Près de 200.000 survivants de la Shoah vivent en Israël. Mais près d’un quart d’entre eux vivent sous le seuil de pauvreté et presque la moitié souffre de solitude.
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Près de 200.000 survivants de la Shoah vivent en Israël. Mais près d’un quart d’entre eux vivent sous le seuil de pauvreté et presque la moitié souffre de solitude.
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Pour chaque discipline, il est suggeré quelques éléments de différenciation en regard aux quatre dispositifs, soit les contenus, les structures, les processus et les productions.
Voici un aperçu de ce qui est proposé pour les Sciences humaines et sociales (Univers social au Québec) :
Vous trouverez sur le site le document original au format .pdf.
Via www.differenciation.org
Le 16 Avril 1862, le président Abraham Lincoln promulgue la loi du Congrès autorisant l’émancipation des personnes réduites en esclavage à Washington, DC, et la compensation monétaire de leurs propriétaires par le Trésor américain. 150 ans plus tard, les Archives nationales américaines marquent cet anniversaire en réalisant et diffusant la courte vidéo ci-dessous.
Ce premier acte précède de huit mois la proclamation d’émancipation de Lincoln qui a libéré les esclaves dans les États rebelles. L’émancipation de toutes les personnes asservies à travers les États-Unis n’a pas eu lieu avant l’adoption du 13e amendement à la Constitution en 1865.
Dans ce documentaire, l’archiviste Damani Davis examine les pétitions déposées par des propriétaires et des personnes asservies en vertu de la Loi et les détails qu’ils révèlent sur les esclaves communauté afro-américaine de l’époque. L’archiviste Robert Ellis explique comment le processus a fonctionné. Et Kenneth Winkle, professeur d’Histoire américaine à l’Université de Nebraska-Lincoln, explique comment le nouveau site de l’Université consacré à la guerre de Sécession de Washington (www.civilwardc.org) mettra les pétitions à la disposition des chercheurs.
Ce site propose une série de courtes vidéos autour des « Questions essentielles de l’histoire des Etats-Unis » (en anglais). Des historiens s’expriment tels Christopher Brown sur l’esclavage, Edward L. Ayers sur la Guerre de Sécession ou Pauline Maier au sujet de la Révolution américaine.
Sur le même site, on trouve une liste de 163 questions se rapportant à l’histoire des Etats-Unis : http://www.gilderlehrman.org/history-by-era/resources/essential-questions-teaching-american-history
Tout simplement impressionnant et remarquable.
La République des Lettres désigne depuis la Renaissance un espace virtuel qui transcende les entités territoriales et réunit les lettrés européens à travers des traces écrites et des rencontres autour de valeurs communes, rendues possibles grâce à une langue européenne commune, le latin.
L’université de Stanford a construit la carte interactive de ce premier réseau social de l’histoire.
Ce site nous offre ainsi un autre regard sur la Renaissance et l’Humanisme.
Et si Denys le Petit, ce moine du VIème siècle à qui l’on doit l’invention de l’ère chrétienne, avait choisi d’adopter l’ère de la Passion et non celle de l’Incarnation pour faire débuter notre ère? Alors notre chronologie s’en trouverait décalée de 33 ans.
« A ce jeu, le XIXème siècle perd les guerres napoléoniennes, la Restauration, Stendhal, Hegel, Goethe, Keats, Byron, qui tous rejoignent un très convaincant siècle des Lumières. Celui-ci comprend enfin le romantisme : Rousseau, Chateaubriand et Musset se situent du même côté de la cassure, sans qu’il soit nécessaire aux exégètes de l’histoire littéraire d’ergoter interminablement. Evidemment, ce que le XIXème siècle perd d’un côté, il le récupère de l’autre : la Grande guerre bien entendu … et du côté culturel : Joyce, Proust, Kafka, Schoenberg, Freud, Einstein. Ainsi décalé d’un tiers, le XIXème siècle devient le grand siècle moderniste et révolutionnaire, englobant largement 1848 et 1917, faisant la part belle aux avant-gardes politiques et esthétiques »
Patrick Boucheron dans L’entretemps (135 pages, 13 euros, Verdier),
via Patrick Boucheron, un historien qui bouscule les siècles | La république des livres.
Difficile d’enseigner par les temps qui courent. Il faut dire que le temps court à la vitesse de l’électron. L’enseignant (Loys Bonod, Lycée Chaptal à Paris) qui a piégé ses élèves en fabriquant de faux corrigés afin d’établir de manière magistrale et éclatante qu’ils ne savent pas travailler sans internet a moins prouvé la tricherie des élèves que mis en évidence la date de péremption des exercices demandés.
Je lis et entends depuis quelques jours des gens qui s’indignent, qui s’irritent même face aux jeunes supposément «ruinés par les réseaux sociaux». Ils ciblent leur désarroi en lien avec leur manque d’intérêt pour la formation académique et la culture savante, leur emprisonnement dans une culture de masse qui serait aussi pauvre que désolante. Il faudrait peut-être les inviter à se familiariser avec le concept de Cultural Studies!
Plaidoyer pour une rencontre entre la culture populaire et la culture élitiste |
Le lancement cette année de l’iPad 3, et quelques semaines plus tôt, de la version 2 de l’application iBooks a marqué la volonté d’Apple de prendre part à l’environnement scolaire.
WorldWideLearn, une société spécialisée dans les nouvelles technologies de l’éducation, vient de proposer un aperçu infographique de ce qu’Apple a réellement réalisé dans le domaine scolaire.
L’infographie est très intéressante, tend à l’objectivité et suscite la réflexion.
L’incidence d’Apple sur les manuels scolaires numériques | ActuaLitté
Les éditions hier + jetzt annoncent la publication du troisième volume de l’Histoire de la Société suisse de radiodiffusion, consacré à la période 1983 à 2011.
Le troisième volume existe également sous forme d’une application Apple consultable sur iPhone et iPad, qui propose un accès interactif aux 30 dernières années de l’histoire de la SSR via un florilège d’émissions radio et télévision ainsi que différents documents d’archives numérisés.