- Timeline of Art History (Metropolitan Museum of Art) nous guide au fil de l’histoire de l’art à l’aide de lignes de temps, d’un index et d’une liste de sujets qui couvrent 22 000 ans et toutes les parties du globe. Remarquable et fascinant.
Blog
M078 – Quatrième séance (14.11.2006)
Organisation, dates et thèmes des séminaires
– Distribution du planing des séances à partir du 28 novembre 2006
– thèmes des séminaires et dates de présentation
– consignes relatives au travail à effectuer
– délai d’inscription au séminaire
Fichier :
– Consignes séminaires (.doc)
– Agenda des séances – 2e partie du semestre (.doc)
La pensée historique
Suivant les sous-groupes travail autour de la notion du temps tel que prévu dans la troisième séance (détail sous troisième séance donc)
Travail autour de la situation-problème
Consigne pour le travail de groupes
Chaque groupe reçoit un exemple de leçon sur la thématique commune (ou sur une thématique proche) et dispose de 45 minutes.
Dans un premier temps, chaque groupe a pour tâche :
– d’analyser la leçon proposée selon la grille d’évaluation de la page 54 du polycopié (aidez-vous de la théorie sur la situation-problème contenue dans les pages 35 à 44 du polycopié et de l’annexe 6 de la page 48) ;
– de proposer des remédiations, si cela est possible et souhaitable, pour que la leçon ainsi amendée corresponde mieux au schéma idéal de la situation-problème.
Chaque groupe désigne un rapporteur qui, après avoir présenté succinctement l’exemple de leçon, rendra compte des réflexions et suggestions du groupe.
Dans un deuxième temps, chaque groupe reprend sa problématique, voire sa planification provisoire, et propose le plan d’une situation-problème sur le modèle de ce qui a été présenté ci-dessus.
Un second rapporteur présentera au rétroprojecteur un schéma expliquant les étapes de cette situation-problème, comme celui de la page 42 du polycopié.
Document complémentaire: Problème ouvert – problème fermé(format .doc)
M157 – Film & Histoire (7.11.2006)
Consignes
Pour vous aider dans votre tâche, vous pouvez partir des pages de Film & Histoire. La bibliothèque / médiathèque de la HEP est également à votre disposition
Des documents complémentaires sont également à votre disposition.
Durée de l’activité : 1h30.
Fiche signalétique (rubrique) :
1. Titre du film et réalisateur
2. Pays, année, durée
3. Thèmes d’histoire possibles
4. Autour du film
a. Le réalisateur
b. Le scénario
c. L’accueil critique / Le contexte de sortie
5. Analyse du film
a. Le récit
b. Partis pris point de vue
6. La séquence choisie
a. Titre de la séquence, chapitre du DVD, minutage vidéo…
b. Justification, intérêt
c. Activité d’élèves proposées
i. autour des images
ii. autour du son
iii. support pour les élèves
iv. consignes
7. Documents complémentaires (images, textes, graphiques, objets…)
a. Choix de 2/3 sources historiques complémentaires à utiliser dans un deuxième temps
Pour trouver ces documents complémentaires, vous pouvez notamment suivre la démarche initiée dans ce billet : Comment faire pour trouver rapidement des informations afin d’élaborer mon cours d’histoire
(Guillaume Roduit)
M078 – Troisième séance (07.11.2006)
Réaliser une activité d’élèves à l’aide d’un document.
Consignes pour le travail en sous-groupes
Selon les thématiques choisies pour votre AD, chaque groupe a la tâche de:
– Reformuler sur le transparent, si besoin est, les problématiques proposées ;
– Imaginer des activités à proposer aux élèves dans le cadre des problématiques déterminées auparavant
o en utilisant les documents apportés selon la consigne de l’interséance,
o en les intégrant dans une leçon selon le schéma d’une séquence d’apprentissage à la page 22 du polycopié
Chaque groupe produira, sur une feuille qui sera remise au formateur, une planification sommaire de la séquence d’apprentissage.
Chaque groupe rédigera, sur le transparent remis, au moins une consigne complète d’activité à l’intention des élèves.
Vous avez 30 à 40 minutes à disposition !
Travailler à l’aide de la taxonomie des objectifs de Bloom
Consignes pour le travail en sous-groupes
Chaque groupe reçoit une consigne rédigée précédemment par un autre groupe et a pour tâche d’évaluer l’activité proposée.
Pour évaluer cette activité, vous procéderez en deux étapes :
1. Vérifiez si la consigne correspond à un énoncé opérationnalisable selon le point 1.2 de la grille d’évaluation de la page 34 du polycopié (vous pouvez également vous aider des pages 56 et 57 du polycopié) ;
2. Déterminez le degré de complexité intellectuelle de l’activité proposée selon les niveaux taxonomiques identifiés par Bloom (aidez-vous du tableau de la page 55 du polycopié).
Vous avez 30 minutes pour préparer par écrit vos réponses !
Travailler la notion du temps avec les élèves
Consignes pour le travail en sous-groupes
En reprenant les activités que le groupe a proposées lors du premier exercice de la matinée, vous avez pour tâche :
– de déterminer si les activités en question permettent de travailler la notion de temps selon les entrées proposées dans le schéma de la page 32 du polycopié
– d’imaginer au moins deux autres activités permettant de travailler la notion de temps selon d’autres entrées du schéma de la page 32
Expliquez en quelques mots en quoi les activités proposées permettent un travail sur la chronologie, la causalité, le changement,…
Vous avez 20 minutes pour préparer les éléments de réponse qu’un rapporteur présentera au groupe.
Usages politiques du passé en France (publication et compte-rendu)
En septembre 2003, un colloque était organisé à Paris par le Centre d’Histoire sociale sur le thème des Usages politiques du passé dans la France contemporaine. Aujourd’hui, deux ouvrages rendent compte de la richesses des interventions :
Collectif, Usages politiques du passé dans la France contemporaine (2006). Presses universitaires de Provence, coll. «Le Temps de l’histoire».
• Vol. 1, sous la dir. de Claire Andrieu, Marie-Claire Lavabre, Danielle Tartakowsky, «Politiques du passé», 264 p.
• Vol. 2, sous la dir. de Maryline Crivello, Patrick Garcia, Nicolas Offenstadt, «Concurrence des passés», 298 p.
Les thèmes abordés par les différentes contributions sont très larges et diversifiés. Des utilisations de l’Histoire par les présidents de la République, on passe à celles qui en sont faites par des mouvements régionalistes. Un détour est possible par des événements devenus des références nationales françaises. De même sont interrogés des faits douloureux de la mémoire collective française, comme la Guerre d’Algérie, l’esclavage ou la Première Guerre mondiale. Mais d’autres usages du passé sont examinés comme la Légion d’honneur ou l’Internet. Les usages de l’Histoire faits dans l’enseignement ne sont pas oubliés. Cette centration sur la France n’empêche donc pas un intérêt pour les enseignants ou historiens suisses.
D’autant que l’actualité ne cesse de montrer que l’Histoire constitue un enjeu politique important. Les remous principalement en Suisse allemande autour du Rapport Bergier et de son emploi en classe, la question du génocide des Arméniens ou la sortie en France du film Indigènes en sont quelques exemples récents.
On lira donc avec intérêt le compte-rendu de ces deux ouvrages effectués pour les Clionautes par Frédéric Stévenot.
Je terminerai à l’aide de la conclusion faite par Frédéric Stévenot dans son compte-rendu :
« Les Usages politiques du passé dans la France contemporaine constituent un ouvrage destiné e priorité à un public averti, étudiants ou enseignants. On peut aussi le considérer comme un outil de réflexion pour le citoyen soucieux de décoder les manifestations historiques les plus banales, en apparence, en l’aidant à découvrir les enjeux servis derrière la façade festive. Ce citoyen averti peut aussi être à l’occasion un enseignant, sollicité fréquemment pour participer qui à des reconstitutions, à des cérémonies commémoratives, qui à la visite de lieux reconstitués, qui au visionnement de films à caractère historique… Chacun pourra donc trouver matière à prendre le recul critique nécessaire et indispensable avant de s’engager, seul ou, pis encore, avec sa classe. »
Bonne lecture du compte-rendu et des deux ouvrages.
M078 – Interséance et compléments (30.10.2006)
Interséance : A ne pas oublier la séance du 7 novembre.
• apporter pour la prochaine séance, au moins, un document historique (source) devant servir pour une activité d’élève.
Comment faire pour trouver rapidement des informations afin d’élaborer mon cours d’histoire
(Guillaume Roduit)
Thème choisi : la Révolution communiste de 1917
Comment faire pour trouver rapidement des informations afin d’élaborer mon cours d’histoire ?
1. Consultation du manuel Simard/Laville, chapitre 10, pp. 306-309, voire dans d’autres manuels scolaires (cf. le LEP, tome 5, pp. )
2. Recherche d’une documentation dans ma propre bibliothèque (livres, revues, cours universitaires, articles de journaux,…)
3. Un outil incontournable : Internet
Trouver rapidement des informations de base Dictionnaires/encyclopédies :
– http://fr.wikipedia.org/wiki/Accueil
– http://agora.qc.ca/encyclopedie.nsf
Trouver rapidement des ouvrages de référence :
– http://scholar.google.com/schhp?hl=fr
Trouver rapidement des sites Internet de référence :
– les traditionnels moteurs de recherche (http://www.google.ch, http://www.search.ch/, http://fr.search.yahoo.com, http://www.altavista.com/, …)
Organiser ses favoris pour l’enseignement de l’histoire : un exemple (cf. notamment www.tacite.ch)
Dictionnaires et encyclopédies
Annuaires, portails et moteurs de recherche spécialisés
Sites généralistes
Généralités
Académies françaises et IUFM
Autres Institutions scolaires
Cyber profs
Revues d’histoire
Musées, Archives et bibliothèques
Ressources
Généralités
Textes
Image et son
Photographies
Cinéma – télévision
Affiches et propagande
Dessins
Cartes historiques
Chronologies
Sites didactiques
Généralités
Histoire et TIC
Webquest en histoire
Le jeu
Méthodologie, historiographie et philosophie de l’histoire
Thèmes spécifiques
Par périodes
Histoire contemporaine
Histoire moderne
Moyen Age
Antiquité
Préhistoire
Par pays
Par thèmes
Histoire militaire
Histoire économique
Histoire des femmes
Histoire de l’émigration
Histoire du communisme
Histoire de la médecine…
Evaluer les sites trouvés : quelques exemples de grilles d’évaluation
- http://www.ebsi.umontreal.ca/jetrouve/internet/evalsite.htm
- http://www.ext.upmc.fr/urfist/cerise/p361.htm
- http://www.fl.ulaval.ca/icarish/guide/module_3/criteres/m3_crit_grille.html
Après une rapide recherche sur Internet et quelques lectures, je peux réaliser la tâche demandée pour l’interséance et identifier, par rapport au thème choisi, :
– les concepts à travailler durant cette séquence :
- Dans le polycopié de cours (p. 47) concept de Révolution
- Dans le manuel Simard/Laville (p. 297) concepts d’autocratie et de soviets
– 2 éléments importants à traiter :
- la fin du tsarisme
- le rôle de Lénine dans la Révolution
– un problème : la prise de pouvoir par les Bolcheviks en octobre 1917 est-elle une révolution ?
– 2 compétences du plan d’études à travailler durant cette séquence :
2 compétences associées du PEV figurant au programme de 9ème
- décrire et dégager le caractère propre d’un événement, d’une situation, d’une évolution
- identifier les questions qu’il est nécessaire de se poser et les concepts à mobiliser pour définir une problématique historique
– Remplir la fiche Outil 1– La transposition didactique pour les manuels et les plans d’études (polycopié p. 9)
Résultats d’une rapide recherche sur Internet à propos de la Révolution russe
Recherche à partir des favoris pour l’enseignement de l’histoire (cf. www.tacite.ch) :
Dictionnaires
– sur Wikipedia : http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9volution_russe
Sites généralistes
– sur MEMO : http://www.memo.fr/article.asp?ID=CON_EDG_006
– sur Revues d’histoire, « Historia » et « L’Histoire » :
- in Historia, « Une journée suffit à Lénine pour prendre le pouvoir », par Marc Ferro, N° 49, septembre 1998, 6 pages
- in L’Histoire, dossier spécial « 1917 : quand la révolution russe ébranle le monde », N° 206, janvier 1997, pp. 22 à 49 (en particulier « La prise du pouvoir par les bolchéviks », par Nicolas Werth)
- in L’Histoire, « Que savons-nous d’octobre 1917 ? », par Éric Vigne, N° 28, novembre 1980, pp. 98 à 99
- in L’Histoire, dossier spécial Le siècle communiste : Révolution et tragédie, N° 223, juillet 1998 (en particulier : « La Russie soviétique : révolution, socialisme et dictature », par Nicolas Werth, pp.8-21 ; « L’aventure d’une secte », par Jean-Jacques Becker, pp. 24-27)
– Annuaires, portails et moteurs de recherche spécialisés
– sur Moteur de recherche sur les sites en histoire-géo : http://artic.ac-besancon.fr/histoire_geographie/new_look/aphg/cr/cf-dard1.htm (en tapant « révolution communisme historiographie »)
– à partir de divers portails d’histoire :
- http://giotsar.free.fr/histoire/
- http://lucaarg.club.fr/pricolib/francais/histoire/la_revolution_bolchevique.htm
- …
… et la première colonne de la fiche Outil 1 pourrait se remplir ainsi :
Ce qu’en disent les historiens | … | … | … |
Depuis près de quatre-vingts ans, la prise du pouvoir par les bolcheviks, le 25 octobre 1917, fait l’objet d’interprétations radicalement différentes. Pour une école d’historiens, que l’on peut qualifier de « libérale » (Richard Pipes, Martin Malia), les événements d’octobre 1917 n’ont été qu’un coup d’État perpétré par un groupuscule minoritaire, résultat d’une habile conspiration tramée à la faveur de désordres sociaux par une poignée de fanatiques dépourvus de toute assise réelle dans le pays. À l’opposé, l’historiographie soviétique a tenté de démontrer que la « grande révolution socialiste d’Octobre » avait été l’aboutissement logique, inéluctable, d’un itinéraire libérateur entrepris par les masses consciemment ralliées au parti bolchevique, moteur de l’Histoire. Rejetant ces deux vulgates, un troisième courant historiographique a tenté d’expliquer, comme l’écrivait en 1977 son pionnier Marc Ferro, que « l’insurrection d’octobre avait pu être à la fois un mouvement de masse et que seul un petit nombre y avait participé ». Tiré de : http://giotsar.free.fr/histoire/histoire5.htm (27.10.2006)- repris de l’Encyclopaedia Universalis) |
M078 – Deuxième séance (30.10.2006)
★. Problématiser / conceptualiser en enseignement de l’histoire.
★. Mode d’enseignement : quand ? comment ? à quelles conditions ?
Première partie
Problématiser / conceptualiser
Première phase : en enseignement de l’histoire
. Tâche interséance: identifier un concept au moins en rapport avec mon thème/sujet
. Partir de leur grille. Faire le point :
. « Avez-vous pu en identifier ? Listing par sujet»
Matériel : Tableau – Polycopié (p. 45-47 autour du concept)
Durée : 15 minutes
Deuxième phase : Problématiser / conceptualiser c/o les historiens
★. Reprendre le schéma de la problématique
★. Document complémentaire par thème / sujet
★. regroupement des étudiants en fonction de leur thème.
★. Tâche : Aujourd’hui pour quelle(s) raison(s) faut-il enseigner ce sujet à vos élèves de… ? Quelles questions se pose-t-on relativement à ces sujets ?
★. Concrètement : Sur un transparent, rédiger au moins une problématique possible en lien avec votre sujet (en suivant les exemples du polycopié page 49-51) tenant compte de l’état historiographique et de l’âge de vos élèves.
Matériel : Document remis
Ressources du groupe
Polycopié p. 49-51
– Un transparent par groupe
. Durée : 35-40 minutes
. Mise en commun : durée 10-15 minutes
transparent au rétro – Validation problématique oui / non ?
Deuxième partie :
Modèle d’enseignement et de l’apprentissage
Tâche : déterminer à quelle catégorie dominante chacune des séquences d’apprentissage proposées appartient.
– Premièrement, chacun-e des membres du groupe prend une des trois séquences proposées.
– Deuxièmement, vous prenez connaissance des trois modèles d’apprentissage présenté dans votre polycopié aux pages 14 à 17.
– Troisièmement, vous étudiez la séquence et vous déterminez sa dominante (transmissive, behavoriste, constructiviste). Sur une feuille de brouillon, vous notez votre résultat relativement à votre séquence en relevant :
– 3 indices ayant aidé à votre classement;
– 1 élément problématique relativement à votre séquence et son classement;
Durée : 30 minutes
– Enfin, en groupe, vous discutez de votre classement et remplissez ensuite le tableau de synthèse suivant en vous mettant d’accord: Durée : 15 minutes
Séquence | Le mésolithique | Le passage du … au… | Le Néolithique |
Type * | |||
3 indices | |||
1 élément problématique |
* transmissif, behavoriste ou constructiviste
Tâche : faire le point personnellement relativement aux différents modèles de l’apprentissage.
Pour chacun des trois modèles (transmissif, behavioriste, constructiviste), j’indique quelles sont les compétences que l’enseignant-e (et donc moi-même) doit disposer pour le pratiquer en classe avec des élèves.
M078 – Première séance et interséance (23.10.2006)
A – Première partie
1. Présentation + Distribution du polycopié
2. Organisation de la séance
3. Cadre général du module (polycopié pp. 2 à 5)
- site internet en complément du module et du polycopié
- ouvrages de base : l’ouvrage de Simard/Laville est à disposition à la Librairie Payot à Lausanne
- Certification : choix à faire entre l’étude de cas et la présentation d’un séminaire. La modalité de l’étude de cas devra être modifiée en raison du nombre d’étudiant-e-s; il devrait s’agir d’une étude de cas écrite (durée 4 heures)
- l’Atelier didactique : les différentes échéances, les critères pour chaque étape (polycopié pp. 6-11)
4. Calendrier des premières séances
5. Questions des étudiant-e-s
6. Questionnaire relativement aux attentes des étudiant-e-s
B – Deuxième partie
6. Schéma « Réaliser une transposition didactique » (polycopié p. 18)
7. Travail autour de l’article de Alieu N. (1995). «De l’histoire des chercheurs à l’histoire scolaire». In Develay M. (1995). Savoirs scolaires et didactique des disciplines : une encyclopédie pour aujourd’hui. Paris: ESP, pp.123-162)
- prendre connaissance du texte pour en identifier les idées principales et relever les points méritant une clarification
- réaliser une synthèse des idées fortes de cet article
- apports et limites du texte par rapport à l’enseignement de l’histoire
- être en mesure de distinguer les idées contenues dans le texte et son point de vue critique relativement à celui-ci.
Technique utilisée : le jigsaw. Voir sous L’apprentissage coopératif – La méthode jigsaw, Instructional strategies Online et Doing jigsaw
C – Interséance
- communiquer, via « Déposer un commentaire » à la suite de ce billet, le thème / sujet de votre AD avant le lundi 30 octobre à 12h00
- identifier par rapport au thème/sujet 2 éléments importants à traiter selon l’étudiant-e ;
- une question ou un problème ou une polémique ou un concept pouvant se rattacher au thème / sujet ;
- 2 compétences, issues du Plan d’étude, que l’étudiant-e souhaiterait plus particulièrement travailler avec les élèves par rapport au thême / sujet retenu.
- consulter les chapitres du manuel et les pages du livre du maître consacrés au sujet ainsi que le SIMARD M., LAVILLE Ch., (2005). Histoire de la civilisation occidentale. Une perspective mondiale (2e éd.). Québec : ERPI, 409 p.
- compléter l’« Outil 1 – La transposition didactique pour les manuels et les plans d’études » (polycopié 9) relativement à la question des Manuels et des plans d’étude ainsi que les éléments déjà à prendre en compte relativement à la colonne L’Historien. Voir plus…
Pour la partie concernant L’Historien, outre le Simard/Laville, vous pouvez également et déjà consulter le support de cours : Histoire savante : Antiquité -> 20e siècle ainsi que les ouvrages complémentaires de la page Références. Voir aussi les liens complémentaires de « Faire le point sur le sujet à traiter/choisi – Actualisation » (polycopié p. 21)
Relativement aux concepts utilisables en fonction de votre sujet, vous pouvez vous reporter au livre de SIMARD M., LAVILLE Ch., (2005). Histoire de la civilisation occidentale. Une perspective mondiale (2e éd.). Québec : ERPI, 409 p. ainsi qu’à votre polycopié page 47 « Concepts historiques – liste établie par la Société des professeurs d’histoire du Québec ».
M078 : Atelier didactique – échéancier
Les séances de l’atelier didactique devraient être réalisées, prioritairement,
entre le 30 novembre 2006 et le 1er février 2007
Le dossier d’AD comprendra :
1. Une présentation du contexte de classe dans lequel le/les étudiant-e-s réaliseront leur AD.
Echéance : 14 novembre 2006
2. La transposition didactique d’un thème/sujet réalisé par l’étudiant-e durant l’AD.
Echéance : 28 novembre 2006
3. La présentation détaillée d’une séquence autour de la notion du temps.
Echéance : 12 janvier 2007
4. La présentation détaillée d’une séquence autour d’une situation problème.
Echéance : 2 février 2007
Remarque : Les deux séquences permettront d’observer au moins deux modalités différentes de mise en activité des élèves
À l’exception des travaux d’élèves, les différents documents doivent être remis sous forme électronique au formateur.
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Atlas des esclavages (Editions Autrement)
Les Editions Autrement ont publié récemment, dans leur collection Atlas- Mémoires, un Atlas des esclavages. (Traites, sociétés coloniales et abolitions de l’Antiquité à nos jours). 80 Pages – 15.0€ ISBN : 2-7467-0878-7
La présentation de l’ouvrage par les Editions Autrement :
L’esclavage est la négation de l’être humain, réduit à l’état de force de travail brut. Il ne peut être ramené ni à une civilisation, ni à un espace géographique, ni à une époque donnée ; c’est l’une des formes les plus constantes de la domination d’hommes par d’autres hommes. La dispersion des nombreuses recherches érudites sur la traite négrière, les sociétés esclavagistes et les processus d’abolition rend difficile, voire impossible, une vision d’ensemble de ces phénomènes historiques de très longue durée. L’ambition de cet atlas est toutefois de présenter les grandes lignes des connaissances historiques actuelles sur ces sujets qui font débat.
Depuis l’Antiquité jusqu’au xxie siècle, toutes les formes d’esclavage et de traite sont ici prises en compte. L’expansion de la traite, de l’économie de plantation et l’internationalisation des échanges ont pour contrepartie l’essor d’un mouvement abolitionniste structuré sur le plan international. La législation abolitionniste est issue de la convergence des révoltes serviles, multiformes, inséparables de la condition servile elle-même, et de la prise de conscience qui se développe en Europe occidentale avec la pensée critique. Tous ces phénomènes font l’objet dans cet atlas de cartographies comparatives, donnant une vision spatiale de faits historiques trop souvent étudiés séparément.
Ainsi, à travers plus de 150 cartes et infographies, se déroule la longue histoire des pratiques esclavagistes et de leurs conséquences jusqu’à nos jours, faisant de cet Atlas des esclavages un instrument de travail novateur et efficace.
Compléments
Daniel Letouzey a mis en ligne sur son site clioweb la table des matière ainsi que trois cartes de l’ouvrage.
Deux sites francophones en rapport avec l’esclavage et son abolition :
• Les Anneaux de la mémoire
• L’abolition / Les abolitions de l’esclavage
Par ailleurs, le site anglophone de Sue Peabody, Professeur associée d’histoire Washington State University Vancouver recense une mine de ressources (textes, images, films) essentiellement issu du monde anglophone (référence via Daniel Letouzey).
Nos précédents billets ayant trait à l’esclavage et à la traite négrière:
• Journée de la mémoire de la traite négrière, de l’esclavage et de leurs abolitions (10 mai)
• Enseigner les questions sensibles du XXe siècle
• La Suisse et l’esclavage
• Retour du bon temps des colonies
• Quelle Europe négrière ? (Eric Saugera:: Histoire Géographie Créteil)