Un aspect méconnu qui grandit encore Gino Bartali. Le sportif toscan, éternel adversaire de Fausto Coppi, devrait être prochainement proclamé «Juste parmi les nations» par l’Etat d’Israël pour son rôle durant la Seconde Guerre mondiale. L’article retrace d’abord la carrière et la rivalité existant avec Coppi.
Nouvelles de l'histoire
Georges Duby : Le temps des cathédrales | Ina
L’INA met en ligne la collection « Le temps des cathédrales », adaptation documentaire (1980) du livre de Georges Duby sur l’art religieux au Moyen Age (2, 99 € chacun des 9 épisodes de 50 minutes).
C’est là : http://www.ina.fr/art-et-culture/beaux-arts/dossier/2367/le-temps-des-cathedrales.20090331.fr.html
Georges Duby : Le temps des cathédrales | Ina
L’INA met en ligne la collection « Le temps des cathédrales », adaptation documentaire (1980) du livre de Georges Duby sur l’art religieux au Moyen Age (2, 99 € chacun des 9 épisodes de 50 minutes).
C’est là : http://www.ina.fr/art-et-culture/beaux-arts/dossier/2367/le-temps-des-cathedrales.20090331.fr.html
Revue de presse : Humanités numériques : so what ? | La Feuille
Geoffrey Rockwell s’énervait récemment contre les critiques – un peu convenues – de Stanley Fish ou – très féroces – de Matthew Reisz à l’encontre des Humanités numériques. Les deux universitaires adressent la même critique récurrente aux Humanités numériques : elles doivent faire la démonstration de l’importance de leur contribution… Mais les universitaires installés qui mènent cette critique ne tiennent-ils pas un discours mortifère sur l’utilité des contributions aux sciences humaines ?, s’interroge Rockwell. Sur ce principe, on pourrait tout à fait demander à quoi sert l’astronomie… Ou demander des comptes à la recherche contre le cancer…
1848: quand la Suisse faisait l’admiration des peuples européens | LeTemps.ch
«Finalement, j’ai choisi 1848, qui a vu jeter les bases de la Suisse contemporaine. Parce que c’est une année enchantée, dont l’esprit d’ouverture et l’audace forment un contraste frappant avec le climat actuel. J’ai choisi 1848 pour me consoler.»
Quelle serait votre année idéale? C’est la question que le journal Le Temps a posée à six historiens. Hans-Ulrich Jost, professeur honoraire d’histoire contemporaine à l’Université de Lausanne, a choisi l’année du printemps des peuples, qui est aussi celle de la rédaction de la première Constitution fédérale.
via LeTemps.ch | 1848: quand la Suisse faisait l’admiration des peuples européens.
1848: quand la Suisse faisait l’admiration des peuples européens | LeTemps.ch
«Finalement, j’ai choisi 1848, qui a vu jeter les bases de la Suisse contemporaine. Parce que c’est une année enchantée, dont l’esprit d’ouverture et l’audace forment un contraste frappant avec le climat actuel. J’ai choisi 1848 pour me consoler.»
Quelle serait votre année idéale? C’est la question que le journal Le Temps a posée à six historiens. Hans-Ulrich Jost, professeur honoraire d’histoire contemporaine à l’Université de Lausanne, a choisi l’année du printemps des peuples, qui est aussi celle de la rédaction de la première Constitution fédérale.
via LeTemps.ch | 1848: quand la Suisse faisait l’admiration des peuples européens.
Revue de presse : Images d'archives : ce qu'elles nous racontent | Télérama
Pas un jour sans qu’un documentaire puise dans la masse surabondante des archives cinématographiques pour rappeler 1914-1918, 1939-1945, Mai 68 ou mai 1981. Prises de vues arrachées au passé, sans lesquelles on n’imagine pas évoquer les événements du XXe siècle, qui fut aussi celui du cinéma. En quoi ces images permettent-elles d’écrire l’Histoire ? L’historien du cinéma Laurent Véray, maître de conférence à l’université Paris-III Sorbonne Nouvelle, explore cette question dans un ouvrage abondamment illustré : Les Images d’archives face à l’Histoire. L’occasion pour Télérama d’aborder l’évolution et la variété des usages qu’en font cinéma et télévision.
Revue de presse : Images d'archives : ce qu'elles nous racontent | Télérama
Pas un jour sans qu’un documentaire puise dans la masse surabondante des archives cinématographiques pour rappeler 1914-1918, 1939-1945, Mai 68 ou mai 1981. Prises de vues arrachées au passé, sans lesquelles on n’imagine pas évoquer les événements du XXe siècle, qui fut aussi celui du cinéma. En quoi ces images permettent-elles d’écrire l’Histoire ? L’historien du cinéma Laurent Véray, maître de conférence à l’université Paris-III Sorbonne Nouvelle, explore cette question dans un ouvrage abondamment illustré : Les Images d’archives face à l’Histoire. L’occasion pour Télérama d’aborder l’évolution et la variété des usages qu’en font cinéma et télévision.
Revue de presse : PhotosNormandie a cinq ans – un bilan en forme de FAQ | Déjà vu
PhotosNormandie est un projet collaboratif portant sur 3044 photos historiques de la Bataille de Normandie. Il a pour but d’améliorer leurs légendes en utilisant les possibilités de la plate-forme Flickr.
Le projet boucle sa cinquième année d’activité ce 29 janvier 2012, et il apparaît presque comme un dinosaure à l’échelle de l’évolution des applications sur Internet.
PhotosNormandie est toujours bien actif et Patrick Peccatte propose dans cette note un petit bilan sous la forme d’une FAQ.
PhotosNormandie a cinq ans – un bilan en forme de FAQ | Déjà vu
Revue de presse : Gengis Khan, forgeron du monde moderne | Histoire Globale
Notre monde ne serait pas tel qu’il est sans Gengis Khan. Telle est la thèse, brutalement résumée, exposée par un certain nombre de chercheurs états-uniens, à la tête desquels chevauche Jack Weatherford avec un livre publié en 2005, Gengis Khan and the Making of the Modern World.
L’œuvre mongole fut favorablement perçue dans un premier temps. L’écrivain anglais Geoffrey Chaucer (1343-1400) consacre par exemple de longs passages de ses Contes de Canterbury à un éloge des réussites de Gengis Khan. Mais progressivement, le regard change jusqu’à faire des conquérants une «armée de sauvages assoiffés d’or, de femmes et de sang». Nouveau changement de cap dans les années 1990, avec la traduction intégrale de L’Histoire secrète des Mongols, une biographie de Gengis Khan rédigée au 13e siècle depuis l’intérieur de l’empire.
Le compte-rendu de l’ouvrage par Laurent Testot.