Résultats de la recherche pour : Génocide
Le petit curieux propose à ses élèves d’enrichir leur cours sur le colonialisme à travers quelques vidéos trouvées sur le net. Il nous propose ainsi une sélection comportant: Zoos humains, de Pascal Blanchard et Eric Deroo (2002) Le roi blanc, le caoutchouc rouge et le sang noir, de Peter Bate (2004) Namibia, genocide and the 2nd Reich, documentaire de la BBC (2005) Afrique 50, de René Vautier (1950) L’ennemi intime, de Florian Emilio Siri (2007) La bataille d’Alger, de Gillo Pontecorvo (1966) Pour chaque film, nous disposons d’une présentation synthétique de celui-ci ainsi que d’un extrait vidéo issu de youtube, dailymotion ou google video.
TV5 revient via ce reportage sur le génocide perpétré il y a quinze ans au Rwanda. Déjà quinze ans…
Astérion Les génocides et l’état de guerre
La définition du mot « génocide » est, depuis son invention, un problème de vocabulaire qui recouvre un problème historique, de sorte que l’on ne sait plus trop, du mot ou de la chose, ce qu’il convient d’élucider : l’application du mot à des événements non comparables, le sens du terme « génocide », à l’étymologie hybride et à la date de naissance très située, l’usage du mot lui-même de préférence à d’autres expressions à disposition, l’ambiguïté entre inscription juridique et inscription historique du terme, ou encore sa compréhension exclusivement historique, appliquée à un, deux, trois ou quatre époques dramatiques du xxe siècle. Je ne chercherai pas à m’introduire dans le débat sur la définition du terme, j’essaierai de lui trouver une place dans la philosophie politique, place qui ne peut être qu’heuristique et provisoire. À cet effet je confronterai la notion de génocide à celle qui constitue une nébuleuse non élucidée autour du terme, c’est-à-dire à la notion de guerre.
Les génocides dans l’histoire : compléments documentaires, par Peggy Pierrot et Olivier Pironet (Le Monde diplomatique)
Les génocides dans l’histoire : compléments documentaires, par Peggy Pierrot et Olivier Pironet (Le Monde diplomatique)
« Les génocides dans l’histoire », Manière de voir, numéro 76, août-septembre 2004.
Mémoire, négation et oubli : de la Shoah au génocide arménien, du passé colonial à la folie des Khmers rouges.
Voir aussi, les articles traitant de ce thème sur histoire.lyonelkaufmann.ch: Génocide
« Les génocides dans l’histoire », Manière de voir, numéro 76, août-septembre 2004. Mémoire, négation et oubli : de la Shoah au génocide arménien, du passé colonial à la folie des Khmers rouges. Voir aussi, les articles traitant de ce thème sur histoire.lyonelkaufmann.ch: Génocide
"Un acte honteux. Le génocide arménien et la question de la responsabilité turque"
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Taner Akçam est un historien turc, enseignant au Center for Holocaust and Genocide de l'Université du Minnesota. Avec son ouvrage «Un acte honteux. Le génocide arménien et la question de la responsabilité turque», il est le premier chercheur turc a assumé ce qui s'est passé en 1915: le génocide arménien. Son travail permet de répondre positivement à la question: "Avons-nous des preuves d'une planification centrale et déterminée des autorités ottomanes visant la destruction totale ou partielle du peuple arménien?".
"Un acte honteux. Le génocide arménien et la question de la responsabilité turque", de Taner Akçam : un crime contre l'Histoire – Livres – Le Monde.fr
Taner Akçam est un historien turc, enseignant au Center for Holocaust and Genocide de l'Université du Minnesota. Avec son ouvrage «Un acte honteux. Le génocide arménien et la question de la responsabilité turque», il est le premier chercheur turc a assumé ce qui s'est passé en 1915: le génocide arménien. Son travail permet de répondre positivement à la question: "Avons-nous des preuves d'une planification centrale et déterminée des autorités ottomanes visant la destruction totale ou partielle du peuple arménien?".
Programme d'Etude sur le Génocide | Yale University
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Ce Programme de l’Université de Yale conduit des recherches, séminaires et conférences sur les questions comparatives, interdisciplinaires et politiques qui se rapportent au phénomène des génocides passés ou présents. Site en français.
Colombie-Britannique : Faut-il enseigner l’histoire des réfugiés palestiniens ?
En Colombie-Britannique, les enseignants jouissent d’une liberté importante sur la matière enseignée, ayant la possibilité de sélectionner parmi une liste de sujets recommandés pour enseigner des enjeux comme la discrimination ou les droits de la personne.
L’objectif de la démarche est d’inclure la situation du peuple palestinien comme sujet suggéré dans le programme scolaire, au même titre que l’apartheid en Afrique du Sud, le génocide au Rwanda ou l’internement des Japonais au Canada durant la Deuxième Guerre mondiale, afin de mieux outiller les enseignants.
Se jugeant peu outillé pour parler du conflit israélo-palestinien à l’école, un groupe d’enseignants de la Colombie-Britannique milite pour ajouter l’histoire des réfugiés palestiniens, dont l’exode de Palestiniens (ou Nakba), au programme scolaire. L’opposition qu’ils ont rencontrée illustre toutefois la polarisation qui entoure cette question historique.
De son côté, la ministre de l’Éducation, Rachna Singh, a refusé de se prononcer sur l’inclusion de la Nakba dans le programme scolaire.
Je laisse cela aux enseignants, a-t-elle dit. Je m’attends à ce qu’ils utilisent leur jugement professionnel pour enseigner ces questions complexes et sensibles.
La ministre a ajouté que, selon elle, les enseignants sont correctement outillés à l’heure actuelle.
Lire l’article complet : Faut-il enseigner l’histoire des réfugiés palestiniens à l’école? | Radio Canada