Portrait vidéo des membres de la délégation vaudoise, invitée d’honneur de la 12e édition de l’Université d’été de Ludovia à Ax-les-Thermes du 24 au 26 août 2015
Merci à toutes et tous pour votre participation ! A bientôt.
Du 24 au 26 août, la HEP Vaud est l’invitée d’honneur de la 12e édition de Ludovia, université d’été dédiée à l’utilisation des technologies en éducation, à Ax-les-Termes en Ariège. Compte-rendu de la troisième journée.
Grand moment pour Anne Andrist et ses élèves, ils participent depuis la Suisse à l’atelier des #Twictonautes et leurs #Twoutils. Depuis Ludovia, les participants à ce FabCamp ont la possibilité de produire et découvrir les démarches pédagogiques et didactiques de la communauté #twictée.
C’est ensuite à la pédagogie Freinet d’être à l’honneur en ExplorCamp, Nadine Giauque et Denis Baeriswyl présentent « Classes en acte : Correspondance scolaire et projets à distance à l’ère du numérique », voir le résumé.
Entre 11h00 et 13h00, Cécile Pache, de l’Université de Lausanne, est au commande de « Dans l’atelier de l’eTalk ou quand l’auteur devient éditeur », voir le résumé. Les Humanités Digitales sont ainsi à l’honneur.
Cécile Pache tout en décontraction pendant son atelier.
Nicole Durisch Gauthier en pleine discussion animée.
Dans la dernière ligne droite de Ludovia, Morgane Chevalier et les robots Thymio font leur retour :
Morgane Chevalier explore les usages pédagogiques du robot Thymio II , voir le résumé.
Sous le regard amusé de Christian Fantoli.
Pour sa part, Florence Quinche intervient au colloque scientifique lors de la session «Appropriations et détournements dans les usages numériques». Sa communication s’intitule «Détourner la robotique pour concevoir des activités créatives», voir le résumé.
Florence Quinche durant sa communication.
Pour conclure cette édition de Ludovia, les blogueurs attribuent leurs coups de coeur :
Pour ma part, je récompense Thierry Gobert pour l’ensemble de ses contributions lors de cette édition notamment sa disponibilité et la clarté de son intervention lors du colloque scientifique.
Thierry Gobert
Cette édition se termine en apothéose pour la HEP Vaud avec deux coups de coeur. Le premier est attribué à Morgane Chevalier :
Le second est pour Denis Badan :
Plutôt dans la journée, le recteur et moi-même étions interviewé par Eric Fourcaud pour tirer un bilan de la participation de la HEP Vaud à #Ludovia12 :
Fin… ou presque.
Depuis le début des années 80, le réalisateur Edgar Reitz raconte l’histoire de l’Allemagne à travers une fresque monumentale, “Heimat”. Retour sur une œuvre qui a fait ressurgir un passé largement occulté.
https://www.youtube.com/watch?v=ff11q5_mlE0
En bouclant le troisième opus de sa saga Heimat en 2004, Edgar Reitz croyait avoir mis un point final à une fresque monumentale retraçant l’histoire politique, sociale et culturelle de l’Allemagne du XXe siècle. Après avoir raconté la vie d’une petite ville de Rhénanie, de 1919 au début des années 2000, après plus de cinquante heures de cinéma et plus de trente ans de travail, le réalisateur allemand affirmait vouloir prendre “congé de ses personnages”. On ne le reprendrait plus à sillonner les villages rhénans.
Peine perdue. Dix ans plus tard, Edgar Reitz, 81 ans, est devant Les Inrocks, cardigan et chemise soignée, dans un hôtel parisien près de la place de l’Etoile, pour évoquer son nouveau film. Son nom ? Heimat évidemment. Mais, le réalisateur allemand y tient, “ce n’est pas un prologue ni un épilogue, c’est une autre histoire”. Le film se déroule à nouveau dans la région du Hunsrück, mais Edgar Reitz remonte à une période précédant l’unité allemande de 1871. Heimat – Chronique d’un rêve et Heimat – L’Exode relatent l’histoire d’un village de paysans pauvres du XIXe siècle partagés entre leurs rêves d’émigrer au Brésil et la soif de libertés nouvelles née des idées de la Révolution française.
Lire la suite : Les Inrocks – Heimat, l’œuvre qui a réconcilié les Allemands avec leur Histoire
100 ans après le déclenchement de l’extermination des Arméniens dans l’empire ottoman, il convenait de réfléchir à sa représentation dans la bande dessinée. La publication récente de deux albums sur le sujet est l’occasion pour Laurent Mélikian, qui a dirigé l’un de ces livres, de répondre aux questions de Cases d’Histoire. Journaliste et critique de bandes dessinées, il a collaboré à L’Événement du Jeudi, BoDoï, L’Écho des Savanes. Français d’origine arménienne par son grand-père paternel, il est cofondateur d’un festival de bande dessinée en Arménie.
Laurent Mélikian voit la BD comme un outil pédagogique :
Par ailleurs je crois à la bande dessinée en tant qu’outil pédagogique. Varto, Le fantôme arménien et d’autres œuvres peuvent être utilisés par des enseignements pour aborder le génocide des Arméniens en classe. À ce chapitre, j’ai participé avec le scénariste Laurent Galandon et l’historienne Laure Piaton à l’exposition itinérante « Surtout n’en oubliez aucun, regards dessinés sur les génocides », produite par le Centre du patrimoine arménien de Valence. À partir d’un corpus d’une vingtaine de bandes dessinées, l’exposition explique les spécificités et les points communs de l’élimination des Juifs, Tsiganes, Arméniens, Cambodgiens et Tutsi. Tous les jours nous voyons malheureusement à quel point il est urgent de mieux informer particulièrement les jeunes sur ces drames.
(Via Le génocide arménien en BD : dialogue avec Laurent Mélikian | Cases d’Histoire)
Du 24 au 26 août, la HEP Vaud est l’invitée d’honneur de la 12e édition de Ludovia, université d’été dédiée à l’utilisation des technologies en éducation, à Ax-les-Termes en Ariège. Compte-rendu de la deuxième journée.
Animée par Jennifer Elbaz, la deuxième journée de la HEP Vaud et surtout celle de Christian Fantole débute de bonne heure la matin avec la Table ronde consacrée aux ressources numériques.
Christian Fantoli lors de la table ronde.
Lors de cette table ronde, Christian Fantoli a l’occasion de présenter l’ENT made in Suisse, j’ai nommé Educanet2 et la Banque de Ressources Pédagogiques des enseignants vaudois (BRDP). Cette dernière permet aux enseignants de mutualiter leurs ressources. Après 30 ans, une nouvelle base a été initiés en 2014 sur la base de la théorie du don et du contre-don (Marcel Mauss). Le seul contrôle repose sur les question des droits d’auteur.
La synthèse de cette table ronde par Christophe Batier et Jennifer Elbaz :
En fin de matinée débutaient les Explorcamps sous le thèmes «Ressources, jeux et contenus». C’était pour moi, l’occasion de présenter l’enseignement de la Révolution française avec Youtube.
© Photo Ludovia
Dans l’après-midi, Florence Quinche présentait un FabCamp consacré à la création d’un livre numérique multimédia avec des tablettes.
Florence Quinche en action.
Un peu plus tard, Nicole Durisch Gauthier et Christine Fawer Caputo présentaient, en ExplorCamp, « L’eTalk : quelles applications de ce nouvel outil de publication multimédia dans l’éducation ? ». Le résumé : http://www.ludovia.com/2015/07/letalk-quelles-applications-de-ce-nouvel-outil-de-publication-multimedia-dans-leducation/
Nicole Durisch Gauthier et Christine Fawer Caputo
Avant le BarCamp et l’Auberge espagnole, la première table ronde de Ludovia consacrée à la formation des enseignants et initiée par Sylvie Joublot-Ferré, démarrait.
Sylvie Joublot-Ferré avait le redoutable honneur d’être en compagnie de Catherine Becchetti-Bizot, directrice du numérique pour l’éducation ministère de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche.
La synthèse de cette table ronde rédigée par François Jourde et moi-même : http://www.ludovia.org/2015/table-ronde-3-formation-des-enseignants-au-numerique/
A l’heure de l’auberge espagnole, l’Etivaz amené par le recteur fit fureur.
Un recteur heureux de sa deuxième journée…
A noter encore les interventions de Christian Fantoli et de Gabriel Parriaux («Comment mettre en place un projet 1 élève 1 tablette en prenant en compte les avancées de la recherche?») et de Florence Quinche («Apprendre avec les jeux vidéos, découvrir et tester des jeux sur tablettes») en Explorcamp, celle de Bernard Baumberger lors de la table ronde consacrée aux ENT.
Gabriel Parriaux
A suivre…
« Sauf exception, vous et moi, on ne fréquente pas les mêmes types. Mes potes sont dangereux : ils pensent toujours en avance des autres. Vous croyez que je dis ça parce que je vis en banlieue et que j’y suis prof ? Pas du tout. Pour vous, Montaigne, par exemple, c’est un vieux mort il y a des siècles, qui parle dans un langage qu’on ne comprend pas et dont on n’a rien à fiche. Pour moi, c’est un gars qui en a, parce qu’il faut en avoir, au XVIe siècle, pour braver la censure, risquer l’exil ou la mort, regarder autrement que tout le monde, et déclarer face à un Indien exhibé par le roi que c’est pas de la marchandise, c’est un humain. Ils sont comme ça, mes potes. Ils s’appellent Aristote, La Boétie, Molière, Voltaire, Victor Hugo, Robert Desnos, Prévert ou Camus. Y’en a même des vivants : Schmitt, Pennac, Abd Al Malik, Daoud… Mon boulot, c’est de faire le “truchementˮ, le passeur d’art entre eux et la centaine d’ados qu’on me confie tous les ans depuis plus de vingt ans. »
Marie-Sandrine Lamoureux, la prof de français de banlieue qui voulait faire la paix:
RENTRÉE – On pourrait croire que c’est un aveux de faiblesse, c’est en fait un tour de force. Parce qu’elle ne cesse de douter, parce qu’elle se trompe parfois, Marie-Sandrine Lamoureux nous fait avancer. Un prof, ça sert à quoi? Après vingt ans d’enseignement, il lui est toujours impossible de répondre à cette question. « Et heureusement », précise-t-elle.
Après un passage remarqué sur Canal+ en janvier dernier pour parler de laïcité sur le plateau du Grand Journal, elle a écrit pendant trois mois un livre témoignage après le choc des attentats de janvier. Son point de départ, les questions que ces attentats ont soulevées parmi ses élèves et les réactions qu’elle a entendu ici et là sur le rôle de l’école à ce moment charnière de notre histoire. Je ne capitule pas est sorti ce jeudi 27 août aux éditions Don Quichotte. Au fil des quelque 300 pages, il est question de ce à quoi l’école ressemble, d’un espace libre, ouvert et qui tente d’évoluer grâce à tous ceux qui travaillent en son sein.
(Via L’actu sur Le HuffPost)
Internet n’a pas augmenté le plagiat chez les étudiants:
Le préjugé est répandu : Internet, ses encyclopédies en ligne, ses millions d’articles et sa culture du copier-coller aurait grandement facilité le plagiat académique. Une mauvaise réputation que bat en brèche une récente étude américaine, publiée dans le Journal for Academics Ethics. Elle affirme que le plagiat était plus répandu avant l’ère numérique qu’aujourd’hui.
Afin de vérifier son hypothèse, l’auteur de l’étude, David Ison, assistant professeur d’aéronautique à l’université d’aéronautique Embry-Riddle de Floride (Etats-Unis), a sélectionné au hasard 184 travaux de doctorat publiés avant l’année 1994 et 184 après 2010. Les résultats sont étonnants. Environ la moitié des dissertations de chaque groupe contenait des passages plagiés.
Ce qui fait pencher la balance en faveur du groupe post-2010, c’est l’analyse réalisée par Turnitin, le logiciel de référence dans la traque au plagiat. Selon celle-ci, l’indice de similarité qui indique la proximité entre deux textes, était plus important (14,5 %) pour les dissertations du groupe pré-1994 que pour celles du groupe post-2010 (12,3 %).
(Via www.lemonde.fr)
Du 24 au 26 août, la HEP Vaud est l’invitée d’honneur de la 12e édition de Ludovia, université d’été dédiée à l’utilisation des technologies en éducation, à Ax-les-Termes en Ariège.
«Numérique & éducation, entre appropriations & détournements», tel est le thème de cette 12e édition de l’université d’été Ludovia. L’objectif de cette édition: mettre en lumière toutes les formes d’usages «conformes» (non détournées) ou «non-conformes» (détournées) du numérique dans les classes; les usages «détournés» ou non qui expriment toute la diversité créative des enseignants et des élèves, de tout horizon et de tout niveau.
Sous la conduite du recteur de la HEP Vaud, Guillaume Vanhulst, une délégation de 15 personnes s’est déplacée à Ludovia. Cette délégation est composée de formatrices et de formateurs de la HEP issus de l’UER Médias et technologies de l’information et de la communication, de l’UER Sciences humaines et sociales et de l’UER Pédagogie spécialisée.
Cette édition de Ludovia sera l’occasion pour les membres de la délégation de partager leurs travaux avec l’ensemble des personnes impliquées, à un titre ou à un autre, dans la promotion et l’analyse des changements en cours au sein des systèmes éducatifs. De ce point de vue, l’Université d’été Ludovia, en ce qu’elle rassemble l’ensemble des professionnels du domaine dans une approche multidisciplinaire, représente, aux yeux de la HEP Vaud, une occasion unique de tisser des liens avec celles et ceux qui sont concernés par l’appropriation des développements du numérique dans les systèmes éducatifs et au-delà.
Pour cette première journée, il a appartenu à Bernard Baumberger d’ouvrir les feux pour la HEP Vaud avec son intervention lors du colloque scientifique:
Bernard Baumberger, Morgane Chevalier: Rôle de l’explication de l’enseignant sur la compréhension des fonctionnements de base du robot «Thymio II» chez l’enfant de 7-9 ans. Le résumé.
Sous le regard bienveillant de ses collègues
Ensuite, dans le cadre de la visite des stands partenaires par les officiels, Morgane Chevalier et Denis Badan étaient sur le pont.
Morgane Chevalier avec le robot Thymio II
Denis Badan présentait la radiobox et schoolcast
L’arrivée des officiels aux stands
Denis Badan présente la radiobox aux officiels
Un public ravi suit les explications de Morgane Chevalier sur le robot Thymio II
Lors de la table ronde d’ouverture, ce fut au tour du recteur, Guillaume Vanhulst, de porter les couleurs de la HEP Vaud.
Guillaume Vanhulst à la table ronde d’ouverture « Les politiques publiques face à l’appropriation et le détournement dans le numérique éducatif » en compagnie de Pascale Luciani-Boyer, membre au CNNumérique, Jean-Marc Merriaux, Directeur Canopé, et Martin Malvy, Président de la Région Midi-Pyrénées.
A suivre…
L’utilisation des TIC est rapidement chronophage. Et si on y remédiait, à l’aide de Sofia Coppola (Marie-Antoinette) à Lady Gaga en passant par la série Gossip Girl : L’élite de New York, en récupérant des productions sur YouTube pour les intégrer à son enseignement de l’histoire et en prenant en compte la culture médiatique de nos élèves? Le tout en prenant soin de développer la pensée historique chez ces derniers.
Cet ExplorCamp est axé sur les aspects pédagogiques et didactiques d’une intégration de médias numériques en histoire sans omettre quelques aspects techniques (récupération de vidéos ou minis projets d’élèves publiés sur YouTube).
Le numérique permet aux enseignants de disposer de ressources facilement récupérables et utilisables en classe. Ces ressources permettent à l’enseignant de se préoccuper de l’organisation de sa séquence d’enseignement et des apprentissages à faire réaliser par ses élèves plutôt qu’à créer lui même du contenu et des ressources didactiques.
Relation avec le thème de Ludovia#12Par le biais d’objets issus de la culture médiatique des élèves et de productions de l’industrie des médias, les élèves sont amenés à développer leur propre regard sur ces objets et à développer leur pensée historique. Ils développent notamment la question des différents points de vue en histoire.
Du côté des enseignants, une telle démarche les amènent à utiliser tous les aspects médiatiques de films de fiction et à réfléchir sur les activités signifiantes à proposer à leurs élèves. Tout en travaillant des dimensions historiques au moyen du film de fiction, ils sont amenés à intégrer une éducation aux médias.
A la suite de la journée organisée par le ministère de l’éducation en avril 2015, (http://eduscol.education.fr/cid90065/le-marche-des-objets-communicants-les-jeux-et-l-education.html) sur le thème « Le marché des objets communicants, les jeux et l’éducation », Bruno Devauchelle s’interroge, dans son dernier billet, sur la place de la « consommation » dans l’éducation.
S’il y a fort longtemps déjà l’enseignement recevait les marchands d’informatique en leur disant : si les élèves utilisent votre matériel ils seront prescripteurs pour les entreprises dans lesquelles ils travailleront, la situation est désormais autre et l’école de prescriptrice et devenue suiviste (et encore…). Certains s’en réjouissent. Or, comme l’indique Bruno Devauchelle, il y a plutôt à s’inquiéter de ce décalage de plus en plus important qui s’installe entre l’école et la société :
L’école ne serait plus prescriptrice mais suiviste. Au-delà des marchés, de la consommation, cibles faciles mais nécessaires, il y a plus généralement le décalage qui s’est creusé entre l’école et la société. Les promoteurs du retour à l’ancien temps heureux savent-ils qu’à l’époque l’école était bien la prescriptrice d’un ordre social et que la forme sociale était une suite logique de la forme scolaire ? Et pourtant s’ils analysaient ce fait, alors ils auraient une autre vision de l’école que celle qu’ils promeuvent. A moins qu’ils ne préfèrent ce retour en arrière pour tenter de restaurer cette force prescriptrice, mais pour prescrire quoi ? Car la force de l’école depuis sa création c’est que sa prescription était ancrée dans les réalités sociales du moment, sur l’ordre et la hiérarchie de l’école. Mais depuis tout ce temps bien des choses ont évolué, et pas uniquement le numérique, mais pour reprendre les trois premiers chapitres de « Petite Poucette » de Michel Serres ou encore « Deux pouces et des neurones » de Sylvie Octobre, un ensemble d’éléments qui font que les réalités sociales ont largement changé. Or l’école n’a pas modifié sa forme et a continué sur sa logique initiale de massification qui avait fait son succès jusqu’à la fin des trente glorieuses (1975).
Pour Devauchelle, c’est peut-être l’occasion de s’interroger sur les fondements de l’école et du système éducatif et envisager de questionner plus simplement le fait de « faire société » et pas seulement de « vivre ensemble ». Il envisage que ceci soit possible malgré le fait que l’école soit aujourd’hui soumise aux forces du marché, de la consommation et de l’argent, autrement dit une école sous influence de la société libérale de marché. Personnellement, j’en doute…
Pour prolonger la réflexion, je vous invite à lire deux textes qui ne sont pas en lien avec la question de la technologie en milieu éducatif, mais qui posent certaines questions qui, notamment avec la pseudo-économie du partage à la mode Uber ou Airbnb, doivent nous interpeller sur la manière de «faire société» et donc de faire ensuite école :
(Via De l’enfant consommateur à l’école consommatrice et prescriptrice | Veille et Analyse TICE)