• Passer à la navigation principale
  • Passer au contenu principal
  • Passer à la barre latérale principale
Histoire Lyonel Kaufmann

Histoire Lyonel Kaufmann

  • Mes Publications
  • Blog
  • Cours
    • Planifier
    • Film&Histoire
  • A propos

Didactique

Être enseignant à l’ère du numérique, défis et opportunités

19 mai 2012 by Lyonel Kaufmann

Généralement, je décroche très rapidement lorsque je visionne une conférence mise en ligne. Tel n’est pas le cas avec cette intervention d’Eric Sanchez sur l’enseignant et l’enseignement à l’ère du numérique. S’il part de son expérience dans l’enseignement supérieur, sa conférence interpelle tout enseignant et futur enseignant sur l’évolution de l’enseignement à l’ère numérique.

Eric Sanchez a le grand mérite de ne pas tomber dans l’idolâtrie béate devant le numérique, mais de jalonner et de documenter intelligemment le paysage de l’enseignement à l’ère du numérique.

See on Scoop.it – Médias sociaux et enseignement

Présentation de son intervention :

L’éducation est aujourd’hui soumise à un changement de référentiel ((cf  Serres, M. (2011). Petite poucette. Séance inaugurale de l’Académie des sciences.)). Ce changement porte plus particulièrement sur les rapports qu’un apprenant entretient avec le savoir, sur les temps et les espaces éducatifs et sur l’importance du collectif dans l’apprentissage. Ainsi, les mutations en cours viennent interroger le rôle et la formation des enseignants qui d’une part bénéficient de nouvelles opportunités en terme de développement de pédagogies centré sur l’élève mais, d’autre part, doivent aussi affronter de nouveaux défis. En effet, les enseignants sont concurrencés, en tant que détenteurs du savoir, par un fantastique vivier de ressources largement ouvert et libre qui permet d’accéder à des connaissances sur un nombre incroyable de sujets. Leurs méthodes sont remises en question par la possibilité, pour tout-un-chacun, d’apprendre et d’exercer son imagination et sa créativité en utilisant des environnements numériques qui autorisent des expérimentations selon un nombre illimité de combinaisons. De plus, toujours connectés, ils sont sollicités partout et tout le temps et sommés de répondre sans délais. Dans un tel contexte, une réflexion sur ce que signifie être enseignant, aujourd’hui, et pour les trente prochaines années, apparait cruciale. Quels rôles les enseignants doivent et devront-il assumer ? De quelle formation devront-t-il bénéficier ?

Au final, je vous propose la citation suivante issue de son intervention ((intervention faite après avoir présenté une situation d’écriture collaborative fort intéressante en elle-même réalisée par ses étudiants à l’aide d’Etherpad. Cette production collective réalisée en direct à 20 étudiant-e-s ne serait, comme l’indique Eric Sanchez, impossible à réaliser de manière traditionnelle.))

«Il faut arrêter de se dire on va transposer des pratiques usuelles avec le numérique et on va faire moins bien finalement parce qu’on va forcer les choses, mais plutôt on va se dire « ok » ça nous offre des possibilités de faire des choses qu’on ne pouvait pas faire avant.»

Il n’en demeure pas moins que le défi reste entier et important lorsque l’on prend connaissance des résultats du mini-sondage réalisé par Eric Sanchez auprès de ses étudiant-e-s et futurs enseignant-e-s:

Ecole futur etudiant

Capture d’un slide de la conférence d’Eric Sanchez

Mais l’institution scolaire a-t-elle un avenir si elle se déconnecte durablement de la société ? Deux mondes s’affrontent, mais le monde scolaire issu du 19e siècle prenait son sens en reproduisant le monde du bureau, de l’atelier et de l’usine que les élèves allaient rencontrer ensuite dans leur vie d’adulte. Ce monde a profondément changé de même que la culture de nos élèves et étudiants. Ce monde-là a aussi connu deux guerres industrielles mondiales…

2mondes

Capture d’un slide de la conférence d’Eric Sanchez

A voir sur www.canal-u.tv

Le blog portfolio d’Eric Sanchez : http://comenius.blogspirit.com/

Classé sous :Médias et technologies, Opinions&Réflexions, sur le web

Enfermé, limité, mais utilisé…. | Veille et Analyse TICE

11 mai 2012 by Lyonel Kaufmann

blank

Bruno Devauchelle nous gratifie à nouveau d’un excellent article relativement à l’intégration des TICE à l’école.

Son point de départ est la lecture du rapport fait par l’inspection générale sur l’expérience de Corrèze ((http://www.ordicollege.cg19.fr/index.php?option=com_content&view=frontpage&Itemid=2))  et plus généralement des expériences des utilisateurs des TIC en classe.

Il en ressort que la question de la simplification technique semble essentielle pour la réussite du développement des usages pédagogiques des TIC. ((La simplification technique s’applique ici aussi bien au matériel qu’au logiciel, que ce soit le logiciel système ou les applications.)) Ce constat de la simplification technique renjoint des constats déjà formulé ici.

Bruno Devauchelle pose ensuite un certain nombre de questions. Il relève notamment que c’est

dans l’écart entre des pratiques personnelles ordinaires et des pratiques professionnelles pionnières qu’il y aurait un frein au développement des usages.

Enfin concernant les tablettes numériques, le rapport et Bruno Devauchelle rejoignent un autre de mes constats à savoir que

L’arrivée des tablettes, comme le souligne le rapport de l’IGEN sur la Corrèze, pourrait bien être le vecteur clef pour l’usage dans la classe, car leur mode de fonctionnement semble correspondre avec ces contraintes à ces réalités humaines.

L’article Enfermé, limité, mais utilisé…. « Veille et Analyse TICE.

Classé sous :Médias et technologies, Opinions&Réflexions

Piéger les élèves ou les former avec les médias sociaux? | Chronique no 132

5 mai 2012 by Lyonel Kaufmann

Pendant que certains préfèrent pourrir le web et piéger leurs élèves, il reste des allumeurs de réverbères qui cherchent heureusement à élever leur élèves à la culture et au savoir historique en se saisissant des médias sociaux.

L’affaire de l’enseignant pourrisseur du web ((on trouvera ici une série d’articles critiques concernant ce «pourrissage» : L’affaire du « pourrisseur du web ». Points de vue critiques)) et de ses élèves en fournissant, via le web, et en particulier Wikipedia, des fausses informations au nom de la défense de la culture, avec un grand C, et de la nécessité pour les élèves d’apprendre à penser avant d’aller sur le web en dit long sur la perception d’un grand nombre d’enseignants à vivre l’école comme une citadelle assiégée et leur peur d’enseigner avec les médias sociaux, voire d’enseigner tout court. ((Je fais bien sûr allusion indirectement au livre de Serge Boimare]. Mais je vous renvoie aussi à cette conférence, donnée à mi-mars, par la sociologue Dana Boyd consacrée au “le pouvoir de la peur chez les publics en réseaux”, traduite par InternetActu, danah boyd : pourquoi avons-nous peur des médias sociaux ?. Elle s’appuie notamment sur l’ouvrage de Barry Glassner, la Culture de la peur.))

Nul doute qu’enseignant au moment de l’arrivée de cette nouvelle technologie qu’a été en son temps le livre, cet enseignant et ses congénères prôneraient également que leurs élèves doivent apprendre à réfléchir par eux-mêmes avant de lire leur premier livre!

Ainsi, au lieu d’apprendre à bien de maîtriser leurs vies numériques et d’être leur propre maître, les utilisateurs-producteurs d’élèves seront livrés pieds et poings liés au marché numérique et parfois vendus sans crier gare, comme le montre le rachat récent d’Instagram par Facebook, avec leurs données et contenus à de nouveaux maîtres. Car si l’école ne s’occupe pas des médias sociaux et du numérique, le marché et principalement Facebook s’en chargeront.

Concernant la culture, l’exercice proposé était bien loin de ce qui aurait permis d’y élever les élèves en venant à leur rencontre et la démarche choisie lors de cette mascarade a, comme l’indique fort bien Emmanuel Jaffelin, ((Internet fait place nette dans la pédagogie))

moins prouvé la tricherie des élèves que mis en évidence la date de péremption des exercices demandés.

Sans parler que, de tout temps, ces exercices ont plus favorisé la recopie et le couper/coller que le développement de la réflexion autonome des élèves…

Heureusement, dans le même temps, d’autres initiatives vont à la rencontre des élèves, s’approprient les outils de la culture numérique pour véritablement les élever à la culture, au savoir et les former avec les médias sociaux.

C’est ainsi que Laurence Juin a remis le couvert et recourt avec ses élèves à Twitter pour préparer le bac. Il s’agit ainsi en histoire d’«inciter les élèves à réviser, à chercher en posant des questions, en donnant des réponses.» ((Réviser le bac avec Twitter?))

Le principe est simple. L’enseignant pose une question d’histoire, de géographie ou d’éducation civique en rapport avec le programme et les élèves y répondent en reformulant la question et donnant leur réponse. En cas d’erreur, d’imprécision ou de faute d’orthographe, l’enseignant demande à l’élève de reformuler. De plus, tout «tweeteur» peut participer en rédigeant des questions.

Mais mon coup de cœur du mois, l’illustration que, plutôt que rejeter les élèves et le lieu central de leur vie qu’est devenu l’Internet et le numérique, ((«[Nous les enfants du Web] n’utilisons pas Internet, nous vivons sur Internet et à ses côtés. Nous nous sommes fait des amis et des ennemis en ligne, nous avons préparé des antisèches en ligne pour passer des examens. nous avons prévu des soirées et des sessions de travail en ligne, nous sommes tombés amoureux et avons rompu en ligne. Le Web n’est pas pour nous une technologie que nous avons dû apprendre et sur laquelle nous aurions mis la main. Le Web est un processus en constante évolution sous nos yeux ; avec nous et grâce à nous.»

Propos de Piotr Czerski, né en 1981, un poète, auteur, musicien, informaticien et blogueur polonais.Celui-ci a publié début février 2012 dans le journal local de Poméranie Dziennik Baltycki, un article qui a des allures de manifeste pour la nouvelle génération.

Nous les enfants du Web [ Framablog)) il faut aller à leur rencontre là où ils sont pour faire œuvre de culture et d’enseignement, vient de l’initiative de Boruch Szlezinger.

Boris Szlezinger est un rescapé de la Shoah, ancien déporté politique des camps de concentration nazis, survivant des marches de la mort. Bel exemple de collaboration et de savoir partagé et reconnu entre les générations, c’est son petit-fils qui lui a créé un compte sur Twitter et le gère dans le but de faciliter la transmission de la mémoire de la Shoah. ((https://twitter.com/#!/BSzlezinger))

Mise à jour 10.01.2014 : Note du rédacteur : Depuis la publication de cette chronique, Boruch Szlezinger est intervenu pour que le tweet présenté et les propos tenus par son petit-fils le concernant soient supprimés. Il n’en demeure pas moins que le compte twitter  existe toujours (expurgé, mais actif les deux derniers tweets datant du 28 décembre 2013 et d’hier) et que, si l’article en ligne du Nouvel Observateur que nous citions a été supprimé, il existe notamment un interview du petit-fils et de son grand-père publié par une revue papier, disponible au format .pdf en ligne. L’article est illustré par le tweet que nous présentions. Nous vous y renvoyons donc : Hayom, no 45, page 26.

On perçoit ainsi et notamment le formidable effet multiplicateur, de diffusion et d’appropriation des médias sociaux. Il serait incompréhensible, voire criminel, que l’éducation nationale s’en détourne.

Pour notre part, nous préférons espérer, à la suite d’Olivier Ertzscheid, que l’activité de publication avec les média sociaux sera enseignée pour «en faire le pivot de l’apprentissage de l’ensemble des savoirs et des connaissances», ((Et si on enseignait vraiment le numérique ?)) car

Cet enjeu est essentiel pour que chaque individu puisse trouver sa place dans le monde mouvant du numérique, mais il concerne également notre devenir collectif, car comme le rappelait Bernard Stiegler : « la démocratie est toujours liée à un processus de publication – c’est à dire de rendu public – qui rend possible un espace public : alphabet, imprimerie, audiovisuel, numérique. »

Les allumeurs de réverbères, parsemés sur la toîle, que je rencontre me donnent à penser qu’il reste de l’espoir et un avenir pour l’école.

Cet article est la reprise de ma chronique mensuelle du Café pédagogique. (No 132, Avril)

Classé sous :Médias et technologies, Opinions&Réflexions

La rentrée des classes | La Vie des idées

1 mai 2012 by Lyonel Kaufmann

blank

blank L’ouvrage de Paul Willis, paru il y a trente ans et récemment traduit, analyse à partir d’un travail ethnographique minutieux la résistance des enfants d’ouvriers à la scolarisation, contribuant ainsi à la reproduction des inégalités sociales. L’enquête n’a rien perdu de son actualité.

L’ouvrage : Paul Willis, L’École des ouvriers. Comment les enfants d’ouvriers obtiennent des boulots d’ouvriers. Traduction de l’anglais par Bernard Hœpffner. Préface, postface et entretien avec l’auteur par Sylvain Laurens & Julian Mischi. Agone, 2011. 456 p., 25 €.

Son compte-rendu : La rentrée des classes – La Vie des idées.

Classé sous :Histoire savante, Publications

Des dérangeants secrets de l'Empire britannique publiés | Socialist Worker

25 avril 2012 by Lyonel Kaufmann

blank

Alors que l’establishment britannique souhaiterait favoriser, à propos de l’Empire colonial britannique l’image d’un colonialisme doux, l’ouverture d’archives jusqu’à présent «perdues» vient mettre à mal ce mythe et cette absurdité.

C’est ainsi que ces archives montrent que, dans les années 1940, le gouvernement britannique a sérieusement envisagé de tester des armes chimiques dans l’actuel Botswana.

De même, dans les années 1950, ce même gouvernement punit brutalement et collectivement les Kenyans, soupçonnés de soutenir le mouvement Mau-Mau. Comme il élimine les ennemis de l’autorité coloniale en Malaisie.

A lire : Guilty secrets of British Empire exposed in newly released documents|28Apr12|Socialist Worker.

Classé sous :Histoire savante, Nouvelles de l'histoire, Publications

16 avril 1862 : Lincoln signe la loi d'émancipation

16 avril 2012 by Lyonel Kaufmann

blank

Le 16 Avril 1862, le président Abraham Lincoln promulgue la loi du Congrès autorisant l’émancipation des personnes réduites en esclavage à Washington, DC, et la compensation monétaire de leurs propriétaires par le Trésor américain. 150 ans plus tard, les Archives nationales américaines marquent cet anniversaire en réalisant et diffusant la courte vidéo ci-dessous.

Ce premier acte précède de huit mois la proclamation d’émancipation de Lincoln qui a libéré les esclaves dans les États rebelles. L’émancipation de toutes les personnes asservies à travers les États-Unis n’a pas eu lieu avant l’adoption du 13e amendement à la Constitution en 1865.

Dans ce documentaire, l’archiviste Damani Davis examine les pétitions déposées par des propriétaires et des personnes asservies en vertu de la Loi et les détails qu’ils révèlent sur les esclaves communauté afro-américaine de l’époque. L’archiviste Robert Ellis explique comment le processus a fonctionné. Et Kenneth Winkle, professeur d’Histoire américaine à l’Université de Nebraska-Lincoln, explique comment le nouveau site de l’Université consacré à la guerre de Sécession de Washington (www.civilwardc.org) mettra les pétitions à la disposition des chercheurs.

Classé sous :Histoire active, Nouvelles de l'histoire, sur le web

Patrick Boucheron, un historien qui bouscule les siècles | La république des livres

13 avril 2012 by Lyonel Kaufmann

blank

Et si Denys le Petit, ce moine du VIème siècle à qui l’on doit l’invention de l’ère chrétienne, avait choisi d’adopter l’ère de la Passion et non celle de l’Incarnation pour faire débuter notre ère? Alors notre chronologie s’en trouverait décalée de 33 ans.

« A ce jeu, le XIXème siècle perd les guerres napoléoniennes, la Restauration, Stendhal, Hegel, Goethe, Keats, Byron, qui tous rejoignent un très convaincant siècle des Lumières. Celui-ci comprend enfin le romantisme : Rousseau, Chateaubriand et Musset se situent du même côté de la cassure, sans qu’il soit nécessaire aux exégètes de l’histoire littéraire d’ergoter interminablement. Evidemment, ce que le XIXème siècle perd d’un côté, il le récupère de l’autre : la Grande guerre bien entendu … et du côté culturel : Joyce, Proust, Kafka, Schoenberg, Freud, Einstein. Ainsi décalé d’un tiers, le XIXème siècle devient le grand siècle moderniste et révolutionnaire, englobant largement 1848 et 1917, faisant la part belle aux avant-gardes politiques et esthétiques »

Patrick Boucheron dans L’entretemps (135 pages, 13 euros, Verdier),

via Patrick Boucheron, un historien qui bouscule les siècles | La république des livres.

Classé sous :Histoire savante, Nouvelles de l'histoire, Opinions&Réflexions

Plaidoyer pour une rencontre entre la culture populaire et la culture élitiste

31 mars 2012 by Lyonel Kaufmann

blank

Une fois pour toute, il est important de comprendre que ce ne sont ni les jeunes, ni les technologies qu’ils utilisent qui sont les ennemis de la culture; ce sont plutôt ceux qui ne savent pas comment leur apprendre à s’en servir au quotidien de façon adéquate.

via Plaidoyer pour une rencontre entre la culture populaire et la culture élitiste |.

Classé sous :Médias et technologies, Opinions&Réflexions

Un an avec une tablette… | Veille et Analyse TICE

16 mars 2012 by Lyonel Kaufmann

blank

A l’issue d’une année d’usage personnel, je réfléchis à la transposition de cette expérience dans le monde de l’enseignement/apprentissage. Et là je suis forcé de constater que, malgré ses insuffisances, les choix des concepteurs, les promesses d’un véritable outil nomade à portée de la main se réalisent enfin.

via Un an avec une tablette… « Veille et Analyse TICE.

Classé sous :Didactique, Histoire active, Médias et technologies, Outils enseignement

La pédagogie inversée | Infobourg.com

12 mars 2012 by Lyonel Kaufmann

blank

La ZoneTIC du Cégep Lévis-Lauzon décrit la « pédagogie inversée » (ou classe renversée, flipteaching, reverse instruction) comme ceci : une stratégie d’enseignement où la partie magistrale du cours est donnée à faire en devoir à la maison, alors que les traditionnels devoirs (travaux, problèmes et autres activités) sont réalisés en classe. Quel est l’intérêt? Lorsque les élèves appliquent ce qu’ils ont appris à l’école en faisant leurs devoirs à la maison, ils rencontrent parfois des difficultés et des questionnements qu’ils ne rapportent pas toujours à l’école le lendemain. De plus, la collaboration entre pairs n’est pas toujours facile à cause des horaires de chacun. Les adeptes de la pédagogie inversée préfèrent donc que les élèves utilisent le temps de classe pour construire, collaborer, lancer des défis, remettre en question leurs apprentissages plutôt que de s’asseoir et écouter.

via La pédagogie inversée | Infobourg.com – TIC, actualité, grands dossiers et ressources en éducation.

Classé sous :Didactique, Médias et technologies

  • « Aller à la page précédente
  • Page 1
  • Pages provisoires omises …
  • Page 112
  • Page 113
  • Page 114
  • Page 115
  • Page 116
  • Pages provisoires omises …
  • Page 139
  • Aller à la page suivante »

Barre latérale principale

Lyonel Kaufmann

blankHistorien & Blogueur En savoir plus…

Derniers articles

blank

Vernissage : Plateforme Assistance et coercition (16.09.2025)

10 septembre 2025 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

ÉVÉNEMENT 🗓️ Enseigner une histoire longtemps tue. Écouter les voix de celles et ceux qui l’ont vécue. Cinq témoins romands prennent la parole dans un nouveau média éducatif pour aborder les mesures de coercition à des fins d’assistance et des placements extrafamiliaux en Suisse. Conçue pour les élèves dès le secondaire I, la plateforme «Assistance […]

blank

Restes humains issus de contextes coloniaux en Suisse. Un état des lieux

9 septembre 2025 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Ce rapport donne un aperçu général de la question des restes humains conservés dans les musées suisses. Ce rapport s’appuie sur une enquête menée entre 2023 et 2025 et fournit pour la première fois un état des lieux des restes humains («ancestral remains») acquis dans des contextes coloniaux et conservés dans des musées et collections […]

blank

Jean-Pierre Azéma (1937-2025)

15 juillet 2025 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

J’apprends par France Culture que l’historien Jean-Pierre Azéma est mort à l’âge de 87 ans. Spécialiste du régime de Vichy et de la Résistance, il a profondément marqué l’historiographie contemporaine, en contribuant à éclairer une page longtemps restée trouble de l’histoire nationale. Mais Jean-Pierre Azéma ne fut pas seulement un historien du papier : en […]

blank

Lectures de l’été : IA et éducation

1 juillet 2025 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

L’été est toujours un moment où enfin on dispose de temps, où le flux interrompu et stressant du quotidien ralenti quelque peu. Il est favorable au farniente, à la lecture de polar, mais aussi à la réflexion. Je vous propose ainsi trois articles que je vais prendre le temps de lire attentivement consacrés à des […]

Décès du documentariste Marcel Ophüls à 97 ans

26 mai 2025 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Décès du documentariste Marcel Ophüls à 97 ans. Le maître français du documentaire historique est mort samedi dans sa maison du sud-ouest de la France, a-t-on appris lundi auprès de sa famille. Fils du grand cinéaste allemand Max Ophüls (“ La Ronde”, “Lola Montès”…), Marcel Ophüls avait fui l’Allemagne nazie enfant pour s’installer en France, avant de […]

blank

Passion Médiévistes : Hors-série 34 – Le Moyen Âge au cinéma

22 avril 2025 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

À l’occasion de l’édition 2025 du Festival international du film court d’Angoulême, deux invités sont venus croiser, dans cet épisode hors-série de Passion Médiévistes, leurs expériences sur les représentation du Moyen Âge au cinéma. Les invités : Cet épisode vient proposer les regards complémentaires d’un réalisateur et d’un historien pour interroger la manière dont le […]

blank

Trous de mémoires de Nicolas Juncker

17 avril 2025 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Comment raconter la guerre d’Algérie et ses mémoires sans tomber dans le pathos ou la leçon d’histoire trop académique ? Trous de mémoires relève ce défi avec audace, mêlant comédie burlesque et réflexion historique. Nicolas Juncker y explore, avec un humour grinçant, les tensions et contradictions qui entourent la mémoire de ce conflit, en s’inspirant du […]

Tirés de nos archives

blank

Pierre Viret, gravure sur cuivre, auteur inconnu . Il figure parmi les réformateurs de premier plan.

9 mai 2011 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Pierre Viret, gravure sur cuivre, auteur inconnu . Il figure parmi les réformateurs de premier plan. Auteur d’une cinquantaine d’ouvrages, il a contribué à établir la Réforme non seulement en pays vaudois, mais également à Genève. (Bibliothèque de Genève / Centre d’iconographie genevoise

blank

Gallica et Wikisource désormais liés | Le blog de Gallica

21 mai 2019 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Désormais, Gallica a un bouton Wikisource, vous permettant d’accéder à l’édition améliorée par les Wikisourcien.ne.s. En 2010, la BnF a soumis à Wikisource près de 1500 ouvrages numérisés, images de pages et textes issus de la reconnaissance optique de caractères (OCR), comme évoqué dans ce précédent billet. Ce partenariat a donné lieu à de nombreuses […]

blank

Ces possibles réformes scolaires !

23 octobre 2017 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

Alors que l’introduction des nouveaux moyens et programmes d’histoire romands se fait cette année en histoire dans le canton de Vaud en 7e Harmos et que, lors de sa première conférence plénière de rentrée du 15 août 2017, Mme Cesla Amarelle, nouvelle ministre de l’éducation du Canton de Vaud, a annoncé un appel à projet […]

blank

Changer la pédagogie par l’architecture ?

8 février 2017 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

 »Est-il possible de penser autrement l’éducation sans réinventer le bâtiment où l’on éduque ? » Béatrice Mabilon-Bonfils, François Durpaire et Geneviève Zoïa coordonnent un numéro de la revue Education et socialisation, Cahiers du Cerfee, autour de cette question. La revue va au delà de la prospective pour proposer des études sur l’histoire de la salle de […]

blank

Ces (im)possibles réformes scolaires – EVM : arrêt sur image (2000)

26 octobre 2017 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

En l’an 2000, soit trois ans après l’introduction de la loi « Ecole vaudoise en mutation » (EVM), je tentais de faire un point de situation tout d’abord en tant que socialiste, engagé dans la Commission enseignement du Parti socialiste, ensuite comme syndicaliste et membre fondateur de la Fédération syndicale SUD-service public et enfin comme enseignant et […]

blank

Open Edition : Géographes français en Seconde Guerre mondiale

9 juin 2022 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

L’ouvrage Géographes français en Seconde Guerre mondiale sous la direction de Nicolas Ginsburger, Marie-Claire Robic et Jean-Louis Tissier est désormais disponible en intégralité en Open édition. Présentation de l’ouvrage « La terre, elle, ne ment pas. » Ces mots bien connus, valant slogan de la « Révolution nationale », ont longtemps fait croire que les […]

blank

Comment le Web révolutionne la recherche

16 février 2009 Par Lyonel Kaufmann Laisser un commentaire

«Blogs, journaux en ligne, réseaux sociaux… Internet permet aux chercheurs de faire connaître…

Creative Commons License
Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons. Lyonel Kaufmann 2004-2025

Creative Commons License Ce contenu est mis à disposition sous un contrat Creative Commons. Lyonel Kaufmann 2004-2025.
Thème Aspire 2.0.1 de Genesis Framework · WordPress · Se connecter

 

Chargement des commentaires…