Pour Francis Fukuyama, on assiste dans le monde à une révolution de la classe moyenne. Des révolutions arabes aux révoltes en Turquie, des manifestations au Brésil aux contestations en Chine: tout cela est le fait d’une classe moyenne qui grossit dans les pays où elle se faisait peu entendre auparavant, selon le politologue américain.
Histoire
Revue de presse : Traite des Noirs: Gorée, c’était de l’artisanat | Domaine Public
C’est au Ghana qu’il faut aller pour voir l’industrie de la traite des esclaves. Le long de ses 300 kilomètres de côtes, 32 forts parsèment le rivage. Une grande partie des pays européens y sont représentés et affichent leur architecture particulière: les Portugais ont été les premiers, suivis des Espagnols, des Hollandais, des Danois, des Suédois, des Français et enfin des Anglais.
Traite des Noirs: Gorée, c’était de l’artisanat | Domaine Public
Revue de presse : La révolution française | francetv éducation
Un dossier ludique de France Télévisions pour expliquer aux plus jeunes les principales étapes de la Révolution française à travers une frise chronologique, les portraits des principaux personnages et les grands thèmes de la Révolution.
Revue de presse : Quelle place pour le numérique à l'école primaire ?
Dès sa sortie, j’indiquais que l’iPad était probalbement «premier cartable numérique véritablement crédible pour le monde de l’éducation» (iPad le chaînon manquant?). Dans cet article, cet extrait explique bien le pourquoi :
«Les tablettes fascinent aussi bien les élèves que les enseignants. Toutefois de nombreuses imperfections bien connues apparaissent : une tablette ne fait pas un usage. Les logiciels d’entraînement systématique (exerciseurs) ne font pas l’apprentissage, surtout des objets complexes. A l’inverse la tablette répond merveilleusement bien à des éléments de contexte incontournable dans la gestion de la classe : ça prend peu de place, ça démarre sans attendre, ça se manipule de manière intuitive avec le doigt (les doigts), ça donne accès directement au travail à faire sans attendre les minutes réglementaires imposées par certains systèmes d’ordinateurs, même portable. Le numérique à portée de la main, voilà un rêve d’enseignant pour ne plus faire de l’informatique l’intrus, le tiers dérangeant d’une pédagogie.»
Revue de presse : Histoire et géographie : libérons les élèves du programme | Journal d’un prof d’histoire | Rue89 Les blogs
«Davantage peut-être que les sujets d’examen en eux-mêmes, c’est la lourdeur des programmes qui focalise le mécontentement, renforcé par le refus obstiné de l’Education nationale de prendre en considération ce que les enseignants sont quasi unanimes – chose rare – à lui signifier : en classe d’examen, est-il vraiment pertinent que la préoccupation majeure des enseignants consiste à boucler le programme, au détriment de toute autre considération ?»
Revue de presse : Bibliographie – sitographie – Les Cahiers pédagogiques
Bibliographie consacrée à la Bande dessinnée, avec un chapitre spécifique en relation avec l’histoire et la géographie.
Revue de presse : Refonder l’école ou la flipper ? | Ludovia Magazine
Bien que pratiquée depuis longtemps par des pionniers, le concept, ou en tout cas l’appellation de Flipped Classrooms, est apparu vers 2007 quand deux enseignants en chimie dans l’équivalent de notre niveau secondaire, Jonathan Bergman et Aaron Sams, ont découvert le potentiel de vidéos (PowerPoint commentés, Screencast, Podcast …) pour motiver leurs élèves à préparer (à domicile ou plutôt hors classe) les leçons qui seront données en classe afin de rendre ces dernières plus interactives.
L’air de rien, cette méthode serait à la fois une petite révolution par rapport à l’enseignement dit traditionnel (le magistral, l’enseignement ex cathedra) et une piste d’évolution acceptable et progressive pour les enseignants qui souhaitent se diriger, sans négliger la transmission des savoirs, vers une formation davantage centrée sur l’apprenant, ses connaissances et ses compétences.
Marcel Lebrun, enseignant à l’Université catholique de Louvain à Louvain-la-neuve, nous présente la méthode de la classe inversée (ou flipped classroom).
Revue de presse : Le déni du Monde | aggiornamento hist-geo
Le dernier numéro du Débat est consacré à l’enseignement de l’histoire, au « difficile enseignement de l’histoire ». Car telle est la question/affirmation posée par Pierre Nora à l’orée de son éditorial : « Pourquoi est-il devenu si difficile d’enseigner l’histoire dans les classes du primaire et du secondaire ? C’est de cette question, fondée sur un constat largement répandu, que nous sommes partis. »[1]
De cette interrogation qui n’en a que l’apparence suit un numéro foncièrement biaisé. Car rien n’étaye sérieusement ce constat, sinon l’appui du discours décliniste porté par Hubert Tison, secrétaire général de l’Association des professeurs d’histoire-géographie[2]. Non, la simple évidence semble suffire à Pierre Nora pour affirmer que « cette difficulté […] n’a cessé de s’aggraver depuis trente ou quarante ans ». On peut être sceptique. Que l’enseignement en général ne soit pas toujours aisé, que les conditions de l’enseignement aient changé avec sa massification, on veut bien l’admettre, en débattre, mais y a-t-il une spécificité de l’histoire ? Y a-t-il une difficulté particulière de l’histoire par rapport aux mathématiques, aux langues vivantes, au français?
Revue de presse : Le Centenaire et l’enseignement de l’histoire en Allemagne | Mission Centenaire 14-18
Un intéressant article sur la place de 14-18 dans les écoles allemandes et sur le poids pris par la période nazie dans les programmes scolaires. Et une question : quel 9 novembre commémorer?
Si, en ce printemps 2013, on interrogeait un professeur d’histoire allemand sur le prochain Centenaire, on entendrait sans doute la réponse « Quel centenaire ? ». En effet, la Première Guerre mondiale a disparu de la conscience publique allemande et elle ne joue plus un rôle très important dans l’enseignement de l’histoire à l’école
Le Centenaire et l’enseignement de l’histoire en Allemagne | Mission Centenaire 14-18
Revue de presse : Au Danemark, on passe le bac en surfant sur Google et Wikipedia | Le Point
Alors que certains en sont encore à pourrir le web, les Danois ont dépoussiéré, il y a trois ans, leur "Studentereksamen" – équivalent du bac/maturité – en autorisant l’utilisation d’Internet pendant cet examen pour les lycées/gymnase qui le souhaitent. Plus de 20 % des élèves de terminale et plusieurs matières sont concernées, des mathématiques à l’anglais en passant par les sciences économiques. Bien sûr, l’utilisation d’e-mail ou de messagerie instantanée est interdite, et le copier-coller pur et simple lui aussi sanctionné. Un changement qui ne fait qu’acter la nécessité de mettre l’école à la page, selon Steen Larsen, conseiller du ministère de l’Éducation et superviseur de cette réforme et qui répond aux questions du "Point".
Au Danemark, on passe le bac en surfant sur Google et Wikipedia | Le Point