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Histoire Lyonel Kaufmann

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BMW : 5 millions d'euros pour un mémorial consacré aux travailleurs forcés

9 novembre 2011 by Lyonel Kaufmann

La famille allemande Quandt, un actionnaire important de constructeur automobile BMW, a promis plus de 5 millions d’euros (6,9 millions de dollars) pour un mémorial consacré aux travailleurs forcés sous l’Allemagne nazie.
La famille Quandt, qui est l’une des plus riches en Allemagne, a recouru sous le régime nazi au travail forcé dans ses usines, y compris de Juifs raflés dans les camps de concentration.
Dans une interview récente, Stefan Quandt, membre de la famille et du conseil d’administration de BMW, avait déclaré que son grand-père était allé au-delà de ce qui pourrait être considéré comme les actes d’un «homme d’affaires honnête.»

En 2007, sous les pressions, la famille Quandt avait dû ouvrir ses archives afin de faire la lumière sur cette sombre page de leur passé et l’implication des deux figures historiques du clan, Günter Quandt et son fils Herbert, dans les crimes nazis. La famille avait non seulement bénéficié du travail forcé dans ses usines, mais avait également racheté à bas prix et sans scrupule des entreprises concurrentes appartenant à des Juifs.

A lire sur notre site : BMW : la famille Quandt rattrapée par son passé nazi (Libération)

Source de l’info: BMW owners make pledge over Nazi past – International | IOL Business | IOL.co.za.

Classé sous :Nouvelles de l'histoire, Opinions&Réflexions Balisé avec :39-45, Allemagne, BMW, GénocideJuif, Histoire, Quandt

L’islam interdit-il les images de Mahomet? | Slate

7 novembre 2011 by Lyonel Kaufmann

  • L’islam interdit-il les images de Mahomet? | Slate– «Si l’interdiction de faire des images de Dieu dans l’islam n’est pas contestée, il n’en va pas de même pour les images de Mahomet, le prophète de la religion musulmane. Aucun passage du Coran n’interdit la représentation des êtres vivants, et donc de Mahomet, qui n’est qu’un homme et non l’incarnation de Dieu comme Jésus. C’est une différence majeure avec la Bible, qui interdit de manière explicite la création d’images dans le second commandement:«Tu ne te feras point d’image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre.» (Exode XX, 4)»

    Une interdiction plutôt respectée par les juifs mais vite abandonnée par les chrétiens, qui ont considéré que l’arrivée sur terre de Jésus, la réincarnation de Dieu, permettait de représenter ce dernier de manière figurative et d’en faire un vieux barbu.

Classé sous :Nouvelles de l'histoire Balisé avec :Histoire, Images, Islam, Mahomet, politis, RevuePresse

The Age of Revolution

6 novembre 2011 by Lyonel Kaufmann

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lareviewofbooks:

JON WIENER

on a lifelong Communist historian’s
reconsideration of the revolutionary project.

blankDie Passion Eines Menschen [One Man’s Passion] Frans Masereel 1921
Courtesy of Spencer Museum of Art
Eric Hobsbawm
How to Change the World: Reflections on Marx and Marxism

Yale University Press, September 2011. 480 pp.

He’s Back! cried the headline in The Times of London in fall 2008 as global stock markets crashed and banks failed. The “he,” of course, was Karl Marx, who had written 160 years earlier about the periodic “crises of capitalism.” President Sarkozy of France was photographed reading Marx’s Capital, as British Labor MP Tristram Hunt pointed out, and the German edition soon appeared on that country’s best-seller list. Even Pope Benedict XVI praised what he called Marx’s “great analytical skill.” This was the point at which Eric Hobsbawm set out to publish a new book about Marx with a putative call to action for a title: How to Change the World.

Hobsbawm, who lives and works in London at the ripe old age of 94, is probably the world’s best, and best-known, Marxist historian. His first book, Primitive Rebels, appeared in 1959, and his second, The Age of Revolution: 1789-1848, in 1962; both were widely read not only on the left but by generations of college students. The first provided an unforgettable account of “social bandits” in 19th- and 20th-century Italy and Spain, men the law regarded as criminals but who were seen as heroes in their peasant communities; the second conveyed the big picture of sweeping social transformation in Europe. He went on to write more than a dozen vivid and compelling studies of the politics and history of the capitalist world, making him one of the most recognizable Marxist icons today. Tom Stoppard’s 2006 play Rock ‘n’ Roll features a young Czech student at a British university arguing about Communist Party politics with his professor, an unrepentant party member who seems a lot like Hobsbawm.

(Full disclosure: Even though I grew up as part of the New Left that dismissed the CP as authoritarian, conservative, and out of touch, Hobsbawm himself has always been a hero of mine. I still remember him at dinner in my kitchen in 1981 after a conference at UC Irvine when the news came that Reagan had been shot. We gathered around the TV and Hobsbawm said matter-of-factly, “I hope it wasn’t a leftist.” Hobsbawm had returned to New York before we found out that John Hinckley’s motivation had not been fomenting revolution but impressing Jodie Foster.)

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Classé sous :Nouvelles de l'histoire

The New Deal : A Modern History | Michael Hiltzik

6 novembre 2011 by Lyonel Kaufmann

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Tout d’abord laissez-moi affirmer ma ferme conviction que la seule chose que nous devons craindre est la crainte elle-même… une terreur sans nom, irraisonnée, injustifiée qui paralyse les efforts nécessaires pour la convertir et nous permettre d’avancer.

Discours d’inauguration de Franklin D. Roosevelt

Cb4fe The New Deal A Modern American History by Michael Hiltzik

1 million de kilomètres d’autoroutes, 8.000 parcs, le pont de Triborough : les conservateurs qui s’attaquent au New Deal ont-ils vraiment conscience de ce que le pays lui doit? La réponse est déjà dans la question posée par l’historien Michael Hiltzik lorsqu’il présente le New Deal dans un texte repris par Slate (« Ce que le New Deal a apporté aux Etats-Unis »).

Pour Hiltzik, une bonne partie de l’héritage de Franklin Roosevelt repose sur ces infrastructures nées du New Deal, mais

une autre partie, plus grande encore, est liée aux transformations qu’il opéra dans les structures sociales et économiques du pays.

Ensuite, «le New Deal a également concouru à instiller, dans l’esprit des Américains, la foi inébranlable dans la capacité du gouvernement à leur venir en aide en cas de crise. Pour le dire autrement, le New Deal a établi le concept de la sécurité économique par responsabilité collective.»

Enfin, «le New Deal a cessé de fait en 1939, alors que Roosevelt était contesté et que la menace de la guerre se précisait. A bien des égards, il demeure inachevé.»

Route newdeal

La construction d’une route en 1933 / Franklin D Roosevelt Library and Museum, via Wikimedia Commons

Cet inachèvement peut s’apprécier à la lumière de la situation économique actuelle et de l’extrait suivant tirés de The Modern Corporation and Private Property (1932) écrit parAdolf Berle et Gardiner Means :

When nearly seventy per cent of American industry is concentrated in the hands of six hundred corporations; when more than half of the population of the industrial east live or starve, depending on what this group does . . . the individual man or woman has, in cold statistics, less than no chance at all. The President’s stricture on “regimentation” . . . is merely ironic; there is regimentation in work, in savings, and even in unemployment and starvation. . . . What Mr. Hoover means by individualism is letting economic units do about what they please.

Le problème mis en avant par Berle et Means reste entier et s’est largement amplifié alors qu’aujourd’hui la santé économique d’un pays, voire mondiale, dépend de la santé financière d’un nombre limité d’instituts financiers.

Sur la Grande Dépression et le New Deal, nous avons déjà publié les articles suivants en lien avec leur enseignement:

  • Grande Dépression et New Deal : 1. Comment ce sujet est-il traité par l’histoire scolaire?
  • Grande dépression et New Deal : 2. Que nous dit l’historiographie? (1)
  • Grande dépression et New Deal : 2. Que nous dit l’historiographie (2)
  • Grande dépression et New Deal : 3. Ressources en ligne
  • Photographier une crise économique de 1929 à 2010

Classé sous :Histoire savante, Opinions&Réflexions, Publications, sur le web Balisé avec :Crise économique, CriseEconomique, Grande Dépression, New Deal, Roosevelt, USA

Le musée participatif : quelques initiatives | Knowtex

5 novembre 2011 by Lyonel Kaufmann

  • Le musée participatif : quelques initiatives | Knowtex – Depuis quelques années et plus particulièrement depuis deux ans, plusieurs initiatives ont été lancées dans les musées autour de la notion de participatif. Pour Knowtex, Sebastien Magro et Omer Pesquer cite quelques exemples pertinents et qui posent une série de questions. Les auteurs ont également identifiés six tendances de ces initiatives muséales participatives.

Classé sous :Nouvelles de l'histoire Balisé avec :blogcafé, Histoire, musées, RevuePresse, web2.0

Le web 2.0 dans la lignée des évêques du Moyen-Âge?

4 novembre 2011 by Lyonel Kaufmann

  • Réseaux sociaux, influence et pouvoir : le web 2.0 dans la lignée des évêques du Moyen-Âge ? | Gouvernance Web – Y a-t-il un point commun entre les évêques médiévaux et le web 2.0 ? Contre toute attente, oui. Et même plus d’un. Et cet article en explique le pourquoi et le comment.

Classé sous :Nouvelles de l'histoire Balisé avec :Histoire, moyen-âge, RéseauxSociaux, RevuePresse

La menace d’un krach social planétaire | Mediapart

2 novembre 2011 by Lyonel Kaufmann

  • La menace d’un krach social planétaire | Mediapart – «c’est un séisme social planétaire qui se prépare, généré par une crise économique historique. Un séisme dont on mesure la gravité au travers de deux documents: le dernier « Rapport sur le travail dans le monde en 2011 », que vient de publier l’Organisation internationale du travail (OIT), et les dernières statistiques sur le chômage en Europe, révélées par Eurostat.»

Classé sous :Nouvelles de l'histoire Balisé avec :CriseEconomique, CriseFinancière, Histoire, politis, RevuePresse

Léonard humaniste? | aggiornamento hist-geo

28 octobre 2011 by Lyonel Kaufmann

Alors que Les nouveaux programmes de 5ème et de Seconde accordent une place importante à l’étude d’un personnage emblématique de la période humaniste et de la Renaissance, Pascal Brioist (Centre d’Etudes Supérieures de la Renaissance, Université de Tours) mène l’enquête : Léonard de Vinci est-il soluble dans l’humanisme?

En ces temps où l’adjectif « humaniste » redevient à la mode en politique, la question « Léonard de Vinci  était-il un humaniste ?» peut sonner comme une provocation. Pourtant, elle est totalement légitime si on accepte de la relire au crible de la définition que Léonard de Vinci donnait de lui-même : un homme sans lettres « omo sanza lettere ». En effet, comment un individu ne parlant ni le latin ni le grec, qui n’avait pu fréquenter l’université en raison de sa naissance illégitime, qui par conséquent ne connaissait les grands auteurs antiques que de façon indirecte, aurait-il pu prétendre au titre d’humaniste ? Dans l’antiquité, le terme de studia humanitatis s’appliquait, chez Cicéron ou d’autres auteurs, à un cycle de disciplines littéraires et morales. Souvenons nous qu’au XVe et au XVIe siècle, le terme désigne, dans l’argot estudiantin, les professeurs de grammaire et de rhétorique et par extension les étudiants de ces matières. Rien à voir, donc, avec Léonard puisque l’humanisme a pour base une pratique des lettres antiques. Cependant, comme la plupart des penseurs sont formés à cette discipline, il en découle pour eux une nouvelle façon de sentir et de penser influencée par la philosophie classique et caractérisée par la conviction que la philologie critique et l’étude des langues anciennes permettra de libérer l’homme.

A partir de ce constat, Pascal Brioist pose la question suivante : Quand l’idée d’un Léonard porte-drapeau de l’humanisme est-elle née ?
Au terme de son enquête qui le mène de la Renaissance au 20e siècle, il en arrive à la conclusion que «Faire de « l’homme sans lettres » un humaniste relève au mieux de l’approximation.

L’enquête que je vous invite à lire :  Léonard humaniste? | aggiornamento hist-geo.

Classé sous :Didactique, Histoire savante, Opinions&Réflexions, Outils enseignement Balisé avec :Enseignement, Historiographie, humanisme, Renaissance

Exposition Metropolis : le passé a de l’avenir | Il était une fois le cinéma

28 octobre 2011 by Lyonel Kaufmann

  • Exposition Metropolis : le passé a de l’avenir | Il était une fois le cinéma – Jusqu’à ce jour, les cinéphiles ne connaissaient de Metropolis qu’une version incomplète, amputée de plus de 30 minutes. Aussi, en 2008, la découverte inespérée d’une copie intégrale du film fait vite figure d’événement. Dans la foulée, la Cinémathèque Française choisit aujourd’hui de rendre hommage à Fritz Lang et à son chef d’œuvre. Une grande exposition comme une jolie revanche sur l’Histoire, pour ce film dont le cinglant échec commercial lors de sa sortie ne laissait pas présager une telle postérité.

Classé sous :Médias et technologies, Nouvelles de l'histoire Balisé avec :film&histoire, FritzLang, Histoire, Métropolis, RevuePresse

Du bruit autour du Führer | Ecrans

25 octobre 2011 by Lyonel Kaufmann

«Ils reviennent avec une deuxième apocalypse : deux ans après la série documentaire sur la Seconde Guerre mondiale, le duo Isabelle Clarke-Daniel Costelle livre Apocalypse Hitler narrant la montée au pouvoir dudit dictateur nazi. Avec le même dispositif : des images d’archives colorisées, sonorisées et liées par un commentaire lu par Mathieu Kassovitz. « Comment Hitler a-t-il été possible ? » s’interroge le documentaire, qui couvre les années 1889 à 1934. Si le premier opus (diffusé dans 165 pays) a rencontré un grand succès d’audience — 6,5 millions de téléspectateurs en moyenne par épisode —, il avait également suscité la polémique, notamment au sujet de la colorisation des archives. Apocalypse, la Deuxième Guerre mondiale défendait son dispositif avec des arguments de prime-time et de grand public. Mais, appliqué à la trajectoire d’un seul homme, Adolf Hitler, le procédé se parodie et aboutit à une caricature.»

A cette époque, en 2009, j’avais rédigé la chronique suivante pour le Café pédagogique : «Apocalypse : au delà des prouesse techniques est-ce de l’histoire ?» (2009). Le Café pédagogique, No 105, septembre. Je posais notamment la question suivante à laquelle ma chronique tentait de répondre : cette émission est-elle utilisable en classe d’histoire? Si oui, à quelles conditions?

Mes propos gardent toute leur actualité. La caricature était déjà présente à partir du moment où, concernant le premier Apocalypse, l’essentiel du propos se résumait dès le début de la série à illustrer le propos suivant sur les causes de cette guerre : «Y a un pyromane incroyable, Hitler, qui met le feu à toute la planète.» Un propos totalement désuet historiographiquement puisque l’historien Ian Kershaw, par exemple, disqualifie dans sa biographie d’Hitler tout travail historique qui se contenterait de présenter Hitler en Deus ex machina. Visiblement depuis 2009, Isabelle Clarke et Daniel Costelle n’ont toujours pas mis à jour leur logiciel historique…

Reste le grand Barnum fort bien présenté et résumé par Ecrans qui conclut :

Le docu est un blockbuster, avec Hitler en acteur principal, un vrai sens du montage, de la post-synchro (la sonorisation), de la profondeur de champ et de l’étalonnage (la colorisation). Isabelle Clarke le revendique même dans le dossier de presse : la démarche des auteurs tient du « geste artistique ». Et, s’ils utilisent « les codes narratifs et plastiques du cinéma », c’est parce qu’ils sont « indispensables à une compréhension de l’histoire par le plus grand nombre ». C’est bien ça : Apocalypse Hitler n’est pas un documentaire historique, c’est du cinéma.

Source : Du bruit autour du Führer | Ecrans

Apocalypse Hitler
Documentaire d’Isabelle Clarke et Daniel Costelle
France 2, ce soir 25 octobre 2011 à 20 h 35.

Mise à jour (07.11.2011)

André Gunthert propose un article fort intéressant sur le même documentaire et intitulé Apocalypse ou la trouille de l’histoire.
Concernant la vacuité de la démarche historique de Clarke et Costelle, il indique:

Si la biographie historique n’est plus un genre prisé par les chercheurs, c’est que le rôle des grands personnages, qui ponctuaient autrefois l’histoire comme autant de démiurges, a été sérieusement revu à la baisse, au profit d’une plus grande attention pour les mécanismes économiques et sociaux ou pour d’autres conjonctions de facteurs. Dans cette approche, un personnage aussi caricaturé qu’Hitler a toutes les chances de constituer un piège dont aucun projet narratif ne peut se sortir.
[…]
Quel a été le rôle du chef du parti nazi dans la catastrophe allemande? Les spectateurs d’Apocalypse seraient surpris de découvrir que cette question représente un point focal du débat historiographique, et qu’elle suscite des interprétations diverses et contradictoires. Le rôle déclencheur de la crise de 1929 dans la montée du nazisme est toutefois généralement admis. Dans les deux heures du film de Costelle et Clarke, ce facteur externe décisif est expédié en moins de 40 secondes, au début du 2e épisode, appuyé sur quelques images dont on se demande bien en quoi elles expliquent le lien causal entre misère et fascisme.

Il conclut son article en indiquant :

 Apocalypse restera comme le produit typique d’une époque qui craint les apparences du passé, confondant les destinées de l’archive historique et de la production commerciale, mais ne sait pas reconnaître l’archaïsme d’une approche dépassée de l’histoire. C’est moins Costelle et Clarke qu’il faut tenir pour responsables de cet état de fait que France 2, qui n’oserait pas promouvoir un documentaire historique sans le présenter comme un défi technologique, et qui empile les superlatifs pour s’autoconvaincre de diffuser en prime time une vision désuète et terriblement old school de l’histoire.

Classé sous :Nouvelles de l'histoire, Opinions&Réflexions Balisé avec :39-45, Allemagne, docu-fiction, film&histoire, Hitler

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