«Ce travail a eu lieu à l’occasion du thème de 4e sur la Révolution française. Les élèves, par groupes, devait travailler la biographie des acteurs de la Révolution (Robespierre, Napoléon, Louis XVI…). Ils disposaient de liens sélectionnés par mes soins mais pouvaient aussi effectuer des recherches libres (avec un peu d’aide de ma part). Le faux profil facebook impliquait de trouver des renseignements sur le personnages (dates, lieu de résidence, famille, amis, centres d’intérêt, image du personnage et de ses connaissances) mais aussi de sélectionner les 8 moments les plus important de sa vie pour remplir un faux “mur” facebook.»
See on ecolededemain.wordpress.com
Histoire active
16 avril 1862 : Lincoln signe la loi d'émancipation
Le 16 Avril 1862, le président Abraham Lincoln promulgue la loi du Congrès autorisant l’émancipation des personnes réduites en esclavage à Washington, DC, et la compensation monétaire de leurs propriétaires par le Trésor américain. 150 ans plus tard, les Archives nationales américaines marquent cet anniversaire en réalisant et diffusant la courte vidéo ci-dessous.
Ce premier acte précède de huit mois la proclamation d’émancipation de Lincoln qui a libéré les esclaves dans les États rebelles. L’émancipation de toutes les personnes asservies à travers les États-Unis n’a pas eu lieu avant l’adoption du 13e amendement à la Constitution en 1865.
Dans ce documentaire, l’archiviste Damani Davis examine les pétitions déposées par des propriétaires et des personnes asservies en vertu de la Loi et les détails qu’ils révèlent sur les esclaves communauté afro-américaine de l’époque. L’archiviste Robert Ellis explique comment le processus a fonctionné. Et Kenneth Winkle, professeur d’Histoire américaine à l’Université de Nebraska-Lincoln, explique comment le nouveau site de l’Université consacré à la guerre de Sécession de Washington (www.civilwardc.org) mettra les pétitions à la disposition des chercheurs.
Un an avec une tablette… | Veille et Analyse TICE
A l’issue d’une année d’usage personnel, je réfléchis à la transposition de cette expérience dans le monde de l’enseignement/apprentissage. Et là je suis forcé de constater que, malgré ses insuffisances, les choix des concepteurs, les promesses d’un véritable outil nomade à portée de la main se réalisent enfin.
Georges Duby : Le temps des cathédrales | Ina
L’INA met en ligne la collection « Le temps des cathédrales », adaptation documentaire (1980) du livre de Georges Duby sur l’art religieux au Moyen Age (2, 99 € chacun des 9 épisodes de 50 minutes).
C’est là : http://www.ina.fr/art-et-culture/beaux-arts/dossier/2367/le-temps-des-cathedrales.20090331.fr.html
Georges Duby : Le temps des cathédrales | Ina
L’INA met en ligne la collection « Le temps des cathédrales », adaptation documentaire (1980) du livre de Georges Duby sur l’art religieux au Moyen Age (2, 99 € chacun des 9 épisodes de 50 minutes).
C’est là : http://www.ina.fr/art-et-culture/beaux-arts/dossier/2367/le-temps-des-cathedrales.20090331.fr.html
1848: quand la Suisse faisait l’admiration des peuples européens | LeTemps.ch
«Finalement, j’ai choisi 1848, qui a vu jeter les bases de la Suisse contemporaine. Parce que c’est une année enchantée, dont l’esprit d’ouverture et l’audace forment un contraste frappant avec le climat actuel. J’ai choisi 1848 pour me consoler.»
Quelle serait votre année idéale? C’est la question que le journal Le Temps a posée à six historiens. Hans-Ulrich Jost, professeur honoraire d’histoire contemporaine à l’Université de Lausanne, a choisi l’année du printemps des peuples, qui est aussi celle de la rédaction de la première Constitution fédérale.
via LeTemps.ch | 1848: quand la Suisse faisait l’admiration des peuples européens.
1848: quand la Suisse faisait l’admiration des peuples européens | LeTemps.ch
«Finalement, j’ai choisi 1848, qui a vu jeter les bases de la Suisse contemporaine. Parce que c’est une année enchantée, dont l’esprit d’ouverture et l’audace forment un contraste frappant avec le climat actuel. J’ai choisi 1848 pour me consoler.»
Quelle serait votre année idéale? C’est la question que le journal Le Temps a posée à six historiens. Hans-Ulrich Jost, professeur honoraire d’histoire contemporaine à l’Université de Lausanne, a choisi l’année du printemps des peuples, qui est aussi celle de la rédaction de la première Constitution fédérale.
via LeTemps.ch | 1848: quand la Suisse faisait l’admiration des peuples européens.
e-Dossier: La Suisse, les réfugiés et la Shoah | dodis.ch
Les Documents diplomatiques suisses (dodis.ch) publient un dossier d’archives qui fera date relativement à l’histoire de la Suisse durant la Deuxième Guerre mondiale
En effet, ce dossier retraee les relations internationales de la Suisse entre 1933 et 1945.
Pour les auteurs, le dossier doit permettre notamment de trouver des éléments de réponses aux questions suivantes :
- Etait-on au courant, en Suisse, de la politique d’extermination des nazis?
- Qui était informé? De quoi?
- Comment les autorités et la population ont-elles réagi face à la question des réfugiés?
- Comment la Suisse est-elle venue en aide aux victimes du régime nazi?
L’internaute y trouvera, par exemple, une série de documents intitulée « La Suisse, les réfugiés et la Shoah ». Le dossier devrait permettre aux enseignants de préparer la Journée internationale à la mémoire des victimes de l’Holocauste du 27 janvier. Cette journée commémore la libération par l’Armée rouge des survivants du camp d’Auschwitz le 27 janvier 1945.
Les documents désormais disponibles font notamment référence à l’introduction du « J » sur les passeports des juifs allemands en 1938, à la politique d’asile de la Suisse, aux informations en provenance du camp d’extermination d’Auschwitz et aux réactions en Suisse en 1944 ou aux mesures d’aide aux personnes internées dans les camps, en particulier à l’accueil des enfants à Buchenwald.
Un must.
Le site : e-Dossier: La Suisse, les réfugiés et la Shoah | dodis.ch.
03.02.2012 : Complément
Ce jour, le journal Le Temps consacre un article de Denis Masmejan très prenant concernant cette mise en ligne des Documents diplomatiques suisses : «Als wir in Birkenau ankamen…»
L’histoire par le bas contre le récit national ? d’une configuration des années 68 et de sa déliaison | aggiornamento hist-geo
Cet article pose les termes du débat sur l’enseignement de l’histoire en France sous l’éclairage des débats post-1968 et ceux issus de la fameuse polémique initiée par Alain Decaux dans le Figaro : Français, on n’apprend plus l’histoire à vos enfants !
D’un côté, de 1984 à 1992, la parution échelonnée des Lieux de mémoire au titre de la trilogie République / Nation / France engage le renouvellement du genre qu’est le récit national par l’apport de l’approche mémorielle et la topique du lieu.
De l’autre, en terme historiographique, l’histoire par le bas en France peut se lire soit comme l’expression de la Nouvelle histoire pratiquée par l’Ecole des Annales, soit comme l’écho de pratiquée outre-manche par E.P Thompson. Si toutes deux participent d’une déconstruction du roman national, la première de ces approches trouve à s’inscrire peu ou prou dans l’édifice disciplinaire de l’histoire entre recherche et enseignement quand la seconde s’entend davantage comme l’irruption d’une radicalité politique sur la scène française de l’histoire. Le récit national est alors interrogé à partir d’une histoire centrée sur le récit des luttes populaires. Suzanne Citron est la principale figure de proue pour son intégration au niveau scolaire.
Ce texte est une intervention de Vincent Chambarlhac au séminaire “La fabrication du commun/récits de l’histoire nationale par des élèves. Il est à comprendre comme une réflexion “en cours” propre au travail d’un séminaire.
L’histoire par le bas contre le récit national ? d’une configuration des années 68 et de sa déliaison | aggiornamento hist-geo
Cet article pose les termes du débat sur l’enseignement de l’histoire en France sous l’éclairage des débats post-1968 et ceux issus de la fameuse polémique initiée par Alain Decaux dans le Figaro : Français, on n’apprend plus l’histoire à vos enfants !
D’un côté, de 1984 à 1992, la parution échelonnée des Lieux de mémoire au titre de la trilogie République / Nation / France engage le renouvellement du genre qu’est le récit national par l’apport de l’approche mémorielle et la topique du lieu.
De l’autre, en terme historiographique, l’histoire par le bas en France peut se lire soit comme l’expression de la Nouvelle histoire pratiquée par l’Ecole des Annales, soit comme l’écho de pratiquée outre-manche par E.P Thompson. Si toutes deux participent d’une déconstruction du roman national, la première de ces approches trouve à s’inscrire peu ou prou dans l’édifice disciplinaire de l’histoire entre recherche et enseignement quand la seconde s’entend davantage comme l’irruption d’une radicalité politique sur la scène française de l’histoire. Le récit national est alors interrogé à partir d’une histoire centrée sur le récit des luttes populaires. Suzanne Citron est la principale figure de proue pour son intégration au niveau scolaire.
Ce texte est une intervention de Vincent Chambarlhac au séminaire “La fabrication du commun/récits de l’histoire nationale par des élèves. Il est à comprendre comme une réflexion “en cours” propre au travail d’un séminaire.