autant dire que j’avais renoncé à bloquer la salle multimédia pour faire ce type d’activité.»
J’y ajoute pour compléter mes propos tenus dans le journal Le Temps (30.12.2011) :
«L’école s’est souvent barricadée face à l’informatique. Car l’ordinateur fait écran devant le professeur. En ce sens, je vois davantage l’école se saisir des tablettes, moins intrusives, proches d’un livre… Et qui, dans la foulée, faciliteront l’intégration des nouvelles technologies.»
Le lien : http://t.co/tzyQMsVG
Revue de presse (23 décembre 2011)
- Colloque international des didactiques de l’histoire, de la géographie et de l’éducation à la citoyenneté, 26-28 oct 2012 | The History Education Network – Colloque international des didactiques de l’histoire, de la géographie et de l’éducation à la citoyenneté : Des nouvelles voies pour la recherche et la pratique en Histoire, Géographie et Éducation à la Citoyenneté. Programme provisoire (décembre 2011)
- La Boite à Outils des Historiens: Les « digital natives » ne naissent pas chercheurs… | La boîte à outils des historiens dans Archimag ! – Dans le cadre d’un article à paraître dans la Revued’histoire moderne et contemporaine, Émilien Ruiz a tenté de proposer une typologie des trois principales transformations qui ont affecté la discipline historique :
– De nouvelles pratiques documentaires entraînent une accélération de certaines étapes de la recherche, une accessibilité accrue à la documentation, une massification des corpus exploitables et une automatisation de certaines pratiques.
– Des modes de diffusion de la recherche inédits apparaissent. Des carnets de recherches en ligne aux archives, on assiste à une multiplication des supports de publication des contenus scientifiques.
– De nouvelles formes d’échanges scientifiques et pédagogiques se développent grâce à la naissance de nombreux outils facilitant l'entraide, le travail collaboratif et les démarches collectives, de l’écriture à la constitution de bibliographies en passant par la transcription de sources.
Pour lui, "une véritable prise de conscience est nécessaire. Les apprentis historiens de ladite « génération Y » s’adaptent beaucoup plus facilement que leurs prédécesseurs à l’environnement numérique qui nous entoure, mais ils n’ont pas moins besoin d’être formés à des outils spécifiques."
Il préconise alors un socle de commun. A lire.
Revue de presse (22 décembre 2011)
- Pourquoi les tablettes intéressent-elles les enseignants ? | Actualitice – «La tablette n’est jamais malade. Voilà son principal avantage par rapport à la flotte d’ordinateurs portables constitutifs de la classe mobile ou du parc installé dans la salle informatique. Pour l’instant le système immunitaire de ces nouveaux terminaux n’est pas inquiété par une profusion de virus. Aucune clé USB n’a encore contaminée les quelques tablettes qui acceptent d’entretenir des relations avec elles. Les tablettes démarrent en quelques secondes. L’enseignant n’a pas à mener l’enquête pour savoir quel petit malin a volé la souris ou changé les touches du clavier. L’autonomie de huit heures en moyenne permet d’accepter plus facilement les oublis des élèves ou des collègues qui, en fin de séance, ne branchent pas le terminal à son chargeur. Les plantages et les redémarrages intempestifs sont également très rares. Bref, l’informatique est moins anxiogène pour l’enseignant avec ce type de terminal mobile.»
L'ensemble de cet article met en avant des éléments auxquels j'adhère et que je partage par rapport à l'attrait de la tablette en milieu enseignant.
Revue de presse (19 décembre 2011)
- NetPublic » Guide iPad en classe : pour bien démarrer votre projet – Classe iPad : petit guide pour bien démarrer votre projet est un document de 37 pages (en pdf) qui expose une méthodologie pour introduire l’outil tablette tactile dans un contexte pédagogique. Ce dossier a été établi par Johanne Beaulieu, conseillère pédagogique – service local du RÉCIT, CS de la Seigneurie-des-Mille-Îles – Québec, Canada.
- A Auschwitz, la mémoire étouffée par le tourisme de masse | Télérama – Mercantilisme, bousculade, attitudes choquantes… L'ancien camp d'extermination d'Auschwitz est la première destination des tour-opérateurs de Cracovie. Dans la foule, se recueillir est impossible.
Revue de presse : enseigner à l'ère du numérique
- Des tablettes accueillies à bras ouverts par toute la communauté éducative | LUDOVIA TV – Les expérimentations autour des tablettes numériques se multiplient en France. Nouvel outil pour l’école d’aujourd’hui, il est abordé d’une manière globalement positive par tous les membres de la communauté éducative au Collège Desaix à Tarbes. Les nuances sont néanmoins intéressantes notamment en écoutant les élèves ou leurs parents/enseignants. La vidéo concernant le retour des premières expériences réalisées avec une classe de 4ème est vraiment à regarder de bout en bout.
- Mes cours Web 1.9 ou de la difficulté d’être révolutionnaire (épisode 2) « SUBREPTICE – La vie et les obstacles rencontrés par un enseignant chargé d’un cours intitulé “Enseigner à l’heure du numérique”. La série des obstacles techniques et ergonomiques rencontrés raviraient Larry Cuban.
L’enseignant souligne cependant que
«Mais les principaux obstacles ne sont pas les Bastilles techniques ou ergonomiques. Ce sont plutôt les représentations qu’ont les étudiants de la situation qu’ils vivent. Leur histoire aussi. “On n’a pas l’habitude qu’on nous donne la parole” me disait l’un d’eux. Ils s’attendent à un enseignant qui enseigne à son auditoire et les voilà en situation d’agir pour apprendre. Apprendre plutôt qu’être enseigné. Pas facile de considérer que les notes que l’on prend, que le texte que l’on écrit, sont collectifs plutôt qu’individuels. Pas facile de s’organiser pour conduire un un projet. Changer de paradigme n’est pas trivial. Je me rêvais Robespierre (celui d”avant la Terreur !) et c’est la Fontaine qui s’invite (mais que nous mettons peu à peu à la porte !) : « Que sert-il qu’on se contrefasse ? / Prétendre ainsi changer est une illusion / L’on reprend sa première trace / A la première occasion.” (le Loup et le Renard, Livre XII, fable 9).»
A lire…
L’illusion de la pédagogie numérique | Christine Vaufrey
- L’illusion de la pédagogie numérique | Le blog de Christine Vaufrey – Excellents propos de Christine Vaufrey:
« Je connais “l’appareil photo numérique”, “la télévision numérique”, mais la “pédagogie numérique”, franchement, je ne vois pas. Bien entendu, on comprend que M. Fourgous s’appuie sur l’idée que la société tout entière s’est numérisée (ce qui est faux), et qu’en numérisant l’école, on la rapproche de la vraie vie. Mais cela ne suffit pas à créer une pédagogie. La pédagogie ne se définit pas par son outil, mais par l’activité cognitive et sociale qu’elle met en oeuvre dans la démarche d’apprentissage.» - Deuxième extrait :
«Ce n’est évidemment pas “le numérique” (les tablettes, les téléphones intelligents…) qui rend possible la construction des connaissances. C’est l’intention pédagogique de l’enseignant, qui éventuellement utilise les Tice comme outils facilitant l’atteinte des objectifs d’apprentissage.»
Deux avis que je partage et un article que je vous conseille de lire.
Une histoire allemande : Hammerstein ou l'intransigeance
- Hans Magnus Enzenberger – Hammerstien ou l’intransigeance « Le blog de la Quinzaine Littéraire– «C’est chez le fabricant de pianos Bechstein qu’Adolf Hitler apprit » comment on tient son couteau à table « , c’est chez lui aussi que Kurt von Hammerstein fit en 1925 la connaissance du même Hitler. Il sut dès l’abord à qui il avait affaire.»Ce livre de Hans-Magnus Enzensberger, Hammerstein ou l’intransigeance n’est pas une biographie, mais un montage d’entretiens, certains fictifs, d’autres réels, mêlés à des fragments historiques, à des lettres et des témoignages de source et d’origine diverses, des rapports du KGB et de nombreuses photographies, c’est une tentative de reconstitution du climat politique de l’époque. Comment à travers une famille de la haute aristocratie militaire arriver à faire saisir ce que put être la proximité avec le crime absolu, saisi au lieu même de sa décision. Selon un curieux et habile procédé d’emmêlement à la fois impressionniste et objectif de détails et de grands faits politiques, Enzensberger s’efforce de retrouver ce que pouvaient être les sentiments et les attitudes d’un milieu social au plus près du cœur même du crime.
- Hammerstein ou l’intransigeance, par Hans Magnus Enzensberger – L’EXPRESS – Quelle superbe « histoire allemande » que celle de Kurt von Hammerstein (1878-1943), chef d’état-major de la Reichswehr, l’armée de la fragile république de Weimar, qui dit « nein » à l’hitlérisme! Au-delà de ce portrait d’un homme lucide en rupture avec son milieu, l’aristocratie prussienne, l’essayiste Hans Magnus Enzensberger (82 ans) se penche sur le destin des membres de cette étrange famille unie par l’intransigeance, où tous empruntèrent des chemins de traverse. Les deux fils officiers seront impliqués dans le complot de juillet 1944 contre Hitler. Des trois filles, l’une s’engagera dans la cause sioniste après avoir épousé le frère du philosophe Gershom Scholem et les deux autres seront des agents du Komintern. « La peur n’est pas une vision du monde », disait Hammerstein. Les enfants reprirent en choeur la sentence du père. Meilleur livre de l’année 2010 pour le magazine Lire.
- Hammerstein ou l’intransigeance. Une histoire allemande – livre de Hans Magnus Enzensberger – Critique – Télérama.fr – Il fallait, pour imaginer et mener à bien ce projet livresque singulier, le talent protéiforme d’Hans Magnus Enzensberger, grande figure de la vie intellectuelle allemande, tout ensemble écrivain, philosophe, essayiste et poète. Construit autour de la personne, du destin de Kurt von Hammerstein (1878-1943), le général qui était à la tête de l’armée de terre allemande en 1933, date de l’arrivée de Hitler et du parti nazi au pouvoir, Hammerstein ou l’intransigeance n’est pas une biographie, non plus qu’un essai ou un roman. A tous ces genres, l’ouvrage emprunte pourtant. Et l’on est proprement saisi et durablement séduit par l’aisance, l’évidence, la fluidité de mouvement avec lesquelles Enzensberger évolue entre ces différents registres pour composer cette « histoire allemande ».
Epousant la biographie de Hammerstein et des siens, l’ouvrage de Hans Magnus Enzensberger retrace formidablement près d’un siècle d’histoire de l’Allemagne, de la fin du XIXe siècle jusqu’au milieu du XXe, se focalisant évidemment sur la période hitlérienne. S’appuyant sur une énorme documentation, Enzensberger s’éloigne pourtant sciemment de la méthode historique, pour jalonner son récit de « conversations posthumes » avec les différents protagonistes, ainsi que de réflexions digressives qu’il intitule « gloses » – sur la république de Weimar, sur la Russie, sur l’aristocratie et ses valeurs, sur l’ambiguïté… C’est ce caractère composite qui donne au livre sa singularité, sa remarquable profondeur.
Histoire d'un Allemand de Sebastian Haffner
Sebastian Haffner : Histoire d’un Allemand – Un livre, un jour – 02/04/2002 – 02min27s
Vidéo Ina – Sebastian Haffner : Histoire d’un Allemand, vidéo Sebastian Haffner : Histoire d’un Allemand, vidéo Art et Culture Littérature – Archives vidéos Art et Culture Littérature : Ina.fr – Depuis l’ancienne manufacture des tabacs à Riom, Olivier BARROT présente le livre « Histoire d’un Allemand » de Sébastien HAFFNER, photo noir et blanc de l’écrivain.
- Histoire d’un Allemand — Enjeux contemporains de l’enseignement en histoire-géographie – ifé – La plupart des événements de l’Histoire, même parmi ceux qui furent les plus décisifs pour une nation et un peuple, n’affectent guère la vie privée, individuelle et familiale, des hommes, au-delà du petit cercle des politiques qui sont concernés. Mais ce qui distingue à jamais la période et les événements de l’avant-guerre, selon Haffner, c’est qu’ils ont constitué au contraire un exemple unique de l’irruption de l’histoire jusque dans la sphère la plus intime de la vie de chacun. Il montre comment, avec l’avènement du totalitarisme nazie, éclatait cet îlot protecteur de la sphère privée où l’individu peut toujours se mettre à l’abri de l’histoire majuscule pour continuer de cultiver sa biographie personnelle. Or la dernière partie du livre intitulée » l’Adieu » illustre bien ce mouvement de l’histoire qui va briser rapidement tous les liens et toutes les attaches du jeune homme dans son pays natal pour le précipiter sur le chemin de l’exil. L’égarement profond d’un père qui voit disparaître en quelques années la société qui fut la sienne et les valeurs qui la fondaient, les persécutions progressives auxquelles se voit soumise sa jeune amie ainsi que sa famille de par ses origines juives, les différends et les hostilités qui le séparent de ses anciens camarades, la mise au pas d’une justice réduite à une caricature : tout concourt à une forme d’isolement et prépare le jeune homme à un exil prévisible.
- Histoire d’un Allemand, de Sébastian Haffner | Voyage au bout de la lettre – Sébastian Haffner (1907-1999) était jeune magistrat stagiaire à Berlin quand Hitler arriva au pouvoir. Ce jeune homme vit la montée en puissance du nazisme et de ses horreurs, et de ses humiliations. En 1938, il s’exile en Angleterre alors que son pays est sous la dictature nazie depuis cinq longues années, et connaît depuis l’avènement progressif de Hitler les persécutions, les pogroms, le boycott des magasins juifs, les insultes, bref : le nazisme. Haffner vécut dans la précarité en Angleterre, et un éditeur lui commanda un ouvrage. Celui-ci fut rédigé, mais jamais publié. La guerre éclata. Et l’Europe vécut l’horreur.
En 1954 Sébastian Haffner retourna en Allemagne pour y devenir un grand journaliste et historien. Son décès en 1999 mit en lumière ses écrits : Histoire d’un Allemand fut découvert dans un bureau.
Histoire d’un Allemand, de Sébastian Haffner. Traduit de l’allemand par Brigitte Hébert. (ACTES SUD « Babel ») 9,50 € - Histoire d’un Allemand de Sebastian Haffner– Revenant sur les circonstances de la décomposition de la république, Sebastian Haffner détaille l’expérience fondamentale que représenta pour sa génération – les Allemands nés entre 1900 et 1910 – la Grande Guerre, montrant que le nazisme prend racine dans le « jeu guerrier », « une véritable drogue comme la roulette ou l’opium ». […] En comparaison, l’après-guerre devait se montrer d’une affligeante tristesse. L’inflation de 1923, avec sa grotesque et tragique valse des zéros, acheva de mettre à bas les dernières certitudes morales de cette génération, celle qui vota pour le NSDAP en 1933. […]Face à la « résistible ascension » d’Adolf Hitler, Sebastian Haffner devait faire preuve d’une lucidité pour le moins extraordinaire – à tel point qu’on crut un moment ses écrits, débutés à Londres en 1938, pour apocryphes. Mais il devait aussi se trouver totalement désemparé face au naufrage de sa nation. Référendaire en stage au tribunal suprême de l’Etat de Prusse, il vit impuissant se déliter l’Allemagne, s’effondrer le masque des « hommes ordinaires » (pour reprendre le titre du terrifiant ouvrage de Christopher Brownning montrant la transformation de pères de famille allemands en bouchers du front de l’Est). Ecœuré, il ne trouvera de salut que dans l’exil, où il rédigera ce chef-d’œuvre historique… et littéraire. Histoire d’un Allemand ne fut jamais publié avant la mort de son auteur.
Revue de presse : iPad et enseignement (25 novembre 2011)
- iPad et enseignement : retour d’expérience | Tablette-tactile.net – Adopter une (nouvelle) technologie, c’est la savoir validée par ses pairs. Les tablettes numériques connaissent un essor au sein des universités et demeurent pourtant encore peu utilisées. Cet article traite de l’usage de l’iPad, en tant qu’enseignant universitaire et constitue un retour d’expérience.
L’article a été rédigé par Jean Debaecker est doctorant en sciences de l’information, communication et documentation au laboratoire GERiiCO. Il est également Attaché Temporaire d’Enseignement et de Recherche à l’Université Charles-de-Gaulle Lille 3.