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Blog
Napoléon 1 Caricatures | Biblioweb

Biblioweb nous propose un très intéressant inventaire des ressources relatives à la caricature napoléonienne. Les ressources présentées sont essentiellement issues du résultat de ses recherches et l’inventaire se conclut sur une sélection d’ouvrages.
L’article: Napoléon 1 Caricatures | Biblioweb.
Ma dixième année – Twitter : derrière l’expérience, des élèves ! | frompennylane.blogspace.fr
Avec ces élèves que “plus personne ne voulait”, nous sommes partis à Londres et en Normandie sur une étude de la seconde guerre mondiale. Nous sommes repartis deux ans plus tard à Liverpool sur les traces des Beatles et de la révolution industrielle. Je leur ai fait chanter du Eicher, Aznavour, du JL Aubert et “Penny lane” est devenu notre hymne. Nous sommes allés souvent au cinéma avec le processus “lycéens et cinéma” voir . Nous avons crée deux expos : “sociétés d’avant et de maintenant” et “haïku tatoo”. Nous sommes allés à la plage, à la piscine, au théatre. Nous avons traversé la tempête Xynthia et leurs tempêtes personnelles souvent aussi douloureuses. Ils ont participé au printemps des Poètes, débattu sur de grandes questions de société, critiqué l’économie chinoise, découvert Mandela ou Seznec, lu Fottorino, se sont révoltés en voyant “Welcome” sur la condition des immigrés à Calais. ILs ont participé aux concours “faites la Une” et “creation d’un poème”…
Twitter : derrière l'expérience, des élèves ! | Ma dixième année
Avec ces élèves que « plus personne ne voulait », nous sommes partis à Londres et en Normandie sur une étude de la seconde guerre mondiale. Nous sommes repartis deux ans plus tard à Liverpool sur les traces des Beatles et de la révolution industrielle. Je leur ai fait chanter du Eicher, Aznavour, du JL Aubert et « Penny lane » est devenu notre hymne. Nous sommes allés souvent au cinéma avec le processus « lycéens et cinéma » voir . Nous avons crée deux expos : « sociétés davant et de maintenant » et « haïku tatoo ». Nous sommes allés à la plage, à la piscine, au théâtre. Nous avons traversé la tempête Xynthia et leurs tempêtes personnelles souvent aussi douloureuses. Ils ont participé au printemps des Poètes, débattu sur de grandes questions de société, critiqué léconomie chinoise, découvert Mandela ou Seznec, lu Fottorino, se sont révoltés en voyant « Welcome » sur la condition des immigrés à Calais. ILs ont participé aux concours « faites la Une » et « creation dun poème »…
via Ma dixième année – Twitter : derrière lexpérience, des élèves ! | frompennylane.blogspace.fr.
Zinn au sujet du rôle de l’histoire » Les carnets Dédalus
«Si l’histoire veut être créative, pour prévoir un futur possible sans nier le passé, elle doit, je crois, souligner de nouvelles possibilités en divulguant ces épisodes cachées du passé quand, même pour de brefs moments, le peuple a démontré sa capacité de résister, de s’unir, à l’occasion pour gagner. » Howard Zinn, 1922-2010
L’imprévu cinématographique – Laurent Véray | Cinémadoc
“La reconstitution du passé n’est plus la seule motivation, ni le seul centre d’intérêt. Pas plus que les historiens, ces cinéastes ne cherchent à reconstituer la réalité d’hier à l’état brute. Ils interrogent au contraire la trompeuse évidence des images qu’ils utilisent, remettent en question leur prétendue objectivité, proposent d’autres lectures.”
Laurent Véray, « L’Histoire peut-elle se faire avec des archives filmiques ? », 1895, n°41, Archives, 2003, [En ligne], mis en ligne le 13 février 2007. URL : http://1895.revues.org/document266.html. Consulté le 29 juin 2010.
Dans cet article, ce qui intéresse Laurent Véray, c’est la manière dont : “Écrire l’histoire et filmer l’histoire peut relever d’un même régime de sens et de vérité”, soit “la mise en film de l’histoire”.
Rémy Besson poursuit son parcours et son état du champ concernant l’histoire et le cinéma au travers d’oeuvres charnières. Une nouvelle fois, il nous éclaire sur un article consultable en ligne. Doublement précieux!
via L’imprévu cinématographique – Laurent Véray | Cinémadoc.
Hitler, les Arabes et les Juifs | La vie des idées
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Hitler, les Arabes et les Juifs – La vie des idées
Depuis quelques années, les travaux historiques consacrés au thème de la réception arabe de la Shoah et, plus généralement, des relations entre le monde arabo-musulman et l’Allemagne nazie, se multiplient et font débat. Dans ce sillage, l’ouvrage de Gilbert Achcar Les Arabes et la Shoah, sorti en octobre 2009, se distingue notamment par son souci constant de neutralité axiologique.
Tous les ouvrages consacrés à ce sujet n’ont pas ces qualités. Ainsi en est-il des ouvrages Croissant fertile et Croix gammée de Martin Cüppers et Klaus Michaël Mallmann et Jihad et haine des Juifs de Matthias Küntzel.
Le compte-rendu de ces trois ouvrages, plus particulièrement celui d’Achar par la Vie des Idées.- – By Lyonel Kaufmann
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Entre expérience et mémoire : les soldats français de la Grande Guerre | Annales
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Entre expérience et mémoire : les soldats français de la Grande Guerre – Cairn.info
Les combattants de la Grande Guerre ont initié le XXe siècle avec un cycle de violence, tant idéologique que physique, qui est à peine refermé. Le monde change dans leur sillon. Conscients de cette transformation, les anciens combattants dominent pendant longtemps le récit de leur propre expérience. Les historiens s’y penchent plus tardivement, avec des sources nouvelles, sans que ne s’interrompe le flot de témoignages publiés. En même temps, la gamme des interprétations s’élargit.
John Horne « Entre expérience et mémoire : les soldats français de la Grande Guerre », Annales. Histoire, Sciences Sociales 5/2005 (60e année), p. 903-919.- – By Lyonel Kaufmann
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Quand le film défie l’historien – Robert A. Rosenstone | Cinémadoc
Dans son article, Robert Rosenstone part du constat que les historiens critiquent les films historiques, car ils interprètent ces derniers à l’aune de leurs propres exigences académiques. Pour l’auteur, cette critique masque un double déni. En fait, d’un côté les historiens critiquent les films car ils se rendent compte qu’ils assument également la transmission du passé et, de l’autre, ils refusent d’accepter que les films influencent également leur vision du passé. Il invite par conséquent ses collègues à “prendre au sérieux” le cinéma (p. 164). Il divise ensuite le cinéma en trois catégories (fiction, documentaire, docudrama) et choisit de s’intéresser à la fiction. Il divise cette catégorie en deux : les films grand public et les films expérimentaux, qu’il nomme post-modernes.
Robert A. Rosenstone, “”Like writing history whith lighting” : Film historique/vérité historique“, Vingtième Siècle. Revue d’histoire, n°46, 1995, p. 163
Pour le reste, je ne peux que vous inciter à lire l’entier de l’excellent article de Rémy Besson. En plus, vous avez aussi la possibilité de lire en ligne l’article de Rosenstone.
via Quand le film défie l’historien – Robert A. Rosenstone | Cinémadoc.
Problématiser 14-18 : un armistice de 21 ans?
Les préoccupations des historiens peuvent aider les enseignants à construire une problématique à laquelle leurs élèves devront ensuite répondre. En voici un exemple à l’aide d’un article de 2008 paru dans la Revue historique des armées.
En 2008, Georges-Henri Soutou s’interroge : 1918 représentait-elle la fin de la Première Guerre mondiale? Son article s’intéresse notamment à la situation en Allemagne après la signature de l’armistice ainsi que sur les motivations de Ludendorff. De manière générale, pour Soutu, il s’agissait non pas d’armistices militaires, mais politico-militaires. D’où l’importance de cette période au cours de laquelle s’arrête la Grande Guerre, mais alors que les traités de paix se font attendre. La fin de son article, fort intéressant dans son ensemble, nous offre ensuite un bel exemple permettant de problématiser la fin du conflit et de projeter les élèves dans l’étude de l’entre-deux-guerres et la Deuxième Guerre mondiale. Nous sommes également en présence d’un travail d’histoire maniant une histoire-événementielle et une histoire-problème.
Il conclut par une interrogation: Un armistice de 21 ans ?
Puis il poursuit en posant les termes du débat historiographique apparu dans les années 1980:
Une question préoccupe les historiens depuis les années 1980 : la Deuxième Guerre mondiale, guerre totale, qui a fait 50 millions de morts, qui a vu les génocides les plus graves de l’histoire, qui a vu l’utilisation de l’arme nucléaire, était-elle un phénomène spécifique ? Ou bien faut-il considérer qu’elle prolongeait la Première Guerre mondiale, après une sorte d’armistice de 21 ans, dans ce que certains appelaient une « guerre de Trente Ans » (l’expression fut employée à l’époque par de nombreux grands responsables, comme Churchill et de Gaulle, qui avaient très nettement l’impression d’assister à la suite de l’épisode précédent) ?
Dans les lignes précédentes, l’article proposait des éléments qui peuvent être exploité dans le sens d’une Guerre de Trente Ans. Puis, dans les lignes conclusives, l’article propose ensuite des éléments invitant dans le sens d’une spécificité du deuxième conflit mondial. Ainsi en est-il de son caractère de conflit idéologique alors que la Première Guerre mondiale était essentiellement un affrontement de type national ou de conflit total, «s’évadant très largement des lois de la guerre et du droit des gens traditionnel, encore à peu près respectés en 1914-1918.»
Dans tous les cas, un joli point de départ pour construire une séquence d’enseignement englobant la conclusion de 1918, l’entre-deux-guerres et la Deuxième Guerre mondiale. Une problématique non négligeable lorsqu’on ne dispose que d’une ou deux périodes d’enseignement par semaine.