- Pour Dan Cohen, la migration de nombreux blogueurs vers le micro-blogging loin d'être une plaie a l'avantage de permettre de renouveler le genre ou de retrouver ses formes initiales axées sur la gestion de contenu personnel. C'est ainsi que des blogs bien rédigés concurrencent-ils d'autres formes de publications notamment académiques. J'avoue que cette vision est séduisante et que je partage largement.
- La Fondation Mac Arthur vient de livrer les résultats d’une imposante étude qualitative sur la pratique des nouveaux médias par les jeunes. Ce projet de recherche sur la jeunesse numérique a rassemblé sur 3 ans plus de 28 chercheurs et s’est intéressé aux pratiques de plus de 800 jeunes.
Selon les conclusions de l’étude Vivre et apprendre avec les nouveaux médias, le temps que les adolescents et les jeunes adultes passent en ligne, sur MySpace ou sur leur messagerie instantanée, n’est pas une perte de temps, mais leur permet de grandir, de mûrir. Compte-rendu détaillé de cette enquête par Hubert Guillaud.
- La crise économique que nous vivons suit le cercle vicieux classique étudié il y a longtemps par Keynes : les anticipations pessimistes des ménages et des entreprises renforcent encore la dépression qui les avait rendus pessimistes. La sortie de crise passe elle aussi par Keynes : ce n'est pas la dépense privée mais bien la dépense publique qui permettra de rompre ce cercle vicieux. Denis Clerc revient sur la théorie keynésienne des anticipations.
Médias et technologies
Comment les jeunes vivent-ils et apprennent-ils avec les nouveaux médias ? | InternetActu.net
La Fondation Mac Arthur vient de livrer les résultats d’une imposante étude qualitative sur la pratique des nouveaux médias par les jeunes. Ce projet de recherche sur la jeunesse numérique a rassemblé sur 3 ans plus de 28 chercheurs et s’est intéressé aux pratiques de plus de 800 jeunes.
Selon les conclusions de l’étude Vivre et apprendre avec les nouveaux médias, le temps que les adolescents et les jeunes adultes passent en ligne, sur MySpace ou sur leur messagerie instantanée, n’est pas une perte de temps, mais leur permet de grandir, de mûrir. Compte-rendu détaillé de cette enquête par Hubert Guillaud.
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L'Actu historique (04.12.2008)
- Les programmes de formation reposent en grande partie sur la progression du simple au complexe. Le recours à la notion de ‘programmation’ est d’ailleurs lourd de sens dans le cadre d’un système scolaire. Or, on remet sérieusement en doute cette linéarité. Une étude révèle que des élèves à qui on présente d’abord des problèmes complexes sont plus aptes à trouver des solutions originales que ceux qui progressent du simple au complexe.
- Isaac Asimov est un des grands auteurs de science fiction avec son cycle de Fondation. Ce récit décrivant un futur imaginaire est fortement ancré dans l’histoire romaine, puis byzantine. Ce billet fait le point sur les emprunts du cycle avec des épisodes de l’histoire romaine.
- Lady Oscar conte les aventures romanesques d’une aristocrate travestie sous le règne de Louis XVI jusqu’aux débuts de la Révolution. C’est ce personnage fictif qui est au centre de l’intrigue dont certains ont une lecture royaliste quand chez d’autres elle est franchement républicaine. (Carole Jouenne). Le site « Révolution française » nous offre des liens vers des épisode du dessin animé diffusés sur YouTube.
Comme un air d'Attentat de Sarajevo…
- Comme un petit air d’attentat de Sarajevo: «New Dehli, qui n’envisage pas d’action militaire contre le pays voisin, exige qu’Islamabad lui livre une vingtaine d’islamistes. Les autorités pakistanaises, elles, réclament des preuves de leur implication»
Pour en finir avec la théorie d'un Adolf Hitler à une seule couille | Rue89
- Comme il serait plus agréable de penser qu’Hitler était un «anormal» souffrant de troubles sexuels, physiques ou moraux, le peuple allemand et une bonne partie de la société européenne seraient ainsi absous du «pêché» antisémite ayant conduit à l’extermination du peuple juif. Ron Rosenbaum revient pour Rue89 sur le retour de la légende urbaine d’un Hitler diminué sexuellement par la présence d’un seul testicule. L’article est basé sur l’adaptation d’un article publié par le magasine américain « Slate ».
Mondialisation et capitalismes | Histoire et science politique
- Compte-rendu d’ouvrage. «La crise que nous traversons est souvent présentée comme celle du capitalisme anglo-saxon de marché. Assiste-t-on aujourd’hui à la fin de l’hégémonie de cette forme de capitalisme ? Écrit au début de la crise des subprimes aux États-Unis, La guerre des capitalismes aura lieu offre une mise en perspective lumineuse de la crise actuelle et des hypothèses stimulantes sur le monde dans lequel nous serons amenés à vivre.» L’ouvrage prend en compte les évolutions récentes et adopte un point de vue européen. Sa thèse s’oppose à celle du choc des civilisation à la Huntington pour se rapprocher de la vision du conflit des impérialismes, élaboré avant 1914 (Hobson, Lénine).
- L’un paraît plongé dans ses archives, quand l’autre élabore concepts et analyses de longue durée. La Fabrique interdisciplinaire nuance cette opposition entre l’historien et le politiste. Leurs pratiques de recherche peuvent converger en dépit de nombreux obstacles institutionnels et professionnels. L’ouvrage permet de s’interroger sur les conditions, les intérêts et les limites de l’interdisciplinarité. Le compte-rendu de celui-ci conclut: «Construire un savoir interdisciplinaire, c’est donc chercher un point d’accord entre des divergences conceptuelles, des exigences méthodologiques différentes et de multiples rivalités professionnelles. La Fabrique interdisciplinaire offre un bon exemple de ce que pourrait être ce point d’accord.»
Les crimes de guerre de la Wehrmacht en Italie (La vie des idées)
- Pourquoi les crimes commis par les soldats allemands contre les civils italiens pendant la Seconde Guerre mondiale n’ont-ils jamais été jugés ? Alors qu’un projet de procès existait, l’historien Michele Battini explore les raisons de ce qu’il nomme un « oubli judiciaire ». Son enquête illustre les difficultés et les ambiguïtés de la justice internationale. Bien loin de l’image réductrice d’une simple « justice de vainqueurs », l’étude de Michele Battini révèle toute la complexité de la justice internationale de 1945-1947 et invite à une relecture historique en termes de gestion de sortie de guerre et de « justice transitionnelle »
Commémorations 14-18 | Cartes heuristiques | WordPress
- Une partie du fond photographiques du magasine Life est disponible sur Google Images. A titre d’exemple, les photographies relatives à la Première Guerre mondiale et parues dans le magasine. Vous pouvez faire une recherche par mots-clés, par décennie ou par photographe (encore faut-il les connaître) par exemple Robert Capa ou Dorethea Lange. En cliquant sur une photographie, on est dirigé sur une page comprenant les références de la photographie. Il est aussi possible d’acheter ces clichés qui ne sont pas libres de droits (utilisation, reproduction, diffusion). A voir, ne serait-ce que pour le plaisir des yeux.
- Le site Histoire de bloguer propose 12 exemples d’utilisation des cartes heuristiques de la 6e à la 3e (de la 6e à la 9e en Suisse romande) permettant aux élèves de vérifier leur compréhension d’une leçon. Une manière intéressante de travailler sur l’apprendre à apprendre. Les fichiers sont au format .pdf.
- Retour sur le quatre-vingt-dixième anniversaire du renversement de l’Empire allemand (ça changera sur le 90e anniversaire de l’amistice). Le 9 novembre 1918, une première république était fondée en Allemagne.
- En quelques années, WordPress.org s’est imposé comme l’un des logiciels libres de référence pour procéder à l’installation et à la gestion d’un blog au quotidien. Voici une sélection de 50 tutoriels gratuits WordPress (WordPress.com et WordPress.org) à télécharger. Cette sélection sera très utile pour une utilisation et une installation de Worpdress dans un cadre éducatif.
«14-18, le bruit et la fureur» ou le retour en 2008 du bourrage de crâne
Lors de la sortie du livre de Prost & Winter [Prost A. et Winter J. (2004). Penser la Grande Guerre. Un essai d’historiographie. Paris: Points Histoire, 340p], les historiens de l’école du consentement (Historial de Péronne) se plaignaient de l’attitude du public à leur égard et de la production cinématographique qui selon eux faisaient uniquement la part belle à leurs adversaires de l’école de la contrainte (CRID):
Dans les bandes dessinées de Tardi comme dans les films de Jean-Pierre Jeunet (Un long dimanche de fiançailles) ou de Christian Carion (Joyeux Noël), l’équipe de l’Historial perçoit les signes de son inexorable défaite. […] « Ceux qui nous critiquent ne sont pas nombreux et leurs travaux m’intéressent peu, prévient Annette Becker. […] Pour le public, il est plus facile de croire que nos chers grands-parents ont été forcés de faire la guerre par une armée d’officiers assassins. Heureusement, j’ai la chance de travailler avec des collègues étrangers, loin de ces petites querelles franco-françaises… »
In 1914-1918, guerre de tranchées entre historiens (Le Monde, 10.03.2006)
Tout ceci alors que
« D’un point de vue institutionnel, Becker et Audoin-Rouzeau sont archidominants. Ils refusent le débat, et ne dialoguent qu’avec les morts… Sur ’14-18′, ils contrôlent non seulement les manuels scolaires, mais aussi les sujets d’agrégation et la bibliographie qui va avec. Et puis ils s’adossent à une puissante structure : l’Historial dispose de moyens importants pour financer des bourses, des colloques et une revue internationale… En termes de budget, y’a pas photo ! », affirme Philippe Olivera [membre du CRID].
In 1914-1918, guerre de tranchées entre historiens (Le Monde, 10.03.2006)
Rageant, non? Pas forcément dans la mesure où ainsi qu’en témoignait Bruno Cabanes, professeur associé à l’université Yale (Etats-Unis) et membre du courant du consentement:
Chez certains jeunes, il y a une identification spectaculaire avec les soldats de la Grande Guerre. »
In 1914-1918, guerre de tranchées entre historiens (Le Monde, 10.03.2006)
Il ne restait plus, pour ces historiens officiels, qu’à trouver le moyen de renverser la vapeur. Les commémorations des quatre-vingt-dix ans de l’armistice leur en ont fourni l’occasion avec la réalisation et la diffusion de «14-18, le bruit et la fureur», produit télévisuel labellisé « documentaire historique» et qui devrait trouver ainsi une place de choix dans la mallette des enseignants. Pour parvenir à leur fin et rendre le produit attrayant à l’intention des jeunes téléspectateurs de ce début du XXIe siècle, ils disposent des ingrédients suivants :
- Annette Becker, historienne du Mémorial, fournit la caution scientifique à cette production télévisuelle ;
- une débauche d’effets techniques aux effets marketings et communicationnels garantis : colorisation d’images d’archives, sonorisation de ces mêmes archives muettes et intégration d’extraits de films de fiction ;
- une construction fictionnelle au travers d’un narrateur omniscient en voix-off présenté comme un poilu traversant sans dommage l’entier du conflit ;
- un texte très littéraire et un ton où le familier et l’émotionnel dominent.
Cette manière de scénariser, de narrativiser l’histoire du conflit mondial n’est pas sans rappeler la démarche suivie pour l’Odyssée de l’espèce, série controversée de France 3 consacrée à la préhistoire. Au final, «14-18, le bruit et la fureur» est un produit séducteur, mais à l’honnêteté intellectuelle plus que douteuse, une machine au service d’une propagande digne des plus belles réalisations du bourrage de crâne d’alors.
Observons-le maintenant d’un peu plus près. Pour vous mettre en situation, je vous propose de visionner la présentation de ce documentaire par le journal télévisé de France 2 :
Le script et son décodage:
Dans un premier temps le journaliste met l’accent sur l’exceptionnalité du document au travers des prouesses techniques (colorisation, sonorisation), le commentaire en voix-off lance le slogan suivant : « La guerre comme vous ne l’avez jamais entendue ». Il insiste : chaque plan a été sonorisé.
Ainsi la qualité de ce documentaire viendrait non pas des sources elles-mêmes, mais des prouesses techniques qui aujourd’hui colorisent et sonorisent des images d’archives. Une telle entrée en matière occulte
- qu’à aucun moment dans ce documentaire, il n’est procédé à un travail relativement à la nature, l’identification et la contextualisation des sources utilisées alors que 25 personnes étaient chargées de coloriser les images, aucune n’a été chargée de légender les séquences… ;
- que seuls les extraits des films de fiction sont identifiés par leur titre et leur date de sortie ;
- que nous ne disposons d’aucune image authentique des combats de 1914-1918 ;
- qu’il n’y a aucune raison historienne de coloriser ces images ;
- le fait que les sons ou les dialogues ont été inventés pour l’occasion.
En définitive, les images ne servent que d’illustration aux propos du narrateur, poilu imaginaire, et ce soi-disant documentaire historique n’est qu’une œuvre de fiction de plus, un roman à thèse à la forme picturale particulière, mélange d’images colorisées, de quelques-unes en noir blanc et d’extraits de films de fiction.
L’intention n’en est pas moins de faire croire au spectateur que ceci est « vrai », plus vrai en tout cas que tous les films de fiction consacrés à la guerre de 1914-1918 pour zapper ces derniers. Il serait intéressant de faire une analyse plus fine de ce documentaire pour repérer des scènes qui, sous une forme ou sous une autre, font écho à la scène d’un film de fiction. Ainsi, lorsque le film s’attèle à l’épisode de l’offensive du Chemin des Dames, il y a un commentaire du narrateur relativement aux officiers d’Etat-major, présentés comme indifférents au sort de la troupe, et les images nous montrent la cour d’une splendide bâtisse où trônent les voitures rutilantes de ces officiers. Une scène comparable figure dans le film de Stanley Kubrick, les Sentiers de la Gloire.
La présentation du documentaire s’attache ensuite au commentaire qui accompagne les images :
« Pour la première fois, c’est un poilu imaginaire comme le soldat inconnu qui nous raconte ces quatre ans de tranchée en images d’archives colorisées. »
Un poilu tellement imaginaire qu’il est improbable. Ce narrateur est omniscient, l’exact inverse de Fabrice à Waterloo, et capable de nous parler de sa vie quotidienne, de ses sentiments tout en étant au courant des considérations stratégiques de l’Etat-major et nous fournissant des informations statistiques en temps réel sur le conflit. Le tout dans une langue digne d’Apollinaire et de Céline ainsi que le démontre l’extrait suivant de la vidéo :
« On mange de la boue, on dort gluant et on vit glaise comme si on portait tout debout et déjà ouvert notre cercueil.»
Néanmoins il est curieusement moins omniscient pour nous parler de la reproduction en termes militaires de la hiérarchie sociale et des considérations de classe. De même, il reste très largement collé à l’évocation militaire et l’offensive du Chemin des Dames, par exemple, n’est que le fait d’officiers présomptueux, coupés de la troupe, mais rien ne relie la décision de Nivelle de pousser l’infanterie sous le feu des canons avec l’approbation tacite de Clémenceau ou de Poincaré. Point non plus d’arrêt sur la participation des peuples colonisés à l’effort de guerre. Il y a des absences, des silences qui sont éloquents.
Par ailleurs, l’incise ci-dessus permet au reportage de France 2 d’introduire le propos qui sous-tend l’entier de l’entreprise et c’est désormais Jean-François Delassus, le réalisateur, qui endosse le propos, la thèse du documentaire. Tout d’abord il indique qu’il s’agit pour le téléspectateur d’avoir
« L’impression d’être à côté des poilus, en face d’eux, […] comme une mouche sur le mur. Il va partager leur vie. […] Moi si j’avais eu entre 18 et 45 ans, j’aurais été là à sa place et en quoi j’aurais supporté ce qu’il a vécu ? Il s’agit de comprendre comment ce poilu imaginaire a pu supporter cela et au nom de quelles valeurs »
Pour plus de sûreté, Delassus fournit directement la réponse. Deux valeurs ont porté cette guerre : la haine et la patriotisme. Un deuxième extrait tiré de la voix off soutient ce propos du réalisateur et exalte le sang
«Je ne veux pas passer sous silence une transe qui est aussi une jouissance. La tuerie soulage la haine.»
Ce faisant est éliminé ainsi du champ de vision du téléspectateur toute autre dimension de l’attitude des poilus pendant et après ce conflit. Le dispositif retenu forme ainsi un écran à toute autre compréhension notamment celle du pacifisme, dans l’entre-deux-guerres, des survivants. Par une magnifique pirouette également, et par une contradiction remarquable alors qu’on a sonorisé des archives muettes de gens qui ne sont plus là pour se défendre, c’est le soldat inconnu, par essence muet, qui zappe les témoignages des survivants et notamment des deux dernier d’entre eux Lazare Ponticelli, très clair lui dans son rejet de la guerre et de l’inutilité de celle-ci («En 1914, je me suis engagé») ou Louis de Cazenave, dernier combattant ayant connu le «Chemin des Dames» :
« La guerre ? Hay hay hay ! Un truc absurde, inutile ! A quoi ça sert de massacrer des gens ? Rien ne peut le justifier, rien ! »
« La gloire, l’héroïsme ? De la fumisterie ! »
« Le patriotisme ? Un moyen de vous faire gober n’importe quoi ! »
Plus fort de café encore, cette interprétation du conflit est présentée par le réalisateur comme novatrice, révolutionnaire et sortant de l’historiquement correct :
« En réalité ce conflit a été accepté, a été consenti par la troupe et par l’arrière. Cette vision de la guerre de 14-18 est révolutionnaire, elle est radicalement différente. Elle sort de l’historiquement correct. »
Nous nageons ainsi en pleine malhonnêteté intellectuelle tant en fonction de la chronologie des questionnements historiographiques du conflit (l’école du consentement étant antérieur à l’école de la contrainte) que dans le statut des courants historiographiques, car s’il y a un « historiquement correct »— une vision officielle— c’est celle de l’école du consentement et donc les chercheurs de l’Historial de Péronne !
Ressources complémentaires :
- Historiograpnie Première Guerre mondiale : https://lyonelkaufmann.ch/histoire/historiographie_sujets/pages/_29.html
- Décédé, Lazare Ponticelli fait basuler la Grande Guerre dans l’Histoire
Sur les images tournées pendant la Première Guerre mondiale, un « vrai » documentaire existe : L’héroïque cinématographe (2003) de Laurent Veray et Agnès de Sacy, DVD 50 minutes, Quark Productions. Deux articles pour l’accompagner
- http://www.cndp.fr/Tice/Teledoc/mire/mire_heroiquecine.htm avec des propositions d’utilisation avec les élèves ;
- Un compte-rendu des Clionautes : http://www.clionautes.org/spip.php?article1611
Comment citer les publications en ligne
- Billet très utile sur la manière de citer ses sources relativement à des publications en ligne.