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Histoire Lyonel Kaufmann

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Enseignement à distance

Un coup de pouce qui incite les étudiants à s’engager davantage dans les cours en ligne

30 juin 2022 by Lyonel Kaufmann

Unnati Narang, Professeure assistante en Marketing au Gies College of Business, University of Illinois, a publié sur EdSurge un article relativement à la mise en place de stratégies spécifiques pour renforcer et augmenter l’engagement des participant•es à des cours en ligne. Nous en traduisons et adaptons les principaux passages.

Pour cette recherche menée avec Manjit Yadav et Aric Rindfleisch, les trois chercheurs sont partis de l’idée simple que les environnements d’apprentissage en ligne sont différents des salles de classe en face à face.

Pour eux, les environnements en ligne ont tendance à être plus grands, plus diversifiés et plus impersonnels qu’un cours en face à face. Ainsi, les stratégies traditionnelles qui fonctionnent dans une classe physique, telles que les discussions ou les activités brise-glace, peuvent ou non être efficaces dans les environnements en ligne.

Leurs résultats ont montré que le fait de demander aux apprenants de partager leurs idées sur le cours entraîne une augmentation d’environ 30 % de la consommation de vidéos et de la réalisation des évaluations. En revanche, contrairement à un enseignement en face à face, demander aux apprenants de partager leur identité a produit des effets limités.

Les trois chercheur•euses se sont alors demandées quelles sont les raisons pour lesquelles les encouragements à partager des idées sont plus efficaces pour améliorer l’engagement des apprenants en ligne ?

En examinant plus en détail les réponses textuelles postées par les apprenants ayant partager leurs idées, il et elles ont constaté que leurs réponses ont tendance à être plus longues, plus élaborées et plus complexes que de poster quelques phrases courtes sur qui il est, d’où elle vient.

En définitive, il est essentiel que les experts en éducation conçoivent des stratégies adaptées au contexte de formation et aux outils numériques. Ils doivent également appliquer des approches d’analyse de données pour mieux évaluer et faire progresser l’engagement des apprenants (en ligne ou en face à face).

L’article EdSurges : This Simple Nudge Can Get Students More Engaged in Online Courses (29 juin 2022)

Written with StackEdit.

Classé sous :Enseignement à distance

Numérique à l’école: ce que la pandémie a changé – Heidi.news

17 mars 2022 by Lyonel Kaufmann

silver ipad on white book page

Le 13 mars 2020, il y a deux ans, c’est la stupéfaction en Suisse: le Conseil fédéral annonçait la fermeture des écoles pour freiner la pandémie de Covid-19. Avec la mise en place dans l’urgence des cours à distance, le numérique s’est alors retrouvé au centre de l’attention. Comment son usage dans les classes a-t-il évolué depuis? La crise sanitaire a servi d’accélérateur.

Pour Christophe Cattin, le président de la Commission pour l’éducation numérique, un organe de la Conférence intercantonale de l’instruction publique de la Suisse romande et du Tessin (CIIP) «La pandémie a permis de démystifier le numérique» :

«D’un côté, les peurs sont tombées. De nombreux enseignants qui ne voulaient pas s’y mettre ont réalisé que Microsoft Teams ou Educlasse, la plateforme des cantons de Berne et du Jura, n’étaient finalement pas si compliqués et pouvaient même être très utiles. A l’inverse, ceux qui pensaient que le numérique à l’école allait tout résoudre ont adopté un discours plus nuancé. On a vu que le numérique ne rendait pas forcément l’apprentissage meilleur ou plus rapide, et que le distanciel exacerbait les inégalités. L’expérience des deux dernières années a permis de poser certaines limites.»

Si le numérique s’impose dans la classe, il n’est pas forcément au coeur des activités des élèves, mais plutôt dans l’accompagnement et l’augmentation de l’activité de l’enseignant ainsi que l’illustre l’exemple suivant dans l’article d’Heidi,news :

«Mon prof de math, par exemple, fait son cours sur un beamer puis le partage en ligne. C’est très utile, par exemple si la correction d’un exercice en classe va trop vite. Mon prof de philo, qui a pourtant 64 ans, y met les PowerPoint qu’il présente, des consignes d’exposés. Désormais, les devoirs et les évaluations doivent même obligatoirement être annoncés sur Classroom. Il y a vraiment un avant et un après.»

Dans ce cadre, le numérique reste alors largement à la périphérie de l’activité et des pratiques pédagogiques elles-mêmes. Olivier Solioz, vice-président du Syndicat des enseignantes et enseignants de Suisse romande (SER), exprime bien les questions et les doutes concernant l’utilisation à proprement parler pédagogique du numérique :

«Il y a des réflexions sur l’optimisation du temps de travail en classe, avec l’adoption de modèles de type “classe inversée”. Mais aussi sur le développement de moyens d’enseignements plus interactifs. Parmi les sites et les applications que les enseignants ont utilisées ces dernières années, il convient désormais d’opérer un grand tri et de déterminer ce qui apporte un vrai plus à l’enseignement.»

Il reste donc bien du chemin à faire…

Source : Numérique à l’école: ce que la pandémie a changé – Heidi.news

Classé sous :Enseignement à distance, Humanités Digitales, Médias et technologies, Opinions&Réflexions

Réussir sa classe virtuelle synchrone : références

3 février 2022 by Lyonel Kaufmann

photo of child sitting by the table while looking at the imac

Elle n’a pas été simple la transition du présentiel au virtuel en enseignement! Hormis les quelques habitués qui animaient déjà ce type de classe, les enseignants se sont retrouvés obligés d’utiliser des outils sur lesquels ils ne possédaient que peu d’expérience. Ils n’étaient pas les seuls à devoir se familiariser à ce nouveau dispositif. Les élèves aussi, habitués de se rendre quotidiennement à l’école, ont eu droit à des défis.

De plus, la situation pandémique n’a pas permis une préparation adéquate. Un article récent de cursus.edu revient sur les paramètres à prendre en compte pour réussis sa classe virtuelle en mode synchrone et propose quelques intéressantes lectures.

Réussir sa classe virtuelle

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llustration : Giovanni Gagliardi sur Unsplash

Une des premières stratégies est d’établir un coin de chez soi et d’accepter qu’il soit cet endroit qui va passer du privé au « public » de la classe.

La réussite passe aussi par une bonne scénarisation des classes.

L’engagement est encore plus essentiel dans un contexte synchrone d’enseignement. Il est important d’assurer une part interactive dans chaque cours, des moments de discussion gérés par la levée de main (virtuelle), etc.

Les règles de fonctionnement sont primordiales à adopter dès la première séance.

Beaucoup de logiciels permettent également de faire travailler les élèves en sous-groupes.

Enfin, il n’est pas possible d’effectuer de longues séances en classe virtuelle sans créer de la lassitude. Permettez quelques pauses durant les quelques heures du cours et surtout comptez aussi sur l’asynchrone pour avancer dans le cursus.

Références:

Carignan, Isabelle, Steve Bissonnette, Charlette Ménard, Marie-Christine Beaudry, et Joanie Viau. « Les Défis De La Gestion De Classe Virtuelle Synchrone | Médiations Et Médiatisations. » Médiations Et Médiatisations. Dernière mise à jour : 9 novembre 2021. https://revue-mediations.teluq.ca/index.php/Distances/article/view/260.

« Classe Virtuelle : Comment La Scénariser Et L’animer Efficacement ? » Cree Ta Formation. Dernière mise à jour : 13 octobre 2021. https://creetaformation.com/classe-virtuelle-comment-la-scenariser-et-lanimer-efficacement/.

« Comment Ne Pas S’épuiser Avec Les Classes Virtuelles. » Vyfe. Dernière mise à jour : 14 mai 2020. https://vyfe.fr/video-training-classes-virtuelles/.

Miller, Audrey. « Des Idées Concrètes Pour Mieux Tirer Profit Des Sous-salles (breakout Rooms) En Classe Virtuelle. » École Branchée. Dernière mise à jour : 24 juin 2021. https://ecolebranchee.com/conseils-sous-salles-virtuelles/.

Savarieau, Béatrice, and Hervé Daguet. « La classe virtuelle synchrone une substitution médiatique de l’enseignant pour renforcer la présence en formation à distance ? » ResearchGate. Dernière mise à jour en décembre 2016. https://www.researchgate.net/publication/321906348_La_classe_virtuelle_synchrone_une_substitution_mediatique_de_l’enseignant_pour_renforcer_la_presence_en_formation_a_distance.

Lamontagne, Denys. « De quoi ont besoin les enseignants qui font l’école à distance ? ». Thot Cursus.
https://fr.cursus.edu/23436/de-quoi-ont-besoin-les-enseignants-qui-font-lecole-a-distance


Source : cursus.edu

Classé sous :Enseignement à distance

Cours à distance : les universités canadiennes s’en sortent assez bien

19 janvier 2022 by Lyonel Kaufmann

woman in white long sleeve shirt sitting beside woman in red shirt

La situation canadienne décrite ci-dessous permet de mettre à distance et nuancer les propos actuels qui affirment que l’enseignement à distance ne fonctionnerait pas au niveau tertiaire. Extrait d’un article de Courrier international.

Des données montrent que les universités canadiennes ont su conserver leurs étudiants pendant la pandémie.

En dépit des défis qui ont accompagné le développement de l’enseignement en ligne pendant la pandémie dans les universités canadiennes, les étudiants semblent avoir tenu le coup et même persévéré, indique les dernières données de Statistique Canada à ce sujet. Le Globe and Mail relève un taux de participation aux études de 41 % pour les étudiants âgés de 20 ans en 2020–2021, soit “une augmentation significative par rapport aux 36 ou 37 % habituels des cinq années précédentes”. Le journal note également que_ “les taux de participation étaient également plus élevés que les années précédentes pour tous les autres étudiants âgés entre 18 et 25 ans”_.

Le quotidien canadien reconnaît qu’il est difficile d’évaluer les effets qu’ont eus les allers-retours entre les modes présentiel et virtuel sur la progression des étudiants. Mais une étude réalisée l’an dernier par le Consortium canadien de recherche sur les étudiants universitaires auprès de 13 000 étudiants de divers établissements lors de leur année de graduation a révélé, remarque le quotidien, qu’« environ les deux tiers ont déclaré être satisfaits de l’instruction reçue en ligne, et environ un tiers ont déclaré qu’ils ne l’étaient pas_ »._

Source: www.courrierinternational.com

Mon avis

Rien ne m’agace le plus que de décréter qu’un mode ou un autre de dispositif d’enseignement ne fonctionnerait par principe pas et sans nuance. Actuellement, suite à la Covid-19, l’idée est que l’enseignement à distance au niveau tertiaire ne « marcherait » pas et que les cours en présentiels sont impératifs. Pour ma part, je pense que c’est plus compliqué que cela. D’autant que l’enseignement à distance existe depuis longtemps et à satisfaction pour bien des personnes.

C’est surtout l’isolement des étudiant•es (avant-pendant-après les cours) et les difficultés de faire communauté plus que, par principes, l’enseignement en ligne qui posent des problèmes dans le contexte actuel. Sans parler du contexte socio-économiques, péjoré par la pandémie actuelle, de ces mêmes étudiant•es.

Classé sous :Enseignement à distance, Opinions&Réflexions

Colloque infoclio.ch 2021- Travail à distance et sciences historiques

28 septembre 2021 by Lyonel Kaufmann

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La pandémie de coronavirus a provoqué en 2020 un basculement abrupt des universités et d’une partie de l’économie vers des modalités d’étude et de travail à distance. Le recours intensif aux technologies numériques a permis le maintien de la majorité des activités productives tout en limitant au maximum la circulation des personnes. L’enseignement et le travail dans l’espace virtuel s’inscrivent cependant dans une longue évolution des pratiques professionnelles et des modes de production. Le colloque infoclio.ch 2021 (19 novembre 2021) analyse la massification récente du travail à distance en mettant en lumière ses antécédents historiques, ses conséquences pour les institutions patrimoniales et ses effets sur l’enseignement de l’histoire.

Une première session interroge l’histoire de l’informatisation du travail. Des premiers essais de mécanisation du travail intellectuel au 19e siècle jusqu’à l’avènement des ordinateurs personnels, des premiers débats sur le télétravail dans les années 1980 jusqu’à l’économie des plateformes : des nouvelles technologies ont accompagné les transformations des pratiques et de l’organisation du travail. Trois historiennes et historiens replacent ces évolutions dans leur contexte.

L’accès à distance aux documents historiques fait l’objet de la deuxième session. La pandémie a brusquement interrompu l’accès aux institutions patrimoniales, laissant comme seule alternative la consultation en ligne de documents numérisés. Un avenir basé sur la numérisation à la demande et la consultation virtuelle des sources historiques est-il souhaitable ? Une table ronde réunissant historiennes, archivistes et spécialistes des environnements de recherche virtuels examine cette question.

La troisième session est consacrée à l’enseignement universitaire à distance. Après bientôt deux ans d’enseignement en ligne forcé, le moment est venu de tirer un premier bilan. Une table ronde avec des représentantes et des représentants des différents corps universitaire discute l’expérience de ces derniers mois, mais également le rôle des plateformes numériques dans l’enseignement et leur place dans les stratégies d’avenir des universités.

Le colloque fera l’objet d’une traduction simultanée Allemand-Français.

Inscription en ligne et programme du 19. Novembre 2021 
Le nombre de participantes et participants sur place est limité. Un certificat COVID est nécessaire pour participer. En cas d’aggravation de la situation épidémiologique, la manifestation sera déplacée sur internet.

Source : Colloque infoclio.ch 2021: Out of office. Travail à distance et sciences historiques

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Classé sous :Enseignement à distance, Humanités Digitales, Médias et technologies, Nouvelles de l'histoire

Enseignement à distance : quel bagage numérique pour nos étudiants et étudiantes universitaires?

22 mai 2021 by Lyonel Kaufmann

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A l’automne 2020, L’Université de Québec publiait cette ressource alors que les étudiants et étudiantes universitaires n’avaient pas nécessairement choisi de suivre leur trimestre à distance. Possédant des expériences et des habiletés numériques inégales, ils intègraient un environnement d’apprentissage méconnu pour plusieurs d’entre eux.

Pour lever certains mythes au regard de l’apprentissage en contexte numérique et guider le personnel enseignant et toute personne impliquée dans le soutien aux étudiants et étudiantes, l’Université de Québec avait alors conçu cette infographie interactive et évolutive pour permettre de :

  • Démystifier la compétence numérique et les raisons de soutenir son développement chez la population étudiante universitaire;
  • Reconnaître les inégalités numériques pouvant influencer la réussite des études;
  • Découvrir et partager des initiatives mises en place par des universités pour soutenir la population étudiante dans toute sa diversité.

En ce printemps 2021, elle garde toute son actualité et son intérêt.

Source : https://pedagogie.uquebec.ca/outils/lautomne-2020-distance-quel-bagage-numerique-pour-nos-etudiants-et-etudiantes-universitaires

Classé sous :Enseignement à distance

Fracture numérique des enseignant•es : 25% en grande difficulté pour Pascal Plantard #ludoviach21

2 avril 2021 by Lyonel Kaufmann

two person sitting in front of table

Après ludovia#ch21, Pascal Plantard revient dans le journal Le Monde sur l’évolution de la culture numérique des enseignant•es à la suite de la covid-19. Si l’on constate une évolution intéressante des pratique, un quart des enseignant•es est en très grande difficulté.

De tous les débats qui agitent les « salles des profs », celui sur l’utilisation du numérique compte parmi les plus clivants, opposant souvent « anciens » et « modernes ». La crise sanitaire a-t-elle contraint les enseignants à faire leur mue numérique ?

Nos données de 2019 – antérieures au Covid-19, donc – montraient qu’un quart des enseignants était acculturé aux technologies numériques, qu’une moitié en faisait un usage simple, et qu’un quart n’en faisait pas (ou très peu) usage. L’enquête de 2020 a révélé que les 50 % médians ont basculé vers une utilisation bien plus importante du numérique. Parmi leurs motivations, la crainte de perdre le contact avec les élèves est citée prioritairement.

Reste un quart d’enseignants en vraie difficulté. S’il est très difficile de savoir ce qui se passe dans leurs classes, on identifie chez eux des « conflits de légitimité » : l’évolution rapide, forcée de leur métier les paralyse.

Source : Pascal Plantard, anthropologue : « A la faveur de la crise, parents et enseignants ont connu un rapprochement inédit »

Classé sous :Enseignement à distance, Ludovia, Opinions&Réflexions, Publications

Comment surmonter la « fatigue du Zoom » ?

25 février 2021 by Lyonel Kaufmann

macbook pro displaying group of people

Sam Blum propose sur Lifehaker un résumé d’un intéressant article sur les principales raisons de la fatigue engendrée par l’accumulation de vidéoconférences depuis le début de la pandémie ainsi que quelques recommandations pour la diminuer.macbook pro displaying group of people
Blum reprend ainsi des éléments d’une étude récente de chercheurs de Stanford, publiée dans la revue Technology, Mind and Behavior. Selon cette dernière, la « fatigue du Zoom » est essentiellement ce à quoi elle ressemble. Elle résulte de la tension accrue de maintenir des connexions à distance par le biais du canal vidéo et elle conduit à l’épuisement, au stress et à la monotonie au travail.

Jeremy N. Bailenson, auteur de cette étude, met en évidence quatre raisons de cette fatigue propre à la vidéoconférence :

  • Un contact visuel intense est fatiguant.
  • Se regarder pendant les chats vidéo est fatigant. Se regarder dans une réunion ne fait qu’augmenter l’anxiété de performance.
  • Avec les sessions en vidéo, nous bougeons moins au détriment de notre bien-être mental.
  • Les indices non verbaux sont plus difficiles à interpréter. Cela conduit à une « surcharge cognitive ».

Pour combattre la « fatigue du Zoom », Bailenson offre quelques solutions :

– Pour le contact visuel : Le chercheur recommande de ne pas utiliser le réglage plein écran.

– Pour la conscience de soi : Il n’est pas vraiment nécessaire de laisser votre caméra allumée à chaque réunion. Si vous devez garder votre caméra allumée, Bailenson recommande de régler vos paramètres de manière à ne voir que l’autre personne sur l’écran.

– Pour la mobilité : Bailenson recommande de vous procurer une autre caméra que vous pourrez relier à votre flux afin de pouvoir continuer à vous déplacer, et peut-être de vous présenter en position debout si vous le souhaitez. Un autre recours est d’éteindre à nouveau votre caméra et de porter des écouteurs bluetooth, afin de pouvoir vous promener dans votre maison ou votre appartement.

– Pour l’anxiété liée aux indices non verbaux : éteindre votre caméra fonctionne aussi bien, mais pour la renforcer encore, le chercheur recommande d’écouter la réunion loin de votre ordinateur.

Sources :
– Blum, S. (2020) How to Overcome ‘Zoom Fatigue’. Lifehaker, 24 février.
– Bailenson, J. N. (2020). Nonverbal Overload: A Theoretical Argument for the Causes of Zoom Fatigue. Technology, Mind and Behavior. Volume 2, Issue 1, DOI: 10.1037/tmb0000030. Lien : https://tmb.apaopen.org/pub/nonverbal-overload/release/1

Classé sous :Enseignement à distance

L’évolution de l’enseignement supérieur : 5 tendances mondiales à surveiller

22 février 2021 by Lyonel Kaufmann

laptop on gray table

Salesforce.org propose une 5 tendances mondiales à surveiller relativement à l’enseignement supérieur.
L’enseignement supérieur a connu des changements considérables au cours de la pandémie COVID-19.
Pour Salesforce, face à l’incertitude, il est devenu évident que les établissements ayant déjà investi dans les technologies numériques sont plus agiles et plus résistants. Par exemple, les communautés en ligne ont permis à 30 % des étudiant•es de se sentir plus connectés avec les autres étudiant•es pendant cette période.
A partir des principales données de Global Higher Education Research Snapshot et en partenariat avec la société d’études de marché Ipsos, Salesforce a identifié les nouvelles attitudes et priorités de 2 200 étudiants et personnels de l’enseignement supérieur dans le monde.
Pour comprendre l’évolution du paysage de l’enseignement supérieur, l’enquête explore cinq grandes tendances : la connexion, la confiance, le bien-être, la flexibilité et la carrière.


1. La communication aide les étudiant•es à se sentir connectés
Dans une période d’isolement typique, 75 % des étudiant•es voulaient recevoir des mises à jour hebdomadaires (ou même plus fréquentes) sur la pandémie.

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Pourquoi ? Ces communications régulières des établissements aident en fait les étudiant•es à se sentir plus proches et plus connectés que les années précédentes.
Ce précieux sentiment d’appartenance se manifeste de plus en plus à travers les communautés en ligne et d’autres canaux numériques, mais les institutions ont encore une grande marge de manœuvre pour se développer dans ce domaine.


2. La pandémie a-t-elle brisé la confiance ?
La pandémie a aggravé les écarts de confiance qui existent entre les dirigeants, les étudiant•es et le personnel des universités. Cela peut être dû en partie à un manque de ressources fournies pendant les restrictions imposées par la COVID-19.
Les attentes des étudiant•es vont des équipements de protection individuelle tels que les masques/le désinfectant pour les mains aux plans d’intervention transparents COVID-19. Les étudiant•es attendent également de leurs universités une myriade de ressources pour les aider à se mettre à l’aise.


3. Jongler avec les préoccupations relatives au bien-être
Des mois d’enfermement et de distanciation sociale persistante ont, à juste titre, bouleversé l’expérience universitaire des étudiant•es.
Cette situation est encore aggravée par divers problèmes de bien-être, allant des angoisses financières à la difficulté de jongler avec les responsabilités familiales.

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Cette incertitude affecte également les projets d’avenir des étudiant•es : 60 % d’entre eux sont préoccupés par la recherche d’un emploi après l’obtention de leur diplôme. Ils-elles veulent être préparé•es à la réussite professionnelle dans tous les domaines, mais seule une poignée d’entre eux-elles disposent des ressources appropriées.
Le bon côté des choses, c’est qu’une telle demande offre aux institutions la possibilité de fournir un soutien au bien-être plus personnalisé par le biais des canaux numériques d’abord.


4. Les étudiant•es sont attiré•es par l’apprentissage en ligne
Comme la pandémie semble créer de nouveaux défis de jour en jour, de nombreux-ses étudiant•es recherchent des options plus flexibles pour savoir quand et comment elles-ils apprennent.

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La bonne nouvelle ? Il y a déjà des preuves de ce changement. Plus de la moitié (57 %) du personnel déclare que son établissement investit dans de nouvelles modalités ou sources de revenus pour attirer de nouveaux-elles étudiant•es, notamment des options d’apprentissage plus flexibles.


5. Des incertitudes subsistent quant aux projets d’avenir
Les changements économiques amènent plus de la moitié (51 %) des étudiant•es à reconsidérer leurs projets d’études. En outre, parmi les personnels qui s’attendent à une augmentation des inscriptions d’apprenants adultes, une majorité pense que celle-ci sera due à des besoins de réorientation ou d’amélioration des compétences influencés par la pandémie dans ce climat.

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Cette incertitude affecte également les projets d’avenir des étudiant•es : 60 % d’entre eux-elles sont préoccupé•es par la recherche d’un emploi après l’obtention de leur diplôme. Elles-ils veulent être préparé•es à la réussite professionnelle dans tous les domaines, mais seule une poignée d’entre eux-elles disposent des ressources appropriées.

Source : The Evolution of Higher Education: 5 Global Trends To Watch

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Formation à distance : évitez de sombrer dans la « technofolie » !

28 janvier 2021 by Lyonel Kaufmann

black laptop computer on brown wooden table
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La tentation – mais aussi souvent la pression – d’utiliser une foule d’outils technologiques pour capter et maintenir l’attention des étudiants ou faciliter la collaboration est souvent très forte, mais elle a ses mauvais côtés.

Louis-Etienne Dubois, Ryerson University

Alors qu’un autre semestre universitaire virtuel se profile à l’horizon – le deuxième, voire le troisième pour certains depuis le début de la pandémie – la fatigue et la baisse de satisfaction envers ce format à distance semblent de plus en plus senties, de part et d’autre de l’écran.

D’un côté, il y a des étudiants inquiets de la qualité des cours reçus, mais surtout en manque de la vie de campus et associative. De l’autre, des enseignants à bout de souffle ou à court de moyens, poussés du jour au lendemain à changer leurs pratiques et à animer leurs classes depuis la maison.

Au-delà des impacts purement pédagogiques, c’est aussi la question de la santé mentale de tous qui inquiète aujourd’hui. Ayant personnellement dû donner cours en ligne à plus de 250 étudiants de premier cycle universitaire au cours des dernières semaines, j’ai été à même de vivre ces enjeux et de ressentir toutes les limites de ce nouveau mode d’enseignement.

Éviter la technofolie

La tentation – mais aussi souvent la pression – de dégainer une foule d’outils technologiques pour arriver à capter et maintenir l’attention des étudiants ou faciliter leur collaboration est souvent très forte. Certes, l’idée de donner un cours en direct sur Twitch ou dans un monde fictif sur Minecraft, et de poursuivre la discussion sur Discord ou sur Slack peut paraître stimulante. Mais, dans ce contexte particulier, l’enseignant fait parfois davantage figure d’influenceur web que d’expert académique.

Ces choix technologiques confrontent aussi les enseignants à des limites, tant logistiques qu’humaines. Que dire aux étudiants, nombreux, qui accèdent à ces contenus depuis leur téléphone portable et donc à même leurs données cellulaires, ou encore à ceux qui ne possèdent pas encore un ordinateur et une connexion Internet assez performante ? Que faire des étudiants qui doivent partager leur espace de travail avec le reste de la famille, qui ne maîtrisent pas d’emblée ces différents outils ou qui doivent apprendre à manipuler une panoplie d’applications différentes pour chacun de leurs cours ?

Ces questions illustrent aussi le risque très réel de créer de nouvelles barrières à l’inclusion en matière d’enseignement. Ainsi, avant de mobiliser pareille quincaillerie, il importe de s’attarder sur la capacité des étudiants à bien s’en saisir, mais aussi aux enseignants de s’y former suffisamment pour en tirer une expérience d’apprentissage positive. Plus important encore, c’est là aussi l’occasion d’appréhender d’autres modes d’enseignement à distance, et enfin s’extirper de cette vision qui passe par toujours plus d’outils et par la surstimulation.

Une approche plus humaine

Et si une des réponses aux enjeux de l’enseignement à distance passait surtout par un retour à l’essentiel et la mise en place de contextes moins « technos » et plus humains ?

Dans leurs travaux sur l’économie de l’expérience, dans laquelle la valeur créée est fondée sur l’expérience des « invités », les consultants Joseph Pine et Jim Gilmore expliquent que les expériences dites « esthétiques » proposent simplement un cadre dans lequel les participants sont invités à adopter une posture contemplative. L’expérience vise alors l’harmonie des sens et l’atteinte d’une sorte de plénitude individuelle. La visite d’un musée, une expérience dans laquelle les gens déambulent, s’assoient sur un banc et se perdent dans leurs pensées en est un exemple. Elle contraste fortement avec une expérience de divertissement comme un spectacle de musique ou un parc d’attractions. C’est l’éloge de la lenteur, d’une stimulation non technologique plus subtile, mais tout aussi prenante.

Ce genre d’appel en faveur d’une approche pédagogique plus lente et informelle n’est pas nouveau. D’ailleurs, l’idée de diminuer la cadence, ou d’élaguer un tant soit peu le contenu pour en faciliter la rétention sans pour autant en affecter la qualité gagnait lentement du terrain bien avant la pandémie.

Surveiller ses arrières !

Ainsi, au lieu d’employer un énième outil collaboratif durant un cours sur Zoom, pourquoi ne pas simplement instaurer une ambiance propice à la réflexion grâce à un décor chaleureux, un peu de nature, une œuvre à regarder ou une musique plaisante à écouter ?

De même, pourquoi ne pas ouvrir les salles virtuelles plus tôt, ou les fermer plus tard, afin de permettre à ceux et celles qui en ont envie d’échanger dans un cadre plus informel. Pourquoi ne pas envoyer le contenu à l’avance de manière à profiter de ces moments dits « synchrones » pour interagir et injecter un peu de chaleur humaine ?

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Offrir des cours en baladodiffusion ou transmettre les évaluations via un support audio permet non seulement de se reposer les yeux, mais offre aussi plus de flexibilité quant au moment et à l’endroit où consulter ce contenu.
Shutterstock

Enfin, il est possible de valoriser les stimulus autres que visuels afin de permettre aux étudiants de prendre congé de leurs écrans ne serait-ce qu’un bref instant. Le simple fait d’enregistrer des épisodes de baladodiffusion ou encore de transmettre les évaluations via un support audio permet non seulement de se reposer les yeux, mais offre aussi plus de flexibilité quant au moment et à l’endroit où consulter ce contenu. L’occasion est aussi venue de redécouvrir les charmes d’une simple conversation téléphonique, au lieu d’une autre vidéoconférence.

Puisque ce mode d’enseignement virtuel est appelé à perdurer à tout le moins jusqu’à l’automne ou l’hiver prochain et à jouer un plus grand rôle dans les cursus universitaires au sortir de la pandémie, il n’est pas trop tard pour imaginer des modes d’engagements plus soucieux des contraintes de chacun.

Selon Pine et Gilmore, toute bonne expérience se doit d’ailleurs d’être pensée en fonction du contexte plus large dans lequel elle s’inscrit. Ainsi, plutôt que de s’en remettre à nouveau à l’équivalent du cours magistral en ligne, gardons en tête les contraintes du moment et imaginons des cours qui permettent de varier les contextes dans lesquels on s’y plonge, que ce soit près du feu ou même sous la couette !The Conversation

Louis-Etienne Dubois, Assistant Professor, School of Creative Industries, Faculty of Communication and Design, Ryerson University

This article is republished from The Conversation under a Creative Commons license. Read the original article.

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Spreitenbach: Un paradis du shopping ou la porte des enfers? – Blog du Musée national suisse

24 mars 2025 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

En 1975, l’Association suisse des instituteurs publia le panneau scolaire n°167. Celui-ci montre une vue aérienne de la commune de Spreitenbach, dans la vallée de la Limmat. Ou plus précisément de la ville nouvelle de Spreitenbach, «Neu-Spreitenbach», avec son centre commercial entouré d’un immense parking rempli de voitures aux couleurs vives et son imposant quartier […]

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Dans le Japon de la fin du XVIe siècle : «Assassin’s Creed Shadows» sort enfin.

23 mars 2025 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

La série vidéoludique des «Assassin’s Creed» d’Ubisoft comprend désormais un nouvel opus, situé dans le Japon de la fin du XVIe siècle. Les enjeux financiers de cette sortie sont importants pour la société Ubisoft en grande difficulté actuellement. Elle y jouerait son avenir. «Assassin’s Creed Shadows» est d’autant plus attendu que sa sortie a été […]

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Max Weber. Une vie mouvementée dans une époque agitée – Blog Musée national suisse

22 mars 2025 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Cet article du Blog du Musée national suisse nous offre un portrait de Max Weber, socialiste suisse, pacifiste puis défenseur de la défense nationale devant la montée des fascismes, brillant économiste qui fut également Conseiller fédéral. Un destin intéressant et singulier que je vous invite à lire. Plus on s’intéresse à Max Weber et à […]

Tirés de nos archives

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Exposition Ibn Khaldoun (lien)

4 décembre 2007 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

La figure d’Ibn Khaldoun Site de l’exposition consacrée en 2007 à Ibn Khaldoun qui a été l’un des plus grands intellectuels musulmans et appartenait à une famille hispano-musulmane établie dans la province de Séville. (tags: Histoire IbnKhaldoun)

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Sac de plage : Le goût de l’archive à l’ère numérique | Projet éditorial

15 juillet 2018 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Frédéric Clavert (frederic.clavert@uni.lu) et Caroline Muller (caroline.muller@univ-reims.fr) nous présente l’objet de leur projet éditorial dont vous pouvez suivre la passionnante élaboration en ligne. Concernant l’origine du projet, voici la discussion collective initiale autour d’un tweet. Un passionnant working progress qui se lit comme un roman policier. A tester à la plage ?! « En 1989, Arlette Farge publie […]

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Un général, des généraux : les coulisses du putsch d’Alger du 13 mai 1958 et le retour de de Gaulle sur un air d’opéra-bouffe

14 juin 2022 Par Lyonel Kaufmann 1 commentaire

Le retour aux affaires de l’Homme du 18-juin a perdu depuis longtemps son aura providentielle. Le scénario d’Un général, des généraux bâti par Nicolas Juncker se fondant strictement sur les faits, il fallait trouver un angle saillant pour conter l’arrivée du messie de Colombey à l’Elysée, précédée du grand cirque de ses apôtres algérois et […]

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“Avec cette lettre cesse le jeu et commence l’indéfendable. Supprimer la formation des maîtres, placer ces nouveaux maîtres “dans des classes”, attendre que certains d’entre eux s’effondrent, et leur signifier par courier hiérarchique que “les élèves ont le droit d’avoir devant eux des enseignants compétents” et que le cas échéant ils feraient mieux “de démissionner”, est une stratégie managériale ayant effectivement déjà fait ses preuves, et dont l’avantage est de révéler à ceux qui l’ignoreraient encore l’étymologie du mot “cynisme”. Comme des chiens. Vous avez, “messieurs qu’on nomme grands”, merveilleusement contribué à l’enrichissement de l’horizon sémantique du cynisme : ce qui était au départ le seul mépris des convenances sociales, désignera désormais également le total et absolu mépris de l’humain.”

14 octobre 2010 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Lettre à Laurence |OWNI

A l’école des jeux de rôle: des gymnasiens dans le quotidien des Romains – Le Temps

4 novembre 2019 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

L’atelier «Qvotidie» propose aux élèves romands de résoudre une enquête dans la Rome antique, un jeu de rôle pédagogique qui complète et rafraîchit les méthodes d’enseignement. Reportage du journal Le Temps au Gymnase Provence à Lausanne. « D’un point de vue pédagogique, «le jeu touche aux compétences transversales du plan d’études romand: collaboration, communication, stratégie d’apprentissage, pensée […]

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France : les nouveaux programmes scolaires bousculent le collège

14 avril 2015 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Après les rythmes scolaires, l’éducation prioritaire, le collège… c’est une réforme majeure que la gauche engage sur le terrain de l’école : celle des programmes, censée entrer en vigueur à la rentrée 2016. Lancée en 2013 par Vincent Peillon, la première version de cette «refonte» de l’école a été remise à la ministre de l’éducation, Najat Vallaud-Belkacem, […]

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Revue de Presse : Le témoignage exceptionnel du seul déporté volontaire à Auschwitz | Libération

9 avril 2014 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Witold Pilecki témoigne à Varsovie le 3 mars 1948 (Photo PAP. AFP) Varsovie. 19 septembre 1940. Un officier de réserve polonais, Witold Pilecki, se fait volontairement rafler par les Allemands et interner à Auschwitz pour y tisser un réseau de résistance: «Le Rapport Pilecki», à paraître en avril, livre le témoignage exceptionnel de ce héros […]

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